Récit #109 – La pipe du soir

Je commence par des petits baisers dans le cou, tout en passant mes ongles doucement le long de ton corps, et je descends lentement en donnant des baisers le long de ton torse, passant ma langue doucement et lentement.  Je passe mes ongles juste à côté de ton sexe, mais sans le toucher, pour descendre sur tes cuisses pendant que ma bouche s’attarde sur ton ventre, les doigts et mes ongles remontant doucement à l’intérieur de ta cuisse, touchant doucement tes fesses et effleurant tes couilles. Ma langue passe juste à coter de ta queue, juste assez pour que tu sentes mon souffle. Ma joue touche légèrement ton gland pendant que ma bouche va de l’autre coter de ton sexe en érection grandissante.

Je me place entre tes jambes en te fixant dans les yeux, je passe les deux mains de ton torse vers ton ventre et je lèche ta queue de la base jusqu’au gland. Mes mains rejoignent ma bouche contre ton sexe. Je pose une main sur le lit pour me stabiliser et je prends ta queue, grosse et lourde de son érection de mon autre main à la base. Je fais une pression avec ma main et je descends les lèvres le long de ton érection. Arrivée à la moitié de ta queue, je remonte ma main et je commence une combinaison de masturbation et de succion avec ma bouche pour te rendre fou. Ma langue danse le long de ton gland pendant que je te masturbe lentement et longuement.

Je laisse couler de ma salive le long de ta queue pour me faciliter la tâche et je commence à enfoncer ton sexe dans ma bouche.  À un certain point, ton gland touche le début de ma gorge Tu penses alors que je vais ressortir ton sexe de ma bouche, mais non, lentement j’enfonce ta queue plus profondément. J’ouvre ma gorge contre ton gland et je le laisse entrer.  Mes lèvres touchent la base de ta queue en forte érection. Et puis, d’un seul coup, ta queue est complètement au fond de ma gorge et je lève les yeux pour te regarder. Tu laisses sortir un soupir de plaisir et pendant que je ressors ta queue qui grossit encore plus dû au plaisir. Je passe mes ongles contre ton torse encore une fois.

Puis je commence à te sucer vigoureusement tout en te masturbant. Tu pousses encore des soupirs de plaisir sans pouvoir te contrôler. Je te masturbe rapidement pendant que je descends ma bouche sur tes couilles et je les mets les deux dans ma bouche. Je les suce et tire légèrement dessus pendant que ma main va de la base de ta queue jusqu’au gland humide de ma salive. Je prends tes couilles dans ma main et ta queue dans l’autre pour les masser pendant que ma langue passe de la base jusqu’au gland. Puis, ta queue se retrouve à nouveau dans ma bouche. Je suce et fais une forte succion sur ton gland. Pendant que ma main te masturbe de plus en plus vite, je descends encore mes lèvres le long de ton sexe jusqu’à ce que gland soit à l’entrée de ma gorge, cette fois ci beaucoup plus rapidement.

J’enfonce ta queue au fond de ma gorge et ton cri de plaisir m’allume et j’essaie de gémir avec ta queue bien plantée au fond de ma gorge, ce qui cause des vibrations sur ton gland et puis je recommence à te sucer de haut en bas de plus en plus rapidement en faisant toujours une succion qui te rend fou. Je sens tes muscles commencer à bouger. Je sens ta queue de remplir du liquide tant attendu.  Je continu ma succion sur ton gland pendant que ma main te masturbe de plus en plus vite. J’entends tes gémissements de plaisir devenir de plus en plus animal. Avec ton gland sur ma langue, la bouche ouverte en te masturbant et en te regardant dans les yeux, tu te laisses aller complément et tu viens dans ma bouche Je m’empresse de fermer la bouche sur ton gland pour ne pas perdre de ton précieux liquide. Je continue doucement la succion sur ton gland pendant que je masturbe ta queue encore quelque fois pour recueillir toutes les gouttes de ton jus que j’avale avec gourmandise. Une fois que je suis certaine que tu es bien vide, je remonte me coucher à coter de toi, pose ma tête sur ton épaule, embrasse doucement ton cou et recommence à flatter ton chest lentement.

Récit #108 – Sex shop

Les rues sont sombres alors que je marche le long des trottoirs. Je n’ai pas l’habitude de me promener dans cette partie de la ville. Puis soudainement, entre deux commerces fermés, il accroche mon regard. Il a de gros néons fluorescents qui jurent avec le reste. Je m’approche de la vitrine et je vois des mannequins qui porte des vêtements de latex.

Pas de doute, c’est bien là.

Je pousse la porte. À l’intérieur, je vois d’autres mannequins, mais habillés de manière beaucoup plus provocante. Je me retrouve devant une femme en plastique entièrement vêtue de cuir, fouet à la main. Je continue d’avancer dans le magasin. Je vois au loin des étagères remplies de film XXX.

Alors que je suis devant des rangées de lubrifiants, j’entends une petite voix familière derrière moi :

— Est-ce que je peux vous aider ?

Je me retourne avec un large sourire.

— Jeanne ! Qu’est-ce que tu fais ici ? demande Veronica.

— Je suis venue voir comment tu t’en tirais… Comment c’était ta première semaine ?

— Bien !

Nous nous dirigeons vers la caisse du magasin, pas trop loin de la sortie.

— As-tu déjà des anecdotes ? je demande.

— Haha!… Bien, en fait oui… Il y a 2-3 heures, une fille est venue me voir pour que je lui donne des conseils un strap-on… J’ai pas su quoi lui répondre !

Je pouffe de rire. Au même moment, une femme sort de l’arrière-boutique. Elle est grande, mince, brunette, fin vingtaine.

— Est-ce qu’elle en a acheté un ? demande la femme.

— Oui…

Elle s’approche de nous. Elle me regarde, me sourit.

— Moi, c’est Virginie. C’est moi la propriétaire de la boutique.

— Enchantée, répondis-je.

— Viens, dit-elle en se tournant vers Veronica. Je vais te faire une démonstration.

Nous marchons entre les rangées jusqu’à finalement nous retrouver devant un mur rempli de dildos. Je suis intimidée devant tant de jouets !

— Bon, nous allons faire une mise en situation, dit-elle à Veronica. Ton amie va jouer le rôle de la cliente qui veut un strap-on. Je suis la vendeuse. Tu regardes et tu apprends.

Veronica lui fait un signe de tête. Virginie se tourne vers moi.

— Bonjour, mademoiselle. Que cherchez-vous ?

— Je cherche un strap-on!, dis-je en essayant de pas rire.

— Est-ce que c’est pour utiliser sur un homme ou une femme ?

— Humm… Est-ce que ça change quelque chose ?

— Oui ! dit-elle en se rapprochant du mur. En fait les strap-ons pour hommes sont très différents. Ceux pour hommes vont avoir des dildos interchangeables. Les hommes commencent en général petits, dit-elle en pointant un strap-on. Et ils vont graduellement changer pour des dildos plus gros, ajoute-t-elle en se déplaçant vers l’autre extrémité du mur pour m’en pointer un autre.

Il doit faire 12 pouces !

— Fuck… Y’é gros!… Ben trop gros ! Est-ce que ça rentre ?

Elle fait un lent signe de oui de la tête.

— En plus, les strap-ons pour hommes sont visuellement plus réalistes. Ils veulent le voir, le toucher, avoir l’impression qu’ils se font prendre par une vraie. Alors que les strap-ons pour femmes sont de grosseur plus moyenne, ils ont une texture plus douce, les rayures remplacent les veines. Alors, est-ce que c’est pour utiliser sur une femme ou un homme ?

— Une femme, répondis-je spontanément.

— C’est votre premier ?

— Oui, pourquoi?

— Nous avons plusieurs modèles et chacun a son public cible. Par exemple, ceux à une strap : donne beaucoup de contrôle, mais ils sont peu confortables. Deux straps : ils demandent un temps d’adaptation, ils sont un peu plus durs à mettre, mais ils sont très confortables. Les tailles basses gardent le dildo contre les os pelviens et il stimule le clitoris en même temps, mais ça demande beaucoup d’expérience. Il y a aussi le matériel. Ceux en cuir ont une excellente texture, mais les straps ont tendance à devenir plus souples et on doit les resserrer souvent en changeant de position. Et ils sont durs à nettoyer. Ceux en nylons et en tissus se lavent comme de la lingerie, mais s’usent plus vite. Et il y a le vinyle, mais ça c’est plus pour les dominatrices…

Je regarde les différents modèles qu’elle m’a brièvement expliqués.

— Pour les premières expériences, je recommande celui-ci, dit-elle en prenant de l’étagère une boîte contenant un dildo bleu translucide, une culotte en tissus et une petite bouteille de lubrifiant.

Je le prends dans mes mains, le regarde.

— Est-ce que ça vous convient ?

— Oui, oui ! répondis-je avec entrain.

— Est-ce que vous cherchez quelque chose d’autre ?

— Non, non, ça me suffira, dis-je en soulevant la boîte avec un large sourire.

— Passons à la caisse, dit Virginie.

Je la suis jusqu’à la caisse. Virginie passe le code-barre à la machine.

— Attendez, je pensais qu’on faisait semblant, dis-je à Virginie en reprenant mon sérieux. C’est parce que j’avais pas vraiment l’intention de m’acheter un.

— C’est correct, dit-elle en me faisant un clin d’œil en le mettant dans un sac. C’est cadeau !

Je suis tellement surprise que je ne dis plus rien. Lorsque Virginie retourne dans l’arrière-boutique, Veronica et moi échangeons un regard moqueur.

— Tu as déjà une idée sur qui tu vas l’essayer ? dit-elle en se pinçant les joues pour ne pas rire.

— Tu promets de garder le secret ?

— Jamais ! dit-elle en sortant son iPhone pour prendre une photo. Ça s’en va sur Facebook drette là !

Je prends le sac rapidement et je cours vers la sortie, faisant très attention qu’elle ne prenne pas une photo de moi.

***

Quelques mois plus tard, alors que je suis dans un bar, attendant pour le cocktail que je me suis commandé, une femme s’approche de moi.

— Bonjour. C’est Jeanne votre nom ?

— Oui, dis-je en hésitant un peu. Vous êtes proprio du sex-shop, c’est ça ?

— Oui ! Virginie, dit-elle en se penchant pour me faire la bise. Je t’en prie, tutoie-moi.

Il y a un petit silence.

— Et puis ? Tu l’as aimé ? Le (en ne remuant que les lèvres) strap-on?

— Hahaha! En fait, j’ai trouvé personne pour l’essayer.

— Dommage…

Une autre femme s’approche de Virginie.

— Je te présente Karine, dit-elle rapidement. Si tu lui demandes, je suis pas mal sûre qu’elle l’essayerait avec toi !

Karine fronce les sourcils, lance un regard à son amie. Virginie s’approche d’elle, lui souffle quelque chose à l’oreille. Karine, en l’entendant, commence à sourire.

— Haha! Bien oui, je l’essayerais avec toi ! Mais à la seule condition que Virginie te coache.

— Ça commence à devenir intéressant, ajoute-t-elle en me faisant un clin d’œil.

— Est-ce que vous êtes un… couple ?

Les filles échangent un bref regard.

— Fuck friends, résume Karine. Alors, intéressée ?

— Attendez. Vous me proposez un plan à trois ?

— Oui, répond Virginie avec un petit sourire.

— Un plan à trois, juste nous trois ? Pas de gars ?

— C’est ça, dit Karine. (Elle se penche vers moi et chuchote) C’est toujours meilleur sans eux.

Je suis décontenancée…

— Je ne sais pas quoi répondre…

Voyant que j’hésite, Virginie sort une carte d’affaires de son sac à main.

— Si tu te décides, texte-moi au numéro sur la dernière ligne.

Les deux filles commencent à s’éloigner tranquillement. Alors qu’elles sont à une dizaine de mètres de moi, je les rejoins.

— C’est oui.

— Excellent choix, commente Karine.

Je vais rapidement dire au revoir à mes amies. Virginie, Karine et moi sortons du bar. Nous nous dirigeons vers une voiture. Virginie s’installe au volant. Alors que, Karine et moi, nous nous installons sur la banquette arrière.

— Mais vous allez y aller doucement…, dis-je en chuchotant. C’est que j’ai jamais fait ça entre filles…

— Une vierge… commente Karine.

Elle s’approche de moi, elle me replace les cheveux. Ses lèvres s’approchent des miennes. Elle commence à m’embrasser délicatement. Je sursaute lorsque sa main se pose sur ma cuisse. Mais je m’y habitue… Elle remonte tranquillement jusqu’à mes hanches alors que notre baiser devient de plus en plus passionné.

Quelques minutes plus tard, nous arrivons au penthouse de Virginie dans le Vieux-Port de Montréal. À peine arrivées, les deux filles me prennent par la main et me conduisent jusqu’à la chambre à coucher. Cette fois, c’est au tour de Virginie de m’embrasser et de me caresser.

De son côté, Karine fouille dans les tiroirs. Elle revient vers nous une minute plus tard. Elle a, dans ses mains, un dildo rose qui pend des straps. Elle le lance sur le lit. Les deux filles m’encerclent. Virginie, devant moi, retire son chandail et recommence à m’embrasser. Derrière moi, les mains de Karine glissent doucement autour de ma taille. Je la sens qui saisit le bouton de mes jeans et le défait. Ses doigts font lentement descendre ma fermeture éclair, faisant glisser mes pantalons sur le sol.

Alors que Karine se penche pour me retirer mes bas, Virginie me retire mon chandail. Elle recommence à m’embrasser, sauf que cette fois, sa bouche descend tranquillement plus bas. Ses doigts dégrafent mon soutien-gorge et elle commence à me lécher les seins.

Karine se relève et se joint à elle. Les filles s’embrassent rapidement et elle me lèche les seins en même temps. Lorsqu’elles prennent des pauses, les deux filles se retirent mutuellement des morceaux de vêtements. En quelques minutes, je me retrouve devant deux superbes filles complètement nues.

— Alors, tu es prête ? me demande Virginie. Prête à baiser ta première femme?

— Oui, dis-je la gorge sèche.

Virginie prend le strap-on qui traine toujours sur le lit. Elle les démêle un peu et se place derrière moi. Je n’ose pas regarder ce qu’elle fait, mais je sens ses doigts délicatement baisser ma petite culotte. Elle me donne un petit bec sur les fesses et elle commence à me l’installer.

— Et puis ? me demande-t-elle alors qu’elle se relève.

Je penche la tête… Et je le vois. Il est là entre mes jambes. Il est rose. Il doit faire 7 ou 8 pouces. Il est fièrement dressé. D’instinct je le touche… La sensation est étrange. Il est un peu froid. Mais plus je le caresse avec doigts, plus j’ai l’impression qu’il devient une partie de moi.

Karine s’agenouille devant moi. Elle commence à le sucer… me sucer… Virginie me caresse le dos et les fesses délicatement. Elle me donne parfois de petits baisers sur l’épaule. Vous allez trouver ça étrange… Mais pendant un instant j’y ai vraiment cru… Je suis un homme qui s’apprête à vivre un plan à trois avec deux filles…

— Tu me promets de ne pas éjaculer dans ma bouche ? me demande Karine avec une petite voix espiègle.

Virginie s’agenouille et elle commence à me sucer elle aussi. Je suis tellement excitée… Karine se lève et elle va se coucher sur le lit. Elle écarte les jambes et me fait signe avec un doigt de venir la rejoindre.

Je m’approche, grippe sur le lit. Je m’installe sur elle, me penche et commence à l’embrasser sur la bouche. Nos seins frottent. Le dildo est entre ses jambes. Je la sens qui saisit le dildo et l’apporte doucement à l’entrée de sa chatte.

Virginie, derrière moi, pose ses mains sur mes hanches. « Vas-y doucement » me chuchote-t-elle. Je bouge un peu les hanches et je sens ma queue s’enfoncer un peu en elle. Virginie me tire vers elle un peu et me pousse… Cette fois ma queue entre plus profond…

Après quatre ou cinq fois, je sens finalement mon bas ventre toucher celui de Karine… J’étais entièrement en elle. J’approche mon visage et je recommence à embrasser Karine de nouveau. Je sens ses mains qui m’agrippe les fesses et elle initie un roulement de hanches, du va-et-vient.

Oh my God… Je suis tellement excitée que je sens la culotte de strap-on devenir toute trempe. Alors que je continue à baiser Karine, je sens Virginie à côté de moi, qui m’attache les cheveux. « Vas-y lentement… Tu n’es pas encore habituée… » me suggère-t-elle…

Mais je suis tellement excitée… Je n’ai qu’une unique envie : la baiser sauvagement jusqu’à ce qu’elle jouisse. Mais j’aurais dû l’écouter… Parce que deux minutes plus tard, les muscles de mes cuisses et de mes fesses commencent à chauffer. Je n’ai pas d’autre choix que de me retirer.

Je m’affale sur le lit. Virginie alors s’installe sur moi. Je vois ma queue rose qui entre dans sa chatte alors qu’elle s’installe. Elle commence à rouler les hanches. Karine se place derrière elle, l’embrasse dans le cou alors qu’une main lui saisit un sein.

Après quelques minutes de pauses, je veux me relever. Virginie se tasse. Je me retrouve devant les fesses de Karine. Je prends ma queue entre mes doigts et je lui donne quelques coups. Je la frotte entre ses fesses, je vais lui caresser l’entrée de sa chatte avec.

Virginie se place de nouveau à côté de moi.

— Vas-y lentement…

Cette fois, je l’écoute… Je pose mes mains sur ses hanches. Je la caresse quelques instants. Virginie prend ma queue entre ses doigts et elle la dirige vers la chatte de Karine. Elle entre rapidement en elle tellement elle est excitée. Je commence à lui donner des coups de reins.

Virginie, qui continue de me caresser les seins, les fesses, me chuchote des mots d’encouragement dans l’oreille. C’était wild. Je continue de la baiser pendant plusieurs minutes. J’aurais tellement aimé avoir une vraie queue… J’aurais tellement aimé qu’elle sente mon sperme jaillir en elle…

Mais c’est la fatigue qui me rattrape. Je m’arrête, m’effondre de nouveau sur le lit. Les deux filles s’embrassent et se caressent juste à côté de moi. Finalement, je vois Virginie qui descend entre les jambes de Karine et elle commence à lui manger la chatte. Elles ont l’air de tellement aimée ça… Je commence alors à retirer mon strap-on et j’écarte les jambes.

Virginie et Karine voient ça du coin de l’oeil. Elles arrêtent ce qu’elles font et elles viennent s’installer entre mes jambes. Elles commencent à me donner des baisers partout entre les jambes… Et éventuellement, Virginie pose sa langue sur ma chatte… Je sens un petit choc électrique me parcourir sur le coup.

C’était tellement excitant de voir sa langue entrer et sortir de ma chatte. Encore plus de la sentir caresser mon clitoris avec la bout… Puis elle et Karine ont échangé de place. Karine bouge la langue un peu plus vite que son amie.

Lorsque je lève la tête, je vois Virginie qui s’est relevée et qui s’installe le strap-on. Lorsqu’elle a terminé, je la vois qui se place derrière Karine. Elle s’arrête quelques instants, puis recommence alors que je vois les seins de Virginie ballotée au rythme de ses coups de hanches.

Je réalise que Virginie est vraiment une pro du strap-on parce que Karine pousse des cris rauques de plus en plus forts. Elle est incapable de continuer à me lécher alors que Virginie continue de la pénétrer. Karine finit par pousser un cri très aigu et elle s’effondre à plat ventre sur le lit.

Lorsque Virginie est maintenant devant moi, son dildo rose toujours « bandé » me pointant. Elle s’approche de moi et s’installe entre mes jambes dans la position du missionnaire. Elle commence par s’insérer lentement en moi, tout en m’embrassant sur la bouche… Puis elle accélère… Puis elle accélère… Et fuck que c’est bon!

Je sens la sueur qui commence à me couler de partout. Elle continue de me baiser à ce rythme pendant plusieurs minutes. Je sens que je suis à deux doigts de jouir tellement c’est intense! Mes mains se raidissent, j’agrippe les draps du lit alors que Virignie m’amène jusqu’à l’orgasme…

Après une minute de pause pour reprendre mon souffle, je m’assois sur le lit. Virginie et Karine me regardent.

— En tout cas… Merci les filles… Je vais m’en rappeler longtemps de cette nuit!

— Et puis, le strap-on? Tu as aimé ? me demande Virginie.

— C’est… C’est spécial ! D’abord le porter… C’est tellement… C’est tellement… Ben, je me sentais tellement… viril ! Mais c’est vraiment plus difficile que je croyais. Je pensais pas que ça me ferait tellement forcer les muscles !

— Je sais ! commente Karine. J’ai été comme toi la première fois !

— Mais comment tu fais ? demande-je à Virginie.

— Je m’entraine ! Fais des squats. Ça va t’aider ! Et puis, c’était comment se faire strapper-on?

— Oh my God! T’étais tellement bonne! J’aurais eu les yeux bandés, j’aurais jamais deviné que tu étais une fille.

— Merci ! Pis j’ai jamais eu de gars qui m’a montré comment faire !

— Comment ça?

— Ben, je suis lesbienne, avoue Virginie.

— Moi, c’est un peu plus compliqué… Je suis pas vraiment bisexuelle parce j’ai une préférence pour les gars… Mais j’aime aussi beaucoup les femmes !

Nous continuons de parler encore quelques minutes avant de s’installer pour dormir. Je me retrouve au milieu du lit, entouré par les deux filles.

Le lendemain matin, lorsque je me réveille, je suis seule au lit. Je m’enroule des couvertes du lit et sors de la chambre. Dans la cuisine, je vois Virginie, portant un tailleur, écrire une note. Elle lève la tête, me sourit.

— J’osais pas te réveiller ! dit-elle en chiffonnant la feuille de papier. Je dois vraiment partir, j’ai un meeting super important ce matin. Mais tu peux rester te faire à déjeuner avant de partir si tu veux.

— Merci !

— Pas de problème !

Elle s’approche de moi, me donne la bise.

— J’espère qu’on va se revoir bientôt.

Elle prend son sac, ses clés. S’apprête à sortir…

— Attends ! lance-je. Hum. Est-ce que ça serait possible de garder la soirée d’hier secrète ? Je veux pas que Veronica apprenne ça… Elle est très potineuse! C’est un miracle qu’elle n’ait pas encore dit à tout le monde que j’ai un strap-on chez moi.

— Si tu veux !

Elle se rapproche de moi.

— Veux-tu un secret ? dit-elle en chuchotant.

— Quoi?

— Il est mauve.

— Qu’est-ce qui est mauve ?

— Le strap-on de Veronica !

— Quoi !? Pour vrai !

— Ah ! dit-elle en regardant sa montre, je dois y aller! Je suis vraiment en retard !