Récit #274 – La job d’été

J’ai grandi à Montréal, Laval et à Piedmont, dans les Laurentides, où mes parents avaient une maison de campagne.
Après mon bac, j’ai fait une autre session à l’Université Laval afin de faire ma maîtrise à cette même Université. Durant l’été, j’avais crée mon propre emploi en entretien paysager, aménagement floral et tondre le gazon. J’avais des voisins âgés pour qui j’étais leur sauveur, mais aussi pour m’encourager. Il y avait un monsieur à la retraite qui passait son temps à son condo en Floride et qui finalement mit sa maison à Piedmont à vendre. Mais le marché immobilier était au ralenti et sa maison resta longtemps sur le marché.

Mon oncle me prêtait son pick up Ford Ranger durant l’été pour mon travail. Un jour, je suis arrivé sur le terrain du monsieur qui avait sa maison à vendre. Je me suis garé sur le côté de la maison, sur la partie la plus longue de son immense terrain. J’ai fait le tour pour inspecter le terrain et enlever les branches qui jonchaient le sol. Le gazon était très long et donnait l’image d’une maison abandonnée. En m’approchant du fond de la cour, j’entendis un bruit, des gens qui ricanaient…mais pas seulement. J’entendais un gémissement féminin, ce qui attira ma curiosité. Les deux cours étaient séparées par un mur de cèdre d’environ 3 mètres.

Par un petit trou, je voyais un gars qui était couché sur une chaise longue sur le bord de la piscine. La fille avait placé un coussin par terre et était occupée à lui faire une fellation. Lorsque qu’elle avançait pour lui donner des becs sur ses pectoraux et l’embrasser, je pouvais voir son sexe en position de levrette. Mon pénis a rapidement gonflé au point de me faire mal dans mes caleçons. Le gars tenait sa tête par les cheveux et donnait le rythme. Sans faire de bruit, je me suis déplacé vers eux pour me retrouver juste derrière la fille. J’étais tellement proche que j’avais l’impression de participer aux ébats. La fille grognait en le suçant pendant que le gars lui, fermait les yeux pour mieux apprécier, toujours en la tenant par les cheveux. Elle s’est encore approchée du gars pour l’embrasser et je pouvais voir son sexe qui perlait. J’ai sorti mon pénis et commencé à le branler, lentement car j’étais hyper excité. Personne ne pouvait me voir sur le terrain, j’étais derrière un buisson. J’ai eu une envie de me mettre complètement à poil, c’était super excitant.

Ils ont inversé les positions et à présent c’est le gars qui faisait un cunnilingus à la fille. Le gars avait un corps superbe, environ 6 pieds, musclé et avec des abdominaux développés. Un beau pénis, environ 8 à 9 pouces. En fait, nous nous ressemblions. J’étais très sportif: ski, tennis, natation et arts martiaux. Et moi aussi j’ai un pénis semblable au sien, aussi long mais le mien est plus gros. J’ai alors réalisé à quel point un cul de gars peut être aussi beau. Cette image est resté longtemps dans ma tête et fût un éveil à ma bisexualité. La fille écartait ses jambes, se caressait les seins, soulevait ses jambes et les tenaient avec ses mains. J’étais tellement proche que j’entendais le bruit de la langue du gars sur le sexe de la fille. La fille se mît sur le ventre, montait ses fesses en gémissant. Le gars écrasa son visage sur son sexe, léchant son sexe et son anus. Sa langue allait dans tous les sens, il était super excité. Après un moment, elle s’installa à quatre pattes, le gars ne lâchait pas son sexe. Il demanda à la fille d’avancer un peu et se plaça derrière elle. Il l’agaça avec son pénis, frôlant son sexe de haut en bas. La fille le suppliait de la pénétrer mais le gars continuait son jeu. Le gars est revenu sentir le sexe de la fille et le lécher, pour le préparer. Il se plaça derrière elle et son pénis trouva l’entrée tout seul. Je me déplaçais pour les voir de tous les angles possibles. C’était comme voir un porno mais sur place.

Je voyais clairement le pénis entrer et sortir du sexe de la fille. Je caressais mon pénis lentement en arrêtant souvent, j’étais sur le bord de la jouissance. Le gars tenait la fille par les hanches pour une pénétration profonde qui faisait réagir la fille à chaque coup. Le gars s’est retiré pour aller mettre son pénis dans la bouche de la fille. Après avoir nettoyé le pénis de son propre jus, elle s’est couchée sur le dos en invitant le gars à se coucher entre ses jambes. Je voyais clairement le pénis se frayer un chemin dans le sexe de cette femelle en chaleur. Je me déplaçais un peu pour les voir de tous les côtés. Bon sang que c’était beau de les voir excités. La fille essayait d’atteindre les fesses du gars pour les caresser et les pousser vers elle. Je l’ai vu se laisser aller pour atteindre son premier orgasme qui a duré longtemps et sans arrêter, un deuxième et un troisième. Peu de temps après, j’entendais le gars lui dire qu’il allait jouir. Elle l’encouragea à jouir en elle, qu’elle voulait sa semence à l’intérieur d’elle. Elle avait les yeux ouverts et semblait attendre de le voir jouir, ce qui ne tarda pas. Le gémissement du gars devenait de plus en plus fort et intense. La fille l’encourageait avec des paroles sensuelles et cochonnes. Je me branlais lentement pour jouir en même temps que le gars. Ce qui fût fait. Le gars a joui longtemps aussi et la fille a eu un autre orgasme…et moi aussi. J’avais du sperme sur ma main et par terre.

Quand le gars s’est relevé, la fille est restée dans sa position, écartée et j’ai put voir le sperme couler le long de ses cuisses. C’était tellement excitant. La fille s’est levée et est allé embrasser le gars pour ensuite plonger dans la piscine. Le gars est allé se chercher une bière avant de rejoindre la fille. Je suis resté encore un moment pour me remettre de mes esprits. Et j’ai bien fait, car la fille a demandé au gars de s’asseoir sur le bord de la piscine et a commencé une nouvelle fellation jusqu’à la jouissance. Je voyais les spasmes du gars en éjaculant, mais la fille ne lâchait pas son emprise de sa bouche sur le pénis. Le gars lui a demandé de ralentir. La fille s’est retiré et ouvert la bouche pour montrer la semence de son mâle avant d’avaler. Je me suis masturbé à nouveau et joui en quelques secondes. Pourtant mon pénis était toujours aussi dur. La fille s’est levée pour aller dans la maison. J’en ai profité pour me rhabiller et m’en aller. Je n’ai rien fait sur le terrain et suis parti pour revenir en fin d’après-midi pour faire mon travail. J’ai fait exprès pour allumer la radio du camion et faire du bruit. Mais ce n’était pas nécessaire, car j’entendais du bruit de l’autre côté, du bruit des jeunes qui s’amusent dans l’eau. Mais le plus surprenant, c’est que j’ai vu le gars tenir une fille par la taille et l’embrasser tendrement devant tout le monde. Ils avaient l’air amoureux, mais ce n’était pas la même fille. Celle-là se faisait bronzer sur la même chaise longue.

Récit #274 – Job d’été

Par Normand

De par mon travail, je dois me déplacer dans quelques pays dans le monde, tous au sud. Ça peut sembler agréable d’être dans le sud pendant qu’au Québec, on se gèles les couilles. Dans mon cas, j’aime l’hiver, en fait, j’aime les 4 saisons. Ayant beaucoup travaillé, je me suis toujours promis d’avoir une maison dans les Laurentides, mais pas nécessairement prés d’un lac, mais avec un grand terrain. Aussi, j’ai toujours rêvé d’avoir une Porsche 911 et lorsque j’ai eu une occasion en or, je me suis acheté une 911 4s: 4 roues motrices. De cette façon, je roule aussi l’hiver.

Aussitôt arrivé chez nous, d’un long séjour de travail, j’ai pris ma voiture pour aller dans ma maison des Laurentides. Après une bonne nuit de sommeil, j’ai décidé d’aller skier à Tremblant, simplement pour profiter de ma 911. Je suis arrivé au début de l’après-midi et skié jusqu’au soir. Avant de partir, j’ai fait un saut au Casino. Je ne joue pas, ça ne m’intéresse pas. Mais j’aime l’ambiance et on peut y faire des rencontres, autant sexuelles, qu’amicales. J’aime rencontrer des gens et discuter de tout. J’ai remarqué une femme de dos, longue robe noire, pas moulante. Elle parlait avec une autre femme, aussi élégante et belle. Lorsque je regardais dans leur direction, je matais cette belle femelle séduisante. Son amie a dû lui dire, car elle s’est retournée subitement pendant que mon regard était sur ses formes. Elle m’a souri et aussitôt que j’ai vu son visage, je l’ai reconnue. Elle aussi m’a reconnu. Manon, la plus belle fille de la polyvalente que nous fréquentions.

Malgré ses traits de 40 ans, elle était toujours aussi belle. Nous étions contents de nous revoir à nouveau. Je les ai invitées au bar et avons parlé longtemps, comme il se doit en de telles circonstances. Manon raconta à son amie, que j’étais considéré le plus beau gars de la polyvalente. Je lui ai dit que c’était aussi son cas. Les 2 femmes étaient divorcées depuis peu, surtout pour Manon. Plus tard, alors que son amie voulait partir, je sentais que ce n’était pas le cas de Manon. Je lui ai alors proposé d’aller la reconduire chez eux. Son amie nous a fait la bise et est partie.

Maintenant seuls, notre conversation est devenue plus intime. Elle m’a demandé si je me rappelais que nous avions déjà fait l’amour. Bien sûr que oui, que j’avais adoré son corps, car elle était sportive comme moi. Elle était tout en chair, pas de gras du tout. Elle m’a dit qu’elle se souvenait de mon corps, découpé au couteau avec des abdominaux d’enfer. C’est vrai, mais je n’ai pas de mérite. En secondaire 4, je mesurais déjà 5 pieds 10 et 6 pieds à la fin du secondaire. J’avais un corps en réalité de 20 ans. Par la suite, en plus de tous le sports, j’allais au gym aussi. Non pas pour devenir plus musclé, mais pour maintenir le corps que j’avais. Elle m’a dit aussi qu’elle se souvenait de mon pénis, qu’il était gros. Mon pénis mesure 8’’ mais surtout gros. Nous étions très à l’aise. À sa question, je lui ai dit que je demeurais dans l’ouest de Montréal, mais que je venais passer la fin de semaine à mon autre maison à Piedmont, à côté de Saint-Sauveur. Sachant que j’étais célibataire, elle se demandait à comment pouvait bien ressembler une décoration masculine. Cas classique, ce n’est pas la première femme qui me demande cela. Je lui ai demandé de venir chez moi et serions plus à l’aise pour prendre un verre. J’ai un cellier bien rempli. Qu’il y a une chambre d’invités si elle désire y passer la nuit. Elle a acceptée avec un sourire et s’est mordue la lèvre, c’était tellement sexy.


Elle m’a complimenté sur ma voiture, que c’était aussi sa voiture sport préférée. En roulant, je la voyais se frotter doucement sur le siège de la voiture, l’ambiance était magique. Arrivé à la maison, je lui ai fait visiter avant d’aller nous installer devant le foyer au bois et avec une bouteille de vin blanc. Notre conversation est devenue encore plus intime, plus directe. Nous savions ce qu’il allait arriver. Comme nous avions fait su ski, je lui ai proposé d’aller prendre une douche et qu’elle pouvait laver ses vêtements. Elle m’a proposé de la prendre ensemble. Nous nous sommes déshabillés en même temps avant d’entrer dans la douche. Son corps était parfait. La douche est grande et très éclairée. Manon est partie à rire en voyant mon pénis en érection. Il était encore plus gros que dans ses souvenirs.

J’ai laissé Manon contrôler la température de l’eau c’est-à-dire, très chaude. Autre cas classique, elle m’a demandé de lui frotter le dos. Sa peau était tellement douce. Je me collais à elle, à peine pour qu’elle sente mon pénis frotter contre son corps. Pendant que je lui lavais le dos, elle a prit mon pénis en le caressant doucement. J’embrassais son cou et ça lui donnait des frissons. Elle s’est retournée et nous avons commencé à nous embrasser passionnément. Elle arrêta net, m’a plaqué au mur avant de se mettre à genoux et commencé à me sucer en grognant. Il n’y a pas à dire, c’est une experte de la fellation. Après quelques minutes de cette torture, à mon tour, je l’ai plaqué au mur, sur le ventre. Je mordais ses fesses dures, ma langue chatouillait son anus, dont je savais qu’il n’était pas vierge. C’était excitant de l’imaginer se faire sodomiser. Je donnais des coups de langue partout sauf son sexe. Elle se tordait de plaisir, mais quand j’ai commencé à la lécher, je goutais à la fois l’eau et son jus, son sexe était en feu.

Arrivés à mon lit, elle s’est couché et a demandé un 69. Pendant qu’elle me suçait, elle a commencé à caresser mon anus. Elle entrait seulement le bout de son doigt et je lui ai fait la même chose. Elle s’est couchée sur le ventre et écartée les jambes, son sexe était superbe, avec un petit triangle de poils. Elle m’a demandé si j’avais un préservatif. J’ai pointé le tiroir à côté d’elle et elle me l’a enfilé. Avant de la pénétrer, je l’ai embrassé, sa bouche avait changée, je sentais ses lèvres gonflées. Quand j’ai commencé à la pénétrer, elle a ouvert sa bouche et semblait apprécier mon pénis. Elle m’a dit à l’oreille, qu’elle adorait mon pénis. Elle remontait davantage ses jambes pour une pénétration plus profonde en poussant sur mes fesses. Elle était tellement mouillée, que je sentais son jus descendre le long de ses fesses et ça faisait un bruit de succion. Je sortais mon pénis pour manger ses seins et puis la pénétrer à nouveau. Sa jouissance est devenue plus rauque, plus intense. Elle a eu un orgasme à faire réveiller les voisins, sauf que mes voisins sont loin. J’adore voir et entendre une femme jouir. Un deuxième orgasme, plus petit, puis un troisième, sans prendre de pause.

Je lui ai demandé de se mettre à quatre pattes. J’adore prendre une femme par derrière, j’aime voir de haut mon pénis disparaître en elle. Pendant que je la pénétrais, je caressais son anus, jusqu’à entrer mon doigt presque en entier. J’utilisais son jus, visqueux, comme lubrifiant anal. Elle m’a suppliée de remplacer mon doigt par mon pénis. Chose faite. Son anus était encore serré et j’éprouvais beaucoup de plaisir. Je la tenais par les hanches et j’entrais mon pénis en entier. Manon jouissait très fort et m’a demandé d’accélérer. Manon se cambrait, se mordillait les lèvres et sortait sa langue. Je ne sais pas combien de temps cela a duré, mais je n’ai pas pût me retenir et j’ai joui dans son cul. J’étais épuisé, même si je suis en forme. Je me suis couché sur le dos pour reprendre mon souffle et enlevé mon préservatif. Plus tard, devant le foyer et pour me remercier de ma performance, elle m’a sucé et j’ai joui dans sa bouche. Elle a tout avalé et ensuite a pris une gorgée de vin. Quelle baise. Elle est devenue une de mes maitresses et moi son amant. Je lui ai dit que je fréquentais 2 autres femmes. Elle aussi avait un amant. Nous nous voyons au moins toutes les semaines. Comme mes maitresse n’ont pas leur règles en même temps, je ne manque jamais de sexe, mais toujours avec un préservatif.