Récit #187 – Première sortie de filles

Par Tomcatqc

Je sors de la douche, je suis ultra nerveux. J’ai reçu plusieurs instructions à suivre très strictes. Rasage intégral et pédicure ne sont que le début. Ça fait trois jours que je porte un plug anal de gros calibre pour dormir. Je me dois d’être prêt à satisfaire tous les désirs de ma Déesse. Elle s’en vient à la maison pour une séance bien spéciale qu’Elle me dit, mais je ne dois pas m’habiller d’avance pour la recevoir. Contrairement aux autres rencontres, Elle me veut nu.

Mon imagination roule à son maximum. Je l’imagine débarquer avec une autre femme pour m’enculer toute la soirée. Elle a exigé que mon auto soit dans le garage pour faire plus de place dans l’entrée pour d’autres personnes. Ce ne serait pas la première fois qu’elle ferait cela, inviter une amie pour qu’elles abusent de moi. J’aurais à les servir avec traitement royal pour leur plaisir de me voir en salope de service avec la cage bien placée sur ma queue pour ne pas avoir d’érection pendant que je les masserais et licherais leurs pieds et bottes.

J’attends, nu comme un vers au bout du lit. Je m’apprête à installer ma cage, mais j’ai une érection incontrôlable et je sais qu’Elle arrivera bientôt. Je me dois d’être prêt et surtout en cage, car c’était aussi dans Ses exigences. Je me parle pour débander, mais rien à faire. Je suis dur, trois jours de plug, cinq jours sans avoir le droit de jouir, avec les masturbations obligatoires, mais sans jouissances autorisées. Je comprends pourquoi je suis incapable de perdre cette érection plus que gênante. Aller hop, j’enfile l’anneau sur ma queue et je force mes testicules à passer pour bien le mettre en place. Cette douleur forcée m’arrache un petit grognement et une larme, mais elle permet à l’anneau de rentrer à sa place. Je perds la moitié de mon érection, voilà le bon moment pour mettre ma queue dans la cage avec un peu de lubrifiant pour l’aider à glisser et prendre place dans la cage transparente qu’Elle adore tant me voir porter.

J’entends son auto rouler dans le stationnement. Instantanément, je suis pris d’une bouffée de chaleur, la nervosité m’envahi. Pourtant, je ne suis pas à ma première soirée d’abus sexuels et de service pour Elle, mais j’ai le sentiment qu’il y a quelque chose de spécial ce soir. J’enfile ma robe de chambre et va l’accueillir comme il se doit. Après que la porte d’entrée soit fermée, je m’agenouille devant Elle et lui fait le protocolaire baise main. Elle me dit de me lever et d’aller dans la chambre pour Son inspection.

J’arrive dans la chambre, retire mon peignoir, me mets en position d’attente les mains le long du corps. Elle me regarde de face de la tête aux pieds, me fait signe avec la main de tourner pour lui exposer mon dos. J’entends ses doigts claquer, je sais que c’est le signal pour me pencher et écarter mes fesses pour qu’Elle voit bien « ma chatte ». C’est ainsi qu’Elle appelle mon cul car c’est de cette seule façon que j’ai le droit de jouir lorsque je suis Sa salope de service. Elle semble satisfaite puisqu’Elle m’ordonne de me relever et de venir présenter mon clito en cage. Elle sourit en la prenant en main et me félicite de ma bonne écoute à Ses ordres.

Elle se met à ouvrir les tiroirs de la commode qui contiennent mes vêtements féminins qu’elle a achetés pour faire de moi Sa pute de service. Le bureau contient autant des petites culottes en dentelle que des pantalons en pvc, en passant par des soutien-gorge de toute sorte, le tout pour accompagner son humeur du moment. Elle exige de m’habiller Elle-même car Elle aime caresser la dentelle, le cuir, le pcv qui se dépose sur ma peau, et faire de moi SA belle fille qui la servira le temps d’une soirée, en solo ou avec une amie qu’Elle affectionne particulièrement.

Ce soir, c’est spécial, je le sens. Elle fouille et refouille dans la commode pour faire et défaire des agencements de toutes sortes. Elle dit me vouloir parfaite. Je la sens nerveuse, je ne l’ai jamais vue ainsi, ça augmente ma nervosité. « ENFIN!! crie-t-Elle. J’ai trouvé ce que tu vas porter ce soir ma salope. » Elle avait son beau grand sourire, ses yeux étaient étoilés comme jamais. Ça faisait presque peur. Elle avait son petit rire démoniaque. « Aller, viens ici que je commence ta préparation ma putain. » Elle m’a vêtu de bas filet rouge vif et d’un porte-jarretelles noir avec une petite broderie rouge dessus. Wow, je ne l’avais jamais vu celui-ci, top qualité! Après m’avoir attaché les bas au porte-jarretelles, Elle m’enfile une culotte en dentelle noire et rouge qui s’agence parfaitement. « Toute de la nouvelle lingerie pour une soirée spéciale ma belle amour! » me dit-Elle.

J’étais vraiment curieuse de découvrir ce qu’elle avait préparé comme soirée. Ensuite, elle m’habille de la jupe de cuir noir courte, très courte. On voyait très bien mes jarretelles dépasser. Le soutien-gorge rouge et noir aussi en dentelle qui devait être vendu en ensemble avec la culotte puisqu’il matche parfait avec celle-ci. Elle poursuit avec un petit top semi décolleté qui met mes faux seins en valeur. Oh oui! des faux seins. Elle en avait parlé, mais jamais Elle avait dit s’en être procuré. C’est humiliant de voir la transformation qui s’évolue à un niveau jamais atteint. Elle ressent mon malaise d’être ainsi poussée, Elle me répète souvent que je suis belle, que je lui appartiens et surtout qu’Elle est vraiment fière de Sa salope, de mon évolution entre Ses mains. Sa douce voix me réconforte, apaise mes craintes, mais surtout me donne confiance pour la suite. Une suite que j’ai déjà vécu : maquillage léger, mais avec des lèvres bien colorées, car Elle adore voir mes lèvres entourer son god ceinturé et me voir le sucer pour démontrer mon côté obéissant, chienne suceuse. Elle installe ma perruque blonde. Tout est fait avec délicatesse, comme toujours, et Elle me parle de tout et rien pour me calmer. Elle prend bien soin de Sa putain

Maintenant, c’est à moi de prendre soin d’Elle : crème sur tout le corps pour que ma Déesse soit douce partout, l’aider à enfiler Sa robe de pvc et surtout attacher Son corset et ensuite les bottes de cuir. Elle a déjà son maquillage et ses cheveux de faits. La touche finale, Elle me sort mes plus beaux escarpins que j’enfile avec fierté puisqu’ils me font des jambes du tonnerre. C’est là que j’ai droit à une pluie de compliments de ma Déesse sur mon look et ma beauté, mais surtout Sa fierté à me voir dépasser mes soft limites.

À présent, je m’attends aux ordres habituels : de me préparer à faire le souper et le service quand son amie va arriver. Les bouteilles de vin rouge sont dans le cellier et celles de blanc bien froid au frigo. Mais surprise, Elle me sourit et me dit d’emballer le vin. Elle voit immédiatement dans mon visage que ça ne fonctionne pas, la peur occupe mon regard. Elle s’approche de moi, me prend les mains, les flattent en prenant le temps de flatter mes ongles colorés et me répète calmement d’emballer le vin, qu’on quitte la maison, que nous allons sortir ce soir entre filles, que je savais que ça arriverait un jour et CE jour était maintenant. C’est pour cela qu’elle avait fait placer l’auto dans le garage, je suis passagère et que tout est organisé. Que SA pute sort et qu’elle va aimer sa soirée.

Après quelques secondes de silence, je réponds en bonne fille obéissante « Oui Déesse, j’ai emballé les deux bouteilles de vin dans un sac. » et je me suis dirigé vers l’auto côté passager comme ordonné par ma Maîtresse adorée. Je sors ainsi en public… Non pas que c’est la première fois qu’Elle me féminise, mais sortir de la maison déjà féminisée est une première pour moi. J’ai déjà été féminisée dans des soirées en donjon ou en maison privée pour des soirées spécifiquement réservées à ce type de jeux. Mais là, wow quel moment intense à vivre.

Elle ouvre sa portière, prend place derrière le volant, boucle sa ceinture. Voilà, le moteur tourne et la porte de garage est actionné. C’est un départ, mais je ne sais pas pour où ni pour quoi. La route est longue, je suis dans un mutisme sans contrôle, la musique joue, mais je ne l’entends pas vraiment. D’après la route que l’on emprunte, je crois déceler que la destination se trouve à Montréal. Je me demande où, cartier gay où je pourrais passer inaperçue? Dans un donjon où je n’aurais pas su d’avance l’événement? Tant de questions sans réponse. Ma Déesse a les yeux étincelants avec un grand sourire de bonheur contagieux, je me surprends à sourire moi aussi. Il fait déjà sombre, la nuit va bientôt s’imposer et me permettre un certain anonymat.

On arrive à destination, cartier gay. Elle se stationne et me dit : « Ce soir, c’est ton soir. Tu vas être là, avec moi, et vivre un moment des plus magiques. On va souper, j’ai réservé dans un petit resto tranquille juste pour toi et moi. Concentre-toi sur ça en premier et vit le fait de faire une sortie de filles. » me dit-Elle sur un ton posé mais autoritaire. Nous sortons de la voiture et marchons jusqu’au restaurant. Nous avons une table retirée dans un endroit plutôt discret pour pouvoir jaser entre Maîtresse et salope. Nous discutons surtout du pourquoi elle me pousse à sortir ainsi ce soir, que ça fait assez longtemps que je repousse le moment et que je dois m’assumer en tant que pute de service à un niveau convenable.

Une fois le souper terminé, Elle se lève, je la suis. Nous sortons du restaurant et nous dirigeons en direction opposée de l’auto. Je lui demande où on va et Elle répond simplement : « Te baiser salope, quoi d’autre penses-tu faire ici? Donc direction hôtel des gouverneurs. » À notre arrivée, Elle va au comptoir, la chambre est réservée d’avance. Elle prend les cartes, me regarde et m’appelle en me criant : « Salope, ta chambre est prête. Amène ton cul que je le défonce. » Je n’ai jamais vu ma Déesse avec ce regard et cette audace en public.

Une fois dans la chambre, Elle me dit de me rafraîchir, histoire de sentir bonne, et me donne une bouteille de parfum féminin. Elle repart à l’auto disant avoir oublier son sac avec les strapons pour me fourrer comme une pute. J’attends son retour avec impatience. Tout ce setup pour me faire sortir et me baiser… Wow!! Elle prend à cœur mon humiliation et je suis plus que comblée. Elle ouvre la porte, me lance le sac et me dit d’aller me faire un lavement, qu’Elle veut une chatte propre à enculer et que j’ai 15 min maximum pour m’exécuter. J’entre dans la salle de bain et me fait le lavement. Je suis toute propre pour être bien abusée par ma Déesse. J’ai hâte, je coule déjà de precum dans ma cage. Je me présente devant Elle qui est allongée sur un des deux lits et souriante comme jamais. Elle me regarde et me dit de m’agenouiller devant le lit. Après deux minutes à me contempler, un cognement retenti dans la chambre, on frappe à la porte. Maitresse ne semble même pas surprise. Elle va répondre avec son petit rire taquin et moi je sens une boule de chaleur m’envahir

C’est un homme bien vêtu, et après quelques échanges de chuchotement avec ma Maitresse, je comprends qu’il n’est pas là par erreur. « Non, il ne s’est pas trompé de chambre, me dit ma Déesse. Il est là pour nous, me dit-Elle entre parenthèses. » Nous!!!!! ai-je répondu sans réfléchir, avec un air très surpris. Elle me répond : « Oui nous!!!! Moi qui regarde et toi qui fait ta job de pute. Il t’a vu de la porte d’entrée, m’a dit te trouver belle et sexy, alors tu le vides de la façon qu’il a envie d’abuser de toi. Tu as toujours le choix d’utiliser tes couleurs, tu les connais. Mais ça fait assez longtemps que tu en rêves, alors Je t’apporte ton rêve ici, ce soir. Je t’ai fait toute belle, tu as la chatte prête, alors à toi de décider. C’est rouge ou vert, y’a pas de jaune ce soir sauf si tu as besoin de plus de lub au cul. Ne t’en fait pas, j’ai pris des gars qui ne durent pas longtemps. Oui, DES gars!! Alors tu décides quoi? Ta première queue t’attend devant toi. »

Je me ferme les yeux et j’ai ouvert ma bouche en signe de consentement. J’entends ma Maitresse s’exclamer « Bonne salope! » C’est là que j’entends le mec détacher son pantalon et s’approcher de moi. Je sens sa queue molle pénétrer ma bouche, je comprends que j’ai du travail à faire pour qu’elle durcisse. Je commence par la licher, la masturber avec ma main, toujours les yeux fermés par gêne. Elle commence à durcir, alors je la remets dans ma bouche pour la sucer et la sentir gonfler dans ma bouche. Cela ne prend pas de temps qu’il est bien dur et éjacule direct dans ma bouche chaude. Wow c’est vrai qu’il est précoce et que dire de la petite quantité de sperme qui est sorti… J’avale tout, mais avec la salive de la fellation, je ne goûte que très peu à son jus. J’ouvre mes yeux et regarde ma Déesse qui est hyper ravie de la scène qu’Elle voit. « Bravo Ma salope!! Tu n’as pas échappé une goutte, me dit-Ele. » L’homme remet son pantalon, remercie ma Maitresse de son cadeau et sort de la chambre.

Maitresse m’offre de m’assoir sur le lit et me tend un verre d’eau pour me rincer la bouche. Pendant que je me rince la bouche, elle prend son téléphone et dit simplement à son interlocuteur que c’est à son tour, que je serai prête à son arrivée. Elle m’ordonne de me mettre à 4 pattes, relève ma jupe, du moins pour le peu qu’elle cache dans cette position, sort son god et me l’enfonce dans la chatte avec beaucoup de lub. Elle vérifie l’état de ma cage et voit que je coule dans celle-ci. Elle met un condom au bout pour que je ne coule pas partout. C’est à ce moment que j’entends frapper à nouveau à la porte. Oh mon dieu!! Elle a vraiment appelé un autre mec.

Elle part ouvrir la porte en me regardant bien dans les yeux. Elle a une discussion à voix basse avec l’homme en question. Elle l’amène devant moi, lui baisse son pantalon et se met à le sucer bien langoureusement. Oh mon dieu, je suis excitée à la voir faire. Une fois la queue bien en érection, Elle lui met une capote, enlève le god de mon cul et c’est là que je comprends qu’il va me défoncer le cul. Il a un très gros gland bien gonflé par les lèvres de ma Déesse. Par chance que j’ai eu un entraînement durant la semaine avec les grosses plug, sinon il me déchirerait la chatte. Il enfonce sa verge dans mon cul sans se soucier si je suis capable ou non de la prendre. « Aller ma chienne, prend-la dans l’cul. » me dit-il, en finissant de la rentrer bien au fond. Wow, c’est douloureux, mais tellement excitant en même temps. Son va et vient me résonne jusque dans la tête. Il me défonce vraiment fort, je coule, je gémis, ma Déesse me regarde avec fierté. Bang, il éjacule, il jouit, il me serre aux hanches avec ses mains pour bien la rentrer au fond. Il a déchargé une grosse quantité de sperme dans la capote. Il l’enlève, la jette, me présente sa queue pour que je la nettoie avec ma bouche. Je m’exécute sans rien dire. Il remet son linge et quitte après quelques remerciements à ma Maitresse. Elle me regarde, me demande si j’en ai assez, si tout va bien, si j’aime être réellement abusée. Je suis toute souriante et Elle comprend instantanément que je suis heureuse de ce que je vie. Elle me dit simplement : « Parfait, on passe au prochain et là tu vas tripper Ma salope adorée. »

Elle texte sur son téléphone. Elle reçoit une réponse et sourit. « Tu vas tripper pour la suite, Ma chienne, me dit-elle. » En 45 minutes, j’ai vidé deux hommes sans aucune difficulté. C’est très spécial déjà. Là encore, j’ai à peine le temps de me remettre les idées en place que ça frappe à la porte. Je suis vraiment nerveuse de découvrir quel trip m’attend.

Cette fois-ci, c’est un couple homme-femme qui rentre dans la chambre. Je les ai déjà vu dans des soirées en donjon. Madame est une dominante très sadique, mais lui ne porte pas son collier. Il porte un habit classe et madame porte une belle robe moulante rouge flamboyant. Il a une bouteille de vin à la main et je comprends que ce ne sera pas une job à la va vite comme les deux autres. Ils ont leur sac de jouets et prennent le temps de s’installer. « Tu vois Ma salope, nous serons trois à abuser de toi, comme une vraie pute, pour le reste de la nuit. Maintenant que tu es réchauffée, ça va être plus facile de prendre la queue de monsieur, me dit-elle. » Je l’avais déjà vue en action, sa queue mesure tout près de 12 pouces, un vrai « bull » comme on dit dans la scène.

Le reste de la nuit est plus hard core que jamais avec les deux maîtresses équipées de leurs strapons et monsieur qui abuse aussi de moi. Je n’ai que les premières 20 minutes après leur arrivée pour jaser et ne rien avoir dans mes orifices. J’ai droit à seulement une consommation de vin, et une fois qu’ils commencent, ils n’arrêtent pas. Sa queue dans ma chatte qui me pilonne sans arrêt, me faisant couler comme une pute. Ça c’est quand je n’ai pas sa queue en bouche avec une des dames qui joue à m’enculer avec des god de tous les formats. Je crie de jouissance et à la fin, il n’y a pas que moi qui profite de la queue de monsieur. Les maitresses aussi se gâtent pendant que je suis dans un coin à m’enfoncer un gode dans le cul. Monsieur jouit sur les maitresses et je dois aller licher sa semence sur les seins des dames. Après m’être fait défoncée toute la nuit et avoir éjaculé dans la capote sur ma cage de chasteté, ma Maitresse prend le condom rempli de ma semence et me le vide dans la bouche pour que je puisse goûter à ma jouissance. Je me sens vraiment comme shopvac à sperme.

Ensuite, le vin faisant son chemin naturel dans le corps des maîtresses, elles m’ont amenée à la salle de bains, dans la douche, où j’ai reçu leur pluie chaude dorée en plein visage. C’est délicieux et ultra humiliant. Jamais on ne m’a traitée ainsi. Ma tête est dans un second état. Je tombe endormie d’épuisement, couchée sur le sol au pied du lit, pendant que le trio discute de leur soirée. Lorsque le couple quitte, Ma douce amour me réveille et m’amène dormir dans le lit. Elle me prend dans ses bras, me dit à quel point je la rends fière, heureuse et épanouie, mais surtout… qu’Elle m’aime à la folie!!!

Récit #88 – Le poker

Ce récit s’adresse à un public averti.

Récit #88 – Le poker

On était en plein souper de filles. Alors que Vicky, après avoir raconté qu’elle fantasmait sur les Afro-Américains, elle s’est tournée vers moi, verre de vin à la main et elle m’a demandé :

— Toi, Myriam, c’est quoi ton fantasme ?

— Tu es sûre que tu veux le savoir ? répond-je en buvant une gorgée de vin. Parce que mes fantasmes sont un peu heavy.

— Raconte, dit Ève, assise à ma gauche.

— Ben… dis-je avec hésitation… Un gangbang

— Un gangbang ? réponds Ève, à ma gauche.

— Un gangbang !? ajoute Vicky.

— Un gangbang !?! renchérit Karine, assise à ma droite.

— Ben quoi ? Vous avez jamais regardé de porn? Tsé, une gang de gars, 4 ou 5, bandés qui fourre une fille dans tous les orifices jusqu’à ce qu’elle les supplie d’arrêter. Ben, c’est ça mon fantasme !

— Au moins, ça a le mérite d’être clair, répond Ève, surprise par tant de franchise.

— Et toi Ève, ton fantasme, c’est quoi ?

— Un trip à trois, dit-elle mi-voix.

— Deux filles, un gars… ou deux gars, une fille ?

— Je crois que je serais plus à l’aise si c’était avec une autre fille.

— Toi Karine ? demande-je.

— Hahaha. Moi, aussi à trois. Mais moi, ça serait sans gars. Juste des filles.

— Si l’une de vous m’organise un gangbang, je participerai dans un de vos fantasmes.

Nous rions toutes et buvons une gorgée de vin.

Quelques jours plus tard, alors que je suis attablé à la bibliothèque de l’université, Karine vient s’asseoir à côté de moi. Elle me chuchote :

— Ça tient toujours ta proposition de l’autre fois ?

— Quoi ?

— Gangbang ? lise-je sur ses lèvres.

— Oui, oui.

— Je peux te mettre en contact avec quelqu’un peut t’organiser ça.

— Why not…

— Je vais organiser une rencontre. Tu es pas mal libre cette semaine ?

— Cool!

Sur le coup, j’ai pris ça avec un grain de sel. Mais lorsque quelques heures plus tard, j’ai reçu un texto de Karine qui me donne rendez-vous le lendemain soir au café à côté de l’université, j’ai commencé à être nerveuse. « Il y a vraiment quelqu’un qui va m’organiser un gangbang ?», me suis-je demandé intérieurement. Je me suis même mise à penser que c’était une blague…

Mais bon, le lendemain soir, lorsque je me suis présenté au rendez-vous, j’ai trouvé Karine attablée dans un coin discret avec un gars. Un gars très séduisant… Je me suis assise à leur table. Il m’a fait un joli sourire, m’a serré la main, fait la bise sur les joues.

— Bonsoir, dis-je.

— Bonsoir, répondit-il. Je suis Louis-Philippe. Mais dans le milieu, je suis connu plus simplement sous le nom de Z.

Je trouvais son nom de «Z» un peu ridicule, mais j’ai quand même écouté ce qu’il avait à me proposer. Il m’a dit qu’il était le chef d’un groupe qui organise régulièrement des soirées à caractère sexuel. Il m’a raconté quelques exemples, dont des orgies costumées, style Eyes Wide Shut, des séances de dominations… Et qu’il avait déjà organisé des gangbang.

— Ça marche comment ? dis-je en sortant de mon mutisme.

— C’est simple. On commence d’abord par discuter de tes attentes, tes préférences et de tes limites. Ensuite, on va bâtir un scénario autour de ça. Une fois qu’on a ton OK, je vais faire un appel aux membres. On va leur montrer une photo sexy de toi. Je te rassure, ils ne verront pas ton visage. On va leur expliquer ton scénario. Après quelques jours, je vais avoir la liste des personnes intéressées à participer. Je vais t’envoyer leurs photos. Privilège de fille : tu pourras voir leur visage. Tu choisis les gars que tu veux, le nombre que tu veux. Et, généralement, le samedi soir suivant, on passe à l’action.

— C’est quand même bien pensé, commente-je.

— Et à chacune des étapes, tu peux changer d’avis, ou tout simplement décider d’arrêter tout. Tu peux même changer d’avis pendant. Même si en quatre ans, ça n’est jamais arrivé, on respectera ton choix.

— Quatre ans… Wow ! Et combien de gangbang votre groupe avez organisé ?

—  Peut-être vingt-cinq. Sur la soixantaine de soirées que nous avons organisées jusqu’ici. Un peu moins d’une sur deux. C’est un fantasme étonnamment populaire.

— Est-ce que je peux encore y penser ? demandais-je.

— Certainement. Contacte-moi lorsque tu auras pris ta décision, dit-il en me glissant une carte d’affaires.

Quelques jours plus tard, je ressors sa carte et le contacte de nouveau. On se donne rendez-vous au même café.

— Bonjour Z, lui dis-je en m’approchant de lui.

— Bonjour M, répondit-il.

— C’est d’accord. Go pour le gangbang !

— Excellent… D’abord, parlons de tes préférences, dit-il en sortant un carnet de note.

— Bon, moi, il y a deux choses ce qui me turn on. Premièrement le bondage. Donc la contrainte : les menottes, les nœuds, les bâillons. Deuxièmement, la soumission. J’aime ça sentir que je n’ai pas totalement le contrôle, qu’on me pousse un peu au-delà de mes limites.

— As-tu des types d’hommes particuliers que tu voudrais ? demande-t-il.

— Rien en particulier. Ils ont juste à être fit, propres, pas trop poilus.

— Pénétrations ? Tu acceptes de faire de l’anal ?

— Oui…

— Double pénétration ?

— Oh oui! J’ai toujours voulu essayer !

— Sperme?

— Sur le ventre, sur les seins, sur les fesses, au visage… Dans les cheveux… Dans la bouche… Partout sauf dans les yeux !

— Tu avales ?

— Peut-être.

— Fisting?

— Non !

— D’autres restrictions ?

— C’est sûr que même si je suis soumise, je n’aime pas trop la douleur. Des petites claques, oui. Mais rien de trop extrême.

— Autre chose ?

— Rien d’autre ne me vient en tête…

— Maintenant parlons scénario. Comment aimerais-tu que ça se déroule ?

— C’est sûr que je veux un scénario un peu plus élaboré que de simplement me faire baiser par un groupe de gars… Mais j’aimerais ça jouer un rôle… Mais j’aimerais aussi improviser. Un genre de Dieu Merci !

— Intéressant ! C’est la première fois qu’on me demande ce genre de chose là. Une improvisation porno où tout le monde a un texte sauf l’actrice principale. Très très intéressant ! J’ai déjà quelques idées qui me viennent en tête…

— Cool !

On parle encore une vingtaine de minutes après ça, détaillant mes préférences et restrictions. Finalement lorsqu’on se sépare, il me demande de lui envoyer des selfies en sous-vêtements pour passer à la prochaine étape.

Donc quand j’arrive chez moi, je monte à ma chambre, m’installe devant mon miroir. J’enfile mes sous-vêtements les plus sexy : un soutien-gorge en dentelle noire avec une petite-culotte assortie. Je prends quelques clichés avec mon iPhone. J’en prends une de dos pour montrer mes fesses… Puis je pousse même l’audace à faire un one finger selfie, c’est-à-dire poser nue, utilisant un unique doigt pour cacher mes seins et ma chatte. Lorsque je lui texte les images, il me fait plusieurs compliments.

Quelques jours se sont écoulés lorsqu’il me dit qu’il a terminé le scénario, que Karine aura même un rôle, et qu’il vient tout juste d’envoyer l’appel aux participants. Deux jours plus tard, je reçois un énorme courriel. Je reçois la photo de… tenez-vous bien… vingt-deux hommes ! Z me dit que pour mon scénario, je dois en choisir entre 6 et 10. Comme je dois en éliminer plus de la moitié, je décide donc d’être sélective. Après deux jours de délibération, Karine m’a aidée un peu, j’en ai choisi 10 ! Tant qu’à vivre mon fantasme, j’ai décidé de le vivre à fond ! Après lui avoir communiqué mes choix, il m’a finalement donné une date fixe.

Donc, le samedi suivant lorsque je me lève, je suis déjà toute nerveuse. J’en shake un peu. Je décide alors d’aller me faire masser dans l’après-midi, question d’être plus détendu. Il est 19 h lorsque je reçois un texto de Z me disant qu’un taxi vient me chercher, de porter du linge ordinaire, pas de maquillage et que je n’ai besoin de ne rien apporter.

Lorsque le taxi s’arrête dans le vieux port de Montréal, je trouve Karine qui m’attend au bas de l’immeuble. Nous montons au penthouse d’un édifice d’une dizaine d’étages. Dans l’ascenseur, Karine finit par me dire que je devrais adorer le scénario qu’ils ont planifié. Lorsque les portes de l’ascenseur s’ouvrent, je vois immédiatement Z.

— Bon, question qu’il n’y aille aucun doute pour personne sur le fait que tu sois consentante, je vais brièvement te présenter tes 10 gars. Je vais énoncer les consignes, puis on va aller te préparer pour jouer ton rôle.

— OK!

Nous rentrons donc. Les dix gars sont devant moi en chair et en os. Je leur souris nerveusement. J’ai la gorge sèche. Je vois qu’il cache le décor du salon, mais alors que j’étire le cou pour voir, Karine me dit de garder la surprise.

— Donc, je vous présente M, une amie de K, dit Z.

— Allo ! lance-je.

— Dis-nous, dit Z en se tournant vers moi. Qu’est-ce que tu es venu faire ici ?

— Je suis ici pour le gangbang ! dis-je tout sourire.

— Pour des raisons sécurités, si à tout moment tu veux prendre une pause ou arrêter, tu as deux moyens. Tu peux utiliser le safe word, qui sera…, dit-il en me regardant avec insistance.

— Chef Boyardee!, dis-je spontanément.

Sur le coup, tout le monde a un petit fou rire.

— Ou, si tu ne peux pas parler, tu n’as cligné des yeux rapidement. K ou moi allons te surveiller en tout temps et arrêterons tout. Donc juste pour être sûre. Quel sera le safe word?

— Chef Boyardee! dis-je avec vigueur.

Tout le monde a un second fou rire.

— Et tu comprends que les mots « non » et « ouch » et tous leurs synonymes feront partie du scénario ?

— Oui !

Karine me met la main devant les yeux et on me dirige vers une chambre sans me donner la chance de voir le décor du salon. Sur le lit, il y a des vêtements. Je les enfile. Les jeans bleus sont tout ce qu’il y a de plus ordinaire. Mais le t-shirt noir a l’encolure étirée et quelques trous au niveau du ventre.

Z me donne alors un bâton de mascara très foncé, me dit d’en mettre. Lorsque j’ai fini, il sort de son sac, une planche a découpé, un couteau… Et un oignon… Sur le coup, je suis pantoise, mais je comprends que mon mascara doit couler comme si j’avais pleuré.

Lorsque Z est satisfait de l’effet, il me demande de me relever. Il passe ma main dans mes cheveux, les ébouriffe beaucoup. Il sort alors d’un sac. Il plonge la main dedans et en ressort une paire de menottes. Mais pas des menottes roses avec de la fourrure comme j’ai déjà eu l’occasion de porter au cours d’ébats dans ma vie sexuelle. Des vrais. Un vrai métal froid. Il m’attache les mains dans le dos gentiment. Lorsqu’il plonge sa main dans le sac de nouveau, il en sort un foulard qu’il m’installe sur la bouche pour me bâillonner.

Il me dirige vers la porte de la chambre, cogne trois coups. Karine de l’autre côté annonce que tout est prêt. Et il ouvre la porte…

De l’autre côté, je vois une gigantesque table. Tous les gars sont assis. Quelques cigares allumés posés dans des cendriers fument. Je vois des verres de scotch ici et là. Des piles de jetons répartis en plusieurs tas. Karine est habillée d’une chemise blanche, porte un veston noir par-dessus et une cravate.

Elle s’approche de moi. Elle sourit à Z.

— Dieu merci ! Tu es enfin arrivée ! Un peu plus et les gars pensaient que c’était moi le grand prix de la soirée…

— Désolé… Mais elle a été coriace ! Elle s’est beaucoup débattu.

— Où l’as-tu trouvé celle-là ?

— À la sortie de l’université.

Elle me regarde le corps.

— Tes partners vont avoir beaucoup de plaisir ! finit-elle par dire.

— J’espère ! Après tout le trouble qu’elle m’a donné, répond Z.

Karine s’approche de moi, pose une main sur joue.

— Écoute fille. Ça peut se terminer de deux manières cette soirée… Ou tu fais tout ce qu’ils veulent… Et qui sait, peut-être qu’ils vont partager leur butin avec toi à la fin… Ou tu peux te débattre… crier… Mais chose certaine, leurs queues vont pénétrer chacun de tes orifices.

Elle me retire mon bâillon. Je prends une voix enrouée, je me tourne vers les joueurs de poker.

— J’ai rien fait de mal moi. (Sanglote) C’est eux les criminels. Appelez la police, je vous en supplie !

— Hahaha, lance un des gars. Elles disent toute ça…

Il se lève s’approche de moi. Sans gêne, il commence à me toucher les seins, à bien les tâter grossièrement.

— Pitié ! dis-je.

Mais il ne réagit pas. Il retourne s’asseoir. Karine aussi. Elle distribue les cartes. Je continue de les supplier. Je leur propose de l’argent, leur dit que mon père est riche, qu’il est politicien, mais ils rient après moi.

Lorsque le premier gars est éliminé de la partie, il se lève, vient me rejoindre. Il dit à Z qu’il peut prendre une pause. Il s’approche de moi, et me chuchote à l’oreille :

— Si tu me fais une bonne pipe, je vais t’aider à t’échapper…

— Gros dégueulasse… lui dis-je avec un regard méprisant.

— Penses-y la grande… Les autres gars hésiteront pas à te mettre leurs bites dans le cul…

Il ouvre sa main et me montre discrètement la clé des menottes.

— Avec des menottes t’as aucune chance d’atteindre l’extérieur, chuchote-t-il… Tu me fais une pipe. Je te glisse la clé des menottes dans les mains. Au moment opportun, je fais diversion. Ça devrait te donner 20-30 secondes d’avance… Si tu cours vite, tu peux rejoindre le trottoir.

— Appelle donc la police, ça serait pas plus simple ?

— Tu vois le gars à gauche de la croupière. C’est une police. Si je les appelle, ils vont savoir que c’est moi qui l’ai fait. Les autres… Des trafiquants de drogue… Crois-moi, ce n’est pas le genre de gars que tu veux doubler.

Je pousse un soupir et je commence à m’agenouiller devant lui.

— Allez… Sors-la…

Il déboutonne son jeans et les laisse tomber. Il sort sa queue de ses boxers. Au début, sa queue est semi-dure, mais dès que je commence à la sucer, elle devient très dure. Les autres regardent du coin de l’œil, sans plus. Z revient.

— Comment t’as réussi à l’amadouer ? demande-t-il.

— J’ai été convaincant…

— Vous êtes tous des pervers… commente-je alors que je me libère la bouche de sa queue. Quand vous allez être en prison, vous allez être quotidiennement v…, réussis-je à dire alors qu’il m’enfonce de nouveau sa queue dans la bouche.

— Hahaha! lance Z. Tu sauras que si un jour on fait de la prison, les gardiens auront tellement peur de nous qu’ils seront nos serviteurs…

Je continue de sucer le membre qu’on m’enfonce dans la bouche du mieux que je peux. Tout en continuant de leur lancer des regards méprisants.

— Je m’occupe de la surveiller, dit le gars à Z. Va t’occuper des autres.

— OK.

Après une minute, il sort sa queue de ma bouche et remonte ses pantalons. Il m’aide à me relever. C’est alors que lorsqu’il tire sur mes menottes, je le sens discrètement enfoncer la clé des menottes dans le creux de ma main. Discrètement, je commence à manipuler discrètement, à tâtons, les clés. Au bout de quatre ou cinq minutes, duquel je faillis les échapper plusieurs fois, je réussis à enfoncer la clé dans le trou. Je pousse un soupir. Je la tourne de 90 degrés et je sens les menottes se desserrer tout doucement.

Lorsque je lui fais discrètement signe que je me suis libérée, il sort son cellulaire, envoie un message texte à quelqu’un et le pose sur le divan. Il me prend par le bras, dit aux autres gars qu’il m’amène aux toilettes. La porte des toilettes est juste à côté de la sortie. Dès que la porte se referme derrière nous, j’enlève complètement les menottes.

— Bon, dit-il en chuchotant. Pas le temps de niaiser. Mon cell va sonner dans 40-50 secondes. La sonnerie va être pas mal forte. C’est une toune de death métal. Dès que tu l’entends, tu me donnes un bon coup de poing. Un vrai. (Mais mime-le dit-il en ne bougeant que les lèvres.) Faut que ça soit vrai… Pis tu dé-câ-lisses.

Je respire fort. Les 50 secondes m’apparaissent littéralement comme une éternité. J’entends la toune. Instinctivement, je le prends par les épaules et je lui donne un coup de genou dans les parties. Parce que c’est plus crédible ! Il s’effondre. J’ouvre la porte, regarde tous les gars, même la croupière qui regarde dans l’autre direction. J’ouvre la porte d’entrée et sors. Je cours silencieusement dans le corridor atteint l’ascenseur. Comme on est au quinzième étage, je sais que c’est ma seule chance de les battre de vitesses. Au-dessus de la porte, je vois les chiffres qui changent… Trop lentement à mon goût. Et finalement la porte s’ouvre…

Au même moment, j’entends sacré au loin.

— La tabarnak! Elle est en train de s’échapper.

J’entre dans l’ascenseur, pèse sur RC et commence à frénétiquement appuyer sur le bouton pour fermer la porte. Juste comme je vois le bout de leurs doigts, les portes de métal finissent par se refermer.

— Osti! J’ai réussi… J’ai réussi !

Les chiffres au-dessus de la porte descendent rapidement. Et lorsqu’elles se rouvrent, je suis au rez-de-chaussée. Tout est calme. Je vois le gardien de sécurité assis derrière son bureau. Je marche vers la sortie… Je me dis que je vais essayer d’avoir l’air normal parce que je voudrais pas qu’il appelle réellement la police pour notre jeu de rôle… Mais alors que je m’approche de lui, je commence à le reconnaitre… C’est un de mes 10 gars. Il est assis là, porte l’uniforme, attends, avec un petit sourire.

Je rentre de nouveau dans mon rôle. Prends un air paniqué, cours vers lui.

— Appelle la police !

Il a l’air surpris.

— Crisse de cave ! Appelle la police !! Il y a une gang de gars qui m’ont kidnappée. Ils descendent pour essayer de me rattraper !

Il se lève d’un bon, prends le téléphone. En me tournant vers le vestibule, je vois Z, boîtes de sushi à la main, qui s’avance. Lorsqu’il me voit, il laisse tout tombée et cour vers moi. Derrière moi, je sens le gardien qui m’agrippe et me fait une clé de bras. Je me retrouve le visage collé contre son bureau.

Z reprend son souffle. La porte de l’ascenseur finit par s’ouvrir de nouveau. Les gars sortent en courant. Et ils sont soulagés de me voir maîtrisée.

— Merci Bob! dit Z, en parlant au gardien.

— On s’en occupe à partir de maintenant, dit l’un des gars. Alors qu’un des gars reprend la clé de bras et me force à avancer vers l’ascenseur.

Je vois Z qui met la main dans sa poche et donne quelques billets de 100 $ au gardien discrètement. Il sort et va prendre les boîtes de sushi qui se sont écrasées sur le sol devant l’immeuble.

Alors qu’on est tous dans l’ascenseur, les portes se sont presque refermées lorsque Z les bloque.

— Vous savez quoi Bob ? Venez donc fêter avec nous…

Le gardien a un large sourire. Il s’avance vers la porte et monte avec nous. De retour au Penthouse, les gars m’emmènent directement au salon. Je sens deux mains agripper mon chandail et le déchirer violemment. Ils m’arrachent mon soutien-gorge. Ils me retirent de force mon jeans et ma petite culotte. Nue, ils m’agenouillent de force.

Je sens qu’on m’installe un collier, munie d’une laisse, autour du cou.

— Ça ma crisse de salope… C’est un chôker. Quand on tire dessus, ben ça serre. Si tu déconnes, ben on hésitera pas à l’utiliser jusqu’à tant que tu sois bleue.

Il tire même un peu pour me montrer l’effet que ça fait. Autour de moi, les gars ont déjà terminé de baisser leurs pantalons. J’ai dix queues, très bandées devant moi. Soudainement, une s’approche et elle se retrouve dans ma bouche. Ils saisissent mes mains et ils les placent sur deux queues. Je les caresse alors que je continue à sucer celles qu’ils me mettent dans la bouche.

Les gars se chicanent, se poussent pour que je les suce. Ils continuent de me traiter de chienne, de salope alors que je m’occupe d’eux… Et honnêtement, c’est tellement excitant ! Je n’avais jamais été aussi excitée que ça! Je reçois des coups de queue derrière la tête. On me touche les seins, les fesses.

Je devais les savoir toutes sucer au moins trois fois lorsque j’entends des bruits d’emballage de plastique : les condoms… Ils tirent sur mon chôker et je me retrouve à quatre pattes sur le sol. Deux mains m’agrippent les hanches. Une queue frappe un peu mes fesses, puis frotte le bas de mes lèvres vaginales et lorsqu’il pousse, sa queue entre tout naturellement dans ma chatte… Pis ça fait tellement de bien de sentir une queue en moi après tout ça…

Et les autres gars ne font pas que regarder. Ils me remettent leurs queues bien en évidence devant mon visage, me fouettant un peu avec elles jusqu’à ce que j’en suce une. J’adore la sensation d’être prise en brochette entre deux gars! Les gars recommencent à se bousculer, tant à l’avant qu’à l’arrière…

Jusqu’à ce que je sente qu’une des queues essaie de visiter un autre orifice… Je me libère la bouche :

— Pas dans le cul! … Tabarnak les gars! N’importe où, mais pas dans le cul !

Je continue de m’objecter de moins en moins bruyamment, simulant le désespoir. Le gars derrière moi finit par ouvrir le passage et sa queue commence à s’enfoncer dans mes fesses. Je pousse des cris de douleurs, que j’exagère. Mais même si le pincement initial de la pénétration anale s’estompe, je continue toujours de me plaindre.

Un des gars se couche sur le sol et on m’installe sur lui, m’enfonçant sa queue dans la chatte, alors qu’un autre gars se place derrière moi.

— Non, non, non! Crisse ! Arrêtez ! Deux, ça rentrera jamais !

Mais les gars font comme s’il ne m’entendait pas. Je sens la queue du deuxième gars se coller contre mes fesses alors que celui qui est en dessous de moi fait des mouvements de bassins pour fourrer ma chatte. Il s’insère lentement dans mes fesses… lentement… Jusqu’à ce que je puisse bien les sentir toutes les deux profondément en moi, remplissant entièrement mon intimité.

Et comme les autres ne me donnent pas de break, ils n’hésitent pas à essayer d’enfoncer leurs queues dans la gorge au même temps. Lorsque finalement j’en laisse une passer, je la suce pendant trente secondes et il m’explose littéralement dans la bouche. Je suis tellement surprise que la moitié de son sperme me coule sur le menton, l’autre moitié est avalée.

Pendant une bonne demi-heure, les gars changent régulièrement de place, d’orifice. Mais là, je sens qu’ils ont juste envie d’une chose : jouir. Ils me remettent à genoux sur le sol. Je suis couverte de sueur, j’halète. Je demande au gars de me venir dans la bouche directement. Rapidement un gars s’avance, il me prend la tête, j’ouvre la bouche. Et il déverse quatre ou cinq jets dans la bouche, que j’avale presque immédiatement. Il est suivi 20 secondes plus tard, d’une deuxième… Puis j’avale le sperme d’un troisième gars… Le quatrième jouit tellement, que ma bouche n’arrive même pas à contenir la totalité de sa semence et elle finit par me couler sur le menton lorsque je scène mes lèvres pour avaler… Le cinquième rate son coup et se déverse entièrement sur mon front et mes cheveux.

Lorsque le dernier gars, le plus coriace, finit par jouir. Je m’effondre sur le sol littéralement épuisé… Tout ce que je réussis à dire, c’est : «Chef Boyardee… Chef Boyardee…» Z s’approche de moi. Comme Karine, il est toujours habillé, il ne s’est jamais mêlé à la gang de gars.

— Tu veux de l’eau ? demande-t-il doucement. Me tendant une bouteille.

Je prends quelques gorgées. Reprends un peu mon souffle. Prends quelques autres gorgées. Je regarde les gars.

— Tabarnak les gars… Il était intense mon gangbang !

— Oh oui ! lance un d’eux.

— Je vais m’en rappeler longtemps ! lance un autre.

— Un excellent scénario !

Je me relève alors que Karine commence à servir les sushis. J’en prends un ou deux, mais je me sens vraiment pleine. Lorsque je me touche le ventre, j’ai l’étrangement impression de sentir leur sperme bouger dans mon estomac. Lentement, les gars se rhabillent et partent, me remerciant pour la soirée. Je termine la soirée allant sous la douche. Lorsque je ressors, il ne reste plus que Z et Karine dans le penthouse.

— On se fait un débriefe ? demande Z.

— OK ! répondis-je alors que me rhabille.

— Est-ce qu’il y aurait quelque chose que tu aurais aimé qui se passe différemment ?

— Humm… Non… Pas vraiment… J’ai vraiment adoré !

— Merci !

— Ah, maintenant que j’y pense… Oui, une chose. Vous auriez dû participer, dis-je ne le regardant lui et Karine.

— J’aurais beaucoup aimé… Mais malheureusement, les règles de notre groupe m’y interdisent… Lorsque j’organise, je suis responsable de la sécurité et je ne dois avoir aucune autre préoccupation. Mais ne t’en fais pas, on pourra éventuellement se reprendre. Nous sommes trois organisateurs… Bientôt quatre, dit-il en regardant Karine.

— Wow ! dis-je à Karine. Tu vas être organisatrice aussi ! Tu peux m’organiser un autre gangbang ?

— Non, non, répondit Karine avec le sourire. Le prochain sera encore organisé par Z… Et on sera toutes les deux participantes…

— Quoi ?

— Tu ne te rappelles plus de ta promesse ? J’organise un gangbang et tu participes à mon fantasme. Un trip à trois filles.

Récit #84 – Après-party de bureau

Il est presque vingt-trois heures, c’est le vingt-deux décembre, dernière journée de travail avant les vacances de Noël. J’avais convié mes collaborateurs à souper. Le restaurant est bruyant alors que je termine de payer la facture. Jessie, mon assistante, s’approche de moi.

— Sarah, Sophie, Zach, Eric, Richard, Allan et Dave, on va terminer la soirée chez moi. J’habite juste à côté. Veux-tu venir ?

Il est tard, je suis fatiguée, mais j’accepte quand même. Je sors du restaurant. Je salue et souhaite joyeuses fêtes à ceux qui ont décidé de retourner à leur maison. Notre petit groupe marche quatre ou cinq minutes lorsque nous nous retrouvons chez Jessie. Nous entrons, nous installons dans son salon et continuons à parler.

Jessie en profite pour sortir des bouteilles de vin et elle sert un verre à chacun. Comme nous sommes dans un endroit plus calme, plus intime, l’alcool aidant, les sujets de conversation deviennent plus intimes. Lorsque finalement quelqu’un pose la question :

— Jessie, demanda Dave… Tes seins, ils sont refaits ?

Jessie est un peu gênée, elle rougit un peu.

— Honnêtement, dit-elle en prenant une pause. Oui.

— Tu portais du quoi avant ? Renchéris Zach.

— Du A.

— Et c’est du 34 D maintenant ?

— Oui. Tu as l’œil, dit-elle en lui faisant un clin d’œil.

Il y a un petit silence, lorsque Sarah pose la question :

— Je me suis toujours demandée… Ça feel comment ?

— C’est sûr que c’est pas comme des vrais. Moi, je trouve qu’ils sont plus denses, plus durs, plus ronds. Mais ils sont aussi un peu plus sensibles. Et plus lourds ! Pour le jogging, il faut vraiment des soutien-gorges très serrés, parce que sinon, ils rebondissent de tous les côtés. Et j’ai mal au dos plus facilement qu’avant.

— Mais pour le plaisir de nos yeux, ajoute Dave. Tous tes collègues masculins te remercient!

Nous rions tous, verre à la main.

— Mais je me demandais… Est-ce que ça laisse des cicatrices ? demande Sarah.

— Non.

— Impossible, argumente Dave. Ça laisse toujours des marques.

— Au début oui, on voit une ligne où ils ont coupé la peau. Mais avec le temps, ça disparait.

— Je te crois pas.

— Écoute, je te le jure, ça ne m’a pas laissé de marque.

— Prouve-le… Retire ton chandail et montre-les-nous.

Jessie pouffe de rire une seconde.

— Vous savez quoi ? Si tout le monde retire son haut. Je le fais aussi.

Les gars se regardent, se sourient, déposent leurs verres en même temps. Et retirent leurs chemises et leurs chandails. Ils lancent leurs vêtements au centre du salon directement au sol. Alors qu’ils sont tous torse nu, ils commencent à lancer des regards insistants aux filles : moi, Sarah et Sophie. Après un silence de quelques secondes, Sarah finit par lancer :

— Je veux les voir !

Sarah commence alors à retirer sa chemise. Elle la lance sur le dessus de la pile. Elle dégrafe rapidement son soutien-gorge et le lance aussi. Ses seins sont plutôt petits, mais ils ont une bonne forme. Après s’être rincé l’œil quelques secondes, les gars se tournent alors vers Sophie. Elle hésite. Sarah finit par lui donner un coup de coude et elle commence elle aussi à retirer son haut. Finalement, tout le monde commence à me regarder avec insistance. Ce qui me place dans une position inconfortable… Parce que je suis la boss de chacun d’entre eux…

Mais je pose alors mon verre… Et je commence à déboutonner ma chemise. Au même moment, face à moi, Jessie fait la même chose. Finalement, nous finissons par ajouter nos chemises au tas de vêtements au centre de la pièce. Tous les regards se tournent alors vers Jessie.

— Vous voyez, dit-elle en se soulevant les seins. Les marques étaient ici… et ici… Mais ça fait trois ans alors ça ne parait plus.

Dave s’approche, regarde attentivement sous ses seins.

— Ah ben… C’est la première fois que je vois des faux seins sans qu’il y ait de marque… Tu dois être tombée sur un excellent chirurgien.

— Est-ce que tu as encore sa carte ? demande Sarah.

— Oui, oui. Je devrais pouvoir te trouver ça.

— Et…, dit-elle en se mordant la lèvre… Est-ce que je peux toucher ?

Jessie rit quelques secondes. Mais elle se rend compte qu’elle est sérieuse. C’est alors que Jessie se calme, prend la main de Sarah et la pose sur un de ses seins. Dave, à ses côtés, lance un petit : «Et moi?» Elle prend alors sa main et la pose sur son autre sein. Après quelques secondes de tâtonnement, les deux mains se retirent.

— Qui vous trouvez qui a les plus beaux seins ? demande Jessie.

Les gars, prenant la question très au sérieux, nous regardent attentivement les seins. Dave, Zach et Sarah choisissent Jessie. Alors que Éric, Allan et Sophie choisissent les miens. C’est alors que tous les regards se tournent vers Richard pour trancher.

— Je sais pas… lance-t-il. Je suis plutôt du type fesse. Les seins, c’est pas ça qui m’attire le plus chez une femme.

Les gars nous demandent alors, à Jessie et à moi, de nous lever. On se place l’une à côté de l’autre, dos à Richard.

— Dure à dire avec vos pantalons.

Jessie et moi, on se lance un regard. Et on baisse nos pantalons en même temps. Richard regarde attentivement nos fesses et finit par me nommer. Mais Jessie renchérit et descend sa petite culotte. Richard décide alors de changer son vote devant l’hilarité générale.

C’est alors que la porte d’entrée s’ouvre. Instinctivement, nous nous couvrons les seins. Un gars s’avance vers nous. Il ne semble pas trop comprendre ce qui arrive. Jessie nous le présente rapidement comme étant Guillaume, son chum, et elle lui explique la situation :

— C’est cool chérie. On voulait juste savoir qui avait les plus beaux seins.

— Et pourquoi tu es nu fesse, demande-t-il avec un sourire.

— On était deux à égalité… Ça m’a permis de gagner le vote populaire! Allez ! Déshabille-toi aussi. Viens avec nous !

Il s’avance dans le salon, devant Jessie. Ils s’échangent un regard. Alors que Guillaume enlève son chandail, Jessie s’agenouille lentement devant lui. Elle lui défait la boucle de la ceinture et lui retire son pantalon, amenant ses boxers en même temps.

— Debout les gars ! lance Jessie. On vote sur les plus belles fesses !

Les gars se lèvent, retirent tous leurs pantalons. Zach et Éric décident de se mettre nus, tout simplement. Alors que les autres s’arrêtent au boxer. Jessie et Sarah les huent et ils finissent par se dénuder aussi. Nous prenons bien notre temps… Alors que Dave est dos à Jessie, elle en profite pour lui toucher les fesses. Dave est un peu surpris, mais elle lui dit simplement :

— Ben quoi? … Je t’ai laissé toucher mes seins… Normal que je puisse toucher tes fesses.

Dave continue de lui faire dos, mais moi, comme je le vois de face, je vois qu’il commence à bander. Quatre ou cinq secondes lui ont suffi pour être complètement dure… Lorsqu’il se retourne vers Jessie, elle rit un peu, mais elle devient rapidement silencieuse. Je la vois qui se penche vers lui et qui lui agrippe les fesses. Le bruit de succion que nous entendons ne nous laisse aucun doute sur ce qu’elle fait.

Guillaume regarde sa blonde faire une pipe à son collègue pendant quelques secondes. Et il commence à bander. Lorsque je regarde autour, je vois que tous les autres gars aussi. C’est alors que Sarah, qui se trouvait près de Guillaume, le prend par la taille, le place devant lui, et elle commence à faire comme Jessie.

Après trente secondes, Sarah demande à Zach de s’approcher d’elle. Et elle commence à le sucer lui aussi. Jessie décide de l’imiter et de sucer Éric alors qu’elle branle Dave. Les deux autres gars restants décident de se placer devant Sophie et moi. Je me retrouve avec Richard. J’entends Sophie, à côté de moi, simplement lancer : « Ah pis fuck, au point où on est rendu… » suivi d’un bruit de succion.

Richard s’approche encore plus près de moi, il me sourit. Sa queue est à deux centimètres de mes lèvres. Et je décide de faire comme tout le monde… Avec ma langue, je commence à lécher son gland, puis je commence à le sucer. Ça lui fait beaucoup d’effet… Après tout, il vit le fantasme de beaucoup de gars… Se faire sucer par sa boss… Et je dois dire que le sentiment d’interdit que je ressens m’excite aussi !

Pendant deux minutes, je m’occupe de lui. Je lui caresse les fesses alors que je m’occupe à masser sa queue avec ma langue, mes lèvres. Je suis dérangée par Zach qui s’approche de moi lui aussi. Lui aussi est bandé dure et veux voir si sa boss fait de bonnes pipes. Je le prends à son tour. J’en profite pour faire une rotation entre les deux, leur donnant dix secondes à chacun.

C’est Jessie qui nous interrompt. Elle revient dans le salon avec deux boites de condoms de sa chambre à coucher. Elle en prend quelques-uns et les lances dans la pièce. Je vois Guillaume qui en attrape un au vol et l’installe rapidement sur sa queue. Il s’avance vers moi. Instinctivement, je me tourne et m’accote sur le bras du divan. Avec ses mains, il me flatte les fesses. Je sens sa queue frotter entre mes fesses. Et il me pénètre doggy-style.

Éric se place devant moi, il m’enfonce sa queue dans la bouche alors que Guillaume continue de me prendre vigoureusement par-derrière. Rapidement, il est rejoint par Zach et Allan. Tous les trois se relais pour me pénétrer la bouche. Lorsque c’est la quatrième rotation, alors que Zach, visiblement très fébrile, s’approche de moi, j’en profite pour leur donner un avertissement :

— Je vous le jure… Si l’un d’entre vous me vient dans la bouche, la première chose que je fais en 2017, c’est de le congédier !

— Heu…!? lance Guillaume… Jess… Est-ce que je suis en train de fourrer ta boss?

— Oui, chérie!, l’entende-je répondre.

Il a pris une petite pause, mais il a recommencé à me pénétrer avec un peu plus de vigueur. Devant moi, les gars continuaient toujours de m’enfoncer leurs queues dans la bouche à tour de rôle. Et ils y prennent un malin plaisir…

Quelques minutes plus tard, alors que j’ai la queue d’Éric dans la bouche, je sens quelques gouttes descendre sur mon visage. Il y a Zach qui commence à s’excuser, presque en panique. Ce n’est qu’en me replaçant les cheveux que je comprends ce qui vient de se produire… Il a joui dans mes cheveux… Éric et Allan, eux, trouvent ça très drôle.

Je sens Guillaume, derrière moi, qui se retire rapidement, enlève son condom et je reçois de petits jets sur le dos. Lorsqu’il a fini, je me lève. Zach est devant moi, il s’excuse toujours… Tout ce que je trouve à dire c’est : «3 janvier, 8 h, dans mon bureau. » J’ai pas vraiment l’intention de le congédier… Mais j’ai envie de faire peur aux gars.

C’est alors que je regarde devant moi. Je vois Sarah qui se relève. Sophie passe près d’elle. Le regard des deux filles se croise brièvement. Sophie en profite pour embrasser brièvement Sarah sur la bouche. Lorsqu’elles se regardent de nouveau, je peux voir l’expression de totale surprise. Sarah replace ses cheveux et cette fois-là, c’est elle qui s’avance de Sophie pour l’embrasser sur la bouche. Sauf que cette fois-là, c’est beaucoup plus passionné. Je vois les mains de Sophie qui se pose délicatement sur les fesses de sa collègue…

C’est alors que je vois Jessie. Je m’assois sur le divan et je prends une voix autoritaire.

— Jessie. Viens ici.

— Oui? dit-elle en s’avançant vers moi.

— À genoux…

— Quoi?

— À genoux…

Elle s’exécute lentement. Avec mes doigts, je lui pointe ma chatte.

— Vous voulez quand même pas que…

— Lèche ! ordonne-je.

Elle hésite, mais elle se penche tout de même et commence à me lécher la chatte doucement. J’aime la sensation de sa sentir sa langue qui me caresse l’intimité… Mais j’aime encore plus la sensation de contrôle que ça me procure. J’ai l’impression que je pourrais leur faire faire tout ce que je veux. Je vois Richard qui se branle en nous regardant. Je lui demande de prendre Jessie. Il s’exécute sans réfléchir. Il prend un condom et fourre Jessie doggy-style pendant qu’elle continue de manger ma chatte.

Autour de moi, Éric, Dave et Guillaume me regardent, se caresse. Je fais signe à Éric de s’approcher et je recommence à le sucer dès qu’il est assez près. Ensuite, c’est au tour de Dave, et finalement Guillaume…

Une heure plus tard… Alors que tous les gars sont littéralement vides et incapables de bander. Nous recommençons à nous habiller. Alors que je me replace mes cheveux, je sens que le sperme que j’ai reçu au début de l’orgie est maintenant tout sec. Je décide alors d’aller prendre une petite douche rapide.

Lorsque je sors, tout le monde est déjà parti, sauf Jessie et Guillaume, parce que c’est leur appartement. Jessie, maintenant habillée de nouveau, paraît un peu mal à l’aise. Je lui demande d’organiser une réunion privée dans mon bureau le 3 janvier avec tous ceux et celle qui étaient présents…