Récit #148 – Julia – Partie 1 – L’apprentissage de la soumission

Bonjour chers lecteurs.  Avant de vous raconter ce qui m’est arrivé, je dois de commencer par les présentations d’usage.  Je m’appelle Julia, j’ai 40 ans.  Je suis une brunette de taille moyenne, en fait, je fais 5’6.  J’ai une coupe semblable à celle de Uma Thruman, dans Pulp Fiction, mais là s’arrête la comparaison.  J’ai les rondeurs là où il faut (je fais 165 lb).  Je suis dotée d’une superbe poitrine (Double D) pour qui sait apprécier les gros seins, et d’un postérieur qui donne de la pogne.  Dois-je vous dire que si vous aimez une femme plate comme une planche à repasser et sans courbes, vous ne vous adressez pas à la bonne personne avec moi!  Je porte des lunettes au large rebord noir, ce qui me donne un air faussement sévère ou intellectuel.  Avec cette tronche, je pourrais facilement passer pour la secrétaire ou la bibliothécaire cochonne   En fait, bien que déterminée dans la vie, je suis tout sauf une femme rigide et j’aime plutôt lâcher mon fou.

Je vis seule avec mes deux enfants âgés qui sont âgés maintenant de 19 et 21 ans, une fille et un garçon. Mon appartement est plutôt tranquille si je compare à la situation d’il y a à peine deux ans, alors que j’étais toujours mariée avec Pierre, mon ex-mari, âgé aujourd’hui de 60 ans.  En fait, j’ai toujours été en couple avec des hommes plus matures.  Sans trop savoir pourquoi, j’ai toujours apprécié le sentiment de sécurité que ces hommes protecteurs m’apportaient.  Pierre était un bon mari : doux attentionné.  Mais nul au lit.  En fait, il était très bon, mais je n’y ai jamais vraiment pris mon pied.

C’est probablement pourquoi je me suis avérée être une bien piètre partenaire de vie pour mes hommes ; je suis incapable d’être fidèle avec les hommes avec qui j’ai partagé ma vie, je me lasse très rapidement. Avant d’être mon mari, Pierre fut mon amant pendant les six années qu’a duré mon premier mariage avec Luc.  Cette fois, cependant, je suis bel et bien sans attache aucune, ayant pris la décision il y a deux ans de prendre du temps pour moi et de cesser de faire du mal à des hommes que j’aime d’amitié.  La contrepartie à tout ça, c’est que ma libido souffre lorsqu’elle est mise dans une cage avec un carcan.

À travers mes infidélités, je me suis découvert un appétit pour des hommes qui sont un peu plus de mon âge.  Là encore, je me suis vite lassée de ces hommes qui venaient me voir à la sauvette alors qu’ils trompaient leur femme.  Puis, je me suis rabattue sur les hommes d’une dizaine d’années de moins que moi.  Cette situation m’excitait bien au début, de par leur vigueur.  Leurs femmes, trop occupées à s’occuper des enfants, ne leur offrait plus de sexe et ils étaient bien contents de m’avoir, mais je me suis vite lassé de ces hommes qui s’attachaient un peu trop rapidement et qui pensaient à refonder une nouvelle famille avec moi après seulement quelques semaines de fréquentations.  Je voulais être baisée, pas refaire ma vie, les dépendants affectifs, non merci.

Puis, plus récemment, j’ai découvert que ces sont les hommes beaucoup plus jeunes que moi qui m’attiraient.  Mon expérience récente la plus marquante est lorsque j’ai fréquenté quelques mois un homme qui venait tout juste d’avoir ses 18 ans.  Je l’avais rencontré dans un bar avec ses amis qui lui avaient donné comme défi de me cruiser. J’avais vite compris qu’au-delà du pari, il regardait constamment dans mon décolleté plongeant et avait une réelle attirance pour les milfs comme moi.  Je ne lui ai pas laissé le choix.  Voyez-vous, je suis une femme qui sait ce qu’elle veut dans la vie.  Non seulement il a eu une vue sur mes seins, mais sur l’ensemble de mon anatomie le soir même.  Ses copains n’ont pas dû le croire…

Ces trois semaines de fréquentation avec Xavier furent intenses.  Nous avons fait quelques trips classiques, du genre baiser avec une autre femme de son âge, puis avec un autre homme.  Nous avons pu nous permettre tout ça grâce aux médias sociaux, qui nous ont aidés à trouver des partenaires de cul sans trop de mal.  Nous avons même fait croire à un homme qu’il était mon fils… Il y a cru jusqu’au bout, alors que nous trouvions la situation plutôt rigolote.  Malheureusement, après ces quelques semaines de fréquentations lubriques, mon jeune amant a quitté pour fréquenter l’université à l’extérieur de la ville et nous nous sommes perdus de vue, si on excepte quelques discussions chaudes que nous avons eues via Facetime.

Me voilà donc ainsi, femme de 40 ans, au paroxysme de sa vie sexuelle, sans partenaire fixe, libre de toute attache.  Et aussi, je dois l’avouer, sans le sou, parce que ces divorces ne m’ont pas rendu riche, bien au contraire.  Me sentant coupable de l’échec de nos relations, je n’ai demandé que le minimum à mes ex-maris.  Or, les les études universitaires de mes deux enfants commencent à peser lourd sur mes finances.  C’est probablement ce qui m’a attiré sans trop m’en rendre compte sur cette annonce classée affichée sur Kijiji dans la section « Rencontres ».

« Recherche femme mure et voluptueuse avec temps libres et ouverture d’esprit.  Viens vivre de nouvelles expériences. $$$. Toutes dépenses payées ».

J’étais trop curieuse pour ne pas aller voir ce dont il était question ; après tout, je n’avais rien à perdre. Je répondis à l’annonce par courriel en y glissant mon CV avec ma photo.  Je reçus un appel à peine quinze minutes plus tard.

Je devinais au ton de la voix que ce n’est qu’un téléphoniste blasé qui faisait le suivi et non celui qui a publié l’annonce.  Il m’informe que le patron a bien vu ma photo et qu’il souhaite me rencontrer rapidement.  Aucune mention de mon CV…  Par contre, il me donne rendez-vous le lendemain, 18h00, dans un restaurant chic de la ville.  Je reçus la consigne de mettre une robe de soirée.  Je commençais donc à comprendre qui me semblait pourtant évident depuis le début : il s’agit d’un job d’escorte, probablement du style plus chic, qui vise à accompagner des mecs pleins de fric dans des restaurants et des soirées.

Et puis, pourquoi pas?  J’ai besoin de fric de toute manière.

Le lendemain, j’enfile donc ma plus belle robe.  Rouge, elle laisse voir une proéminente craque de seins.   Après tout, je ne postule pas pour vendre des Bibles, mais bien mon corps, en quelque sorte!  Il faut bien mettre en évidence mes volumineux seins.

Je suis prévoyante et j’arrive quinze minutes à l’avance.  Alors que je décline à l’hôtesse du restaurant le nom de la réservation, elle me guide vers une table en plein milieu du restaurant où m’attend déjà un homme dans la quarantaine.  Barbu et à lunettes, il pourrait facilement se fondre dans la masse.

Il se leva debout à mon arrivée, pour m’accueillir de façon distinguée, mais froide.

– Bonjour Julia.  Vous êtes d’avance, vous marquez des points.

Je ne sus trop quoi répondre.  Assis face à moi, il tenait entre ses mains une tablette et prenait des notes au fur et à mesure que notre discussion avançait.  Comme je m’y attendais, il posait plusieurs questions personnelles, notamment quant à mon hygiène.  C’est bel et bien un travail d’escorte pour lequel je postule, mes derniers doutes se sont évaporés…  Cependant, au fur et à mesure que le souper progressait, les questions concernaient de plus en plus ma personnalité.  J’aurais parié que l’homme avec qui je soupais était en fait un psychiatre en train de m’évaluer sous tous les aspects de ma personnalité.  C’était un peu plus poussé qu’une entrevue traditionnelle.

Une fois le dessert et le digestif pris, il fit signe à la serveuse qu’il voulait une seule addition.  Il me serra alors la main et me remercia de mon temps.

– Je soumettrai le résultat de cette rencontre à mon patron et nous vous recontacterons bientôt.

Je rentrai ainsi chez moi, dans le doute sur la teneur de ce qui venait de se passer.

***

Le lendemain, je reçu un courriel qui me fait enfin comprendre à qui j’ai affaire.

« Bonjour Julia, vous avez passé avec succès mon entretien d’embauche avec mon spécialiste des ressources humaines.  Si vous voulez aller de l’avant avec l’emploi, vous devez imprimer et m’envoyer une copie signée de ce formulaire de consentement ».   Le courriel était signé Loïc.

Le formulaire en question, assez succinct, se résume à ceci :

– Je suis rémunérée 3000$ par semaine, payé d’avance, jusqu’à ce que mon employeur le juge à propos ou que je prononce une phrase de non consentement.  Je dois la choisir aujourd’hui et une fois prononcée, celle-ci met fin à notre engagement. Je choisis donc la première phrase qui me vint en tête : « Cessez-le feu. »

– Je dois être exclusivement employée par lui. (Du moins, pour le volet « escorte).  Un véritable emploi ne doit pas entrer en conflit avec mes « tâches ».

– Je dois être d’une moralité exemplaire en dehors de nos contacts.

– Je ne dois pas poser de question sur l’identité de mon employeur.

Je trouve bien mystérieuse la dernière clause, mais bon!  Je me lance!  Je signai le tout et l’envoyai après l’avoir numérisé avec mon scanneur.  Je n’eus pas de réponse cette journée-là, mais bien le lendemain, via un virement de 3000$ qui a été fait dans mon compte bancaire.  La journée passa tout de même sans que je n’eus de nouvelle supplémentaire.  C’est du sérieux.

C’est plutôt le lendemain que je reçus un message texte sur mon cellulaire.

« Première rencontre tantôt, un dîner au restaurant.  Adresse à venir prochain texto.  Porter tenue sexy, jupe ou robe.  Je serai à la table 25 ».

Je trouvais mon nouvel employeur bien exigeant pour ne me donner qu’une heure d’avis pour me préparer et me rendre au lieudit.  Par contre, à 3000$ dans mon compte et un dîner gratuit offert, je me dis intérieurement que je ne suis pas trop à plaindre…

Je choisis alors d’y aller d’une robe noire moulante.  Celle-ci permettait de voir la naissance du galbe de mes seins.  Plutôt courte, cette robe arrêtait environ à la mi-cuisse.

Quelques minutes plus tard, un taxi m’amena là où je devais enfin faire cette première rencontre dans un pub irlandais de la rue principale, mais qui sert des dîners au grand public du centre-ville en semaine.  Je m’informai à l’hôtesse pour savoir quelle table était la 25 et me dirigeai ensuite vers celle-ci.

Je crus m’être trompée lorsque je vis un très jeune homme de tout au plus 20 ans en train de consulter son téléphone cellulaire. Habillée de manière décontractée, il portait un chandail-kangourou gris ainsi qu’une casquette noire.  Une mince barbe recouvrait son visage plutôt imberbe.  Il devait porter les cheveux très courts. Sans être costaud, il était tout de même bien proportionné et faire environ 5’9 pouces.

– Salut Julia, je t’attendais, me dit-il avec son sourire juvénile.

L’entendre m’appeler par mon prénom me rassura, j’étais bien au bon endroit.

– Bonjour…monsieur?

– Appelle moi Loïc simplement.  Je suis content, tu ressembles bien à la photo que tu as mis sur ton CV.

Je sentis le poids de son regard autoritaire lorsqu’il scruta de ses yeux ma tenue.  Il sembla satisfait, surtout lorsque son regard s’est attardé plusieurs secondes sur ma poitrine.

– On va s’assoir pour faire connaissance, si tu veux bien!  Un café?

Ainsi alla notre première rencontre, nous discutions de tout et de rien.  J’appris alors qu’il dirigeait une boîte techno installée depuis peu dans le centre-ville.  L’application qu’il a lancée il y a à peine deux ans était déjà rentable – un exploit dans le domaine – et lui permettait de s’offrir « un peu de confort » et d’indépendance.  Alors qu’il était à peine au cégep, il n’a pas eu beaucoup de temps libres pour faire des rencontres, expliqua-t-il.  Il avait espoir de pallier ce manque avec moi.  J’étais surprise de voir un jeune de cet âge s’exprimer aussi facilement avec une femme comme moi et je dû avouer qu’il était plutôt charmant.

La serveuse vint nous interrompre pour prendre nos commandes.  Je choisis alors une salade de légumineuse.  Une fois celle-ci prise, Loïc fit un regard coquin et glissa un papier plié en deux vers moi.

– Vas aux toilettes et enlève ta petite culotte.  Remets-la-moi sous la table.  Dorénavant, tu n’auras plus besoin de cette pièce de vêtements lors de nos rencontres.

Surprise, je rougis en lisant la note et le regardai d’un air interrogatif.

– Tu te rappelles notre contrat?

Je m’exécutai alors en me levant immédiatement pour aller aux toilettes.  Moi qui avais pris la peine de mettre ma plus belle brésilienne, me voilà bien avancée.  Une fois ma tâche exécutée, je mis alors la petite culotte dans ma sacoche et je pus retourner m’assoir avec Loïc. Aussitôt assise, il tendit la main d’un air autoritaire.  Je m’exécutai alors et lui passai discrètement la pièce de tissus demandée sous la table.

Je sentis ma chatte complètement à l’air libre.  La longueur de ma robe fit qu’une fois assise, elle remontait au-delà de la mi-cuisse que lorsque je suis debout.  Intimidée quelque peu, je m’imaginais déjà toutes sortes de scénarios qui firent que je commençais à mouiller.

– Tu te sens bien?

– Évidemment!

– Parfait.  On va tester si tu es une femme sérieuse ou une simple profiteuse.  Je veux voir tes boules.

– Viens avec moi dans la salle de bains et je te fais ce que t…

– Non, ici.

– Ici?

– Oui.  Trouve une manière, mais je veux voir tes mamelons pointer vers moi, dit-il en prenant son téléphone et en le dirigeant vers moi, comme pour prendre une photo.

Je suis mal prise.  Comment allais-je faire en ce plein restaurant bondé pour lui montrer mes seins ? Je trouvais le jeune pas mal effronté, surtout qu’il voulait prendre des photos, mais en même temps, j’avais besoin de cet argent.  Et je dois avouer qu’il m’intrigue…  Je tentais alorsrs le tout pour le tout et me levai :

– Un instant, je reviens.

Je retournai alors aux toilettes, cette fois-ci non pas pour enlever ma petite culotte, mais bien mon soutien-gorge au complet.  Avec du DD comme taille, heureusement que mes seins se tiennent encore bien et que ma robe serrée me donne une chance!  En revanche, personne d’un tant soit peu perspicace ne serait dupe : je laissais voir mes seins pointer à travers ma robe ; je me dis un instant que j’ai bien fait de ne pas prendre la robe blanche que j’avais prévu prendre en premier ce matin …

De retour à la table, je pris bien soin de me pencher le plus que je le pouvais vers le regard de Loïc.  Son sourire complice me fit comprendre qu’il était satisfait.  Lorsque la serveuse arriva finalement avec nos plats, son regard s’est porté involontairement dans vers ma poitrine.  Puisqu’elle est debout, elle a clairement compris que je ne portais plus rien sous ma robe, du moins c’est ce que je déduis par la rougeur de ses joues après nous avoir laissé nos assiettes.

Je profitai ensuite de chaque moment pour descendre subtilement ma robe, offrant à Loïc la vue qu’il désirait tant.  Il prit plusieurs photo, s’assurant bien de me faire sourire à chaque pose.

– Tu es une bonne fille, Julia.  Maintenant, je veux que tu te masturbes pour moi.

– Quoi, maintenant ici?

– Oui!

– Mais le restaurant est bondé!

– Justement…

Scrutant autour de moi le regard de ces étrangers qui discutaient de tout et de rien, je tentai le tout pour le tout.  Après tout, ce n’était pas si compliqué, l’accès à ma partie intime était facilité par l’absence de sous-vêtements et une nappe cachait quelque peu mon intimité.  J’étais déjà trempée, excitée par la tournure imprévue de ce dîner.  Moi qui croyait avoir à accompagner un homme mur dans un souper pour qu’il me raconte sa vie malheureuse avec sa femme…

D’une main, je tins ma fourchette.  De l’autre, c’était mon clitoris… Je le sentais moite et chaud.  Et je me suis laissé aller à le frotter de gauche à droite, puis de haut en bas, alors que personne ne semble semblait s’en préoccuper.  J’étais doublement excitée d’obéir à cet étranger qui me payait et qui en plus me faisait faire des choses que d’ordinaire, je n’aurais jamais fait.  Je me sentais salope et j’aimais ça.

Pour ces raisons, je sentis vite mon excitation monter… J’ai eu peine à continuer de faire semblant qu’il ne se passait rien.  Je respirais plus profondément, j’avais chaud.  Mes seins pointaient de manière non subtile et je sentais que je vais jouir bientôt.

– Auriez-vous pris un dessert? nous demanda alors timidement la serveuse.

Loïc plutôt que de me sortir de l’embarras et répondre à ma place m’enfonça davantage dans l’humiliation

– Ça va dépendre de maman.  En prendrais-tu un toi?

Le salaud, il me force à répondre.  Je dois me ressaisir.

– Oui, une tarte au sucre pour nous deux, s’il-vous-plait.

Rouge écarlate que je suis, de colère et de honte, je ne peux lui en vouloir, tellement j’étais excitée encore.  J’ai la quasi-certitude qu’elle a compris ce que ma main faisait sous la table.

– Continue, finis ça… Je veux te voir jouir.

J’acceptai trop volontiers l’offre de conclure… j’accélérais alors ma cadence et cette fois, mes jambes se mirent à vibrer en plein restaurant.  J’avais le gout de crier, d’haleter, mais les convenances m’en empêchaient.  Ma chatte ruisselait et mon mouvement masturbatoire devenait de plus en plus rapide.  Je sentis la décharge électrique imminente et puis, tout à coup, je me sentis prise d’un violent choc électrique.

– Haaaaaaaaaa,  haaaaa, ouiiii!

Je fis ais du mieux que je le peux pour camoufler ce cri de jouissance ; heureusement que le restaurant était bruyant à cette heure du jour.  Du coin de l’œil, le couple assis à la table voisine avait clairement compris ce que je faisais et me lança un regard désapprobateur.

Qu’à cela ne tienne, la seule chose qui compte, c’est le regard satisfait de Loïc

Honteuse et confuse, je ne comprenais plus trop ce qui s’était passé. Est-ce l’appât du gain qui m’a motivée, ou bien était-ce le thrill de le faire en public?

Après avoir pris le dessert et une repris conversation normale Loïc me laissa une petite note rédigée de sa main qu’il glissa entre mes deux seins après avoir payé l’addition.

« Tu as réussi avec succès ton premier mandat.  Tu es aussi cochonne que je l’espérais.  Tu auras d’autres mandats bientôt. »

Je retournai donc chez moi ainsi dans le taxi qu’il m’avait appelé, satisfaite de mon orgasme, mais honteuse à la fois.

Et j’ai soudainement hâte de voir en quoi consistera ce deuxième « mandat ».

 

 

Récit #140 – La cougar soumise

Aujourd’hui, mon jeune Master de 21 ans, que j’ai formé pendant 4 mois à développer son naturel dominant, vient passer le samedi chez moi.  Ce fut auparavant l’ami de ma fille, et depuis ses 19 ans, je l’avais toujours regardé avec mon œil de femme mature perverse, sans toutefois le laisser paraître, jusqu’au jour où, il décida de venir me rendre visite lorsque ma fille n’y était pas…et l’inévitable arriva, il me baisa comme la chienne que je suis, toujours assoiffée de perversion et de domination.

Nous voilà 4 mois plus tard, suite à de nombreuses séances de ‘’formation’’ de Maître….

Mon jeune homme, tel qu’il m’a ordonné de l’appeler lors de séances car il aime bien souligner le fait que j’ai 42 ans et qu’il en a 21, décide de venir passer la journée du samedi chez moi.  Belle journée en perspective.  Il m’avait texté avant de partir de chez lui pour me donner ses consignes de départ…

  • Je veux que tu sortes ton bol de chienne et ta laisse pour qu’ils soient à ma vue quand je vais arriver.

Je me dis que c’est parti pour être du sérieux aujourd’hui oufff, excitant ça!  J’enfile des vêtements sexy, camisole décolletée laissent entrevoir la moitié de ma généreuse poitrine, et une jupe courte, ainsi que des talons hauts, ce qui me fait environs 5 pieds 11 avec talons, contre 5 pieds 4 pour mon jeune Maître hmmm, les seins juste à la bonne place.  Et surtout, il ne faut pas s’y méprendre, car ce n’est ni sa taille ni son âge qui vient faire obstacle à son autorité.

Nous prenons, comme toujours, un moment pour discuter, en prenant, moi un verre de vin, et lui sa bière.

-Va chercher ton bol, me dit-il sur un ton autoritaire.

Je m’exécute comme toujours lorsqu’il me donne un ordre, car ça m’excite tellement.

Il verse tout le contenu de mon vin dans ma gamelle, et me regarde en me disant :

-Allez, bois ton vin

J’avoue que c’est une des choses qui m’excite le plus, mais aussi qui m’humilie le plus.  Je ne peux pas l’expliquer, mais plus l’humiliation est forte, plus je me sens chienne et je mouille intense.  J’hésite pendant un bon moment, et me décide à lui expliquer :

-Tu sais, même si je suis très excitée, j’ai parfois besoin de ton aide, car je suis tout de même gênée.

-Ah ben ok, va chercher ta laisse, répond-il sans aucune hésitation, comme si sa réponse avait été pensée à l’avance.

Je me précipite, et j’ai l’idée de ramener aussi mon choaker en chaîne, qu’il n’avait jamais vu.  Il est émerveillé de découvrir cet objet pervers, et me l’installe sans aucune hésitation, tel le Maître qu’il est devenu.  Il m’ordonne de marcher vers le salon en y emmenant mon bol de chienne rempli de vin.  Il installe le bol par terre, et un coussin à côté, placés de façon à ce que j’aie les fesses relevées vers lui lorsque je boirai, oufff.  Il me dit :

-Maintenant allez, vas-y, bois.

J’attache mes cheveux et non sans gêne, descends mon visage vers ce bol, et commence à aspirer le vin, le nez qui trempe dedans nécessairement en même temps.  Il pose sa main sur ma tête, et m’enfonce la face dans le bol, pour me montrer qu’il est le boss, et que je suis sa chienne soumise.  Je pourrais difficilement être plus humiliée, et c’est si envoûtant…hmmmm…je bois en aspirant, tel un animal, et mon maquillage commence à se diluer avec le vin, et couler dans ma face de salope.

Il me regarde et me dit :

-T’es vraiment belle comme ça ma salope hein?  Maintenant lève-toi, baisse ta jupe car tu vois bien que t’es une vraie chienne comme ça, et va me chercher une autre bière.

J’obéis en le regardant dans les yeux, avec une expression qui veut dire ‘’toi, tu sais trop bien t’occuper de moi, pis j’vais aller chercher ta bière en sachant très bien que ton regard pervers sera sur moi pour m’humilier.’’

Pendant qu’il buvait cette 2e bière, bien assis comme à l’habitude, je l’ai sucé tout aussi intensément qu’à chaque fois, mouillant avec ma bave sa belle queue bien dure, commençant en la lubrifiant bien partout, doucement, en descendant et remontant…hmmmmm….toujours aussi exquis à chaque fois.  La cougar-salope que je suis adore sucer cette jeune bitte pendant de longues minutes, caressant ses couilles en même temps.

Après plusieurs minutes ainsi, il pousse ma tête plus bas, pour que je lèche son cul, insistant en retenant ma tête bien fort pour me montrer que c’est lui qui domine et que je dois lécher ce cul sans me poser de question.  L’excitation monte encore d’un cran, oufff!!  Je passe ma langue de son cul à ses couilles avec tout le plaisir de me savoir dominée, utilisée tel un vulgaire objet de baise…J’adore…je suis en extase…

Il se lève debout, à côté du divan, moi à genoux devant lui, gueule ouverte devant sa queue pendant qu’il se masturbe, frottant sa bitte dans ma face.  Je sais trop bien ce qui s’en vient et je le désire tellement.  Je sors ma langue pour lécher cette queue qui passe sur ma bouche et ma face, et me préparer à recevoir son sperme, telle une garce assoiffée de perversion…oufff…Il éjacule dans ma face et ma bouche…je lèche ce que je peux lécher, et quand je sens les dernières secondes, je suce ce gland rempli de sperme pour tout nettoyer la queue de mon Maître…hmmmm

Récit #64 – Un beau-père collaborateur

*Cette histoire comporte des éléments qui pourrait vous choquer. Il est question d’une relation sexuelle incestueuse et fictive. Si le sujet vous dérange, je ne vous recommande pas de continuer la lecture*

Un beau samedi du mois d’août, je décide d’aller avec mon beau-père à la pêche. Un moment de calme et de rapprochement que nous aimons tous les deux. On peut se permettre de jaser de tout et de rien.

Plus la journée avançait, plus les joints s’enfilaient. Il y avait un magnifique soleil qui surplombait le lac et qui faisait ressortir chaque détail. Nous abordons plusieurs sujets mais le sexe, plus précisément la porn revenait souvent, sachant que je suis aussi un consommateur et majeur. On parle des différentes pornstar québécoises et de quels sites nous aimons aller visiter.

Le sujet des vidéos d’inceste fait surface et chacun on dit ce que l’on pense de ça. Lui, ça l’excite et moi aussi. Il me parle ensuite de ma mère, de comment il la baise et la fait jouir. Je me sens plutôt mal à l’aise mais c’est indéniable, ça m’allume beaucoup de simplement en parler. La journée se termine et nous partons chacun de notre côté. La pêche fut peu fructueuse, mais j’ai la tête remplie d’images que je ne sais trop comment absorber et assimiler. Il m’a parlé de beaucoup de détail concernant ma mère, des choses que je fantasmais de savoir. Ça m’a aidé ce soir-là à m’endormir en me caressant avec ces images…

Le dimanche soir, vers 22h, mon téléphone vibre. Ma chambre se trouve dans le sous-sol et la chambre des maîtres, au deuxième.

Brrrr-brrr…

Je vois un texto de mon beau-père:

« Avec ce qu’on a parlé hier j’ai une idée si ça te tente… ta mère est vraiment allumée ce soir et on va faire une séance de BDSM comme elle les aime. Je lui bande les yeux, je lui mets un gagballs et des bouchons pour les oreilles. Je l’attache ensuite au lit pour qu’elle ne puisse bouger. Ses fesses sont bien en évidence pour quelle se fasse défoncer… 😉 »

Je réponds :

« Euh ok mais pourquoi tu me dis ça la ? Je m’attends bien à ce que vous faites des choses comme ça !! »

Sa réponse :

« Je te dit ça comme ça, mais elle pourra pas voir/entendre ni bouger. Ça te tente pas de venir la baiser ? Elle ne le saura pas et moi ça m’exciterait comme ça pas d’allure. Je sors, tu entres et tu la défonce, les préliminaires sont faites :p »

 

Je suis un peu décontenancé par ces paroles. Mon sexe s’engorge de sang avec toutes les images que je me fais. Le sexe de ma mère m’est offert et il est à proximité. Oui j’ai toujours fantasmé sur ça, mais que ce soit possible et réel…c’est différent…

Je lui réponds :

« L’idée est très excitante mais honnêtement je suis pas sûre.… »

Brrr-brrrr…

Je reçois un autre texto, qui est en fait une photo de ma mère.

Celle-ci montre celle-ci préparée à se faire défoncer. Je vois les languettes qui passent de ses bras et ses jambes jusqu’aux 4 coins du lit. Ils sont bien fermes. Un gros bandeau mauve camoufle ses yeux et un jolie gagball rose orne sa bouche. J’éclaircis la photo pour mieux voir

Le texte de mon beau père dit ceci :

« Tu vois ce que tu manques » …

À ce moment, de voir ma mère dans cette position et de voir sa chatte mouillée en attente de se faire pénétrer sauvagement fait que je flanche.

Un autre texto dit :

« Je lui en ai donné pas mal et elle en veut encore plus…tu viens ou non ??? »

Je monte les marches doucement, en ayant la photo encore imprégnée dans mon cerveau. Chaque détail m’a allumé. La couleur des straps, sa position vulnérable et aussi…son inconscience face à ce qui s’envient.

J’arrive au premier étage et je texte à mon beau-père que je ne veux pas qu’il reste dans la chambre, je veux être seul avec elle…

« D’accord. Mais je reste sur le bord de la porte puisque je veux l’entendre frémir sous ta queue. »

J’arrive finalement au deuxième étage et je me place sur le bord de la porte de la chambre des maîtres. Mon beau-père la lâche, mais je l’entends encore gémir au travers de son gagballs. Il lui dit d’attendre et qu’il revient dans quelques secondes.

Mon beau-père sort de la chambre…

  • Vas-y, elle est toute à toi…

J’entre à l’intérieur de la chambre, je referme la porte doucement. Je baisse mon pantalon et mon sexe, tellement dur, l’empêche de descendre convenablement. Les gémissements incessants de ma mère me plongent dans un état d’excitation que je n’ai jamais connu auparavant. Elle est là, devant moi, la chatte mouillée et ses gros seins qui pendent et qui s’offre à moi. Ma queue est à l’orifice de chatte et je la glisse lentement de son clitoris jusqu’à l’entrée. Je plonge mon gland à l’intérieur. Mes mains se positionnent par elles-mêmes sur ses grosses fesses et je les empoigne avec ardeur. Je l’empale en profondeur et je savoure le spectacle unique auquel j’ai droit. Je me permets d’aller agripper ses seins qui ballotent ardemment à chaque coup de bassin. Les claquements de mes cuisses sur ses fesses résonnent dans toutes la pièce. Son souffle s’accélère et je la vois agripper de toutes ses forces les couvertures qui longent le lit.

Selon les règlements imposés par mon beau-père, elle ne peut sous aucun prétexte se libérer de ses liens ou de ce qui l’empêche de voir et d’entendre. Ses mains sont attachées, mais ses doigts sont libres et si, elle désire signaler un problème, elle n’a qu’à claquer des doigts…

Dans mon va et vient, je sors ma queue et je la rentre pour bien voir les parois de sa chatte se dilater sur la dureté de mon sexe. Au passage je caresse sont clitoris. Je l’entends pousser de petit « oui oui » étouffés. Je lui donne des claques sur les fesses et je sens sa chatte se contracter sur ma queue. Je sors précipitamment et je lui lèche la chatte goulûment pour bien la nettoyer et surtout me délecter de sa jouissance.

Je continue de la défoncer jusqu’au point où je ne peux me retenir et je remplis son sexe de mon sperme chaud. Ce moment de jouissance fut le plus intense dans ma vie. J’ai tout fait pour me retenir de crier. Mon beau-père s’est aussi soulagé en entendant sa copine vivre l’extase du moment.

Je sors doucement d’elle et la porte de chambre s’ouvre. En catimini, je quitte la chambre, étourdi par ce qui s’est passé. Mon beau-père retourne s’occuper d’elle.  J’ai les jambes molles et mon cœur a des palpitations que je n’avais jamais eues. Ce fut magique et je suis sur un nuage…

Lundi matin au déjeuner, nous parlons des élections américaines comme si de rien était. Mon beau-père part pour aller travailler et moi je vais me prépare à partir aussi.

Comme tous les matins, je vais donner un bisou à ma mère pour lui souhaiter une bonne journée. Je m’exécute et, au moment de quitter, elle passe sa main par-dessus mon pantalon et empoigne ma queue. Avec un clin d’œil et elle me dit bonne journée…

Il y aura une suite si vous le désirez et si vous n’êtes pas trop traumatisé 😉

Récit #15 – La mère de mon chum de hockey

Visiblement, il ne s’était pas manqué. C’est durant la troisième période de ce matche qu’il s’était fait plaquer solidement par un adversaire, lui faisant perdre l’équilibre et, dans sa chute, il s’était probablement fracturé la jambe. Cependant, Tommy n’était pas un plaignard et, sur le chemin qui nous menait à l’hôpital, il restait calme malgré tout.

Le verdict du médecin, quelques heures plus tard, confirma nos soupçons. Tommy ne pourrait plus jouer au hockey de la saison. Heureusement pour lui, celle-ci s’achevait dans deux semaines. J’étais un peu pris au dépourvu, puisque ces matches hebdomadaires avaient lieu dans un aréna qui se trouvait à 50 km du village où j’habitais ; Mélanie, la mère de Tommy, avait l’amabilité de nous y conduire lui et moi pour qu’on puisse disputer nos matches dans cette ligue de garage qui se prenait au sérieux. Je devrais rapidement me trouver un plan B pour me rendre à ces matches, ce qui est une tâche quelque peu plus ardue quand on est gardien de but et de surcroît qu’on habite dans le fin fond d’un rang, là où penser prendre le transport en commun serait une lubie. Bien que je vive encore chez mes parents, ceux-ci n’étaient pas en mesure de me transporter, mon père ayant besoin de l’unique voiture familiale pour se rendre au travail.

Je réfléchissais à une solution, bien installé sur mon sofa, lorsque ma mère me tendit le combiné téléphonique.

– Écoute, je vais aller te porter pareil la semaine prochaine. La saison est quasiment finie, c’est pas pour une fois ou deux que ça va déranger. Pis j’aime ça regarder vos games.

– Tommy, y vient tu ? rétorquai-je.

– Nan. Ça le fait trop chier de vous regarder jouer. Il va rester à la maison.

Cette conversation que j’avais eue la veille du match, m’avait étonné, mais dans le désespoir de me trouver un moyen de transport, j’étais rassuré. Mélanie viendrait me prendre chez moi à 21h30, le lendemain. Je sais, c’est un bien bizarre de moment pour disputer une joute, et je déteste jouer à cette heure tardive, mais il est difficile de louer une glace aux heures dites normales.

Elle fut ponctuelle et vint me prendre avec au moment convenu avec son gros utilitaire sport, bien pratique pour transporter tout mon équipement. Comme prévue, elle était seule. Tommy resterait sagement à la maison. C’est un mal pour un bien. Bien qu’il soit en béquilles, il va pouvoir se présenter plus en forme le lendemain au cours de philo. Mélanie n’ayant pas trop la langue dans sa poche me dit à peu près ceci lorsque j’entrai dans l’auto :

– Voyons, maudit niaiseux, assis toi pas en arrière! Tommy est pas là! Tu peux t’assoir en avant!

Confus, je bredouillai quelque chose et vint m’assoir en avant comme elle l’ordonna. Je devrais m’y faire et entretenir la conversation avec cette femme qui a exactement deux fois mon âge. Que peut bien raconter un jeune homme comme moi, encore au cégep, à une femme qui a été assez mature pour élever seule un garçon qui était devenu homme maintenant? Elle ne les faisait pas, ses trente-huit ans. Elle aurait pu facilement passer pour dix ans de moins. Sa poitrine était toujours ferme et les quelques rides qu’elle pouvait avoir étaient savamment dissimulée par son discret maquillage et un fonds de teint qui lui donnait une apparence de peau lisse. Le chemisier rose qu’elle portait, sous son manteau de printemps qui était ouvert, était ajusté à sa taille, laissait deviner une poitrine ferme et un corps qu’elle devait entretenir un minimum de cinq fois par semaine à la salle de gym. Tommy n’était pas un athlète pour rien, il avait de qui tenir.

La conversation avec Mélanie fut finalement plus facile que je ne le croyais. Elle s’intéressait à moi et à mes études, prit des nouvelles de ma famille et de cette copine que j’avais laissée le mois dernier. Visiblement, cette femme a de l’entregent. En moins de deux, nous étions à l’aréna, dans un temps qui m’a paru durer la moitié de ce qu’il fut en réalité. Avant de descendre, je ne pus m’empêcher de jeter un regard vers ce décolleté qu’elle offrait à ma vue. Après un instant, je repris mes esprits et descendit pour sortir ma poche de hockey du coffre à hayon.

Nous nous séparons une fois à l’intérieur de l’aréna lorsque je pris la direction du vestiaire : elle à droite, moi à gauche. Or, même une fois mon équipement enfilé, le souvenir de ce décolleté ne cessait de me hanter. Je me résignai finalement à sauter sur la glace et à tenter de me concentrer à jouer ce match de hockey. Il était déjà presque 22h30.

Ce match fut une vraie catastrophe à tous les niveaux. J’étais tellement mauvais ce soir-là que j’aurais laissé entrer un ballon de plage dans mon filet. Pourtant, je maintiens habituellement mon équipe dans le match avec mes performances honnêtes. Cependant, ce soir, je suis incapable de me concentrer. J’ai concédé quatre buts à l’équipe adverse, seulement en première période. Durant le premier entracte, mes coéquipiers ne voulaient pas me blâmer ouvertement, mais leurs regards et le malaise qui régnait dans le vestiaire ne mentaient pas : je jouais de manière exécrable. J’ai presque pensé aller me crosser en toute vitesse dans une cabine de toilette, question d’arrêter de penser à Mélanie, mais j’ai abandonné l’idée lorsque je constatai que la deuxième période commençait dans moins de cinq minutes. Je me contentai de me passer de l’eau au visage et de tenter de me raisonner.1280px-Niagara_University_Dwyer_Arena

Le reste du match fut passable. J’ai pu reprendre quelques-uns de mes moyens, mais c’était trop peu trop tard. Nous avions perdu 6 à 5 ce match important en vue des séries qui commençaient bientôt et j’étais en bonne partie responsable de cette défaite. Sur le chemin du retour, mon humeur était exécrable et Mélanie s’en est rendu compte.

– T’sais, c’pas de ta faute. T’as pas si mal goalé, dit-elle, pour me remonter le moral.

– J’étais juste pourri.

– J’avoue que tu étais pas à ton meilleur, mais les autres avaient juste à faire plus de buts.

Même si ses paroles ne m’encouragèrent guère, je m’efforçais de lui sourire, question de lui montrer que ses efforts n’étaient pas vains.

– Merci, t’es fine Mélanie de m’encourager.

– Écoute, ça fait quoi, trois ans que je te connais! C’est la moindre des choses, rétorqua-t-elle.

Lorsqu’elle prononçait ces paroles, elle avait lâché le volant de sa main droite pour la poser sur ma cuisse, un geste en apparence de compassion. Si le geste était innocent, elle aurait dû retirer rapidement sa main, ce qu’elle ne fit pas… Bien qu’elle ne toucha ma cuisse qu’environ deux secondes, je sentais que le geste n’était pas anodin. Une tension sexuelle entre elle et moi se faisait sentir, une tension qui trouverait écho dans mes boxers qui devenaient, tout à coup, de plus en plus serrés.

Je tentais tant bien que mal de dissimuler mon malaise – et mon érection – en me croisant les jambes. Je croyais être subtil, mais il semble bien que ce ne le fut pas puisqu’elle me demanda :

– C’est quoi t’as là, as-tu envie de pisser?

– Non, pourquoi?

– Ben, tu viens de croiser les jambes.

Pour éviter d’avoir l’air fou, je dus répondre que si. Elle stationna alors la voiture en bordure de la chaussée de cette route de campagne, près d’un boisé, question que je puisse aller soulager ma vessie – du moins, c’est ce que je prétendais.

Pour sortir de l’auto, je dus décroiser les jambes. Mon érection était plus que visible et la question vint directement sans ambages aux lèvres de Mélanie :

– C’est moi qui te fais cet effet?

– Euh ben c’est que…

Je n’avais pas le temps de terminer ma phrase que sa bouche avait déjà fait un face à face avec la mienne pour que nos langues s’entremêlent. De plus, sa main était de retour sur ma cuisse, mais elle me caressait de manière pas mal moins subtile cette fois. J’étais en train de frencher la mère de mon meilleur ami, une situation qui peut sembler banale, mais qui me mettait dans tous mes états. C’était tout sauf prévu.

C’est elle qui défit ma braguette pour sortir de son confinement mon pénis. Comme il était presque une heure trente du matin, les chances qu’on nous surprenne sur cette route de campagne à forniquer étaient quasi-nulles. De sa main agile, elle sortit mon membre, puis l’empoigna et fit de sa main des mouvements du bas vers en haut. Cette masturbation eut l’effet escompté en me permettant d’avoir une érection bien dure.

N’étant plus puceau depuis peu, je me sentais quelque peu malhabile. Je la laissai donc faire, ne sachant trop comment réagir. Après environ cinq minutes de ses caresses, elle me dit :

– Viens t’en en arrière, on va avoir plus de place.

C’est la queue sortie de mon jean que je sortis de l’auto, pour mieux y retourner, cette fois assis sur la banquette arrière. Elle vint s’assoir face à moi et releva sa jupe jusqu’à ses hanches, son manteau ayant pris le bord depuis longtemps. Je constatai alors que la coquine portait une brésilienne rouge, une petite culotte que je ne tardai pas à lui enlever. La position que nous avions choisie me donnait une excellente vue sur ce décolleté plongeant qui m’avait tant mis en émoi ce matin.

– Laisse toi faire, je suis plus habituée que toi.

Sur ces paroles, elle sortit un condom de je-ne-sais-trop où, pour me l’enfiler sur mon manche bien dressé. Une fois sa tâche accomplie avec agilité, elle le prit et l’enligna vers sa fente déjà toute trempée et se laissa choir de tout son poids sur moi, laissant ma verge la pénétrer profondément par le fait même.

De son bassin, elle fit d’agiles mouvements de l’arrière vers l’avant. Mes yeux étant fixés sur sa poitrine, elle remonta ma tête d’un simple mouvement de son doigt sous son menton. Elle me rapprocha d’elle, puis ses mouvements de bassin devinrent de plus en plus prononcés.

– Humm t’aime ça, mon p’tit cochon?

– Je tofferai longtemps pas si t’arrêtes pas, Mélanie!

– Laisse toi aller… on a pas grand temps si tu veux pas que Tommy s’en rende compte… je l’ai texté avant qu’on parte de l’aréna!

Je compris avec cet aveu que j’avais le feu vert pour passer en deuxième vitesse : Mélanie voulait qu’on fasse ça rapidement. C’était donc à moi de jouer, malgré mon peu d’expérience avec la gent féminine. Je pris alors mon courage à deux mains et soulevai son bassin de quelques centimètres en posant mes mains sur ses fesses, question que ma queue soit toujours en elle, mais qu’à moitié.

– Qu’est-ce que tu fais là mon beau?

– Laisse-moi contribuer un peu…

C’est ainsi positionné que je pus la pilonner de petits coups de bassin rapides pour enfoncer mon dard jusqu’au fond d’elle-même. Parfois, elle me permettait d’aller jusqu’au fond lorsqu’elle laissait la gravité la faire descendre jusqu’à la base de mon membre. Visiblement, Mélanie est vaginale parce que je vois son visage se crisper de plus en plus, au fur et à mesure que mon action s’accélère malgré la pénombre.

– Ah ouiiiii…. T’es pas pire, toi, pour un p’tit jeune de même pas vingt ans!

Les phares d’une voiture qui passait à côté de nous me donnèrent une vue parfaite sur cette femme. Cette vision me donna la dernière dose de courage nécessaire pour terminer ce que j’avais commencé. Je mis alors ma main dans ses cheveux et la tint fermement, question de l’empêcher de bouger. J’accélérai alors ma pénétration, comprenant grâce à son halètement qu’elle appréciait bien ce traitement que je lui réservais.

Aucune voiture ne passait à ce moment, mais son corps ne pouvait mentir : elle jouissait. Lorsque j’en eus la certitude, je me donnai la permission de me laisser aller à mon tour, poussant mon engin au plus profond d’elle, laissant évacuer au fond du condom ma semence poisseuse.

Elle s’effondra sur moi, toujours avec mon pieu en elle, mais cette fois-ci telle une amoureuse le ferait avec son petit ami. Essoufflée, elle dit :

– C’était bon…

– Oui… jamais j’aurais cru…

Nous restâmes ainsi quelques minutes, collés l’un contre l’autre, mais la triste réalité nous rattrapa par la suite. Le temps filait et il aurait paru louche qu’elle rentre trop tard chez elle. C’est à contrecœur qu’elle se dégagea de moi ; je pris alors la capote souillée avec soin pour la dégager de mon pénis devenu mou et la lançai d’une main ferme dans le boisé qui bordait la chaussée.

– J’ai déjà hâte à ta prochaine game.

– Et moi donc… On va recommencer?

– On verra…

Lorsque je me couchai ce soir-là, je cherchais une façon d’avouer à Tommy que j’avais fourré sa mère dans le char qui servait à nous transporter… Mais il semble que notre amitié n’aurait pas survécu à cet aveu.

Je laissai le sommeil venir me chercher en me disant que jamais je n’aurais cru, comme gardien de but qui a joué un mauvais match, que je pourrais scorer la même soirée.