Récit #270 – Le roadtrip

Le roadtrip

Nous sommes une belle journée du mois de juin, moi et mon amoureux avons pris la décision de partir faire un road trip de 2jours. Nous partons sans destination fixe. Après quelques heures de route j’avais chaud car le soleil était intense aujourd’hui, je décide de retirer mon chandail. Je voit le sourire de mon copain et je décidait de lui faire une surprise, une pipe de route. Je détache son pantalon et masse son engin, je la sent ce gonfler de plus en plus ce qui fait mouiller ma petite culotte. Je met son pénis dans ma bouche et fait quelque vas et vient, je le liche de haut en bas et lui masse les testicules. Comme je suis en jupe, je retire mon string au motif léopard et me masse le clito pendant quelque instants. Je me remet à le sucer avec une telle succion qu’il lâche un petit cris; je le sais que il va venir donc j’accélère le rythme et la met au plus profond et j’avale son sperme .. hummm il a si bon goût.

Après quelques heures de route nous nous arrêtons dans un hôtel pour la nuit. Après un bon souper, je prend une bonne douche froide après la canicule d’aujourd’hui, ça va me faire du bien! Lorsque j’embarque dans ma douche la froideur de l’eau provoque un choc thermique ce qui me donne un semblant d’orgasme. Je fait mousser le nettoyant sur mon corps,mes seins et dans mon cou. Je me rince le corps avec la douche téléphone puis la passe sur mon bouton ce qui me fait frissonner. Je continue en variant l’intensité du jet jusqu’à avoir un orgasme, ouff tout mon corps ce met à trembler. Et soudainement je sent des mains toute chaude sur mes seins si froids, il me masse les seins et joue avec mes mamelons. Je m’empresse de prendre sa queue bien bandé et fait des mouvements de bas en haut et j’accélère la cadence. Avant qu’il ne vienne, nous sortons de la douche et j’éponge mes cheveux pour ce rendre sur le divan en cuir de la chambre d’hôtel. Il me prend et m’installe, il met 2 doigts dans mon vagin toute humide et va masser mon point g avec agilité et rapidité, en les retirant d’un coup sec, il fis apparaître un jet venant de mon sexe. Il a fait quelques rond autour de mon clito et je gémis encore doucement en laissant couler quelques gouttes sur le divan. Il me prit le bras et m’ordonna de me positionner à quatre pattes, je senti sa grosse verge pénétré lentement dans mon vagin. Je senti mon point G ce gonfler à chaque coups de bassin, après quelques minutes je ne pu résister et je lui demande de venir dans ma bouche tout en stimulant mon clito. Après avoir toute avaler son sperme, on ce couche sur le lit et reprend notre souffle. Mais quel baise du tonnerre!

Le lendemain matin nous reprenons la route après avoir mangé un bon déjeuner nous nous sentons en pleine forme et décidions de s’arrêter à une plage sur notre chemin. On s’installe sur nos chaises de plage et retire nos vêtements pour laisser place à nos maillots. Le mien est un bikini à culotte taille haute et le haut cache qu’une petite partie de mes seins. On ce fait bronzer quelques minutes puis je décide d’aller dans l’eau. Ses très rafraîchissant en cette chaude matinée, mon copain décide de venir me rejoindre, on s’arrose un peu et ensuite on retourne s’étendre au soleil. Couché sur le ventre je détache le dos de mon maillot, afin d’avoir un bronzage uniforme. Après quelque minutes, je change de côté et sans me souvenir d’avoir détacher mon maillot je me retrouve seins nu. Je me dépêche à remettre mon maillot car la plage est bondé de monde. Nous repartons, sur le chemin du retour nous nous arrêtons dans une grande ville pour allez faire un peu de magasinage avant notre retour. Dans le centre d’achats nous faisons quelques boutiques. Nous allons dans une boutique de sous vêtements et mon chum veut nous faire plaisir et m’offre de choisir un kit sexy. Je trouve un soutien-gorge et un sting en dentelle noir transparent. Je continue et je voit un porte jarrtelle j’en prend un, je vais aux salles d’essayage. Toutes les grandeurs fonctionnent donc on ce dirige vers la caisse et quittons le magasin. Nous continuons de faire les boutiques et partons pour retourner à notre domicile. Plus tard dans la soirée je vais prendre ma douche et par la suite en profite pour enfiler mon nouveau kit. Je sort de la salle de bain pour allez rejoindre mon chum, il est dans le sous sol dans sa salle de gaming. Lorsqu’il me voit il dit à ses partenaires de jeux qu’il doit quitter qu’il a une urgence. Je vais m’agenouiller et détache son pantalon, je masse son pénis et j’approche mon visage et je donne un petit bec sur le bout. Je fait monter et descendre ma langue sur sont pénis, pendant ce temps je lui masse les testicules. Je commence à sucer son gland. Après quelques va-et-vient, je fait entrer sa queue le plus profond dans ma bouche. Je l’entend gémir donc j’arrête et embarque sur lui. Je fait entrer sa queue dans mon vagin, je fait allez mon bassin de haut en bas et donne en alternance quel que coups du devant au derrière.

Nous changeons de position pour ce mettre en levrette, il entre tranquillement puis vas de plus en plus vite et de plus en plus loin. Je fait quelques tours autour de ma perle et me met à jouer de plus en plus rapidement avec mon clito. Je le sais que je suis sur le point de jouir, je lui crie de continuer ce qu’il fait. Après quelques seconde on le laisse allez et avons un orgasme simultanément. Je le remercie pour cette baise d’enfer! Je repart et il recommence a jouer avec ses amis et moi je vais dans le salon écouter la télévision.

Récit #269 – Ma collègue Cindy

Il y a quelques mois, ma vie personnelle a pris une tournure imprévue.  En fait, j’étais passablement déprimé par plusieurs aspect de ma vie, à commencer par le volet professionnel.  J’étais conseiller financier dans une institution financière, mais je sentais que je plafonnais.  C’était dans un petit milieu semi-rural.  Toujours le même monde, pas de possibilité d’avancement.  Après dix ans au même endroit, j’étais mûr pour du changement dans ma vie.   Après un long travail d’introspection, j’ai conclu que j’étais maître de mon destin et que si je ne prenais pas ma propre vie en main, personne ne le ferait.   J’ai donc pris la décision de repartir à neuf ailleurs.  J’ai donc mis à jour mon profil Linkedin et envoyé mon CV dans les grandes institutions financières de la région de Québec et de Montréal.  Après moins de six jours, j’étais convoqué pour une entrevue dans la région de Montréal.  En sortant du bureau d’embauche, j’ai compris que j’étais embauché illico et que ma nouvelle vie pouvait commencer pour cette institution financière bien connue au Québec au logo vert et blanc.  Je jubilais.  Quelques jours après avoir fêté mon départ avec mes collègues et mes proches, je m’installais dans ma nouvelle ville, sans attaches et prêt à relever de nouveaux défis.

Nouvel emploi, nouvelle vie.

Ce nouvel emploi travail me plaisait bien.  La caisse populaire était située à peine à 10 minutes en auto de mon nouvel appartement.  Étant de nature très sociable, je m’y suis fait plusieurs amis en peu de temps.  Après quelques semaines, je me suis senti bien intégré à ma nouvelle équipe.  L’ambiance froide et compétitive de mon ancien emploi me semble faire partie d’une ancienne vie tellement je me plais. 

Or, parmi tous les employés de la boîte, c’est Cindy qui a le plus attiré mon attention.  Cindy est une très jolie femme.  À peu près de ma grandeur et de taille bien proportionnée – elle s’entraîne régulièrement – ce beau brin de femme de 35 ans occupe le même emploi que moi.  En fait, son bureau est voisin du mien.  Non, pas un bureau avec des cubicules, mais un vrai grand bureau fermé!  Je vous vois déjà penser croche ma bande de pervers!  Je vous comprends… vous devriez voir l’arrière-train digne de Jennifer Lopez…  Brune foncée, Cindy a des yeux et un sourire qui feraient craquer n’importe quel homme qui est attiré par les femmes.  Ou n’importe quelle femme qui attirée par une femme! 

En plus de sa beauté, Cindy est dotée de toute une personnalité.  En plus de rire de mes blagues douteuses, elle est capable d’en pousser des bonnes elle aussi ! Elle arrive même à me déstabiliser avec des blagues crues et directes, ce qui détonne de l’image sage qu’elle se donne avec ses vêtements.  En fait, je l’ai connue habillée de façon assez classique.  Alors que je porte une chemise et parfois la cravate, Cindy est presque toujours vêtue d’un tailleur noir assortie d’une camisole qui met en sa voluptueuse poitrine de 38D.  Elle accompagne le tout d’un pantalon moulant parfaitement son arrière-train.

C’est à la salle de repos que nous nous rencontrons le plus souvent, près de la machine à café.  .  Je sais, c’est hyper cliché et stéréotypé, mais c’est comme ça que ça se passe dans ce type de boîte!  Son parfum vanillé, ses yeux et son sourire me font fondre comme un adolescent qui découvre l’amour pour la première fois.  Et, soyons honnêtes… le superbe galbe de ses fesses et son décolleté aussi!  Mais il ne faut pas passer sous silence que cette femme est d’une intelligence hors pair.  En plus d’être ouverte d’esprit, elle est capable d’entretenir une conversation sur n’importe quel sujet.

Bref, Cindy a toutes les qualités que je recherche chez une femme.  Or, à mon grand désarroi, Cindy a un méga-défaut : elle a un copain… Je dois me contenter de la fameuse friend zone.

Cindy et moi sommes rapidement devenus amis sur Facebook.  Lorsqu’elle publie des photos de son copain ou de sa famille, j’ai un pincement au cœur.  Je me fais du mal pour rien… je sais très bien que cette relation est sans issue!  Mais quelque-chose nous pousse à nous parler un peu plus à chaque fois.  Au départ occasionnelles, ces discussions sont devenues, au fil du temps, de plus en plus régulières.  Dès que l’occasion se présentait, je discutais avec ma charmante collègue.  Au travail, j’avais toujours ma fenêtre de Messenger ouverte sur sa conversation sur mon PC, et j’utilisais mon téléphone en dehors des heures de bureau. 

Nous jouions au jeu de la séduction malgré sa situation familiale, même si je sais que cette relation sera platonique.  Pour son anniversaire, j’ai même déposé un bouquet de fleurs sur son bureau.  Elle n’a jamais su que c’était moi ; c’est son copain qui en a pris le crédit.  Elle m’a raconté, le lendemain, avec tous les détails la façon dont elle a remercié son copain Kevin.  C’était une vraie torture pour moi d’entendre cela, mais la savoir heureuse compensait la douleur que je ressentais.  Une belle relation amicale s’est toutefois développée entre nous deux.  Elle me faisait souvent des mauvais coups ; rien de méchant, mais c’est un indice d’une belle complicité qui est née entre nous deux.  Cindy a bien fait quelques allusions sexuelles ci-et là, mais qui en sont restées là.  Un vendredi soir où j’étais plutôt maussade, Cindy a même poussé l’audace pour m’inviter chez elle à souper.  J’ai pu y rencontrer son chum Kevin – un chic type soit-dit en passant – et une de ses amies avec qui elle espérait peut-être me matcher.  Malheureusement, mis à part la baise de santé qu’elle m’a procuré, cette rencontre n’a pas allumé le petit feu nécessaire à la construction d’une relation.

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En raison de la covid19, nous recevons la plupart de nos clients par visioconférence ou au téléphone, ce qui nous donne beaucoup plus de moments de solitude dans nos bureaux respectifs.

Vous devinerez bien que nos discussions amicales ont pris une tournure un peu plus intime.   Au-delà des banalités quotidiennes, nous en sommes venus à parler de choses plus personnelles.  Nos ambitions, nos anecdotes… puis de nos rêves, nos envies…  Un soir, alors que j’étais chez-moi et sous l’effet de l’alcool, nous avons partagé nos fantasmes sexuels le plus secrets. J’ai pu apprendre que Cindy rêvait d’un gang-bang un peu rough.  En échange, j’ai dû lui avouer que j’aimerais bien ça baiser deux jumelles pas mal ouvertes d’esprit…  Ce soir-là, je me suis laissé aller à me caresser secrètement le pénis en lui parlant par visioconférence.  Le cadrage de nos caméras était décent, mais je devinais une petite robe de nuit.  Sûrement est-ce l’effet de l’alcool qui m’a enlevé toute inhibition… Je n’ai pu m’empêcher de masser mon membre doucement tout en l’écoutant me raconter ses fantasmes.  Évidemment, j’ai été discret et je n’ai rien montré de ma masturbation.  Un non-dit existait entre nous deux.  Elle savait ce que je faisais, mais feignait ne pas l’avoir compris.  J’ai attendu qu’on ait débranché pour me finir frénétiquement et finalement pouvoir me coucher.

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Je fantasmais de plus en plus sur Cindy… je ne pouvais plus m’en cacher.  Elle le devinait bien et me narguait, toujours sans nommer les choses directement.  Un jour, je l’avais complimenté sur son habillement.  En fait, il n’avait rien d’extraordinaire son habillement, je cherchais juste un prétexte pour la complimenter.  Quand je me suis finalement assis devant mon ordinateur pour commencer à travailler, une belle photo sexy de Cindy m’attendant dans ma boîte de réception Messenger.  La photo avait dû être prise dans sa chambre le matin même lorsqu’elle se préparait.  Vêtue d’un string noir et du même chemisier blanc qu’elle porte présentement, , on voyait Cindy face à un miroir.  Elle était tournée de façon à mettre ses fesses bien en évidence et tenait son téléphone d’une main tout en envoyant un bisou au miroir avec l’autre.  En voyant cette photo, une chose était certaine à mon esprit : ce n’est pas pour son chum qu’elle a pris cette photo-là, j’en mettrais ma main au feu!!!  Ayant un avant-midi sans client à rencontrer, j’en ai profité pour lui répondre.

  • Magnifique sourir…ah pis fuck les menteries ! Magnifique cul Cin!
  • Mon cul ? On voit à peine le début de mes fesses !!!
  • Fais pas par exprès, tu l’sais bien que ça me fait de l’effet de te voir de même!
  • Regarde donc ça, toi! Le petit monsieur fait son dominant ! LOL

J’eus beau lire et me relire, je n’ai pu comprendre sur le coup pourquoi elle disait que j’étais un dominant.  J’ai quand même conversé un bout avec elle en enchaînant plusieurs messages pour finalement me ramasser constater que j’avais toute une érection.  Mon bureau étant heureusement discret, j’ai pu aller verrouiller la porte et me rassoir pour regarder de plus près cette photo encore une fois.

  • T’es vraiment belle Cindy.  Dommage que tu sois dans ton bureau et moi dans le mien !
  • Pourquoi tu dis ça ?
  • Bien disons que ça me laisse pas indifférent!  Fais pas la conne, tu sais très bien que je trouve pas mal dommage que tu aies gardé ton chemisier fermé quand tu as pris ta photo!  Moi qui capote sur tes seins…
  • Cochon !!!
  • Ah fais pas ta surprise, tu le sais que je suis un pervers avec tout ce que je t’ai raconté sur la brosse l’autre soir!

Alors que je tapais ces mots sur mon clavier, le pénis bien sorti de mes pantalons, j’écoutais tout bruit qui aurait pu provenir du corridor.  Si quelqu’un cognait à la porte du bureau, je n’aurais pas l’air très professionnel…

Mais j’ignore peu à peu ces scrupules pour me laisser aller à me masturber de plus en plus allègrement. 

  • Tu te doutes pas ce que je fais Cindy…

Comme je venais de terminer ma phrase, je reçu de Cindy une photo un peu plus explicite.  Elle portait toujours le même string.  Cependant, cette fois son le chemiser était grand ouvert et laissait voir un soutien-gorge parfaitement assorti à son string.  Avec son regard coquin, elle fixait le miroir d’un air aguichant et touchait la lèvre avec un index.  Elle avait écrit Philippe, mon nom entouré d’un cœur sur le miroir à l’aide d’un rouge à lèvres.

Je ne pus m’empêcher de zoomer cette photo pour mieux voir ses courbes.  Dois-je vous rappeler que je me masturbe depuis plusieurs minutes déjà, l’excitation monte. 

  • T’es consciente qu’à cause de toi, je me crosse dans mon bureau ?
  • Fais-toi en pas, moi aussi.

Quelques secondes plus tard, mon téléphone sonnait.  C’était bien elle qui m’appelait.  Probablement pour une discussion chaude…

  • Salut, hey ! Philippe!  Excuse-moi de te déranger, mais peux-tu venir me porter le dossier de Madame Tremblay!  Faut que je vérifie de quoi tout de suite !

La garce ! Elle s’était trouvé un prétexte pour que j’aille la rejoindre!  Mon cœur battait à tout rompre.  Nerveux, je remontai mon pantalon et j’ai pris la première filière qui traînait sur le coin de mon bureau.  J’allai la rejoindre de ce pas.

Quelques secondes plus tard, j’étais déjà à la porte de son bureau.  Je cogne. 

Pas de réponse.

J’ai récidivé, en prenant cette fois la peine de cogner un peu plus fermement. 

Toc Toc Toc.

Aucune réponse…Fuck!  Elle me niaise!

Dois-je vous rappeler que je travaille dans une grosse caisse populaire.  Je suis dans un corridor qui est quand même assez achalandé.  Julie, la préposée à l’accueil passa à ce moment tout en me disant :

  • Phil, cogne pas, Cindy vient de me dire qu’elle reçoit un client en visioconférence pis qui faut pas la déranger!

Pris au piège, j’ai alors bredouillé :  

  • Ah! Euh, merci Julie ! Je savais pas! Bonne journée!

Débouté, j’ai dû piteusement retourner vers mon bureau.  Je perdis peu à peu mon excitation initiale en réalisant que je m’étais fait berner. Ah la garce ! Elle a fait exprès !  Elle va le payer!  Une fois réinstallé sur mon fauteuil, après avoir bien pris la peine de verrouiller la porte, je suis retourné vers mon Messenger pour exprimer à Cindy ma frustration. Quelle surprise, un message de Cindy m’attendait.  Elle se moquait de moi avec un meme animé.  Semi amusé, semi-frustré, je me suis résolu à lui demander :

  • Hey, c’pas drôle là!  Pour te faire pardonner, envoie-moi quelque-chose!
  • Bon, monsieur fait son dominant exigeant !

Et là, je reçu ce qui était pour moi le Saint-Graal.  Toujours vêtue du même mini-string, Cindy cachait cette fois ses seins dénudés derrière son bras.  Clairement, on voit le galbe de ceux-ci puisque sa poitrine est tout de même généreuse.

Mon érection reprit de plus belle.  Faute d’aller voir la vraie Cindy, je me suis quand même dit que je me finirais en regardant ses photos.  Je rebaissai mon pantalon et reprend mon mouvement de va-et-vient.

Toc toc toc.

Ça cogne à ma porte !

  • Tabarnac!!! Je suis donc bien pas chanceux! 

Ou peut-être hourra….Cindy aura peut-être changé d’idée et, prise de remords, aura décidé de venir me rejoindre ?

Je remonte sommairement mon pantalon à nouveau pour aller ouvrir la porte.

Personne.

Ce jour-là, j’ai décidé que j’allais réaliser son fantasme.

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Nous sommes vendredi soir.  Il est presque 19h00, l’heure de fermeture de nos bureaux aujourd’hui.  Il ne reste plus grand monde dans la bâtisse.  Il faut dire que c’est une période achalandée de l’année ; tous ont bien hâte de retourner à la maison se reposer et penser à autre chose que des CÉLI et des RÉER.

Et bien moi personne ne m’attend à la maison et c’est ce soir que je passe à l’action.  Je remonte les manches de ma chemise blanche bleutée, je prends une gorgée d’eau, puis je me dirige vers le bureau de Cindy.  Cette fois, je cogne et, sans attendre la réponse, j’entre et referme la porte derrière moi.  Cindy est à finaliser la lecture d’un dossier et porte toujours ses lunettes.  Quand elle m’aperçoit, surprise de mon intrusion, elle m’aborde en premier.

  • Hey, monsieur se gêne pas!  Imagine si j’avais pas été habillée pis que tu ser…

Je m’approche d’elle sans un mot.  Je contourne son bureau et m’approche d’elle.  Je me penche pour que mon visage soit à la même hauteur que le sien puis j’approche ma bouche de la sienne et je l’embrasse.  Sans résistance ni mouvement de recul, je comprends que j’ai pris la bonne décision quand je sens sa langue tourner langoureusement à l’entour de la mienne.

  • Oh oui, Phil… ça c’est une belle façon de prendre l’apéro du vendredi…

Rapidement, le sang s’accumule dans ma verge et une érection est facilement devinable même si j’ai toujours mon pantalon trop ajusté.

  • Écoute Cindy.  À soir, c’est moi qui drive ça.  Mais ça me prend ton accord.
  • Pour toi, je m’abaisserais à faire bien des affaires…

Je répète alors.

  • Écoute Cindy, tu comprend pas là.  À soir, c’est moi qui drive ça.  Mais ça me prend ton accord.  C’est sérieux, là.  Me le donnes-tu ?  Tu dois me faire confiance.
  • Tu me niaises-tu toi là?

Je m’approche d’elle encore plus et je défais son chemisier d’un trait sec, arrachant l’ensemble des boutons d’un coup.  Cindy est maintenant en brassière devant moi.  Loin d’être choquée, elle me regarde d’un air taquin.

  • Ok, tu veux jouer à ce jeu là ?  T’as d’affaire à me faire jouir mon cochon.  Cette blouse là vaut 100 piasses.
  • Pour jouir, tu vas jouir.  J’ai ton accord ?
  • Qu’est-ce que tu en penses, ti-clin!  Bien oui que tu l’as mon accord ! dit-elle en levant une jambe pour placer son pied sur une chaise normalement réservée aux clients.  Le spectacle est magnifique.

Voilà l’objet de mes fantasmes des dernières semaines devant moi.  Elle est presque nue et les fesses bien cambrées devant moi.

  • Ok, dis-je en me déshabillant, si on franchit tes limites, tu dis stop.  Si tu prononces le mot, on arrête tout et il y a pas de conséquence pour personne.  Compris ?
  • Pas de souci mon chou, matante Cindy est capable d’en prendre!

Son bureau étant vase, je prends alors la main de Cindy pour l’attirer vers un des deux sofas qui meublait la pièce.  Cindy ne résiste pas et se laisse aller au jeu.  Quasiment nue, elle se laisse tomber sur le sofa.  D’un pas, je m’avance vers elle, l’embrasse à nouveau à pleine bouche et lui défait son soutien-gorge, la seule pièce de vêtements qui lui reste.   Je peux voir enfin ses gros seins qui s’écrasent contre ma poitrine.  Cette nouvelle limite franchie nous amène à faire redoubler d’ardeur nos langues qui virevoltent dans nous bouches. 

Je la retourne ensuite sans avertir, de façon à l’avoir dos à moi.  Mes mains fermes, mais bienveillantes, caressent chaque centimètre de son corps, en partant de sa nuque jusqu’au galbe de ses fesses, puis de son intimité.  Elle mouille comme c’est pas possible : nul besoin de préliminaires supplémentaires!  Je la masturbe pendant quelques secondes, mais c’est inutile, elle est prête à m’accueillir.  Elle cambre alors ses fesses pour me donner accès direct à sa vulve.  Je prends alors mes deux mains, les dépose sur ses hanches, puis la serre fermement.  J’approche son corps vers moi et la pénètre par en arrière d’un coup.

Mon corps n’est pas athlétique, mais je ne suis pas un laideron non plus.  J’aurais une dizaine de livres à perdre pour me sentir bien dans ma peau, mais aucune femme ne s’est plainte de mon corps.  Mon membre, qui fait environ six pouces, est raide comme une barre et la pénètre lentement, mais de coups fermes.  Son halètement témoigne autant de sa surprise que de son excitation.  Cette baise bienvenue lui fait plaisir autant qu’à moi.

Je garde mon sexe en elle, puis je fais remonter son corps vers moi pour être capable de lui saisir ses deux seins fermement.  Ma main enveloppait ces seins, caressait ses mamelons pour finalement les pincer un peu fort, tout en lui donnant des coups de bassin.    À l’oreille, je lui dit d’un ton inquisiteur :

  • Je veux te voir te masturber en même temps….
  • Monsieur est autorit…

Pour lui donner raison, je place mon doigt sur sa bouche autoritairement pour qu’elle ne termine pas sa phrase.  Elle sent sa propre odeur et me nargue en léchant mon doigt comme si c’était un pénis.

C’est moi qui mène Cindy à soir, pas toi. 

Je reprends alors une position plus confortable pour la pénétrer en position doggystyle.  De temps à autre, je donne une ferme fessée avec main gauche, alors que ma main droite la tient fermement par la hanche.

Se tenant en équilibre sur une main, Cindy reçoit ces coups de queue avec enthousiasme, comme en témoigne sa respiration.  De son autre main, elle se titille allègrement la chatte et fait monter encore plus son excitation.

  • Vas-y Cindy… Vas-y… frotte moi ça, ce beau p’tit clitoris là….
  • Esti, t’es ben cochon toi!  Hmmm tu m’excites! Vas-y, fourre la ta belle Cindy….ta cochonne….

Je la sens alors bouger différemment, comme si elle essayait de m’aider dans le mouvement, mais un peu maladroitement.  Sa respiration change, ses jambes tremblent et la voilà électrisée d’un orgasme puissant aussi inattendu qu’intense.

  • Ah….. Ah…. Fuck!!! Fuck!!!! Ouiiiiiiiiiiiiii

La coquine vient de me devancer !  Alors que je ressens la tension en elle retomber, je la force à se retourner sur le dos.  Elle comprend vite où je veux en venir et se place à genoux.  Je me masturbe alors face à elle.  La langue sortie, elle me fixe droit dans les yeux.

  • Viens dans ma face, mon cochon!  Viens dans ma face !! J’irai prendre une douche après!

Heureusement, on a un bon employeur et nous disposons d’une mini-salle d’entraînement et ce qui sera utile tantôt, d’une douche.

Je prends alors la base de ses cheveux, que j’enroule à l’entour de ma main pour lui tenir le crâne fermement.  Elle approche sa bouche et je lui envoie toute ma décharge sur elle.  Le front reçoit le premier jet, alors que le reste trouve place sur le dessus de sa joue.  Elle utilise sa bouche pour prendre le reste, puisqu’elle fait la fille sage et me nettoie le pénis comme si mon sperme était la dernière chose à manger sur terre.

Sans plus attendre, je prends mon cellulaire.

  • Quessé tu fais là,  tu prends une photo mon coquin ?
  • Si tu le veux… mais un instant. Ça sera pas long.

En fait, j’ouvre ma messagerie et j’envoie un texto.

  • Go.

À peine quelques secondes après avoir envoyé mon message, on entend des pas dans le corridor.  Bien que Cindy soit capable de feindre qu’elle est en confiance, on sent qu’elle est un peu plus vulnérable au fur et à mesure que les pas se rapprochent de la porte.

  • Merde, si ça cogne, tu réponds! dit-elle.  Je peux pas répondre amanchée de même!

Je n’avais pas fermé la porte à clé.  Trois de nos collègues masculins font alors leur irruption dans son bureau sans cogner ni autre invitation.  Je regarde les trois hommes, alors que Cindy est toujours souillée :

  • On est prêts.
  • De quoi?, dit Cindy ?
  • Cindy, t’es tu toujours à l’aise avec notre accord ?

Elle me regarde alors d’un air semi-paniqué, semi-excité.  Elle comprend alors l’évidence, c’était tout planifié.

  • Esti, mets-en que je suis d’accord !

Le premier à s’inviter dans la pièce, c’est Érik, le plus jeune de nous.  Âgé de 24 ans, il est black.  Beaucoup plus grand que moi – il doit faire au moins six pieds trois, il travaille à l’entretien ménager. Très en forme, Érik est celui de nous trois qui a un travail plus physique et ça parait.  Il doit aller dans la salle de gym au moins trois fois semaine.  À côté d’Érik se trouve Jean-François, 32 ans.  Quoique sportif à ses heures, il est davantage de mon format : proportions correctes, mais sans être un athlète.   Il a un look un peu plus intellectuel qu’Érik puisqu’il porte lunettes et  une petite barbe taillée. Julien, quant à lui, est le plus vieux de nous quatre.  À 45 ans, ses cheveux mi-longs commencent à grisonner et lui donnent un air plus mature et sûr de lui.   C’est lui le premier qui touche à Cindy.

  • On dirait bien que Philippe t’a bien préparée, lui dit-il en lui palpant les joues, encore souillées de mon sperme.

Cindy comprend bien son rôle.  Elle détache alors la ceinture de Julien et fait tomber son pantalon.  Face à elle, elle a droit à un pénis bien en érection qui est emprisonné dans un short boxer gris moulant.  On devine que la mailloche du groupe, c’est lui qui l’a.  Son membre fait au moins huit pouces de long.

Je m’assois sur le sofa qui est juste en face et je regarde comment Cindy va s’y prendre.  Je profite du moment me refaire des forces et me masturbe tranquillement, tout en profitant du spectacle…   À voir la vitesse à laquelle Jean-François et Éric retirent leur vêtements, Cindy peut bien se passer de moi quelques instants. 

Pendant ce temps-là, les autre se déshabillent, puis se tiennent debout, près de Cindy qui commence à pomper la verge de  Julien.  Je dois avouer que je n’ai aucune attirance envers les hommes, mais la queue de Julien est digne des meilleures vidéos pornographiques.  Visiblement, Cindy est une habituée de la fellation.  Elle pompe avec plaisir la queue raide et nervurée de Julien. 

Son malaise initial s’est peu à peu estompé.  Cindy la timide est devenue Cindy la cochonne.  Elle regarde Julien directement dans les yeux, crache sur son membre, puis le masturbe de quelques coups de poignet, pour ensuite empaler jusqu’aux trois quarts la queue de Julien jusqu’au fond de sa gorge.  Cindy a un instant de recul pour réprimer un haut le cœur, puis englobe à nouveau le membre au fin fond de sa gorge, aidé par les mains de Julien qui lui pousse la tête vers le bas.  Cette fellation dure pendant au moins dix bonnes minutes lorsque les deux autres gars, las de se masturber, ont osé réclamer leur place dans ce jeu lubrique.  Pour ma part, je regarde toujours avec un brin de jalousie, en attendant d’avoir une érection digne de ce nom.

Jean-François prend alors Cindy dans ses bras, puis la dépose sur le même sofa qui m’a servi tout à l’heure à baiser ma belle collègue.  Couchée sur le dos, elle provoque les hommes en les regardant et en se délectant les lèvres.   Érik se place alors du côté droit du fauteuil, mais à l’avant de celui-ci.  Il se penche vers Cindy et lui présente sans plus de procès sa queue à quelques centimètres de sa bouche.  Consentante plus que jamais, elle l’approche elle-même de afin d’entamer une pipe faite sans ménagement.   Elle le suçe tout en le pompant de sa main droite.

Pendant ce temps, c’est Jean-François qui lui tient les deux cuisses grandes ouvertes, à gauche, mais sur le sofa.  Il est à genoux et caresse son pénis de six pouces en lui admirant la chatte  Quasi-lunatique, il admire la scène un instant, puis se décide à la pénètrer d’un trait lui aussi, arrivant à la même conclusion que moi tout à l’heure.  Surprise, elle émet un gémissement tout en poursuivant sa fellation.  Elle en profite même pour glisser une main envers son clitoris, pour le caresser, alors que Jean-François la baise sans ménagement en la pénétrant fermement.   Julien, se sentant à l’écart depuis qu’elle a abandonné sa fellation, essaie tant bien que mal de lui faire un cunnilingus, mais le mouvement de va-et-vient ferme de la pénétration de Jean-François lui complique passablement la tâche.

Pendant ce temps, toujours installé seul sur l’autre sofa, ma branlette m’amuse un peu plus.  Mon pénis a retrouvé toute sa fermeté.  Je dois avouer que le spectacle est de plus en plus plaisant à regarder.  Cette scène dure encore une dizaine de minutes avant que Jean-François, sentant son éjaculation imminente, propose à Érik, de changer de place avec lui.  Installé à l’entrée de son vagin, Érik frotte son membre en le faisant rouler sur son vagin, puis il la pénètre à son tour et dit :

  • Une pipe, c’est bien.  Mais une chatte, c’est mieux.

Il est le plus jeune et sûrement le plus vigoureux de nous quatre.  Appréciant ce changement de position, il y va d’une cadence rapide.   Pas le temps de niaiser!  Jean-François, quant à lui, est moins rapide, mais plus ferme, quasiment rough.  Il emmêle ses doigts dans ses cheveux pour mieux lui tenir la tête.  Ensuite, il enfonce sa queue sans ménagement jusqu’au fond de sa gorge et la baise ainsi violemment. 

Cindy montre qu’elle apprécie tout de même son facefucking en se servant de ses mains comme elle peut.   Encore souillée de mon sperme, elle est visiblement heureuse de la tournure des événements.  Cindy a chaud, ses cheveux commencent à être pas mal décoiffés.  Jean-François continue de la baiser la bouche, ce qui arrondit les joues de la belle Cindy, qui n’en peut plus et semble prête à jouir encore d’un instant à l’autre.  Jean-François se retire de sa bouche, puis lui éjacule sa semence en plein visage de trois larges traits poisseux.  Voyant son ami éjaculer, Érik se retire de Cindy et d’éjacule sur son ventre et son pubis une mare de sperme chaud.  C’est à ce moment que je me suis levé pour m’approcher du quatuor et que la porte de la pièce s’ouvre.   Quelqu’un entre.

Et ce quelqu’un, c’est Kevin, le chum de Cindy.  Cette dernière se rassit d’un coup sur le sofa, souillée par le sperme des trois hommes qui lui ont fait honneur d’éjaculer sur elle.  Kevin prend alors un ton sérieux et s’adresse aux hommes de la pièce :

  • Shit fuck! Les boys, vous m’avez pas attendu!  Crisse, y avait du trafic à soir!

La panique se lit dans les yeux de Cindy, qui ne réalise pas encore ce qui est en train de se passer. 

Et d’un coup, Kevin se déshabille presque d’un trait, puis s’approche du sofa.  Il est déjà en érection.  En fait, ça doit faire un méchant bout qu’il se masturbait à voir la fermeté de sa verge.

  • C’correct bébé, c’est tout arrangé avec Philippe… laisse-toi aller, j’arrive pour la finale.  Ton cul, c’est moi qui va venir dedans et pis ça, c’est un petit privilège que je me garde à moi tout seul.  Mais dépêchons nous, parce que je tiendrai pas trop longtemps dans ton pMtit cul serré !

Tout le monde se lève du sofa et, selon le scénario prévu, c’est moi qui aurai le privilège de lui pénétrer la chatte pour la double pénétration, alors que son anus appartiendrait à son chum.  Je m’exécute donc, et m’installe sur le dos.  Rassurée par la complicité et l’accord de son chum, Cindy l’apeurée redevient Cindy la cochonne.  Tout en me donnant un baiser sur la touche, elle dit :

  • Ha Philippe, je suis tellement contente de me faire baiser encore par toé!!!! Maudit que j’aime toi!

Ensuite, Cindy s’installe et vient d’elle-même s’empaler face à moi sur ma queue d’un trait, écrasant contre moi encore une fois ses seins. Je n’ai jamais été tant excité.  Je la tiens par les hanches, puis les cuisses.  Elle n’y va pas de main morte dans ses mouvements de bassin.  Toujours collée face contre moi, elle bouge ses fesses de haut en bas pour se faire pénétrer de ma queue qui est à la verticale.  Si je compte mon temps de masturbation de tout à l’heure sur le sofa, je calcule que je ne tiendrai pas trop longtemps et j’avertis Kevin en ce sens.

Kev comprend le message et s’approche alors du cul de sa femme.  Il y a appliqué quelques gouttes du lubrifiant tout autour de son anus, puis en met sur le sommet de son gland.    Devinant ce qui s’en vient, Cindy ralentit la cadence de sa baise avec moi presque jusqu’à l’arrêter.  Essoufflée, elle reprend son souffle du même coup.  Je sens toujours son vagin serré frotter contre mon membre, mais lentement cette fois.  Cindy semble avoir l’habitude d’être sodomisée puisqu’elle prend tout de suite le bon angle pour que Kevin puisse placer sa queue au bon endroit immédiatement.    Plus prudent en raison de la nature même de l’orifice, il la pénètre tout de même doucement, mais profondément, alors qu’elle poursuit elle-même le mouvement de va-et-vient avec moi tant bien que mal.  C’est sûrement mon imagination, mais j’avais comme l’impression de sentir la queue de Kevin se frotter contre la mienne.  De voir ma Cindy si soumise et si excitée, ça me plaisait pas mal, au point où je commençais à perdre le contrôle.

  • J’va venir Cindy, faut que je me retire…
  • Ahhhh Philippe… vas y dans moi!  Au point où on en est….  Fuck, je veux sentir ton sperme chaud dans moi!

Sur ces mots, je constate que les jambes de Cindy se mettent à vibrer, comme tout à l’heure.  Ma belle Cindy est foudroyée par un orgasme violent qui semble durer plusieurs secondes.  Je sens alors couler en moi un liquide chaud… C’est Cindy qui est à la source de cette substance.

Cette excitation extrême m’a achevé.  Je n’ai pu retenir une fraction de seconde de plus mon éjaculation.  Un peu frustré par le peu de liberté de mouvement que j’ai, sous Cindy, je viens en plusieurs coups en elle, puis, secoué par un violent orgasme comme celui-ci, je restai quelques secondes sans bouger.   Au même moment, Kevin éjacula à son tour de plusieurs jets venant souiller les fesses et le bas du dos de sa chérie.

Peu patient d’avoir été mis de côté, Jules, qui n’a pas encore éjaculé, s’approche alors de la bouche de Cindy.  Jules lui dit alors :

  • On finit où on a commencé.  Fais-moi jouir ma belle!

Érik, qui se tenait proche depuis son éjaculation de tout à l’heure, lui donna la réplique :

  • Hey, moi aussi, il m’en reste!

Et il revient, dur comme un cheval à nouveau, et se place juste à côté de Jules.  Cindy n’hésite pas, elle suce à tour de rôle les deux hommes pendant des séquences d’environ trente secondes.  Elle passe de la queue d’Érik, le plus jeune, à la queue de Jules, le plus vieux.  Cindy joue alors d’audace et approche les deux hommes l’un de l’autre, de manière à ce qu’ils soient un en face un de l’autre.  Elle se place au centre et elle prend la queue de Jules, puis approche celle d’Éric.  S’ils sont surpris, les deux hommes n’en laissent rien voir.  Ils semblent ravis de voir Cindy frotter et lécher leurs deux queues collées l’une contre l’autre.  Tous deux excités, Cindy les avise :

  • Là les gars, crossez-vous forts!  Pis amenez ces queues là dans ma bouche, que je vous suce en même temps !

Elle laisse alors Jules enfoncer son engin dans sa bouche.  Après tout, c’est lui qui a la plus grosse!  Puis ensuite, en faisant quelles courbettes, Érik approche sa queue et réussit à l’insérer à son tour dans la bouche de Cindy qui a l’air de tout, sauf une fille propre maintenant.  Les deux queues dans sa bouche, elle a les joues déformées.  Elle sort ensuite les queues, pour cracher dessus, puis les remet en bouche. Elle les laisse s’amuser pendant quelques minutes, puis les repousse pour n’en sucer qu’un à la fois.  C’est Jules qui se fait gâter en premier.

  • Toé, jt’ai assez fait attendre!

Elle le masturba si frénétiquement que l’éjaculation ne tarde pas pour Jules.  Cindy recule alors, puis remonte ses deux gros seins en les tenant dans ses mains. Jules lui fait alors l’honneur de souiller sa poitrine telle qu’elle le désirait.   N’en pouvant plus à son tour, Érik se décharge pour la deuxième fois ce soir sur ses seins à son tour.

Souillée de partout, Cindy s’effondre sur le sofa.

Merci les boys.  Merci Philippe.