J’ai grandi à Montréal, Laval et à Piedmont, dans les Laurentides, où mes parents avaient une maison de campagne.
Après mon bac, j’ai fait une autre session à l’Université Laval afin de faire ma maîtrise à cette même Université. Durant l’été, j’avais crée mon propre emploi en entretien paysager, aménagement floral et tondre le gazon. J’avais des voisins âgés pour qui j’étais leur sauveur, mais aussi pour m’encourager. Il y avait un monsieur à la retraite qui passait son temps à son condo en Floride et qui finalement mit sa maison à Piedmont à vendre. Mais le marché immobilier était au ralenti et sa maison resta longtemps sur le marché.
Mon oncle me prêtait son pick up Ford Ranger durant l’été pour mon travail. Un jour, je suis arrivé sur le terrain du monsieur qui avait sa maison à vendre. Je me suis garé sur le côté de la maison, sur la partie la plus longue de son immense terrain. J’ai fait le tour pour inspecter le terrain et enlever les branches qui jonchaient le sol. Le gazon était très long et donnait l’image d’une maison abandonnée. En m’approchant du fond de la cour, j’entendis un bruit, des gens qui ricanaient…mais pas seulement. J’entendais un gémissement féminin, ce qui attira ma curiosité. Les deux cours étaient séparées par un mur de cèdre d’environ 3 mètres.
Par un petit trou, je voyais un gars qui était couché sur une chaise longue sur le bord de la piscine. La fille avait placé un coussin par terre et était occupée à lui faire une fellation. Lorsque qu’elle avançait pour lui donner des becs sur ses pectoraux et l’embrasser, je pouvais voir son sexe en position de levrette. Mon pénis a rapidement gonflé au point de me faire mal dans mes caleçons. Le gars tenait sa tête par les cheveux et donnait le rythme. Sans faire de bruit, je me suis déplacé vers eux pour me retrouver juste derrière la fille. J’étais tellement proche que j’avais l’impression de participer aux ébats. La fille grognait en le suçant pendant que le gars lui, fermait les yeux pour mieux apprécier, toujours en la tenant par les cheveux. Elle s’est encore approchée du gars pour l’embrasser et je pouvais voir son sexe qui perlait. J’ai sorti mon pénis et commencé à le branler, lentement car j’étais hyper excité. Personne ne pouvait me voir sur le terrain, j’étais derrière un buisson. J’ai eu une envie de me mettre complètement à poil, c’était super excitant.
Ils ont inversé les positions et à présent c’est le gars qui faisait un cunnilingus à la fille. Le gars avait un corps superbe, environ 6 pieds, musclé et avec des abdominaux développés. Un beau pénis, environ 8 à 9 pouces. En fait, nous nous ressemblions. J’étais très sportif: ski, tennis, natation et arts martiaux. Et moi aussi j’ai un pénis semblable au sien, aussi long mais le mien est plus gros. J’ai alors réalisé à quel point un cul de gars peut être aussi beau. Cette image est resté longtemps dans ma tête et fût un éveil à ma bisexualité. La fille écartait ses jambes, se caressait les seins, soulevait ses jambes et les tenaient avec ses mains. J’étais tellement proche que j’entendais le bruit de la langue du gars sur le sexe de la fille. La fille se mît sur le ventre, montait ses fesses en gémissant. Le gars écrasa son visage sur son sexe, léchant son sexe et son anus. Sa langue allait dans tous les sens, il était super excité. Après un moment, elle s’installa à quatre pattes, le gars ne lâchait pas son sexe. Il demanda à la fille d’avancer un peu et se plaça derrière elle. Il l’agaça avec son pénis, frôlant son sexe de haut en bas. La fille le suppliait de la pénétrer mais le gars continuait son jeu. Le gars est revenu sentir le sexe de la fille et le lécher, pour le préparer. Il se plaça derrière elle et son pénis trouva l’entrée tout seul. Je me déplaçais pour les voir de tous les angles possibles. C’était comme voir un porno mais sur place.
Je voyais clairement le pénis entrer et sortir du sexe de la fille. Je caressais mon pénis lentement en arrêtant souvent, j’étais sur le bord de la jouissance. Le gars tenait la fille par les hanches pour une pénétration profonde qui faisait réagir la fille à chaque coup. Le gars s’est retiré pour aller mettre son pénis dans la bouche de la fille. Après avoir nettoyé le pénis de son propre jus, elle s’est couchée sur le dos en invitant le gars à se coucher entre ses jambes. Je voyais clairement le pénis se frayer un chemin dans le sexe de cette femelle en chaleur. Je me déplaçais un peu pour les voir de tous les côtés. Bon sang que c’était beau de les voir excités. La fille essayait d’atteindre les fesses du gars pour les caresser et les pousser vers elle. Je l’ai vu se laisser aller pour atteindre son premier orgasme qui a duré longtemps et sans arrêter, un deuxième et un troisième. Peu de temps après, j’entendais le gars lui dire qu’il allait jouir. Elle l’encouragea à jouir en elle, qu’elle voulait sa semence à l’intérieur d’elle. Elle avait les yeux ouverts et semblait attendre de le voir jouir, ce qui ne tarda pas. Le gémissement du gars devenait de plus en plus fort et intense. La fille l’encourageait avec des paroles sensuelles et cochonnes. Je me branlais lentement pour jouir en même temps que le gars. Ce qui fût fait. Le gars a joui longtemps aussi et la fille a eu un autre orgasme…et moi aussi. J’avais du sperme sur ma main et par terre.
Quand le gars s’est relevé, la fille est restée dans sa position, écartée et j’ai put voir le sperme couler le long de ses cuisses. C’était tellement excitant. La fille s’est levée et est allé embrasser le gars pour ensuite plonger dans la piscine. Le gars est allé se chercher une bière avant de rejoindre la fille. Je suis resté encore un moment pour me remettre de mes esprits. Et j’ai bien fait, car la fille a demandé au gars de s’asseoir sur le bord de la piscine et a commencé une nouvelle fellation jusqu’à la jouissance. Je voyais les spasmes du gars en éjaculant, mais la fille ne lâchait pas son emprise de sa bouche sur le pénis. Le gars lui a demandé de ralentir. La fille s’est retiré et ouvert la bouche pour montrer la semence de son mâle avant d’avaler. Je me suis masturbé à nouveau et joui en quelques secondes. Pourtant mon pénis était toujours aussi dur. La fille s’est levée pour aller dans la maison. J’en ai profité pour me rhabiller et m’en aller. Je n’ai rien fait sur le terrain et suis parti pour revenir en fin d’après-midi pour faire mon travail. J’ai fait exprès pour allumer la radio du camion et faire du bruit. Mais ce n’était pas nécessaire, car j’entendais du bruit de l’autre côté, du bruit des jeunes qui s’amusent dans l’eau. Mais le plus surprenant, c’est que j’ai vu le gars tenir une fille par la taille et l’embrasser tendrement devant tout le monde. Ils avaient l’air amoureux, mais ce n’était pas la même fille. Celle-là se faisait bronzer sur la même chaise longue.