Je suis derrière le bar, comme à tous les samedis soirs. Mais ce soir, c’est légèrement différent, parce que la fille, Jacinthe, que je fréquente depuis quelques semaines m’a dit qu’elle viendrait prendre un verre avec quelques-unes de ses amies.
Vers 21 h, je finis par les voir aller s’asseoir dans un coin. Dès qu’elles s’assoient, Jacinthe s’avance vers moi. Elle me fait un petit sourire. Elle s’accote sur le bar.
— Salut mon amour, me glisse-t-elle discrètement. Deux dry martini, une margarita, un gin-tonic et un mojito.
— Tout de suite, dis-je en lui retournant son sourire.
Alors que je prépare leurs cocktails, Jacinthe en profite pour regarder autour. Alors qu’Éric, l’autre barman qui travaille ce soir-là, passe derrière moi, je la vois qui étire son cou et elle en profite pour lui regarder les fesses. Mais alors qu’elle s’aperçoit que je l’ai vu, elle en profite pour me dire :
— Il est pas mal cute… dit-elle avec un petit sourire.
— Ton amie, avec le manteau de cuir, elle est pas mal cute aussi, lui dis-je.
— Julie? dit-elle. Si tu veux, je peux lui demande si elle te trouve de son genre.
— Et si elle me trouve de son goût, qu’est-ce qui va se passer?
— On improvisera, me dit-elle avec un clin d’œil…
Je lui donne les deux martinis qu’elles ont commandés. Elle part les porter à ses amis. Elle revient une minute plus tard alors que j’ai terminé la margarita et le gin-tonic.
— Lorsque tu auras terminé le mojito, viens nous dire un petit bonjour à notre table. Les filles veulent te voir de plus près.
— OK.
Une minute plus tard, je m’avance vers leur table. Je leur fais mon plus beau sourire, leur parle quelques secondes avant de retourner derrière le bar. Je garde un œil sur leur table. Une vers 22 h 30, je vois trois des filles partir. Jacinthe et la fameuse Julie restent attablées à parler pendant quelques minutes. Puis, elles finissent par se lever et s’avancer vers moi.
— Salut, lance Julie. Comme ça… Y parait que tu me trouves de ton goût, dit-elle en levant un sourcil et replaçant une couette de ses cheveux blonds.
— Oui, je l’avoue, répondis-je en la regardant dans les yeux.
Elle me regarde quelques secondes, mi-sourire.
— Tu termines à quelle heure?
— Pourquoi? demande-je surpris.
— D’après toi?, dit-elle.
— Est-ce que c’est ce que je pense? demande-je à Jacinthe.
Elle approuve d’un geste timide de la tête.
— Je termine à 2 h du matin.
— C’est bon. Donne-nous tes clés… Et on se retrouve chez toi… à 2 h… trente?
J’échange un regard avec Jacinthe. J’hésite, mais je finis par plonger ma main dans mes poches et les lui tendre. Julie les prend, me fait un beau sourire. Et les deux filles partent. Et le reste de la soirée… m’a paru long! Disons que ce n’est pas facile d’être focalisé sur son travail lorsqu’on sait que deux filles vous attendent chez vous…
Finalement, je finis par feindre de ne pas me sentir bien vers 1 h du matin. Éric, l’autre barman, comme ce n’est pas trop occupé accepte de continuer seul. Dès que je marche sur la rue, je texte immédiatement Jacinthe pour les prévenir de mon avance. Sa réponse apparait quelques secondes plus tard :
— Nous t’attendons.
Lorsque j’arrive, je marche dans le salon. Les deux filles sont assises dans mon salon, côte à côte, et elles parlent. Dès qu’elles me voient, elles arrêtent de parler et me regardent avec un sourire coquin.
Je m’assois dans le divan en face d’elle. Je leur retourne leur sourire.
— Avant de passer aux choses sérieuses, commence Julie, nous allons d’abord parler des règles.
— J’écoute, dis-je.
— Si tu choisis de venir dans la chambre, tu devras entièrement t’abandonner à nous. Tu devras faire tout, mais vraiment tout, ce qu’on te dit. Si à quelconque moment tu prononces le mot « non », nous respecterons ton choix… mais ce sera la fin. Je me rhabillerai et partirai. Tu es d’accord avec ça?
J’hésite… M’abandonner à elles… Qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire? ou cacher?… Mais je suis trop curieux… et trop excité…
— D’accord, confirme-je.
— Parfait! répond Julie. Attends-nous ici. Ça va nous prendre quelques minutes pour nous changer.
Elles se lèvent lentement et s’enferment dans ma chambre. Je les entends chuchoter. Mais c’est trop distant pour que je puisse comprendre ce qu’elles se disent. Je m’approche alors lentement m’efforçant de ne faire aucun bruit. Je les entends parler faiblement.
— Tu sais que tu as de belles fesses, dit Julie quelques secondes avant que Jacinthe ricane. Elles sont si rondes… Si douce…
— J’arrive toujours pas à croire ce qu’on s’apprête à faire, lui réponds-t-elle. Tu l’as déjà fait avant?
— Oh oui… Mon ex adorait ça! Pis après, je vais m’occuper de toi, dit-elle alors que j’entends ce que je crois être une tape sur les fesses. Et à voir comment tu rougis, continue-t-elle, je vais être ta première fille? Hein?
— Oui, répond Jacinthe timidement.
Il n’en fallait pas plus. Mon pantalon devient vraiment trop serré. Je les entends marcher. Je ne prends pas de chance, je retourne me rasseoir sur le divan. Une minute plus tard, je vois finalement les filles sorties de la chambre. Elles portent toutes les deux des déshabillés vraiment sexy. Deux déshabillés en dentelle noir qui épouse les courbes de leur corps.
Mes yeux fixent leurs seins. Ceux de ma blonde sont légèrement plus gros, plus ronds. Mais ceux de Julie sont tout autant agréables à regarder.
— Tu es prêt? me demande Jacinthe avec un petit sourire.
— Oh oui! dis-je en me levant.
Je m’avance vers elles. Jacinthe me prend par la main et elle m’attire vers ma chambre. Julie, elle, passe derrière moi.
Elle me place à un mètre de mon lit. Julie se penche et elle lève un peu la couverture. Elle prend rapidement un petit fouet en cuir noir et elle se donne un petit coup dans les main.
Les filles s’échangent un regard.
— Déshabille-le, lance Julie.
Ma blonde s’avance. Elle commence par déboutonner ma chemise. Elle en profite pour me donner un baiser sur les lèvres. Lorsque ses yeux se dirige vers mon entre-jambes, je la vois sourire. Elle fait descendre la fermeture éclair, défait ma ceinture et elle fait glisser mes jeans.
Ses mains caressent mes abdominaux, mes épaules. Elle tourne autour de moi. Je la sens qui caresse mes fesses. Ses doigts étirent l’élastique de mon boxer. Elle prend une pause et elles les tirent vers le bas.
Julie, qui se tient toujours devant moi, à quelques mètres, a un petit sourire lorsqu’elle voit ma queue. Elle s’approche, se donne un autre coup de fouet dans les mains.
— Beau morceau, commente-elle.
Jacinthe s’éloigne un peu alors que Julie examine mon corps. Elle me touche le ventre, les épaules, les cuisses.
— Tu te tiens en forme et ça parait, commente-t-elle.
Je sens son fouet qui frotte sur mes fesses. Elle réapparait dans mon champ de vision. Et je la sens qui agrippe ma queue. Je suis un peu surpris, je sursaute. Elle caresse le manche quelques secondes.
Julie se tourne vers ma blonde.
— Suce-le, lui demande-t-elle.
Jacinthe se place devant moi. Julie prend un de mes oreillers et le place à mes pieds. Jacinthe s’agenouille lentement. Elle donne un petit bec sur mon gland. Puis je sens sa langue qui s’enroule autour de mon gland. Julie, elle, tourne autour de moi. Elle regarde ma blonde à l’œuvre.
Ça dure peut-être une ou deux minutes avant que Julie s’avance vers le lit. Elle soulève un autre coin de ma couverture. Cette fois, c’est une paire de menottes. Elle me les montre quelques instants avec un petit sourire, comme si elle s’attendait à ce que je lui dise non… Mais je lui retourne son sourire et je place mes mains dans mon dos.
Elle se place derrière moi et elle me menotte les mains. Elle vérifie que je suis bien solidement attaché. Elle continue de tourner autour de moi alors que Jacinthe continue de me sucer. Jusqu’à ce que finalement, Julie s’agenouille à côté de ma blonde. Jacinthe sort ma queue de sa bouche et elle la lui tend. Elle la suce quelques instants. Puis, je vois sa main qui se place dans le dos de ma blonde.
Jacinthe commence à me lécher la base de ma queue alors que Julie continue de s’occuper de mon gland. De voir les deux filles me faire une double fellation est une véritable torture…
Les lèvres des filles se touchent. Elles s’embrassent lentement, très sensuellement sur les lèvres. Je peux voir la langue de ma blonde se faire caresser par celle de son amie. Puis, ça devient de plus en plus chaud. Les filles se caressent partout. Ma blonde passe une main dans les cheveux de Julie alors que celle-ci lui caresse les fesses.
Lorsque leurs lèvres se séparent, Julie retire le haut du déshabillé de Jacinthe. Elle lui caresse les seins, les lèche quelques secondes. Les filles se lèvent et elles s’embrassent de nouveau… Puis, elles s’arrêtent se tourne vers moi.
— Tu es prête pour la suite? demande Julie à ma blonde.
Jacinthe lui répond en lui faisant uniquement un lent mouvement de tête. Julie s’approche du lit. Elle soulève de nouveau un coin de la couverture. Je vois rapidement un dildo noir. Elle le prend et elle le donne à Jacinthe.
Mais ce n’est que lorsqu’elle l’a dans les mains que je remarque des sangles. Un strap-on… Elle ne l’a même pas mis que je l’imagine déjà baiser sauvagement son amie. Julie l’aide à l’enfiler, elle serre bien les sangles autour de ses hanches, s’assure que sa « queue » est bien solidement installée. Puis les filles se tournent vers moi…
Julie s’approche de moi. Elle se donne des coups de fouet dans les mains.
— À plat ventre sur le lit, me commande-t-elle.
— Quoi?
— Tu veux t’arrêter?
— Heu… Non…
— Alors, à plat ventre, répète-t-elle alors qu’elle me donne un coup de fouet sur les fesses.
Je m’avance lentement vers le lit. Julie me pousse alors que je tombe à plat ventre, les jambes encore debout sur le plancher. Je sens qu’elle du lubrifiant sur mes fesses et elle l’étend lentement avec ses doigts entre mes fesses. Son doigt commence à caresser mon anus doucement. Jacinthe me regarde avec un petit sourire, elle s’approche… Et le strap-on, même si je sais qu’il ne fait pas plus de six pouces, il a l’air si gros…
Elle me donne quelques doux coups sur les joues.
— Allez… Après la fellation que ta blonde t’a faite… Tu vas pas me dire que tu ne peux pas lui rendre la pareille.
J’ouvre la bouche. Elle enfonce sa « queue » dans ma bouche. Elle goûte un peu le caoutchouc, mais c’est négligeable. Comme je ne peux pas vraiment bouger, c’est elle qui bouge les hanches. Sa queue cogne contre l’intérieur de mes joues. Lorsque je lève les yeux vers elle, elle a un gros sourire. Elle aime vraiment ça me voir dans cette position-là…
Je deviens un peu plus à l’aise. J’utilise ma langue, fais des bruits de succion. Derrière moi, il y a Julie qui enfonce son petit doigt dans mes fesses… Et surprenamment, ce n’est pas si pire… Même qu’après une minute, je commence à aimer ça. Au bout de quelques minutes, elle change de doigt pour un plus gros. Puis deux…
Lorsqu’elle les retire, je la sens qui pose délicatement ses mains sur mes hanches… Puis je sens quelque chose frotter entre mes fesses. Je suis sûre d’une chose… Ce n’est pas un doigt! C’est comme… un autre strap-on! Il fait pression contre mes fesses… Et… et… fuck! Elle m’a déjà pénétré de deux bons pouces.
Jacinthe continue de sourire.
— Je te rassure, commence-t-elle. Le sien, c’est un butt-plug. Il est tout petit comparé au mien…
Mais de mon point de vue, il m’apparait comme vraiment gros. Lorsque je sens ses cuisses frotter contre les miennes, j’ai l’impression que j’ai douze pouces dans les fesses. Et elle commence à faire des mouvements de va-et-viens. Devant moi, Jacinthe continue de m’enfoncer la sienne dans la bouche.
Je commence à m’habituer lorsque Julie se retire. Les filles se font un high-five… Et changent de place. Je sens les douces mains de ma blonde m’agripper les hanches. Elle frotte sa queue entre mes fesses. Je sens Julie qui ajoute une nouvelle couche de lubrifiant. Et fuck! J’ai son « gland » en moi. Je ferme les yeux… J’ai le goût de les arrêter… Mais j’ai tellement envie de voir les filles se caresser, s’embrasser…
Jacinthe, elle, est moins, ironiquement, moins douce même si elle est moins expérimentée. En quelques va-et-viens, elle fait entrer toute sa « queue » dans mes fesses. Et elle se donne plus à fond. Lorsque je tourne la tête pour la regarder, je la vois qui embrasse Julie sur la bouche.
Lorsque leurs lèvres se séparent, Julie me lance un autre petit sourire coquin. Et là, je me demande… quoi encore? Comment ça peut devenir plus extrême… Elle tourne autour du lit. Elle retire son butt-plug, mais garde la petite culotte en cuir. Elle soulève de nouveau la couverture. Et elle sort un autre dildo… Mais celui-là… Il est surréel. Il est gros. Elle l’insère dans l’anneau entre ses jambes. Pis lorsque je la vois mettre ses deux mains dessus, je comprends qu’il est vraiment gros! Elle n’arrive même pas à le recouvrir ses doigts.
Elle m’en donne des coups sur les joues.
— Allez, allez, dit-elle impatiente. Ouvre…
Mais je résiste.
— À moins que tu veuilles arrêter ça là, dit-elle avec un sourire.
J’ouvre la bouche. Elle n’hésite pas une seconde pour m’enfoncer son gigantesque dildo dans le creux des joues. Elle remplit ma bouche. De l’autre côté, Jacinthe, continue toujours de m’enculer, avec un rythme soutenu. Je l’entends qui halète, pousse de petits soupirs. Puis au bout d’une minute, elle se retire.
Je tourne autour du lit. Elle se tient à côté de Julie. Je la vois, les cheveux ébouriffés, ses abdominaux luisant de sueur. Elle s’approche de son amie, elle l’embrasse sur la bouche alors que sa main caresse ses seins.
Julie sort sa queue de ma bouche. Elle se déplace vers mon dos. Pis là, j’ai vraiment la chienne. Je suis sûr que ça ne rentre pas. Je m’apprête à leur demande d’arrêter lorsque je sens Julie me prendre les mains et me tirer pour que je me relève. Elle m’amène devant ma blonde.
Elle prend ma queue entre ses mains.
— Toujours bandé, hein? lance Julie. T’as aimé ça?
Elle la caresse quelques secondes avant de me force à m’agenouiller. Elle se place devant moi. Elle replace ses cheveux et me remet sa grosse queue au visage. Jacinthe s’agenouille à mes côtés. Elle commence à lécher la base. J’ouvre la bouche et je commence à lui lécher le gland. Nous échangeons de rôle quelques fois pendant plusieurs minutes.
Lorsque nous nous relevons, ma blonde retire le strap-on qu’elle porte. Julie lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit. Toujours menotté les mains dans le dos, elle m’aide a monter sur le lit et me placer derrière ma blonde. Elle prend ma queue entre ses doigts et la guide dans sa chatte. Une fois bien installée, elle me donne un petit coup de fouet sur les fesses et elle va devant elle et elle lui met son dildo dans la bouche.
C’est tellement hot! Jacinthe a vraiment l’air d’aimer ça! J’ai tellement le goût de jouir… Mais je veux tellement venir sur elles alors qu’elles se bouffent la chatte. Je suis obligé de fermer les yeux pour éviter de venir.
Finalement, au bout de quelques minutes, ma queue sort par accident de sa chatte. Mais je ne suis plus capable d’en prendre plus. Je me déplace, m’assois contre la tête de lit. Après quelques instants, les filles changent de position. Julie utilise le strap-on pour pénétrer ma blonde. Son dildo est tellement gros qu’elle ne parvient même pas à l’enfoncer au complet en elle. Elle en laisse au moins un bon tiers à l’extérieur.
Au bout de quelques minutes, Julie se couche à plat ventre sur le lit… Et elle écarte les jambes de ma blonde. J’étire la tête pour voir. Je la vois qui la lèche lentement. Sa langue disparait entre ses jambes, dans sa chatte et ressort quelques secondes plus tard. Et d’après ses soupirs, elle aime vraiment ça!
Et c’est là que je réalise que la vraie torture commence… Parce que j’ai toujours les mains menottées et que je ne peux pas me toucher… Chaque fois que Julie extirpe un soupir à ma blonde, je sens ma queue battre.
Julie continue… Pis Jacinthe qui adore ça. Si au début, elle regarde attentivement Julie la lécher, après quelques minutes, elle n’est plus capable. Elle reste couchée, la tête penchée vers l’arrière, à soupirer, se caresser les seins, le ventre.
Ses soupirs deviennent de plus en plus rauques. Je sais qu’elle est près de l’orgasme… Puis, finalement, je la vois se tortiller, pousser un long cri aigu. Elle cherche son souffle pendant quelques secondes, puis elle se calme lentement. Après une minute de pause, les filles s’embrassent. Puis, elles tournent la tête en même temps, me regardent, s’approchent lentement. Et elle recommencer à me sucer toutes les deux en même temps.
Mais je suis incapable d’en prendre plus! Dix secondes, c’est ce qu’il m’a fallu pour jouir! C’est tellement subit que je n’ai même pas le temps de les prévenir. Ma blonde en prend quelques jets directement dans sa bouche alors que le reste se retrouve sur leurs visages. Les filles me dévisagent un peu, puis elles s’embrassent sur la bouche.
Julie commence à se rhabiller alors que Jacinthe sort la clé de mes menottes.
— Et puis? me demande ma blonde. T’as aimé ça?
— J’ai surprenamment aimé ça!
— Je pensais que tu allais nous arrêter dès que tu verrais les strap-ons.
— T’as pris ça comme un pro, commente Julie. C’était ta première fois? me demande-t-elle avec un petit sourire.
— Oui… dis-je lentement alors que Jacinthe me détache finalement. On pourrait remettre ça si tu veux, ajoute-je.
— Je peux revenir, commence Julie. Mais la prochaine fois, c’est lui que tu vas te prendre, continue-t-elle alors qu’elle pointe son plus gros dildo.
Ouf… Je le regarde. Et il est vraiment gros! Peut-être pas…