Récit #237 – Marie – Partie 14 – Le livre – chapitre 3

Bertrand s’est replongé dans la lecture du livre «  caresses sensuelles et érotiques » chapitre quatre. Intéressant, très intéressant,  Une idée ! Avec son ami Nicolas, ils mettent au point un petit scénario qui, ils en sont certains, plaira beaucoup a Marie. Première chose, l’appeler

  • Bonjour Marie, si cela t’intéresse, j’ai deux places pour le match de l’équipe de hand-ball de Nicolas ce soir, ça te dit ?

Marie n’est pas une fan de hand-ball, mais pourquoi pas ça peux être sympa ! Elle accepte de bon cœur.

Il y a du monde dans les gradins, de l’ambiance et au bout d’une rencontre à suspense, l’équipe de Nicolas remporte la victoire !!

– Marie, va féliciter Nicolas, je te rejoins

Marie descend aux vestiaires, la porte est grande ouverte. Nicolas l’aperçois

  • Entre Marie !

Elle entre…… et se retrouve au milieu des sept hommes presque nus ! Nicolas ferme la porte, Marie se sent tout à coup prise au piège ! Ils l’entourent,  Les serviettes tombent, la voila au milieu de sept hommes très excités. Rapidement, ils sont très près d’elle, leurs mains se glissent sous les vêtements, effleurent la peau la déshabille lentement

Marie sourit, elle a compris, encore une idée de Bertrand !! Et en plus c’est un de ses fantasmes ! Alors elle se laisse faire, et se retrouve nue, à leur merci ! Il commence à faire chaud ! Le cercle se resserre. Autour d’elle sept queues dressées !  Nicolas s’approche encore plus près, son sexe gonflé se glisse entre les cuisses,  caresse la chatte dans un petit mouvement de va et vient. Il lui murmure a l’oreille,

  • Chapitre quatre Marie, tu va aimer !!

Une autre queue s’insinue entre les fesses et caresse son petit trou. Quatorze mains et deux queues, rien que pour elle. Marie ferme les yeux, se laisse emporter par cette multitude de caresses MMMM !!!!  Après les mains, les bouches chaudes de l’équipe. Sept  langues explorent son corps, s’attardent longuement, très longuement sur ses seins, les tétons, le ventre, l’intérieur des cuisses. L’une après l’autre, les sept langues s’insinuent entre ses lèvres trempées, entre les fesses, lèchent son petit trou. Marie se cambre, vibre, soupire de plaisir.

La situation s’emballe,  un des hommes la plaque face contre les armoires du vestiaire, Marie sent sa queue qui caresse sa chatte, d’un coup, il la tire a lui et la pénètre brutalement. Un petit cri, Marie recule les fesses, l’homme s’enfonce encore plus dans un mouvement  de va et vient de plus en plus violent. Marie s’accroche a l’armoire, une chaleur dans le bas ventre, l’homme se retire, elle n’a pas le temps de respirer, la deuxième queue est déjà là, puis la troisième, la quatrième, cinquième, six, sept, l’équipe défile, Marie a souvent rêver d’être prise par un groupe d’hommes, alors aujourd’hui c’est l’extase suprême ! Le fantasme réalisé !

 

Une dernière explosion en elle, le dernier homme se retire. Marie reste un moment contre l’armoire, reprend ses esprits, le corps un peu endolori, mais quel plaisir, quel extase !!

Toute l’équipe l’a accompagnée dans la grande douche, caresses et doigtage sous l’eau chaude, de quoi terminer cette soirée tout en douceur. Marie s’est rhabillée, un petit bisou a chacun et Marie a retrouvé Bertrand.

  • Alors Marie cela t’a plu ?

Marie sourit

  • Je te raconterai !

Récit #236 – Du bon temps à Tremblant

Par Normand
De par mon travail, je dois me déplacer dans quelques pays dans le monde, tous au sud. Ça peut sembler agréable d’être dans le sud pendant qu’au Québec, on se gèles les couilles. Dans mon cas, j’aime l’hiver, en fait, j’aime les 4 saisons. Ayant beaucoup travaillé, je me suis toujours promis d’avoir une maison dans les Laurentides, mais pas nécessairement prés d’un lac, mais avec un grand terrain. Aussi, j’ai toujours rêvé d’avoir une Porsche 911 et lorsque j’ai eu une occasion en or, je me suis acheté une 911 4s: 4 roues motrices. De cette façon, je roule aussi l’hiver. Aussitôt arrivé chez nous, d’un long séjour de travail, j’ai pris ma voiture pour aller dans ma maison des Laurentides. Après une bonne nuit de sommeil, j’ai décidé d’aller skier à Tremblant, simplement pour profiter de ma 911. Je suis arrivé au début de l’après-midi et skié jusqu’au soir. Avant de partir, j’ai fait un saut au Casino. Je ne joue pas, ça ne m’intéresse pas. Mais j’aime l’ambiance et on peut y faire des rencontres, autant sexuelles, qu’amicales. J’aime rencontrer des gens et discuter de tout.
J’ai remarqué une femme de dos, longue robe noire, pas moulante. Elle parlait avec une autre femme, aussi élégante et belle. Lorsque je regardais dans leur direction, je matais cette belle femelle séduisante. Son amie a dû lui dire, car elle s’est retournée subitement pendant que mon regard était sur ses formes. Elle m’a souri et aussitôt que j’ai vu son visage, je l’ai reconnue. Elle aussi m’a reconnu. Manon, la plus belle fille de la polyvalente que nous fréquentions. Malgré ses traits de 40 ans, elle était toujours aussi belle. Nous étions contents de nous revoir à nouveau. Je les ai invitées au bar et avons parlé longtemps, comme il se doit en de telles circonstances. Manon raconta à son amie, que j’étais considéré le plus gars de la polyvalente. Je lui ai dit que c’était aussi son cas.
Les 2 femmes étaient divorcées depuis peu, surtout pour Manon. Plus tard, alors que son amie voulait partir, je sentais que ce n’était pas le cas de Manon. Je lui ai alors proposé d’aller la reconduire chez eux. Son amie nous a fait la bise et est partie. Maintenant seuls, notre conversation est devenue plus intime. Elle m’a demandé si je me rappelais que nous avions déjà fait l’amour. Bien sûr que oui, que j’avais adoré son corps, car elle était sportive comme moi. Elle était tout en chair, pas de gras du tout. Elle m’a dit qu’elle se souvenait de mon corps, découpé au couteau avec des abdominaux d’enfer. C’est vrai, mais je n’ai pas de mérite. En secondaire 4, je mesurais déjà 5 pieds 10 et 6 pieds à la fin du secondaire. J’avais un corps en réalité de 20 ans. Par la suite, en plus de tous le sports, j’allais au gym aussi. Non pas pour devenir plus musclé, mais pour maintenir le corps que j’avais. Elle m’a dit aussi qu’elle se souvenait de mon pénis, qu’il était gros. Mon pénis mesure 8’’ mais surtout gros. Nous étions très à l’aise. À sa question, je lui ai dit que je demeurais dans l’ouest de Montréal, mais que je venais passer la fin de semaine à mon autre maison à Piedmont, à côté de Saint-Sauveur.
Sachant que j’étais célibataire, elle se demandait à comment pouvait bien ressembler une décoration masculine. Cas classique, ce n’est pas la première femme qui me demande cela. Je lui ai demandé de venir chez moi et serions plus à l’aise pour prendre un verre. J’ai un cellier bien rempli. Qu’il y a une chambre d’invités si elle désire y passer la nuit. Elle a acceptée avec un sourire et s’est mordue la lèvre, c’était tellement sexy. Elle m’a complimenté sur ma voiture, que c’était aussi sa voiture sport préférée. En roulant, je la voyais se frotter doucement sur le siège de la voiture, l’ambiance était magique. Arrivé à la maison, je lui ai fait visiter avant d’aller nous installer devant le foyer au bois et avec une bouteille de vin blanc. Notre conversation est devenue encore plus intime, plus directe. Nous savions ce qu’il allait arriver. Comme nous avions fait su ski, je lui ai proposé d’aller prendre une douche et qu’elle pouvait laver ses vêtements. Elle m’a proposé de la prendre ensemble. Nous nous sommes déshabillés en même temps avant d’entrer dans la douche.
Son corps était parfait. La douche est grande et très éclairée. Manon est partie à rire en voyant mon pénis en érection. Il était encore plus gros que dans ses souvenirs. J’ai laissé Manon contrôler la température de l’eau c’est-à-dire, très chaude. Autre cas classique, elle m’a demandé de lui frotter le dos. Sa peau était tellement douce. Je me collais à elle, à peine pour qu’elle sente mon pénis frotter contre son corps. Pendant que je lui lavais le dos, elle a prit mon pénis en le caressant doucement. J’embrassais son cou et ça lui donnait des frissons. Elle s’est retournée et nous avons commencé à nous embrasser passionnément. Elle arrêta net, m’a plaqué au mur avant de se mettre à genoux et commencé à me sucer en grognant. Il n’y a pas à dire, c’est une experte de la fellation. Après quelques minutes de cette torture, à mon tour, je l’ai plaqué au mur, sur le ventre. Je mordais ses fesses dures, ma langue chatouillait son anus, dont je savais qu’il n’était pas vierge. C’était excitant de l’imaginer se faire sodomiser. Je donnais des coups de langue partout sauf son sexe. Elle se tordait de plaisir, mais quand j’ai commencé à la lécher, je goutais à la fois l’eau et son jus, son sexe était en feu. Arrivés à mon lit, elle s’est couché et a demandé un 69. Pendant qu’elle me suçait, elle a commencé à caresser mon anus. Elle entrait seulement le bout de son doigt et je lui ai fait la même chose. Elle s’est couchée sur le ventre et écartée les jambes, son sexe était superbe, avec un petit triangle de poils. Elle m’a demandé si j’avais un préservatif. J’ai pointé le tiroir à côté d’elle et elle me l’a enfilé. Avant de la pénétrer, je l’ai embrassé, sa bouche avait changée, je sentais ses lèvres gonflées. Quand j’ai commencé à la pénétrer, elle a ouvert sa bouche et semblait apprécier mon pénis. Elle m’a dit à l’oreille, qu’elle adorait mon pénis. Elle remontait davantage ses jambes pour une pénétration plus profonde en poussant sur mes fesses.
Elle était tellement mouillée, que je sentais son jus descendre le long de ses fesses et ça faisait un bruit de succion. Je sortais mon pénis pour manger ses seins et puis la pénétrer à nouveau. Sa jouissance est devenue plus rauque, plus intense. Elle a eu un orgasme à faire réveiller les voisins, sauf que mes voisins sont loin. J’adore voir et entendre une femme jouir. Un deuxième orgasme, plus petit, puis un troisième, sans prendre de pause. Je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes. J’adore prendre une femme par derrière, j’aime voir de haut mon pénis disparaître en elle. Pendant que je la pénétrais, je caressais son anus, jusqu’à entrer mon doigt presque en entier. J’utilisais son jus, visqueux, comme lubrifiant anal. Elle m’a suppliée de remplacer mon doigt par mon pénis. Chose faite. Son anus était encore serré et j’éprouvais beaucoup de plaisir. Je la tenais par les hanches et j’entrais mon pénis en entier. Manon jouissait très fort et m’a demandé d’accélérer. Manon se cambrait, se mordillait les lèvres et sortait sa langue. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais je n’ai pas pût me retenir et j’ai joui dans son cul. J’étais épuisé, même si je suis en forme. Je me suis couché sur le dos pour reprendre mon souffle et enlevé mon préservatif. Plus tard, devant le foyer et pour me remercier de ma performance, elle m’a sucé et j’ai joui dans sa bouche. Elle a tout avalé et ensuite a pris une gorgée de vin. Quelle baise. Elle est devenue une de mes maitresses et moi son amant. Je lui ai dit que je fréquentais 2 autres femmes. Elle aussi avait un amant. Nous nous voyons au moins toutes les semaines. Comme mes maitresse n’ont pas leur règles en même temps, je ne manque jamais de sexe, mais toujours avec un préservatif.

Récit #235 – Le chalet – Partie 2

Le 25 septembre 2018

Le chalet, partie 2

Par Eva Jones

Moi, en arrivant au chalet, ce que j’ai cherché en premier, c’est le spa 4 places dehors sur une plate-forme de bois au milieu de la forêt. FÉ-É-rique!! Il y avait même un voile blanc, comme ceux qu’on peut voir au dessus des lits de princesses pour ne pas être importuné par les insectes. Avec un verre de rosé, de la musique et notre trio, ça va être le paradis! 

Dès notre arrivée, on s’empresse de rentrer les bagages et visiter les lieux. J’ai le réflexe d’attraper mon cellulaire pour mettre notre playlist de party.  Je m’occupe de servir la bière de Fred et les verres de vins de Kim et moi. Sans me préoccuper de ce que les autres font, je me déshabille et entre dans le spa, toute nue. Kim, qui m’observait vint me rejoindre rapidement, toute nue elle aussi. Fred nous dit qu’il a oublié son maillot. On lui répond que personne en aura besoin ici, de toute façon. Il vient donc nous rejoindre en prenant soin de nous approcher des serviettes. C’est un amour de mari, ce Fred, toujours très attentionné envers ceux qu’il porte dans son coeur.

On jase et on prend un temps pour se déposer et relaxer un peu en buvant nos verres. On chante, on rit, on s’amuse et on se dit à quel point on est bien. L’idée était géniale, que de louer cet endroit de rêve et ils me remercient de l’avoir déniché il y a quelques mois. Ce qui rend cet endroit vraiment intéressant, c’est que les chalets sont à minimum 500 mètres les uns des autres. Pour ne pas se faire voir ou entendre, c’est tu assez génial ça? On aura le champ libre pour notre intimité, en bref, pas besoin de se retenir pour jouir!

L’opération séduction est commencée depuis notre trajet en voiture et l’excitation revient rapidement quand Kim et moi sommes assise devant Fred. J’étends ma jambe sur le genou de Fred et Kim fait la même chose. Il nous prend les pieds et se met à les masser longuement. Chacune notre tour et ensuite les deux en même temps. Un vrai massage de pro. Cela fait tellement de bien qu’on peut déjà nous entendre gémir de plaisir et de bien-être. Il nous invite à nous détendre et de profiter du moment en se désaltérant. Ce que nous faisons avec un grand plaisir.

Quand il termine et dépose nos pieds, en signe de reconnaissance, je dirige mon pied sur son pénis. Sans qu’on se parle, je vois Kim faire la même chose. C’est notre tour d’entreprendre un massage, plus coquin cette fois. Il nous guide de ses mains et fait un mouvement de va-et-vient. On peut sentir son membre se gonfler et prendre de plus en plus d’ampleur. Son plaisir est évident. Son grand sourire, ses yeux semis fermés et les sons qui sortent de sa bouche finissent de nous convaincre. Nous le laissons explorer ce massage de pieds sensuels et sexuel à sa guise en l’admirant. Je me caresse les seins et prend contact avec mon vagin. Je caresse mes lèvres et mon clitoris. C’est exquis.

Kim se retourne vers moi et décide de m’embrasser. Fred nous lâche les pieds et se lève vers nous. Il se jette sur les seins ferme et volumineux de Kim pour les embrasser et lui mordiller les mamelons. Il caresse en même temps les miens de sa main. Il décide de nous prendre toutes les deux par la taille et de nous asseoir sur lui pour avoir le visage dans nos deux paires de seins libres qu’il dévore avec passion. J’embrasse Kim, qui me le rend bien. Nos gémissement se mêlent doucement. Fred est en contrôle de la situation et c’est lui qui dirige. Il nous assoit à nos places respectives et et nous embrasse à tour de rôle pendant que nous nous masturbons. L’excitation de notre trio est claire et bien assumée. Cela nous garantit un moment intense et inoubliable. Après 10 ans, on se connait bien mais l’intensité de notre excitation n’a jamais fluctuer vers le bas. On en a envie et à cause de cela, c’est un gage de réussite.

Il entre ses doigts facilement en moi pendant que je me m’occupe de mon clitoris. Il va bien au fond et bouge le bout de ses doigts, je craque à chaque fois. Je ferme les yeux et laisse ma tête se renverser, s’accoter sur le bord du spa. J’entends Kim qui gémis en tournant sa tête vers moi se situant presque dans mon oreille… je l’entend clairement, dépassant le niveau la musique et les jets du spa. J’ouvre les yeux pour la voir secouée par le  plaisir que Fred lui procure avec son autre main. Il nous passe le doigts aux deux en même temps et sur le même rythme. Notre chorale de cris de jouissance résonne dans la forêt. On s’échange tous des regards satisfaits et excités, Fred nous embrasse passant de l’une à l’autre. De nos mains, on le caresse sur le dos, la taille, frottant ses mamelons durcis, et bien sûr son pénis bien en érection. Tout le monde y trouve son compte, c’est magique. Je caresse aussi Kim sur les seins, les épaules, ses cuisses. Je rejoins la main de Fred qui la pénètre et m’occupe de son clitoris. Son excitation augmente , son cri devient plus aigu. J’aime baiser avec cette femme, on sait quand elle aime ca. Tout son corps le démontre et le son de sa voix m’allume à tout coup. J’aime qu’on s’en occupe à deux.

Fred nous trouve belles, il nous le dit en se reculant un peu pour nous regarder. Ses doigts continuent de nous pilonner. Son mouvement de va-et-vient en alternance avec une petite chatouille bien au fond nous mène près de l’orgasme. Le moment est bon, je ne veux pas qu’il s’arrête mais il se retire tout d’un coup,se reculant à sa place dans le spa. Surprises, Kim et moi l’interrogeant du regard pour comprendre ce qui se passait tout en reprenant notre souffle…Ouf! J’ai le coeur qui débat, des pulsions sexuelles envahissantes et le sentiment que cela ne devrait pas se terminer maintenant. Je pris une gorgée pour humecter ma bouche asséchée et me cala dans mon siège remplie de gratitude de vivre ce moment si spécial d’échanges, de générosité et de plaisirs.

 Fred sort du spa, s’essuie et nous demande de se détendre le temps qu’il aille faire le souper. Que j’ai un mari extraordinaire! Les yeux brillant et le corps détendu, on se sentait vraiment comme deux reines.