Récit #267 – Marie – Partie 28 – Soirée détente

Par Electra

Marie – Partie 28 – Soirée détente

Marie se lache !Après l’histoire du séminaire, elle se lance dans l’écriture d’ une autre aventure qu’elle a caché a Bertrand , boite de nuit.Un soir dont Marie se souvient bien.

Je me souviens que c’était une journée longue et difficile, inventaire et j’étais a cran quand j’ai quitté la boutique, j’avais besoin de me défouler! après être rentrée pour me changer, j’ai décidé de passer la soirée dans la nouvelle boite qui venait d’ouvrir en centre ville.

Je voulais danser, me donner a fond pour me détendre et bien sur, peut être…plus ! Après quelques minutes, un mec est venu me tourner autour sur la piste de danse J’avoue que avec mon pantalon en cuir moulant ,mon chemisier et mes talons , j’étais très sexy !

Du coin de l’œil, j’ai commencé a l’observer, peux être un bon coup? C’est vrai qu’il n’est pas mal avec un beau petit cul bien moulé dans un pantalon serrant !Et puis on peux se défouler autrement qu’en dansant !
J’ai donc décidé de le chauffer un peu en m’approchant , et plus je m’approche, plus je pense « que je me le ferais bien »

Nous dansons l’un contre l’autre, ses grandes mains sur mes fesses, chaud ! et je devine a travers son pantalon, qu’il n’est pas insensible a mon charme. Après un moment de frottis frotta, il est de plus en plus chaud!!Et moi cela me plaît !!
Il m’a murmuré a l’oreille

  • Viens, je connais un endroit tranquille

Et je l’ai suivi. Une porte de secours qui donne dans une ruelle discrète , il me pousse contre le mur.
A ce moment deux autres hommes apparaissent, il n’est pas venu seul, le coquin, et veut manifestement me partager avec ses copains !Piégée !!

Pourquoi pas ! Et cela m’excite encore plus !! Ils ont descendu leurs braguettes,sorti leurs bites j’ai compris. Je m’agenouille devant leurs queues tendues, ils m’attrapent les cheveux et s’enfoncent tour a tour entre mes lèvres ouvertes jusque dans ma gorge, je me prends trois giclées de sperme chaud dans la bouche et sur mon visage.

Puis L’un deux m’a plaquée face contre le mur, descendu mon pantalon arraché mon string et ma baisée brutalement, mais j’aime!!Et puis le deuxième le remplace, Humm!!belle pièce, je la sent bien dans ma chatte!Le dernier préfère m’enculer, bien profond !Et ils ont remis ça !!
Ils m’ont défoncés tous les trois ! Par tous les trous !

Les trois gars ont proposés de me reconduire chez moi, j’ai accepté,sachant très bien ce qu’ils voulaient, mais moi aussi j’en avais envie ,encore envie de ces trois hommes , rien que pour moi ! Pour cette soirée et Puis Bertrand n’était pas la !Alors…

je n’ai pas été déçue ! A peine arrivés, ils ont arraché le peu de vêtements qu’il me restait, et pendant deux heures, j’ai été a leur merci, et la aussi j’ai aimé !! Ils m’ont léchée, doigtée,oh ouiii !! baisée et rebaisée,enculée debout dans le couloir, sur le tapis du salon. J’avais une queue parfois deux a la fois dans ma bouche ou dans mon cul !

Ils sont partis au petit matin, me laissant nue sur le lit, complètement « ravagée » mais ravie de ce moment très …chaud !

Je ne dirai rien à Bertrand

Récit #266 – L’interprète

Par Élodie Parent

Après une vingtaine de minute debout dans la file, j’arrive finalement au bout. Je sors mon passeport de sa poche et je le garde dans les mains lorsque finalement je vois un des douaniers me faire signe. Je m’approche, glisse mon passeport sous la vitre.
— Purpose of your trip? (Le but de votre voyage ?)
— Business

Il ouvre mon passeport, regarde ma photo, regarde mon visage. Il tourne quelques pages, il regarde mon visa chinois. Il prend un tampon et il le presse soigneusement sur la page d’à côté.
— Don’t loose this, dit-il en insérant une feuille dans mon passeport. This is your exit visa. (Ne perdez pas ceci, c’est votre visa de sortie.)
— Thanks (Merci)

Je m’avance avec ma valise dans le terminal, j’arrive finalement à un endroit où les Wuhanais attendent leur proche. Je continue de marcher. Finalement, j’aperçois mon nom, Mylène, sur une affiche tenue par une femme vêtue d’un veston-cravate. Je m’approche.
— Hi. That’s me, dis-je en pointant son écriteau. (Bonjour, c’est moi !)

Son regard se tourne vers moi. Elle fige.
— Hi ? dis-je en répétant. Are you my chauffeur? (Bonjour, êtes-vous mon chauffeur.)
— No English, finit-elle par dire. French !, lance-t-elle après avoir hésité quelques secondes.
— Français ! dis-je en riant. Je ne m’attendais pas à ça ! Lorsque Mr. Zhāng m’a écrit qu’il m’avait envoyé un chauffeur, je ne me doutais pas qu’il ferait l’effort d’en trouver un qui parle français.
— Je suis aussi votre interprète, dit-elle avec un léger accent, à mi-chemin en le français de France et le français international, tout ça mélanger avec quelque syllabe déformée par des tonalités mandarines.
— Interprète ? C’est vraiment nécessaire ?
— Oui. Mr. Zhāng ne parle ni français ni anglais. Comme la plupart des Chinois.
— Vous en êtes sûre ? J’ai parlé en Anglais avec lui en vidéoconférence il y a quelques jours…
— Vous n’avez probablement que parlé à son assistant.
— Ah, dis-je un peu surprise.
— Et en plus, votre hôtel n’est pas dans le quartier international. Il se trouve près du siège social de la compagnie. Vous ne pourrez pas fonctionner sans mon aide.
— Bon bien… Je vous suis.

Nous marchons dans l’aéroport.
— Vous ne m’avez pas dit votre nom, lui fais-je remarquer.
— Cài Yán.

J’essaie de répéter correctement son nom, mais elle finit par me dire :
— Mais vous pouvez m’appeler Ambre. C’était le nom que mon professeur de français me donnait.
— Pourquoi ?
— C’est à cause mon nom chinois. Ça ressemble au mot chinois qui signifie pierre d’Ambre.
— Très poétique, commente-je. Et ça correspond à la couleur de vos yeux, ajoute-je après une petite pause.

Elle se retourne, me fait un sourire gêné. Puis, elle me demande de l’attendre à l’entrée du stationnement alors qu’elle part chercher la voiture. Elle revient quelques minutes plus tard avec une luxueuse voiture noire, d’une marque qui m’est inconnue. (Le nom de la marque étant écrite entièrement en caractères chinois.)

Lorsque nous arrivons à l’hôtel, je comprends ce qu’elle a voulu dire : tout est écrit en chinois, rarement en pinyin, l’écriture phonétique chinoise. Le personnel de l’hôtel ne parle pas un mot d’anglais. Et c’est finalement elle qui s’occupe de tout faire : leur présenter mon passeport, changer mon argent canadien en rénmínbì.

Même s’il n’est que 15 h, comme j’ai fait 14 heures de vol, je suis très fatiguée… Surtout que je dois rencontrer Mr. Zhāng le lendemain matin. Ambre commande mon souper, une soupe de riz, et elle le fait livrer à ma chambre. Elle me donne son numéro de téléphone pour l’appeler en cas d’urgence. Et elle part.


Le lendemain, il est 23 h lorsque la porte de ma chambre se referme derrière Ambre et moi.
— Dieu merci t’étais là, lance-je en m’effondrant sur le lit, un peu saoule d’avoir trinqué durant le souper. Je ne sais pas que ce que j’aurais fait sans vous… sans toi… Je peux te tutoyer ?
— Oui, oui, dit-elle souriant faiblement.
— C’était quoi déjà le nom de ce qu’on a mangé au déjeuner ?
— Règānmiàn. Je ne crois pas qu’il y aille de mots pour ça en français.
— Il faut absolument qu’on retourne en manger demain !
— Si vous… Si tu veux.

Elle se prépare à partir.
— Heille, c’est quoi ton numéro de chambre ? lui demande-je.
— Je n’ai pas de chambre.
— Ah. Tu retournes dormir chez toi ?
— Non, dit-elle un peu mal à l’aise. J’habite de l’autre côté de la ville. C’est environ à deux heures de route s’il y a du trafic. Je n’ai pas les moyens de me louer une chambre. Alors, je dors dans la voiture.
— Non… dis-je surprise. Et moi qui ai une chambre avec un lit queen… Il est assez grand pour deux. Dors ici, lui dis-je.
— C’est gentil, mais…
— Je n’accepterais pas de non. Ça n’a pas de bon sens. Dormir dans la voiture. C’est décidé. Tu dors ici, dis-je en donnant une tape sur le lit.


Une demi-heure plus tard, je suis assise sur le lit, je parle avec ma sœur. C’est le matin pour elle. Je lui raconte mon voyage. Lorsque je vois Ambre sortir de la salle de bain, portant une robe de chambre blanche, j’en profite pour glisser, sans que ça sonne faux, dans la conversation comment chanceuse je suis d’avoir une aussi bonne interprète pour me guider dans mon voyage d’affaires.

Dès qu’elle s’assoit sur le lit, de l’autre côté, je souhaite bonne journée à ma sœur et je raccroche. Ambre semble un peu mal à l’aise, mais j’essaie de la mettre à l’aise en parlant un peu avec elle. Et après quelques minutes à être timide, elle finit par s’ouvrir. Nous parlons d’un peu de tout : nos parcours académiques et nos carrières. Et nous finissons par nous endormir vers deux heures du matin.

Le lendemain, nous nous réveillons un peu tard, alors nous nous dépêchons à nous rendre pour continuer les négociations avec Mr. Zhāng. Et ça continue jusqu’en soirée autour d’un autre repas arrosé.

Lorsqu’on arrive à l’hôtel et qu’on commence à se préparer pour prendre la douche. Je lui demande :
— Est-ce que ça va être comme ça tous les jours ? Le souper avec les tournées de « Campaille »
— Gānbēi ? Tu veux dire du Baijiu. Oui, c’est la tradition. « Gānbēi », ça se traduit grossièrement en « Santé »
— Est-ce qu’il y a une manière d’y échapper ?
— Pas vraiment… Tu ne peux pas vraiment refuser un toast. Ça serait mal vu. Mon truc, c’est de boire l’équivalent en eau entre chaque toast.
— Je vais essayer ça demain, lance-je. Toi, t’es chanceuse au moins… T’as l’excuse que tu conduis.

Je m’assois sur le lit. Je me passe la main dans les cheveux. Ambre me regarde, je sens qu’elle veut dire quelque chose, mais qu’elle hésite. Je lui fais un petit sourire, un regard interrogateur pour l’inciter à parler.
— Je n’ai pas osé le dire devant eux… Parce que j’ai l’impression que Zhuo, son assistant, même s’il ne parle pas français, j’ai l’impression qu’il comprend un peu. La contre-offre qu’ils t’ont faite aujourd’hui. Refuse-là. Elle est trop haute. Avec cette offre-là, sa marge bénéficiaire serait aux alentours de 40 %. Alors que la norme, c’est plus 32 ou 33 %. Je ne sais pas s’ils iront jusque-là. Mais chose certaine, tu peux les faire baisser.
— Comment tu le sais ? demande-je en me redressant.
— Secret, dit-elle avec un petit sourire, accompagné d’un discret clin d’œil.
— T’est sûre ? Parce que moi, je m’apprêtais à faire un rapport à mon boss pour lui recommander d’accepter.
— Sûre, confirme-t-elle.
— Assieds-toi, lui dis-je en donnant une petite tape sur le lit.

Elle hésite, mais s’assoit lentement.
— Comment tu le sais ? répéte-je.
— Je ne peux pas.
— On a parlé hier. Tu n’as pas de background en affaire, ou en manufacturation… ou en électronique. Tu l’as dit hier quand je t’ai demandé tu avais étudié en quoi. Tu as dit que tu maitrisais juste le vocabulaire, rien d’autre.

Ambre commence à rougir.
— Parle ! dis-je.
— Mais tu promets de ne pas le dire ? Je risque mon travail, ma réputation si ça vient à se savoir.
— Promit.
— Les courriels.
— Quels courriels ?
— Je me suis retrouvée en copie des courriels que Mr. Zhāng et ses assistants échangent… Je sais ce qu’ils se disent entre eux. Ils ont probablement oublié que j’ai été ajouté dans le fil de discussion quelques jours avant que vous arriviez.
— Et pourquoi tu me dis tout ça ? C’est eux qui t’ont engagé, qui te paient…

Ambre rougi de nouveau.
— Et bien… Tu as été généreuse avec moi. Je suis plutôt habitué à ce qu’on me considère comme une personne de seconde classe, étant uniquement là pour faire la traduction. Tu m’as même invité à dormir dans ta chambre, dans ton lit…

Elle prend une pause. Et elle ajoute :
— Et il y a le restaurant.
— Le restaurant ?
— Ce matin, ils ont appelé mon agence. Et ils ont fait retirer de mon salaire ma « part » du souper d’hier. 250 rénmínbì.
— Tu veux dire…
— Et oui… Ils m’ont fait payer. Ils n’ont pas osé me le demander devant toi. Mais apparemment, je n’étais pas invitée.
— Oh my god… C’est cheap ça !
— En effet… Alors… Prends mon « conseil » comme une manière de prendre une petite revanche sur eux.
— Merci ! T’es tellement bonne !

Elle rougit encore un peu plus.

Je me lève, je sors mon laptop de mon sac, et je commence à écrire un courriel à mon boss. Je remarque que Ambre reste debout devant moi, me regarde.
— Tu peux te déshabiller, lui dis-je en levant les yeux.
— Pardon ?
— Pour la douche. Tu peux prendre ta douche en premier, corrige-je un peu gênée. Désolée de la confusion. J’ai peut-être un peu trop bu… Je… Je veux absolument envoyer ce courriel le plus tôt possible.


Quelques jours plus tard, Ambre et moi, nous rentrons dans notre chambre. On se regarde tout sourire.
— C’est quand même étrange qu’aujourd’hui, ils se soient trouvé une excuse pour nous faire faux bon pour le souper… Je dois avoir négocié trop serrer, ajoute-je en lui faisant un petit clin d’œil.

Je m’assois sur le lit.
— Mais bon. Notre souper en tête-à-tête était bien plus agréable que ces gigantesques soupers où tout ce monde-là parle fort, qu’on me sert des plats que j’ai aucune idée de ce que c’est et qu’ils passent leur temps à essayer de me saouler avec le baijiu.

C’est à ce moment que le téléphone d’Ambre se met à sonner pour lui signifier qu’elle a reçu un message texte. Elle le lit rapidement.
— Ah. Message de mon agence. Je ne suis plus, officiellement, ton interprète. Mr. Zhang a contacté l’agence. Effectif dès maintenant, mon assignation est terminée.
— Mais je repars dans 2 jours !
— T’inquiète. Je vais quand même rester avec toi. Je te dois bien ça.
— Non, non… Tu ne me dois rien. Avec le deal qu’on vient de finaliser, j’ai réussi à faire sauver plusieurs millions à mon employeur par rapport à ce qu’on estimait initialement. C’est tellement moi… nous… qui te sommes redevables. Je vais en glisser un mot à mon boss. On va te rembourser tous les repas qu’ils ont retirés de ta paie. Tsé quoi. Pas juste les repas. Fais-moi une facture. Toutes tes heures de mon arrivée jusqu’à mon départ dans deux jours. On va te les payer.

Cette fois, c’est autour de mon téléphone de sonner. Sauf que c’est une sonnerie spéciale. Celle qui signifie que j’ai reçu un courriel de mon boss. J’ouvre son courriel avec empressement.

Mylène,

Je vais être honnête. Tu m’as impressionné. Tu as négocié de main de maître. Et c’est pourquoi après en avoir discuté avec l’équipe de la haute direction, nous avons pris la décision de te nommer Directrice de la chaîne d’approvisionnement…

Je suis tellement excitée en lisant ces mots que je suis incapable de continuer de lire. Je bondis debout. Je cri de joie. Ambre me regarde perplexe.
— Oh… mon… dieu… Je viens tout juste d’avoir une promotion. Je suis directrice !

Ambre commence à sauter avec moi. Nous nous donnons une longue accolade. Lorsque je commence à me calmer, je finis par m’assoir sur le lit. Je pousse un long soupir.
— Demande-moi tout ce que tu veux, lance-je.

Elle s’assoit à côté de moi. Elle glisse un peu vers moi jusqu’à ce que nos cuisses se touchent. Elle se passe une main dans les cheveux.
— Embrasse-moi.

Je fige.
— Quoi ? demande-je ébahit.
— Depuis que tu es arrivée… tu n’as pas cessé de flirter avec moi.

Il y a un petit silence où je me repasse les derniers jours dans ma tête. Mais elle me prend de vitesse en n’énumérant ceux qui l’ont marqué :
— Les remarques sur la couleur de mes yeux, les compliments, le tutoiement, partager ton intimité, notre longue marche sur le bord du Dōng Hú après notre souper en tête à tête de ce soir…

J’ai envie de lui répondre que je suis uniquement chaleureuse de nature, que je n’avais pas l’intention de la séduire. Mais avant que je puisse répondre quelque chose, elle ajoute :
— Je sais que ce type de relation n’est pas tabou d’où tu viens… Contrairement à ici… Je… Je veux essayer… Avec toi.

Je bafouille quelques sons, même pas quelques mots. Je pose une main sur sa cuisse. Je penche la tête. Elle aussi. Je commence à approcher mon visage du sien, je ferme les yeux. Et nous nous embrassons. C’est plutôt timide, maladroit. Ça dure quelques secondes. On se regarde quelques secondes, on se sourit toutes les deux. Je glisse une main dans son cou, à la base de ses cheveux, et je lui donne un autre baiser.

Nous retirons nos vestons lentement sans nous quitter des yeux, et nous nous couchons de côté sur le lit. On recommence à s’embrasser tendrement. Elle me caresse le bras, les hanches. Je lui caresse le cou, les cheveux.

Après quelques minutes, je sens sa main sur mes hanches descendre sur une de mes fesses. Entre deux baisers sur la bouche, je finis par lui demander :
— Veux-tu que j’enlève mes pantalons ?

Question qui l’embête un peu. Devant son hésitation, je lui donne un petit baiser dans le cou et je lui chuchote :
— C’est correct si tu ne veux pas aller plus loin. Je comprendrai.
— Oui, finit-elle par dire.
— Oui, quoi ?
— Oui… Enlève ton pantalon ! lance-t-elle avant de me donner un autre baiser sur la bouche.

Je me lève lentement. Je lui fais dos. Je déboutonne mon pantalon. Je bouge les hanches et je le fais descendre lentement sur le sol. Je l’entends glousser. Lorsque je tourne la tête, je la vois, assise, qui se mord délicatement la lèvre. Elle détache son pantalon elle aussi. Je l’aide à le retirer en tirant le bas de celui-ci. Ensuite, je lui retire ses chaussettes et les miennes. Et je grimpe de nouveau dans le lit.

Je m’assois devant elle, j’écarte les jambes et je m’approche d’elle. Alors que j’enroule mes jambes autour du creux de ses reins. Elle recommence à m’embrasser partout : sur la bouche, dans le cou, les lobes d’oreilles. Elle détache quelques boutons du haut de ma chemise et elle me donne des baisers sur les épaules. Ses mains se fraient dans ma chemise, elles me caressent les hanches, le ventre, le dos.

Lorsqu’elle essaie de détacher le reste des boutons de ma chemise, elle le fait avec tellement d’empressement, qu’elle arrache le dernier par accident. Elle chuchote un petit « Oups » avant de me donner un autre bec. Elle sort mes seins de leurs bonnets alors que je dégrafe mon soutien-gorge. Elle embrasse mes seins, les caresse avec sa langue pendant quelques instants.

Puis, elle donne de petits baisers sur mon décolleté, mon cou, le menton avant d’atteindre ma bouche de nouveau. Mais cette fois, je me risque à sortir la langue. Ça la surprend un peu, mais une fois la surprise passée, je la sens desserrer les lèvres et on échange un long french.

Lorsque nos lèvres se séparent, elle se penche un peu. Elle baisse un peu le regard vers ses seins, une manière de m’inciter à détacher sa chemise. Je choisis de commencer par celui du milieu, je le défais lentement. D’un geste rapide, je glisse les doigts de mes deux mains dans la fente et d’un coup sec, je fais sauter tous les boutons de sa chemise, à l’exception de celui du bas que je fais sauter après un deuxième coup.

Je la regarde. Je lui glisse un petit « Oups » avec un petit clin d’œil, ce qui la fait pouffer brièvement de rire. Nous nous enlaçons de nouveau et pendant que nous nous frenchons et je lui dégrafe le soutien-gorge, que je lance au pied du lit.

Je me penche sur elle, je pose mes mains sur ses hanches et je lui caresse les seins avec ma langue. Puis, une de mes mains descend et se glisse dans sa petite culotte. J’ai à peine le temps de sentir quelques poils pubiens que je la sens sursauter.
— Je suis allée trop loin ? lui demande-je.
— Non, finit-elle par soufflé. J’ai juste été surprise.

Elle se couche sur le lit. Je m’étends à ses côtés. Nous échangeons un autre french. Cette fois, alors que nos langues s’enroulent l’une contre l’autre, elle prend ma main et la glisse dans sa petite-culotte. Instinctivement, je courbe l’index et je finis par écarter ses lèvres intimes qui regorgent de mouille.

Elle sursaute de nouveau, pousse un gémissement sourd.
— Je peux… commence-je.
— Non ! Continue ! Continue !

Je caresse de nouveau sa chatte avec mon index, mon majeur. Elle se crispe avant de lancer quelques mots en mandarin. Puis de lancer en français : « Continue ! »

Je la caresse lentement avec mes doigts. Puis, après quelques secondes, je la sens qui lève le bassin, elle agrippe sa petite culotte qu’elle retire rapidement et la lance au loin. Alors que je continue de la caresser, je la vois qui se tortille, qui se caresse les seins avec ses mains, se mord les lèvres. Je vois même une coulisse de sueur lui glisser du front.

Après quelques minutes à la caresser, je me risque. Je m’installe par-dessus elle. Je lui donne un baiser, puis je commence à descendre le long de son corps. J’embrasse son cou, ses seins, ses abdominaux, puis je m’étends la tête entre ses jambes. Je lui donne un petit bec sur l’intérieur des cuisses. D’abord à droite. Ensuite à gauche.

Puis j’échange un regard sensuel avec elle. Je penche la tête. Et je pose ma langue contre sa chatte. Elle sursaute de nouveau. Mais elle me lance : « Recommence ! » presque immédiatement.

Je pose de nouveau ma langue contre sa chatte humide. Elle pousse un nouveau gémissement rauque, suivi de quelques mots en mandarin. En poussant un peu avec le bout de ma langue, j’écarte ses lèvres intimes et lèche l’intérieur de son intimité. Ce qui la fait réagir vivement. Mais elle me supplie de continuer.

Je continue de la lécher pendant plusieurs minutes. Jusqu’à ce qu’elle finisse par pousser un puissant cri de jouissance. Suffisamment fort pour me faire sursauter.

Ambre, reste couchée sur le lit, encore euphorique de l’orgasme qu’elle vient d’avoir. Je me colle contre elle. Je lui donne des baisers sur l’épaule.

Finalement, nous restons comme ça, en silence, blotties comme ça jusqu’à ce qu’on s’endorme toutes les deux.


Le lendemain matin, je suis réveillée alors que je sens une main me caresser les cheveux. J’ouvre les yeux lentement. Ambre est là, elle me sourit, elle se penche pour m’embrasser.
— Bon matin, me dit-elle.
— Bon matin, répondis-je en m’étirant les bras.
— Qu’est-ce que tu veux faire aujourd’hui ? me demande-t-elle d’une voix douce.
— Je ne sais pas, dis-je. Toi ? Qu’est-ce que tu veux faire ?
— Je… Je veux passer la journée au lit, dit-elle avec un large sourire. Avec toi, complète-t-elle.
— Excellente idée.


Alors que je sors à peine des douanes internationales de l’aéroport de Montréal-Trudeau, je sors mon cellulaire de mon sac, je l’allume. Je reçois immédiatement quelques messages textes d’Ambre que je m’empresse de lire. Alors que j’avance dans le terminal, commençant à lui écrire ma réponse, je croise ma sœur qui est venue me chercher pour me reconduire chez moi.

Mon premier réflexe est de coller mon téléphone contre ma poitrine.
— À qui tu textes ? me demande ma sœur d’un air espiègle.

Elle devine qu’il y a quelque chose que je lui cache.
— Je connais ça ce regard-là, dit-elle avec son air interrogateur. Tu t’es fait un nouveau chum… Pis tu ne me l’as pas dit!
— Tu promets de garder le secret ?
— Oui!
— Je crois que je me suis fait une blonde, dis-je avec un petit sourire.

Récit #265 – La randonnée en montagne

Par Monroe

Ce soir je prépare ce dont ont à besoin pour notre hiking de demain. Nous allons monter le Mont-Megantic, nous partirons au début de la nuit pour voir le soleil se lever quand nous seront au sommet. Je m’assure d’avoir tout ce que nous aurons besoin dans nos sacs : eau, barre tendre, lampe frontale.. J’ajoute aussi au passage quelques petits jouets sexuels 😉

Nous devons nous coucher tôt mais ça ne m’empêche pas de faire ma cochonne avant de se coucher. Aussitôt dans le lit, je me frotte la chatte sur son pénis qui devient de plus en plus dur et moi je deviens toute mouillée. Hummmm j’ai juste envie de la mettre dans ma bouche, de lui léchér les couilles. Il me tient la nuque et me tire les cheveux pendant que je lui aspire son engin, je le sens qu’il va venir, donc je le supplie pour recevoir sa semence dans ma bouche, je veut sentir la chaleur de son sperme sur ma langue 😛

Pendant que j’avale le tout, il se met à me doigter afin de stimuler mon point G ensuite, il me lèche le clito comme je suis très sensible de là je vient en moins deux. Nous nous plaçons en doggy et il commence à mettre sa grosse graine dans mon vagin et fait de petits aller-retour, ce qui me fait gémir de plaisir. Ensuite il accélère le rythme et y va le plus profond possible, j’adore quand je sens ses mains se balader sur mon corps, il me masse les seins, descend ses mains et effleure mon dos. J’ai des frissons instantanés.

Nous changeons de position: lui sur le dessus et moi sur le dos. Il joue un peu avec mon clito et ma chatte. Il entre dans moi et me tient les mains pour avoir le contrôle. Il le sait, j’adore me faire dominer pendant que nous faisons l’amour. Je le sens, il va venir bientôt. J’en profite pour me lâcher lousse et je joue avec mon clito. Il me vient dessus : la sensation de son sperme chaud sur ma poitrine me fait jouir si fort que nous laissons quelque cris s’échapper.

Nous allons dans la douche et allons nous coucher. À deux heures du matin, le réveil sonne. Nous prenons notre café et nous nous préparons à partir pour notre hiking. En chemin, nous arrêtons se prendre à déjeuner et de retour sur la route, après avoir déjeuné, j’avais des idées un peu coquines… Je mis quelque chansons qui m’excitent comme  » Fuck me  » du film 365jours, la chanson thème de 50 nuances de Grey. Je fus très excitée rapidement. Je me mit à le regarder et me mordre la lèvre afin qu’il voit comment j’était horny… il se mit à me faire un sourire coquin et me masser les seins. Je lui dis que je lui réserve sur surprise plus tard 😉

Arrivé au mont vers 4h30AM.

Nous nous préparons pour notre randonnée. Arrivés sur le haut de la montagne, ont s’assois sur le banc, question de reprendre notre souffle et de contempler la vue magnifique avec le soleil qui se lève au loin. Il est maintenant 5h30 du matin.

J’ai la libido dans le tapis donc je commence donc à me caresser, il me voit apres quelque minutes et je peux voir qu’il commence à avoir une bonne érection. Je lui ordonne de ne pas me toucher, que c’est moi qui domine cette fois ci. J’ouvre mon sac et je sors un petit jouet sexuel. Je commence à le lécher et le mettre dans ma chatte déjà bien humide. Je fais quelque petit vas-et-viens, je me suis caresser devant ses yeux et je gémissait de plaisir à ses côtés lorsqu’il se dépêche de me prendre pour mettre sa grosse queue en moi.

Il n’en pouvais plus, il voulait lui aussi me faire jouir. Il m’empoigna les poignets pour prendre le contrôle de mon plaisir. Les claquements vifs et rapides me rendent tellement excitée. Après deux minutes, il se mit derrière moi et m’empoigna la poitrine, tandis que je me déhanchais sur lui. Je lui dit que je n’en peux plus, je sais que je vais jouir! Je lui demande de me faire venir fontaine avec ses doigts. Je m’assois sur le banc, avec ses doigts et il me stimule le point G et le clito avec mon vibromasseur de succion. Ses gestes vont de plus en plus vite et j’explose. Je vient quelque bons jets et il met ton visage devant mon sexe pour en avoir plein la bouche.

Je ne peux résister à l’envie de prendre sa grosse queue tout entière dans ma bouche… Ma langue fait tourne autour de son gland et mes lèvres l’embrassent en entier. Je caresse ses testicules. J’accélère le rythme, je veux goûter son liquide chaud, amère et si bon. Il laisse sortir quelque gémissements, puis ma bouche se remplit de sa semence. Pour être certaine qu’il ne reste rien je continue quelque secondes et je lèche doucement pour bien nettoyer et ne rien laisser derrière. hummmm J’adore chaque relation sexuel que nous avons, nous connaissons bien nos corps et nos préférences.