Récit #271 – Excitation urbaine

Excitation urbaine – Chapitre 1 : (Capitre raconté par Helvin)

Cette petite aventure nous est arrivée il y a quelques semaines à peine : en France, les commerces réouvraient enfin après plusieurs mois de confinement et c’était l’occasion pour nous d’aller faire un tour en ville afin de renouveler notre garde-robe en anticipation de l’été qui approche .

Lorsque nous marchons dans les rues passantes de la ville, à chaque regard insistant des passants, nous nous demandons qu’il pourrait s’agir de gens qui nous reconnaissent via notre vie sécrète sur OnlyFans. Ça ne nous poserait pas de problèmes… bien au contraire ! Nous aimons nous exhiber en ligne et susciter le désir chez nous abonnés, mais il est étrange d’imaginer qu’on puisse nous connaitre sans que cela soit réciproque !

D’autant plus que Lixia a profité des premières chaleurs du printemps pour ressortir ses robes du placard : elle porte une robe bleu foncé qui s’arrête au-dessus des genoux et dont le décolleté laisse entrevoir la naissance de ses seins. Ah oui, car bien entendu, Lixia ne s’est pas embêtée d’un soutient gorge… La nature l’a doutée d’une poitrine belle et généreuse, pourquoi chercherait-elle à trop la camoufler !

Après quelques minutes à errer dans les rues et les boutiques sans franc succès nous nous décidons à faire une dernière halte à Zara avant de retourner en direction de la maison.
Dans les rayons Lixia remarque pour moi un pantalon en tissus beige et un t-shirt bleu ciel qu’elle me convainc d’aller l’essayer.

Je rentre donc dans la cabine d’essayage et commence à retirer mon t-shirt puis mon jean. Je suis désormais en boxer quand j’entends le rideau de la cabine s’ouvrir et j’alerte l’intrus que la cabine est prise :

– « C’est occupé, désolé ! »

Très vite je m’aperçois que c’est en réalité Lixia qui se faufile à l’intérieur de la cabine pour me rejoindre.

– « Humm.. je ne sais pas pourquoi je m’embête à essayer de trouver de nouvelles tenues quand en réalité c’est au naturel que tu es le plus beau mon chéri… »

Dit-elle doucement en faisant parcourir sa main sur mon torse.

Excitation urbaine – Chapitre 2 : (Chapitre raconté par Lixia)

Je passe ma main sur les pectoraux d’Helvin puis je descends vers ses abdos. J’adore jouer avec son corps et ses muscles bien dessinés mais par-dessus tout, ce que j’adore c’est voir l’effet que ça a sur son entre-jambe ! Et justement l’effet ne se fait pas attendre… en quelques secondes à peine je vois le boxer d’Helvin qui commence à se gonfler.
Ma bonne conscience me dit qu’il serait plus raisonnable de s’arrêter là et de sortir de la cabine pour laisser Helvin s’habiller tranquillement… mais en même temps… mon côté coquin adore ce genre de situations !
Pour aujourd’hui, c’est le côté coquin qui va prendre le dessus, j’enchaine d’une voix sensuelle :

– « Hé ben mon chéri qu’est-ce qui t’arrives ? C’est la chaleur qui te fait cet effet ? »

– « C’est plutôt le fait d’être seul ici avec toi et d’imaginer la situation qui pourrait dégénérer… Et te connaissant ça pourrait arriver à tout moment ! », me répond-il avec un clin d’œil.

J’aimerais lui donner tord et lui montrer que je sais rester une fille sage, mais la vue de son sexe maintenant bien dressé à l’intérieur de son boxer attise ma gourmandise.

Je recule de quelques pas en direction du fond de la cabine d’essayage, et continue ma vilaine comédie :

– « Pfiou, c’est vrai qu’il fait chaud dans cette cabine, tu as bien fait de te déshabiller, tu dois vraiment te sentir mieux. Je me demande si je ne devrais pas en faire autant… »

Sans lui donner le temps d’acquiescer je glisse ma main droite le long de ma cuisse pour faire remonter le bas de ma robe et dévoiler petit à petit : ma cuisse, le bas de mes fesses puis mon string bleu assorti à ma robe.
Helvin qui ne me quitte plus du regard, murmure doucement :

– « Lixia quand même ! On pourrait nous entendre »

– « Je compte sur toi pour trouver comment étouffer mes cris de plaisir alors… »

Excitation urbaine – Chapitre 3 : (Chapitre raconté par Helvin)

D’abord déstabilisé par la scène qui se déroulait devant mes yeux, je me reprends vite mes esprits et je me dis que je ne vais pas laisser passer cette occasion unique. En plus, son petit jeu a fonctionné à merveille et je meurs maintenant d’envie de la prendre là maintenant, tout de suite, contre le mur dans cette cabine d’essayage, peu importe les risques, peu importe si quelqu’un peut nous entendre ou nous surprendre à tout moment… Si elle veut jouer à ça, elle va voir ce qu’elle va voir !

– « Alors, retourne-toi », je lui ordonne.

Je vois un sourire se dessiner sur ses lèvres à l’instant où je prononce ses mots. Elle s’exécute immédiatement et remonte le bas de sa robe pour me laisser apprécier ses deux belles fesses et son string qui s’enfonce au milieu.
A ce moment-là pour, le monde extérieur n’existe plus, je m’approche d’elle, passe mes mains sous sa robe et sur ses hanches. Je saisis son string de part et d’autre et je le descends d’un coup jusqu’à ses talons.

Je laisse sortir mon sexe de mon boxer, mais sans le retirer (au cas où il faille rapidement réagir !). Puis je me faufile entre ses deux jambes et je commence à faire glisser ma bite au niveau de son entre-jambe.

Je suis surpris de la quantité de mouille, Lixia, tellement excitée, est déjà prête à se faire pénétrer. Pas le temps de tourner autour du pot, le personnel à l’extérieur doit déjà se demander ce qui nous prend autant de temps.
Je dirige mon sexe devant l’entrée de son vagin, Lixia prend ma main droite et la place sur sa bouche. Elle sait qu’elle ne pourra pas s’empêcher de crier et cherche à contenir le bruit. Je la maintiens par les hanches et j’enfonce mon sexe à l’intérieur. J’entends Lixia gémir de plaisir à travers ma main.

J’enchaîne les va-et-vient d’abord doucement puis en accélérant peu à peu

Excitation urbaine – Chapitre 4 : (Chapitre raconté par Lixia)

Le sexe d’Helvin s’enfonce profondément en moi mais il tente de rester le plus silencieux possible, il ne fait pas claquer mes fesses contre lui comme il en a l’habitude en temps normal. Non, il préfère s’enfoncer lentement et progressivement jusqu’à ce que son pubis frotte contre l’entrée de mon vagin. Je suis compressée entre le mur et son corps, il a toujours sa main collée sur ma bouche pour tenter d’étouffer mes gémissements.

Cette situation décuple mon excitation au maximum, mes jambes en tremblent de plaisir. J’imagine les gens qui circulent à quelques centimètres de nous sans se douter de ce qu’il est entrain de se passer à côté. Je me demande s’ils arrivent à discerner les petits bruits qui nous échappent.

Helvin approche sa bouche de mon oreille et me susurre :

– « Tu as ce que tu voulais coquine ?

– Hmmm hmmm »

Forcément, je n’arrive pas à me faire comprendre avec sa main sur ma bouche. Il hésite puis me libère de ma contrainte en espérant que je puisse contrôler mes émotions mais moi-même je ne suis pas convaincu d’en être capable…

– « Oui mon chéri… hummmm… j’aime ça… c’est bon… baise moi comme la vilaine fille que je suis… »

A ces mots, il accélère le mouvement et s’empare de ma cheville droite pour soulever ma jambe et entrer encore plus profondément en moi. Les vagues de plaisir s’intensifient, tout devient flou autour de moi.

Je pense qu’à ce moment là nous sommes de moins en moins discrets : je n’arrive plus à contenir mes râles de plaisir, le bassin d’Helvin cogne contre mes fesses et me projette contre le mur, j’entends sa respiration qui s’accélère et je devine qu’il n’est pas loin.

Je saisis sa fesse dans mon dos pour lui faire signe de continuer.

– « Vas-y mon chéri… je veux que tu viennes en moi »

Ces mots déclenchent sa jouissance, je sens son sexe se gonfler en moi et éjecter plusieurs salves chaudes dans mon vagin. Les contractions de son membre me font vibrer de l’intérieur ce qui me fait aussi atteindre l’orgasme sans que je ne puisse retenir de lâcher une série de petits cris aigus de plaisir.

Helvin reste encore quelques secondes en moi, puis se retire, me laissant encore en position contre le mur, entrain de reprendre mon souffle et de me remettre de cet instant incroyable. Les restes de sa semence coulant le long de mon vagin encore sensible et chaud.