Bonjour chers lecteurs. Avant de vous raconter ce qui m’est arrivé, je dois de commencer par les présentations d’usage. Je m’appelle Julia, j’ai 40 ans. Je suis une brunette de taille moyenne, en fait, je fais 5’6. J’ai une coupe semblable à celle de Uma Thruman, dans Pulp Fiction, mais là s’arrête la comparaison. J’ai les rondeurs là où il faut (je fais 165 lb). Je suis dotée d’une superbe poitrine (Double D) pour qui sait apprécier les gros seins, et d’un postérieur qui donne de la pogne. Dois-je vous dire que si vous aimez une femme plate comme une planche à repasser et sans courbes, vous ne vous adressez pas à la bonne personne avec moi! Je porte des lunettes au large rebord noir, ce qui me donne un air faussement sévère ou intellectuel. Avec cette tronche, je pourrais facilement passer pour la secrétaire ou la bibliothécaire cochonne En fait, bien que déterminée dans la vie, je suis tout sauf une femme rigide et j’aime plutôt lâcher mon fou.
Je vis seule avec mes deux enfants âgés qui sont âgés maintenant de 19 et 21 ans, une fille et un garçon. Mon appartement est plutôt tranquille si je compare à la situation d’il y a à peine deux ans, alors que j’étais toujours mariée avec Pierre, mon ex-mari, âgé aujourd’hui de 60 ans. En fait, j’ai toujours été en couple avec des hommes plus matures. Sans trop savoir pourquoi, j’ai toujours apprécié le sentiment de sécurité que ces hommes protecteurs m’apportaient. Pierre était un bon mari : doux attentionné. Mais nul au lit. En fait, il était très bon, mais je n’y ai jamais vraiment pris mon pied.
C’est probablement pourquoi je me suis avérée être une bien piètre partenaire de vie pour mes hommes ; je suis incapable d’être fidèle avec les hommes avec qui j’ai partagé ma vie, je me lasse très rapidement. Avant d’être mon mari, Pierre fut mon amant pendant les six années qu’a duré mon premier mariage avec Luc. Cette fois, cependant, je suis bel et bien sans attache aucune, ayant pris la décision il y a deux ans de prendre du temps pour moi et de cesser de faire du mal à des hommes que j’aime d’amitié. La contrepartie à tout ça, c’est que ma libido souffre lorsqu’elle est mise dans une cage avec un carcan.
À travers mes infidélités, je me suis découvert un appétit pour des hommes qui sont un peu plus de mon âge. Là encore, je me suis vite lassée de ces hommes qui venaient me voir à la sauvette alors qu’ils trompaient leur femme. Puis, je me suis rabattue sur les hommes d’une dizaine d’années de moins que moi. Cette situation m’excitait bien au début, de par leur vigueur. Leurs femmes, trop occupées à s’occuper des enfants, ne leur offrait plus de sexe et ils étaient bien contents de m’avoir, mais je me suis vite lassé de ces hommes qui s’attachaient un peu trop rapidement et qui pensaient à refonder une nouvelle famille avec moi après seulement quelques semaines de fréquentations. Je voulais être baisée, pas refaire ma vie, les dépendants affectifs, non merci.
Puis, plus récemment, j’ai découvert que ces sont les hommes beaucoup plus jeunes que moi qui m’attiraient. Mon expérience récente la plus marquante est lorsque j’ai fréquenté quelques mois un homme qui venait tout juste d’avoir ses 18 ans. Je l’avais rencontré dans un bar avec ses amis qui lui avaient donné comme défi de me cruiser. J’avais vite compris qu’au-delà du pari, il regardait constamment dans mon décolleté plongeant et avait une réelle attirance pour les milfs comme moi. Je ne lui ai pas laissé le choix. Voyez-vous, je suis une femme qui sait ce qu’elle veut dans la vie. Non seulement il a eu une vue sur mes seins, mais sur l’ensemble de mon anatomie le soir même. Ses copains n’ont pas dû le croire…
Ces trois semaines de fréquentation avec Xavier furent intenses. Nous avons fait quelques trips classiques, du genre baiser avec une autre femme de son âge, puis avec un autre homme. Nous avons pu nous permettre tout ça grâce aux médias sociaux, qui nous ont aidés à trouver des partenaires de cul sans trop de mal. Nous avons même fait croire à un homme qu’il était mon fils… Il y a cru jusqu’au bout, alors que nous trouvions la situation plutôt rigolote. Malheureusement, après ces quelques semaines de fréquentations lubriques, mon jeune amant a quitté pour fréquenter l’université à l’extérieur de la ville et nous nous sommes perdus de vue, si on excepte quelques discussions chaudes que nous avons eues via Facetime.
Me voilà donc ainsi, femme de 40 ans, au paroxysme de sa vie sexuelle, sans partenaire fixe, libre de toute attache. Et aussi, je dois l’avouer, sans le sou, parce que ces divorces ne m’ont pas rendu riche, bien au contraire. Me sentant coupable de l’échec de nos relations, je n’ai demandé que le minimum à mes ex-maris. Or, les les études universitaires de mes deux enfants commencent à peser lourd sur mes finances. C’est probablement ce qui m’a attiré sans trop m’en rendre compte sur cette annonce classée affichée sur Kijiji dans la section « Rencontres ».
« Recherche femme mure et voluptueuse avec temps libres et ouverture d’esprit. Viens vivre de nouvelles expériences. $$$. Toutes dépenses payées ».
J’étais trop curieuse pour ne pas aller voir ce dont il était question ; après tout, je n’avais rien à perdre. Je répondis à l’annonce par courriel en y glissant mon CV avec ma photo. Je reçus un appel à peine quinze minutes plus tard.
Je devinais au ton de la voix que ce n’est qu’un téléphoniste blasé qui faisait le suivi et non celui qui a publié l’annonce. Il m’informe que le patron a bien vu ma photo et qu’il souhaite me rencontrer rapidement. Aucune mention de mon CV… Par contre, il me donne rendez-vous le lendemain, 18h00, dans un restaurant chic de la ville. Je reçus la consigne de mettre une robe de soirée. Je commençais donc à comprendre qui me semblait pourtant évident depuis le début : il s’agit d’un job d’escorte, probablement du style plus chic, qui vise à accompagner des mecs pleins de fric dans des restaurants et des soirées.
Et puis, pourquoi pas? J’ai besoin de fric de toute manière.
Le lendemain, j’enfile donc ma plus belle robe. Rouge, elle laisse voir une proéminente craque de seins. Après tout, je ne postule pas pour vendre des Bibles, mais bien mon corps, en quelque sorte! Il faut bien mettre en évidence mes volumineux seins.
Je suis prévoyante et j’arrive quinze minutes à l’avance. Alors que je décline à l’hôtesse du restaurant le nom de la réservation, elle me guide vers une table en plein milieu du restaurant où m’attend déjà un homme dans la quarantaine. Barbu et à lunettes, il pourrait facilement se fondre dans la masse.
Il se leva debout à mon arrivée, pour m’accueillir de façon distinguée, mais froide.
– Bonjour Julia. Vous êtes d’avance, vous marquez des points.
Je ne sus trop quoi répondre. Assis face à moi, il tenait entre ses mains une tablette et prenait des notes au fur et à mesure que notre discussion avançait. Comme je m’y attendais, il posait plusieurs questions personnelles, notamment quant à mon hygiène. C’est bel et bien un travail d’escorte pour lequel je postule, mes derniers doutes se sont évaporés… Cependant, au fur et à mesure que le souper progressait, les questions concernaient de plus en plus ma personnalité. J’aurais parié que l’homme avec qui je soupais était en fait un psychiatre en train de m’évaluer sous tous les aspects de ma personnalité. C’était un peu plus poussé qu’une entrevue traditionnelle.
Une fois le dessert et le digestif pris, il fit signe à la serveuse qu’il voulait une seule addition. Il me serra alors la main et me remercia de mon temps.
– Je soumettrai le résultat de cette rencontre à mon patron et nous vous recontacterons bientôt.
Je rentrai ainsi chez moi, dans le doute sur la teneur de ce qui venait de se passer.
***
Le lendemain, je reçu un courriel qui me fait enfin comprendre à qui j’ai affaire.
« Bonjour Julia, vous avez passé avec succès mon entretien d’embauche avec mon spécialiste des ressources humaines. Si vous voulez aller de l’avant avec l’emploi, vous devez imprimer et m’envoyer une copie signée de ce formulaire de consentement ». Le courriel était signé Loïc.
Le formulaire en question, assez succinct, se résume à ceci :
– Je suis rémunérée 3000$ par semaine, payé d’avance, jusqu’à ce que mon employeur le juge à propos ou que je prononce une phrase de non consentement. Je dois la choisir aujourd’hui et une fois prononcée, celle-ci met fin à notre engagement. Je choisis donc la première phrase qui me vint en tête : « Cessez-le feu. »
– Je dois être exclusivement employée par lui. (Du moins, pour le volet « escorte). Un véritable emploi ne doit pas entrer en conflit avec mes « tâches ».
– Je dois être d’une moralité exemplaire en dehors de nos contacts.
– Je ne dois pas poser de question sur l’identité de mon employeur.
Je trouve bien mystérieuse la dernière clause, mais bon! Je me lance! Je signai le tout et l’envoyai après l’avoir numérisé avec mon scanneur. Je n’eus pas de réponse cette journée-là, mais bien le lendemain, via un virement de 3000$ qui a été fait dans mon compte bancaire. La journée passa tout de même sans que je n’eus de nouvelle supplémentaire. C’est du sérieux.
C’est plutôt le lendemain que je reçus un message texte sur mon cellulaire.
« Première rencontre tantôt, un dîner au restaurant. Adresse à venir prochain texto. Porter tenue sexy, jupe ou robe. Je serai à la table 25 ».
Je trouvais mon nouvel employeur bien exigeant pour ne me donner qu’une heure d’avis pour me préparer et me rendre au lieudit. Par contre, à 3000$ dans mon compte et un dîner gratuit offert, je me dis intérieurement que je ne suis pas trop à plaindre…
Je choisis alors d’y aller d’une robe noire moulante. Celle-ci permettait de voir la naissance du galbe de mes seins. Plutôt courte, cette robe arrêtait environ à la mi-cuisse.
Quelques minutes plus tard, un taxi m’amena là où je devais enfin faire cette première rencontre dans un pub irlandais de la rue principale, mais qui sert des dîners au grand public du centre-ville en semaine. Je m’informai à l’hôtesse pour savoir quelle table était la 25 et me dirigeai ensuite vers celle-ci.
Je crus m’être trompée lorsque je vis un très jeune homme de tout au plus 20 ans en train de consulter son téléphone cellulaire. Habillée de manière décontractée, il portait un chandail-kangourou gris ainsi qu’une casquette noire. Une mince barbe recouvrait son visage plutôt imberbe. Il devait porter les cheveux très courts. Sans être costaud, il était tout de même bien proportionné et faire environ 5’9 pouces.
– Salut Julia, je t’attendais, me dit-il avec son sourire juvénile.
L’entendre m’appeler par mon prénom me rassura, j’étais bien au bon endroit.
– Bonjour…monsieur?
– Appelle moi Loïc simplement. Je suis content, tu ressembles bien à la photo que tu as mis sur ton CV.
Je sentis le poids de son regard autoritaire lorsqu’il scruta de ses yeux ma tenue. Il sembla satisfait, surtout lorsque son regard s’est attardé plusieurs secondes sur ma poitrine.
– On va s’assoir pour faire connaissance, si tu veux bien! Un café?
Ainsi alla notre première rencontre, nous discutions de tout et de rien. J’appris alors qu’il dirigeait une boîte techno installée depuis peu dans le centre-ville. L’application qu’il a lancée il y a à peine deux ans était déjà rentable – un exploit dans le domaine – et lui permettait de s’offrir « un peu de confort » et d’indépendance. Alors qu’il était à peine au cégep, il n’a pas eu beaucoup de temps libres pour faire des rencontres, expliqua-t-il. Il avait espoir de pallier ce manque avec moi. J’étais surprise de voir un jeune de cet âge s’exprimer aussi facilement avec une femme comme moi et je dû avouer qu’il était plutôt charmant.
La serveuse vint nous interrompre pour prendre nos commandes. Je choisis alors une salade de légumineuse. Une fois celle-ci prise, Loïc fit un regard coquin et glissa un papier plié en deux vers moi.
– Vas aux toilettes et enlève ta petite culotte. Remets-la-moi sous la table. Dorénavant, tu n’auras plus besoin de cette pièce de vêtements lors de nos rencontres.
Surprise, je rougis en lisant la note et le regardai d’un air interrogatif.
– Tu te rappelles notre contrat?
Je m’exécutai alors en me levant immédiatement pour aller aux toilettes. Moi qui avais pris la peine de mettre ma plus belle brésilienne, me voilà bien avancée. Une fois ma tâche exécutée, je mis alors la petite culotte dans ma sacoche et je pus retourner m’assoir avec Loïc. Aussitôt assise, il tendit la main d’un air autoritaire. Je m’exécutai alors et lui passai discrètement la pièce de tissus demandée sous la table.
Je sentis ma chatte complètement à l’air libre. La longueur de ma robe fit qu’une fois assise, elle remontait au-delà de la mi-cuisse que lorsque je suis debout. Intimidée quelque peu, je m’imaginais déjà toutes sortes de scénarios qui firent que je commençais à mouiller.
– Tu te sens bien?
– Évidemment!
– Parfait. On va tester si tu es une femme sérieuse ou une simple profiteuse. Je veux voir tes boules.
– Viens avec moi dans la salle de bains et je te fais ce que t…
– Non, ici.
– Ici?
– Oui. Trouve une manière, mais je veux voir tes mamelons pointer vers moi, dit-il en prenant son téléphone et en le dirigeant vers moi, comme pour prendre une photo.
Je suis mal prise. Comment allais-je faire en ce plein restaurant bondé pour lui montrer mes seins ? Je trouvais le jeune pas mal effronté, surtout qu’il voulait prendre des photos, mais en même temps, j’avais besoin de cet argent. Et je dois avouer qu’il m’intrigue… Je tentais alorsrs le tout pour le tout et me levai :
– Un instant, je reviens.
Je retournai alors aux toilettes, cette fois-ci non pas pour enlever ma petite culotte, mais bien mon soutien-gorge au complet. Avec du DD comme taille, heureusement que mes seins se tiennent encore bien et que ma robe serrée me donne une chance! En revanche, personne d’un tant soit peu perspicace ne serait dupe : je laissais voir mes seins pointer à travers ma robe ; je me dis un instant que j’ai bien fait de ne pas prendre la robe blanche que j’avais prévu prendre en premier ce matin …
De retour à la table, je pris bien soin de me pencher le plus que je le pouvais vers le regard de Loïc. Son sourire complice me fit comprendre qu’il était satisfait. Lorsque la serveuse arriva finalement avec nos plats, son regard s’est porté involontairement dans vers ma poitrine. Puisqu’elle est debout, elle a clairement compris que je ne portais plus rien sous ma robe, du moins c’est ce que je déduis par la rougeur de ses joues après nous avoir laissé nos assiettes.
Je profitai ensuite de chaque moment pour descendre subtilement ma robe, offrant à Loïc la vue qu’il désirait tant. Il prit plusieurs photo, s’assurant bien de me faire sourire à chaque pose.
– Tu es une bonne fille, Julia. Maintenant, je veux que tu te masturbes pour moi.
– Quoi, maintenant ici?
– Oui!
– Mais le restaurant est bondé!
– Justement…
Scrutant autour de moi le regard de ces étrangers qui discutaient de tout et de rien, je tentai le tout pour le tout. Après tout, ce n’était pas si compliqué, l’accès à ma partie intime était facilité par l’absence de sous-vêtements et une nappe cachait quelque peu mon intimité. J’étais déjà trempée, excitée par la tournure imprévue de ce dîner. Moi qui croyait avoir à accompagner un homme mur dans un souper pour qu’il me raconte sa vie malheureuse avec sa femme…
D’une main, je tins ma fourchette. De l’autre, c’était mon clitoris… Je le sentais moite et chaud. Et je me suis laissé aller à le frotter de gauche à droite, puis de haut en bas, alors que personne ne semble semblait s’en préoccuper. J’étais doublement excitée d’obéir à cet étranger qui me payait et qui en plus me faisait faire des choses que d’ordinaire, je n’aurais jamais fait. Je me sentais salope et j’aimais ça.
Pour ces raisons, je sentis vite mon excitation monter… J’ai eu peine à continuer de faire semblant qu’il ne se passait rien. Je respirais plus profondément, j’avais chaud. Mes seins pointaient de manière non subtile et je sentais que je vais jouir bientôt.
– Auriez-vous pris un dessert? nous demanda alors timidement la serveuse.
Loïc plutôt que de me sortir de l’embarras et répondre à ma place m’enfonça davantage dans l’humiliation
– Ça va dépendre de maman. En prendrais-tu un toi?
Le salaud, il me force à répondre. Je dois me ressaisir.
– Oui, une tarte au sucre pour nous deux, s’il-vous-plait.
Rouge écarlate que je suis, de colère et de honte, je ne peux lui en vouloir, tellement j’étais excitée encore. J’ai la quasi-certitude qu’elle a compris ce que ma main faisait sous la table.
– Continue, finis ça… Je veux te voir jouir.
J’acceptai trop volontiers l’offre de conclure… j’accélérais alors ma cadence et cette fois, mes jambes se mirent à vibrer en plein restaurant. J’avais le gout de crier, d’haleter, mais les convenances m’en empêchaient. Ma chatte ruisselait et mon mouvement masturbatoire devenait de plus en plus rapide. Je sentis la décharge électrique imminente et puis, tout à coup, je me sentis prise d’un violent choc électrique.
– Haaaaaaaaaa, haaaaa, ouiiii!
Je fis ais du mieux que je le peux pour camoufler ce cri de jouissance ; heureusement que le restaurant était bruyant à cette heure du jour. Du coin de l’œil, le couple assis à la table voisine avait clairement compris ce que je faisais et me lança un regard désapprobateur.
Qu’à cela ne tienne, la seule chose qui compte, c’est le regard satisfait de Loïc
Honteuse et confuse, je ne comprenais plus trop ce qui s’était passé. Est-ce l’appât du gain qui m’a motivée, ou bien était-ce le thrill de le faire en public?
Après avoir pris le dessert et une repris conversation normale Loïc me laissa une petite note rédigée de sa main qu’il glissa entre mes deux seins après avoir payé l’addition.
« Tu as réussi avec succès ton premier mandat. Tu es aussi cochonne que je l’espérais. Tu auras d’autres mandats bientôt. »
Je retournai donc chez moi ainsi dans le taxi qu’il m’avait appelé, satisfaite de mon orgasme, mais honteuse à la fois.
Et j’ai soudainement hâte de voir en quoi consistera ce deuxième « mandat ».