Récit #196 – Marie – Partie 8 – L’inconnu

Par Electra

Marie est chez Isabelle pour quelques jours, celle-ci devant s’absenter. Pas question de laisser le chat d’Isabelle “Hadès“ tout seul. Marie a accepté de garder l’animal. Isabelle est l’amie de Marie, mais pas que ça. Les deux jeunes femmes partagent les mêmes visions de la vie, être libre, pas d’attache et une sexualité qui ne connait aucun tabou. Pour elles, le sexe du ou des partenaires n’a aucune importance, tant que le plaisir est la !

De temps en temps, elles couchent ensemble, plaisirs partagés entre filles.

Isabelle habite au dernier étage d’un immeuble, les grandes baies vitrées permettent une vision magnifique sur toute la ville et surtout pas de voisins, excepté au loin un immeuble en construction, mais pas encore habité.

Bien sur aucun rideau aux fenêtres. Isabelle et Marie peuvent se promener nues sans problèmes. Ce qu’Isabelle préfère, c’est sa grande chambre avec son immense baie vitrée et son tapis moelleux. S’endormir avec les étoiles  et les lumières de la ville comme tableau, elle adore !

Et puis s’envoyé en l’air sur le tapis devant cette vue est tout à fait génial et pas banal !d’ailleurs la nuit dernière, Marie et Isabelle ont fait l’amour sur ce tapis et quelques cousins, entre amies. Isabelle a fait découvrir a Marie quelques “objets de plaisirs “ qu’elle venait d’acheter et elle a apprécié.

Isabelle est partie ce matin laissant Marie avec Hadès, le chat. Quelques courses plus tard, elle revient, un peux chargée, ouvre la boite aux lettres, ramasse le courrier et le dépose sur la petite table dans l’entrée de l’appartement. Une enveloppe rouge attire son attention et surtout  sur celle-ci, deux mots “Pour Marie“ a l’intérieur, une feuille blanche légèrement parfumée avec ces mots « Marie, j’ai vu que la soirée a été bonne pour vous et votre amie ! Si vous voulez en savoir plus, appelez-moi au 0….. »

Marie,  surprise, n’en crois pas ses yeux, elle se précipite dans la chambre, devant la baie vitrée et  scrute l’horizon, mais bon sang, d’où peut-il nous voir !? Impossible de savoir ! Après de longs moments de réflexions, la curiosité est la plus forte, Marie appelle le numéro indiqué sur la lettre. Une voix d’homme lui répond

  • Bonjour Marie, content que vous m’appeliez-
  • Qui êtes vous, que voulez vous ?- demande Marie
  • Je suis un homme qui regarde, un voyeur si vous voulez, cela fait un moment que je regarde Isabelle, puis je vous ai vu. J’ai pu vous admiré toutes les deux, nues et puis hier soir, humm c’était vraiment super, vos deux corps l’un contre l’autre ! et tous ses petits “objets“ !

Surprise par ce qu’elle  entend, elle va raccrocher, envoyer au diable ce voyeur !

  • Ne raccrochez pas Marie !, vous qui aimé les nouvelles expériences j’ai une proposition à vous faire, soyez a 20heures en tenue sexy, je vous fais confiance, devant la fenêtre de la chambre, je vous appelle. Alors j’espère à tout à l’heure, il raccroche.

Marie, indécise, le téléphone encore a la main se demande si elle a rêvé, toujours avec les mêmes questions, qui est cet homme et surtout ou est il caché !? Mais, non non et non il n’est pas question de répondre au délire de cet homme !

Il est maintenant midi et Marie ne peux pas sortir cette histoire de la tète. Une petite voix la taraude, « pourquoi pas Marie, ça peux être sympa, et tu pourras certainement y prendre du plaisir !»

16 heures, Marie marche  dans l’appartement de long en large, toujours dans ses réflexions.

19 heures, la petite voix a gagné !! Il reste une heure a Marie. Alors tenue sexy mais classique, petit chemisier moulant pour mettre en valeur sa taille fine, petite jupe plissée, Très courte qui cache (a peine) son petit string , cette fois ci rouge, qui fait ressortir son beau petit cul et pour finir un beau soutien en dentelle, rouge lui aussi. Pas de bas, mais des hauts talons qui galbent bien les jambes. Un peu de maquillage, avec un rouge a lèvres bien rouge !

19 heures 50, Marie est devant la baie vitrée, un peu à l’ avance, mais certaine que cet homme est déjà la en train de la mater, alors elle décide de le chauffer un peu ! Elle marche lentement, lascivement ondulant ses hanches, jambes écartées, elle soulève sa jupe, ses fesses devant la fenêtre, la elle est sure qu’il en prend plein la vue !

20 heures pile, le téléphone sonne, Marie le pose sur la table de chevet, met le haut parleur

  • Content que tu sois la, Je vois que ma proposition te plait. J’adore ta tenue sexy, tu as  vraiment un beau cul ! Ecoute moi, maintenant tes mains sont les miennes !écoute ma voix.
  • Je caresse ton corps Marie,…Je déboutonne ton chemisier,…. lentement je l’enlève, il glisse sur tes épaules,…Je dégrafe ton soutien, mes mains caressent tes seins,… s’attardent sur les mamelons,… plus fort !… Marie ferme les yeux, se laisse guider, c’est très agréable !!
  • Mes mains descendent lentement sur ta peau…

J’enlève  ta jupe,… je glisse une main dans ton string, caresse ta chatte,… un doigt te pénètre ! Tu sens mon doigt Marie, tu le sens qui caresse ton clito !? Vas-y !

Marie, subjuguée par la voix, enfonce son doigt dans son sexe, titille le clito.  Elle a vraiment la sensation qu’un homme la caresse, c’est bon ! C’est chaud !

 

  • Maintenant, Marie, tu prends le gode qui est dans la table de nuit, tu sais, celui que vous avez “essayé“ Isabelle et toi hier soir ! allonge toi sur le tapis, imagine que c’est moi qui te pénètre !… encore, encore, encore, encore,… plus fort !

Marie, jambes écartées, enfonce et retire le gode de plus en plus vite, sa respiration s’accélère, elle gémit

  • Tu aimes marie !, tu sens ma queue !

Marie se cabre, son corps vibre, oh oui, c’est bon !

  • Je vais te faire jouir Marie… MAINTENANT !

Marie et l’inconnu crient ensemble leurs jouissances… Un moment de silence

  • Tu as aimé ?!

 

Marie reprend sa respiration

– Oui  c’était vraiment bien,  un moment incroyable !,

  • Je suis content d’avoir passé ce bon moment avec toi Marie, peux être à bientôt.

L’inconnu a raccroché laissant, encore une fois, Marie a ses interrogations, Ou est il ? Qui est-il ?

Isabelle est rentrée et bien sur Marie lui a tout raconté ! Mais depuis ce soir la, plus de nouvelles, et le numéro de téléphone est désactivé ! Cet homme restera un inconnu !

Récit #187 – Première sortie de filles

Par Tomcatqc

Je sors de la douche, je suis ultra nerveux. J’ai reçu plusieurs instructions à suivre très strictes. Rasage intégral et pédicure ne sont que le début. Ça fait trois jours que je porte un plug anal de gros calibre pour dormir. Je me dois d’être prêt à satisfaire tous les désirs de ma Déesse. Elle s’en vient à la maison pour une séance bien spéciale qu’Elle me dit, mais je ne dois pas m’habiller d’avance pour la recevoir. Contrairement aux autres rencontres, Elle me veut nu.

Mon imagination roule à son maximum. Je l’imagine débarquer avec une autre femme pour m’enculer toute la soirée. Elle a exigé que mon auto soit dans le garage pour faire plus de place dans l’entrée pour d’autres personnes. Ce ne serait pas la première fois qu’elle ferait cela, inviter une amie pour qu’elles abusent de moi. J’aurais à les servir avec traitement royal pour leur plaisir de me voir en salope de service avec la cage bien placée sur ma queue pour ne pas avoir d’érection pendant que je les masserais et licherais leurs pieds et bottes.

J’attends, nu comme un vers au bout du lit. Je m’apprête à installer ma cage, mais j’ai une érection incontrôlable et je sais qu’Elle arrivera bientôt. Je me dois d’être prêt et surtout en cage, car c’était aussi dans Ses exigences. Je me parle pour débander, mais rien à faire. Je suis dur, trois jours de plug, cinq jours sans avoir le droit de jouir, avec les masturbations obligatoires, mais sans jouissances autorisées. Je comprends pourquoi je suis incapable de perdre cette érection plus que gênante. Aller hop, j’enfile l’anneau sur ma queue et je force mes testicules à passer pour bien le mettre en place. Cette douleur forcée m’arrache un petit grognement et une larme, mais elle permet à l’anneau de rentrer à sa place. Je perds la moitié de mon érection, voilà le bon moment pour mettre ma queue dans la cage avec un peu de lubrifiant pour l’aider à glisser et prendre place dans la cage transparente qu’Elle adore tant me voir porter.

J’entends son auto rouler dans le stationnement. Instantanément, je suis pris d’une bouffée de chaleur, la nervosité m’envahi. Pourtant, je ne suis pas à ma première soirée d’abus sexuels et de service pour Elle, mais j’ai le sentiment qu’il y a quelque chose de spécial ce soir. J’enfile ma robe de chambre et va l’accueillir comme il se doit. Après que la porte d’entrée soit fermée, je m’agenouille devant Elle et lui fait le protocolaire baise main. Elle me dit de me lever et d’aller dans la chambre pour Son inspection.

J’arrive dans la chambre, retire mon peignoir, me mets en position d’attente les mains le long du corps. Elle me regarde de face de la tête aux pieds, me fait signe avec la main de tourner pour lui exposer mon dos. J’entends ses doigts claquer, je sais que c’est le signal pour me pencher et écarter mes fesses pour qu’Elle voit bien « ma chatte ». C’est ainsi qu’Elle appelle mon cul car c’est de cette seule façon que j’ai le droit de jouir lorsque je suis Sa salope de service. Elle semble satisfaite puisqu’Elle m’ordonne de me relever et de venir présenter mon clito en cage. Elle sourit en la prenant en main et me félicite de ma bonne écoute à Ses ordres.

Elle se met à ouvrir les tiroirs de la commode qui contiennent mes vêtements féminins qu’elle a achetés pour faire de moi Sa pute de service. Le bureau contient autant des petites culottes en dentelle que des pantalons en pvc, en passant par des soutien-gorge de toute sorte, le tout pour accompagner son humeur du moment. Elle exige de m’habiller Elle-même car Elle aime caresser la dentelle, le cuir, le pcv qui se dépose sur ma peau, et faire de moi SA belle fille qui la servira le temps d’une soirée, en solo ou avec une amie qu’Elle affectionne particulièrement.

Ce soir, c’est spécial, je le sens. Elle fouille et refouille dans la commode pour faire et défaire des agencements de toutes sortes. Elle dit me vouloir parfaite. Je la sens nerveuse, je ne l’ai jamais vue ainsi, ça augmente ma nervosité. « ENFIN!! crie-t-Elle. J’ai trouvé ce que tu vas porter ce soir ma salope. » Elle avait son beau grand sourire, ses yeux étaient étoilés comme jamais. Ça faisait presque peur. Elle avait son petit rire démoniaque. « Aller, viens ici que je commence ta préparation ma putain. » Elle m’a vêtu de bas filet rouge vif et d’un porte-jarretelles noir avec une petite broderie rouge dessus. Wow, je ne l’avais jamais vu celui-ci, top qualité! Après m’avoir attaché les bas au porte-jarretelles, Elle m’enfile une culotte en dentelle noire et rouge qui s’agence parfaitement. « Toute de la nouvelle lingerie pour une soirée spéciale ma belle amour! » me dit-Elle.

J’étais vraiment curieuse de découvrir ce qu’elle avait préparé comme soirée. Ensuite, elle m’habille de la jupe de cuir noir courte, très courte. On voyait très bien mes jarretelles dépasser. Le soutien-gorge rouge et noir aussi en dentelle qui devait être vendu en ensemble avec la culotte puisqu’il matche parfait avec celle-ci. Elle poursuit avec un petit top semi décolleté qui met mes faux seins en valeur. Oh oui! des faux seins. Elle en avait parlé, mais jamais Elle avait dit s’en être procuré. C’est humiliant de voir la transformation qui s’évolue à un niveau jamais atteint. Elle ressent mon malaise d’être ainsi poussée, Elle me répète souvent que je suis belle, que je lui appartiens et surtout qu’Elle est vraiment fière de Sa salope, de mon évolution entre Ses mains. Sa douce voix me réconforte, apaise mes craintes, mais surtout me donne confiance pour la suite. Une suite que j’ai déjà vécu : maquillage léger, mais avec des lèvres bien colorées, car Elle adore voir mes lèvres entourer son god ceinturé et me voir le sucer pour démontrer mon côté obéissant, chienne suceuse. Elle installe ma perruque blonde. Tout est fait avec délicatesse, comme toujours, et Elle me parle de tout et rien pour me calmer. Elle prend bien soin de Sa putain

Maintenant, c’est à moi de prendre soin d’Elle : crème sur tout le corps pour que ma Déesse soit douce partout, l’aider à enfiler Sa robe de pvc et surtout attacher Son corset et ensuite les bottes de cuir. Elle a déjà son maquillage et ses cheveux de faits. La touche finale, Elle me sort mes plus beaux escarpins que j’enfile avec fierté puisqu’ils me font des jambes du tonnerre. C’est là que j’ai droit à une pluie de compliments de ma Déesse sur mon look et ma beauté, mais surtout Sa fierté à me voir dépasser mes soft limites.

À présent, je m’attends aux ordres habituels : de me préparer à faire le souper et le service quand son amie va arriver. Les bouteilles de vin rouge sont dans le cellier et celles de blanc bien froid au frigo. Mais surprise, Elle me sourit et me dit d’emballer le vin. Elle voit immédiatement dans mon visage que ça ne fonctionne pas, la peur occupe mon regard. Elle s’approche de moi, me prend les mains, les flattent en prenant le temps de flatter mes ongles colorés et me répète calmement d’emballer le vin, qu’on quitte la maison, que nous allons sortir ce soir entre filles, que je savais que ça arriverait un jour et CE jour était maintenant. C’est pour cela qu’elle avait fait placer l’auto dans le garage, je suis passagère et que tout est organisé. Que SA pute sort et qu’elle va aimer sa soirée.

Après quelques secondes de silence, je réponds en bonne fille obéissante « Oui Déesse, j’ai emballé les deux bouteilles de vin dans un sac. » et je me suis dirigé vers l’auto côté passager comme ordonné par ma Maîtresse adorée. Je sors ainsi en public… Non pas que c’est la première fois qu’Elle me féminise, mais sortir de la maison déjà féminisée est une première pour moi. J’ai déjà été féminisée dans des soirées en donjon ou en maison privée pour des soirées spécifiquement réservées à ce type de jeux. Mais là, wow quel moment intense à vivre.

Elle ouvre sa portière, prend place derrière le volant, boucle sa ceinture. Voilà, le moteur tourne et la porte de garage est actionné. C’est un départ, mais je ne sais pas pour où ni pour quoi. La route est longue, je suis dans un mutisme sans contrôle, la musique joue, mais je ne l’entends pas vraiment. D’après la route que l’on emprunte, je crois déceler que la destination se trouve à Montréal. Je me demande où, cartier gay où je pourrais passer inaperçue? Dans un donjon où je n’aurais pas su d’avance l’événement? Tant de questions sans réponse. Ma Déesse a les yeux étincelants avec un grand sourire de bonheur contagieux, je me surprends à sourire moi aussi. Il fait déjà sombre, la nuit va bientôt s’imposer et me permettre un certain anonymat.

On arrive à destination, cartier gay. Elle se stationne et me dit : « Ce soir, c’est ton soir. Tu vas être là, avec moi, et vivre un moment des plus magiques. On va souper, j’ai réservé dans un petit resto tranquille juste pour toi et moi. Concentre-toi sur ça en premier et vit le fait de faire une sortie de filles. » me dit-Elle sur un ton posé mais autoritaire. Nous sortons de la voiture et marchons jusqu’au restaurant. Nous avons une table retirée dans un endroit plutôt discret pour pouvoir jaser entre Maîtresse et salope. Nous discutons surtout du pourquoi elle me pousse à sortir ainsi ce soir, que ça fait assez longtemps que je repousse le moment et que je dois m’assumer en tant que pute de service à un niveau convenable.

Une fois le souper terminé, Elle se lève, je la suis. Nous sortons du restaurant et nous dirigeons en direction opposée de l’auto. Je lui demande où on va et Elle répond simplement : « Te baiser salope, quoi d’autre penses-tu faire ici? Donc direction hôtel des gouverneurs. » À notre arrivée, Elle va au comptoir, la chambre est réservée d’avance. Elle prend les cartes, me regarde et m’appelle en me criant : « Salope, ta chambre est prête. Amène ton cul que je le défonce. » Je n’ai jamais vu ma Déesse avec ce regard et cette audace en public.

Une fois dans la chambre, Elle me dit de me rafraîchir, histoire de sentir bonne, et me donne une bouteille de parfum féminin. Elle repart à l’auto disant avoir oublier son sac avec les strapons pour me fourrer comme une pute. J’attends son retour avec impatience. Tout ce setup pour me faire sortir et me baiser… Wow!! Elle prend à cœur mon humiliation et je suis plus que comblée. Elle ouvre la porte, me lance le sac et me dit d’aller me faire un lavement, qu’Elle veut une chatte propre à enculer et que j’ai 15 min maximum pour m’exécuter. J’entre dans la salle de bain et me fait le lavement. Je suis toute propre pour être bien abusée par ma Déesse. J’ai hâte, je coule déjà de precum dans ma cage. Je me présente devant Elle qui est allongée sur un des deux lits et souriante comme jamais. Elle me regarde et me dit de m’agenouiller devant le lit. Après deux minutes à me contempler, un cognement retenti dans la chambre, on frappe à la porte. Maitresse ne semble même pas surprise. Elle va répondre avec son petit rire taquin et moi je sens une boule de chaleur m’envahir

C’est un homme bien vêtu, et après quelques échanges de chuchotement avec ma Maitresse, je comprends qu’il n’est pas là par erreur. « Non, il ne s’est pas trompé de chambre, me dit ma Déesse. Il est là pour nous, me dit-Elle entre parenthèses. » Nous!!!!! ai-je répondu sans réfléchir, avec un air très surpris. Elle me répond : « Oui nous!!!! Moi qui regarde et toi qui fait ta job de pute. Il t’a vu de la porte d’entrée, m’a dit te trouver belle et sexy, alors tu le vides de la façon qu’il a envie d’abuser de toi. Tu as toujours le choix d’utiliser tes couleurs, tu les connais. Mais ça fait assez longtemps que tu en rêves, alors Je t’apporte ton rêve ici, ce soir. Je t’ai fait toute belle, tu as la chatte prête, alors à toi de décider. C’est rouge ou vert, y’a pas de jaune ce soir sauf si tu as besoin de plus de lub au cul. Ne t’en fait pas, j’ai pris des gars qui ne durent pas longtemps. Oui, DES gars!! Alors tu décides quoi? Ta première queue t’attend devant toi. »

Je me ferme les yeux et j’ai ouvert ma bouche en signe de consentement. J’entends ma Maitresse s’exclamer « Bonne salope! » C’est là que j’entends le mec détacher son pantalon et s’approcher de moi. Je sens sa queue molle pénétrer ma bouche, je comprends que j’ai du travail à faire pour qu’elle durcisse. Je commence par la licher, la masturber avec ma main, toujours les yeux fermés par gêne. Elle commence à durcir, alors je la remets dans ma bouche pour la sucer et la sentir gonfler dans ma bouche. Cela ne prend pas de temps qu’il est bien dur et éjacule direct dans ma bouche chaude. Wow c’est vrai qu’il est précoce et que dire de la petite quantité de sperme qui est sorti… J’avale tout, mais avec la salive de la fellation, je ne goûte que très peu à son jus. J’ouvre mes yeux et regarde ma Déesse qui est hyper ravie de la scène qu’Elle voit. « Bravo Ma salope!! Tu n’as pas échappé une goutte, me dit-Ele. » L’homme remet son pantalon, remercie ma Maitresse de son cadeau et sort de la chambre.

Maitresse m’offre de m’assoir sur le lit et me tend un verre d’eau pour me rincer la bouche. Pendant que je me rince la bouche, elle prend son téléphone et dit simplement à son interlocuteur que c’est à son tour, que je serai prête à son arrivée. Elle m’ordonne de me mettre à 4 pattes, relève ma jupe, du moins pour le peu qu’elle cache dans cette position, sort son god et me l’enfonce dans la chatte avec beaucoup de lub. Elle vérifie l’état de ma cage et voit que je coule dans celle-ci. Elle met un condom au bout pour que je ne coule pas partout. C’est à ce moment que j’entends frapper à nouveau à la porte. Oh mon dieu!! Elle a vraiment appelé un autre mec.

Elle part ouvrir la porte en me regardant bien dans les yeux. Elle a une discussion à voix basse avec l’homme en question. Elle l’amène devant moi, lui baisse son pantalon et se met à le sucer bien langoureusement. Oh mon dieu, je suis excitée à la voir faire. Une fois la queue bien en érection, Elle lui met une capote, enlève le god de mon cul et c’est là que je comprends qu’il va me défoncer le cul. Il a un très gros gland bien gonflé par les lèvres de ma Déesse. Par chance que j’ai eu un entraînement durant la semaine avec les grosses plug, sinon il me déchirerait la chatte. Il enfonce sa verge dans mon cul sans se soucier si je suis capable ou non de la prendre. « Aller ma chienne, prend-la dans l’cul. » me dit-il, en finissant de la rentrer bien au fond. Wow, c’est douloureux, mais tellement excitant en même temps. Son va et vient me résonne jusque dans la tête. Il me défonce vraiment fort, je coule, je gémis, ma Déesse me regarde avec fierté. Bang, il éjacule, il jouit, il me serre aux hanches avec ses mains pour bien la rentrer au fond. Il a déchargé une grosse quantité de sperme dans la capote. Il l’enlève, la jette, me présente sa queue pour que je la nettoie avec ma bouche. Je m’exécute sans rien dire. Il remet son linge et quitte après quelques remerciements à ma Maitresse. Elle me regarde, me demande si j’en ai assez, si tout va bien, si j’aime être réellement abusée. Je suis toute souriante et Elle comprend instantanément que je suis heureuse de ce que je vie. Elle me dit simplement : « Parfait, on passe au prochain et là tu vas tripper Ma salope adorée. »

Elle texte sur son téléphone. Elle reçoit une réponse et sourit. « Tu vas tripper pour la suite, Ma chienne, me dit-elle. » En 45 minutes, j’ai vidé deux hommes sans aucune difficulté. C’est très spécial déjà. Là encore, j’ai à peine le temps de me remettre les idées en place que ça frappe à la porte. Je suis vraiment nerveuse de découvrir quel trip m’attend.

Cette fois-ci, c’est un couple homme-femme qui rentre dans la chambre. Je les ai déjà vu dans des soirées en donjon. Madame est une dominante très sadique, mais lui ne porte pas son collier. Il porte un habit classe et madame porte une belle robe moulante rouge flamboyant. Il a une bouteille de vin à la main et je comprends que ce ne sera pas une job à la va vite comme les deux autres. Ils ont leur sac de jouets et prennent le temps de s’installer. « Tu vois Ma salope, nous serons trois à abuser de toi, comme une vraie pute, pour le reste de la nuit. Maintenant que tu es réchauffée, ça va être plus facile de prendre la queue de monsieur, me dit-elle. » Je l’avais déjà vue en action, sa queue mesure tout près de 12 pouces, un vrai « bull » comme on dit dans la scène.

Le reste de la nuit est plus hard core que jamais avec les deux maîtresses équipées de leurs strapons et monsieur qui abuse aussi de moi. Je n’ai que les premières 20 minutes après leur arrivée pour jaser et ne rien avoir dans mes orifices. J’ai droit à seulement une consommation de vin, et une fois qu’ils commencent, ils n’arrêtent pas. Sa queue dans ma chatte qui me pilonne sans arrêt, me faisant couler comme une pute. Ça c’est quand je n’ai pas sa queue en bouche avec une des dames qui joue à m’enculer avec des god de tous les formats. Je crie de jouissance et à la fin, il n’y a pas que moi qui profite de la queue de monsieur. Les maitresses aussi se gâtent pendant que je suis dans un coin à m’enfoncer un gode dans le cul. Monsieur jouit sur les maitresses et je dois aller licher sa semence sur les seins des dames. Après m’être fait défoncée toute la nuit et avoir éjaculé dans la capote sur ma cage de chasteté, ma Maitresse prend le condom rempli de ma semence et me le vide dans la bouche pour que je puisse goûter à ma jouissance. Je me sens vraiment comme shopvac à sperme.

Ensuite, le vin faisant son chemin naturel dans le corps des maîtresses, elles m’ont amenée à la salle de bains, dans la douche, où j’ai reçu leur pluie chaude dorée en plein visage. C’est délicieux et ultra humiliant. Jamais on ne m’a traitée ainsi. Ma tête est dans un second état. Je tombe endormie d’épuisement, couchée sur le sol au pied du lit, pendant que le trio discute de leur soirée. Lorsque le couple quitte, Ma douce amour me réveille et m’amène dormir dans le lit. Elle me prend dans ses bras, me dit à quel point je la rends fière, heureuse et épanouie, mais surtout… qu’Elle m’aime à la folie!!!

Récit #151 – Confessions d’une nymphomanne – Partie 1

 

Ce n’est pas la première fois qu’on m’invite dans ce genre de party à la réputation plutôt olé olé, mais c’est la première fois que j’accepte d’y aller. La seule et unique raison pour laquelle j’ai toujours refusé de fréquenter ce genre d’endroit par le passé est que j’étais en couple et que mon conjoint était du type réservé. Pour ma part j’ai toujours été extravertie et un brin exhibitionniste, cause de nombreuses frictions dans mon couple. Chaque fois que mon chum et moi sortions et que les yeux des autres se portaient sur moi, c’était la crise. Combien de fois me suis-je fait reprocher de m’habiller de façon trop sexy. Que voulez-vous, j’adore les leggins moulants, les jupes courtes, les petits tops moulants et je ne sors jamais sans mes chaussures à talons aiguilles. J’aime tout ce qui moule le corps comme une seconde peau et comme toutes mes amies me l’ont toujours dit, j’ai le body pour ça. Bien entendu, j’ai fait des efforts pour diminuer l’attraction que je dégage chez tout le monde, pas seulement chez les hommes d’ailleurs, mais peine perdue je retombe toujours dans mes vieilles habitudes. Quand mon couple s’est fracturé définitivement, je ne vous le cache pas, j’ai eu l’impression de renaître.

Quand la nouvelle de mon nouveau célibat s’est répandue dans mon milieu de travail, mes prétendants se sont vite mis en chasse. Je retournerai en couple un jour, c’est certain, mais pas avant d’avoir réalisé tous mes fantasmes et croyez-moi, il y en a beaucoup. Pour le moment, j’ai vraiment envie de profiter de ma liberté.

C’est finalement avec une grande fierté qu’un mois après ma séparation, j’acceptai l’invitation de mon nouvel ami Marco. Bon, le terme ami est peut-être un peu exagéré. Disons plutôt que Marco est une connaissance. Il travaille dans la boutique de vêtements médiévaux voisine de la boutique de lingerie érotique dans laquelle je besogne depuis presque un an.

Quand un taxi nous déposa devant une entrée anonyme, Marco me fit face et m’expliqua.

— Roxanne, il faut que tu saches que l’endroit où je t’emmène est un peu spécial.

— Spécial comment?

— Disons que les gens qui le fréquentent sont assez entreprenants et ouverts d’esprit. Pour être bien acceptée dans ce genre de milieu, tu dois te montrer ouverte toi aussi. Est-ce que tu me comprends?

— Absolument et je suis impatiente d’y aller.

Marco n’hésita qu’un moment avant de me prendre la main pour m’entraîner dans un escalier très étroit qui s’enfonce dans le sol entre deux habitations. Franchement, jamais je n’aurais pu deviner qu’un bar se trouvait dans cet endroit. Au bas des marches, nous nous retrouvons devant une entrée faiblement éclairée où un homme monte la garde. Quand j’ai vu le type, j’ai presque eu un mouvement de recul et il m’a fallu revoir l’image que je me faisais d’une armoire à glace. Malgré les cinq pieds et dix pouces que j’atteins avec mes chaussures à talons de cinq pouces, ma tête ne dépasse même pas ses épaules. Marco lui tend une carte et après nous avoir dévisagés pendant quelques secondes, il nous ouvre la porte et nous laisse entrer. À peine sommes-nous à l’intérieur qu’une musique terriblement forte nous agresse. Nous longeons d’abord une sorte de tunnel aux parois sombres uniquement éclairées par la lumière d’un black light qui révèle les détails de mon string à travers le tissu de ma robe. Je me retourne juste à temps pour voir le sourire de Marco qui marche derrière moi et je comprends que je ne dois pas être la première femme qu’il invite dans cet endroit. Lorsque nous débouchons dans une grande pièce aux allures de discothèque futuriste, un grand nombre de personnes se tournent vers nous. Je devrais ressentir de la gêne devant l’insistance de tous ces regards, mais j’en suis plutôt excitée.

Sur notre droite, il y a un grand rideau à travers lequel je distingue un homme confortablement installé sur un fauteuil arrondi dans le style banquettes de restaurant. Le rideau fait en sorte que je ne distingue pas les traits de son visage. L’homme ne bouge pas et garde ses deux bras étendus sur le haut dossier de chaque côté de lui. Un mouvement attire mon attention plus bas et je me demande si ce que je vois est la réalité ou un simple tour de mon imagination. Non, je ne rêve pas, il y a une femme sous la table. Je distingue clairement ses talons hauts. En plissant les paupières, j’arrive à distinguer un mouvement de va-et-vient parfaitement synchronisé au rythme de la musique. Lorsque je saisis enfin ce qui s’y passe, je ne peux m’empêcher de sourire. Il y a là un chanceux qui se fait faire la fellation de sa vie.

De l’autre côté se trouve un grand bar devant lequel une bonne vingtaine d’hommes ont pris place. Tous nous regardent ou plutôt m’observent moi, ce qui ne me déplaît pas le moins du monde. Ce n’est pas pour rien que je porte ma robe en lycra. Elle révèle on ne peut mieux mes courbes parfaites et avec mes chaussures à talons aiguilles, mes jambes semblent interminables. Devant nous, une piste de danse sur laquelle plusieurs femmes dansent langoureusement.

— Tu m’attends ici, je vais nous chercher des consommations.

Encore une chance qu’il y ait tout juste assez de lumière pour que je puisse lire sur ses lèvres.

— D’accord!

Dès que je suis seule, il ne faut pas dix secondes avant qu’une femme s’écarte des autres pour venir me saisir le poignet et m’entraîner avec elle sur la piste. J’ai toujours aimé danser alors je me laisse glisser dans le groupe et commence à me déhancher sensuellement. La piste de danse n’est pas vraiment encombrée, mais je me fais encercler assez rapidement par toutes ces femmes qui ne tardent pas à se frotter sur moi. Des mains se posent mes hanches, d’autres sur mes fesses et je sursaute quand des mains me saisissent les seins sans gêne. J’aurais dû me sentir gênée, mais non. Au contraire, je ne me suis jamais sentie aussi excitée. Une fille se glisse devant moi, une blonde si j’en juge par le reflet de ses cheveux sous la lumière des projecteurs. Elle est tellement près de moi que son parfum m’enivre. Quand ses lèvres se posent sur les miennes, je ne peux m’empêcher d’ouvrir légèrement la bouche. Ma langue danse avec la sienne avec douceur d’abord, puis avec de plus en plus d’ardeur.

Mon Dieu, je ne suis pas ici depuis cinq minutes que l’humidité s’installe dans ma culotte. Tout en l’embrassant, je pose mes mains au creux des reins de l’inconnu et ne résiste pas longtemps avant d’empoigner ses fesses. Notre petit jeu se poursuit encore une bonne minute avant que la musique change pour de quoi de plus doux et moins assourdissant. Lorsque ma nouvelle amie s’écarte, j’ai de la peine à la voir s’éloigner et découvre Marco qui me tend un verre.

— Eh bien, tu n’as pas perdu de temps.

— Ah! Ah! Ah! Pour être honnête, je n’ai fait que me laisser aller.

— Tu aimes te laisser aller?

— Oh oui.

— Je crois que tu auras bien d’autres occasions durant la soirée, ma belle.

— Je l’espère bien.

Je quitte la piste et l’accompagne vers une banquette qui au moins n’est pas partiellement cachée derrière un rideau. Dès qu’on y prend place, je cherche des yeux la magnifique blonde avec qui j’ai échangé mon premier vrai baiser au féminin, mais je ne la trouve nulle part. Un peu déçue, je m’approche de Marco pour bien me faire entendre.

— Tu es un habitué de la place? Tu y viens souvent?

— Pas vraiment, cela ne fait que trois ou quatre fois. En tout cas, tu fais déjà sensation.

— Ah oui?

— J’ai déjà eu un bon nombre de commentaires quand je suis passé au bar. Tu as le choix.

— Le choix?

— Ce soir, tu peux faire ou avoir tout ce que tu veux avec n’importe lequel de ces hommes.

— Hum!

Mon expression doit trahir mon doute, car Marco réagit.

— Quoi?

— Je ne peux m’empêcher d’être méfiante quand on me dit que j’ai le droit d’avoir ou de faire tout ce que je veux. C’est le genre de situation qui peut rapidement passer hors de contrôle.

— Pas ici.

— Non?

Il me montre du doigt quelques hommes répartis dans chaque coin de la salle. Tous des hommes étonnamment bien charpentés.

— Ces gars-là sont ce qu’on appelle des gardiens. Ils s’assurent justement que tout reste sous contrôle. Ici, tu peux faire tout ce que tu veux, du moment qu’il y a consentement explicite. Je ne sais pas ce qui arrive à ceux qui se risquent à dépasser les limites que leur imposent leurs partenaires, mais il paraît que ce ne sont pas des doux.

— D’accord!

Je ne sais pas pourquoi j’en suis certaine, mais je sais que Marco me dit la vérité et je ne suis le genre de personne qui ici se sent au paradis. Des dizaines d’idées me passent par la tête, toutes plus enivrantes les unes que les autres. Je me penche vers Marco.

— Va dire à tous ces hommes au bar que je suis disponible pour leur faire plaisir.

Bien que de l’endroit où je suis assise, je ne vois que le haut du rideau qui cache le type qui se fait faire une fellation, l’image me revient en tête et je sens des crampes au bas du ventre.

— Dis-leur que je ne refuse rien.

— Wow! Tu es certaine que c’est ce que tu veux?

— Absolument.

La réaction des hommes ne se fait pas attendre. Après un court conciliabule, un premier s’avance vers moi et sans prononcer le moindre mot, me saisit par le poignet et m’entraîne avec lui. Il ne me brusque pas, mais sa poigne est ferme. Il m’emmène dans un coin de la salle et s’installe sur une banquette. Sans jamais prononcer le moindre mot, il me tire le bras par le bas et me force à m’agenouiller devant lui avant de défaire sa braguette et de m’exposer son sexe à quelques centimètres du visage. Mon Dieu, est-ce que je vais vraiment faire ça? Une toute petite voix dans ma tête me dit de m’en aller, mais une autre beaucoup plus forte m’ordonne d’obéir. Je détaille son pénis avec attention, admire cette tige veineuse surmontée d’un gland magnifique qui m’apparaît comme un savoureux suçon et le lèche une première fois, puis une deuxième. Déjà, le sang afflue dans ce sexe appétissant qui grossit à vue d’œil. Je le lèche une troisième fois avant d’enfouir le gland dans ma bouche. Je me sens chaude, je me sens extraordinairement vivante. Je sens la vibration de son râle plus que je ne l’entends à cause de la musique tout à coup très forte. J’ai envie de tourner la tête pour voir si la grande blonde est de retour sur la piste de danse, mais l’inconnu place une main sur ma nuque et m’oblige à rester en place. Par réflexe je tente de reculer, mais le type augmente la pression et l’effet est contraire. Sa queue s’enfonce jusque dans ma gorge. J’hésite entre le haut-le-cœur et l’envie de trouver une façon de faire passer le gland plus loin encore comme j’ai déjà vu dans un film porno que j’avais surpris ma mère et son en train de visionner il n’y a pas si longtemps. La voix la plus forte dans ma tête me hurle de choisir cette dernière option. Les secondes qui suivent me servent à relever ce défi. Pour m’en donner la chance, j’exerce quelques va-et-vient rapides de façon à convaincre l’homme que je suis bien décidée à lui offrir le plaisir qu’il convoite et réussis à enfouir sa queue au complet assez rapidement. Je lève les yeux afin de croiser son regard et lui offre mon expression la plus perverse. Il n’en faut pas plus pour qu’il explose. Je sens son sperme dans ma gorge puis dans ma bouche et me demande si je dois l’avaler. Non, je veux lui montrer que contre toutes attentes, je suis maîtresse de la situation. Je me retire rapidement, grimpe pratiquement sur lui et je plaque ma bouche contre la sienne. Je le sens se raidir de surprise, mais il est déjà trop tard. J’ai forcé ses lèvres et lui ai transféré sa sève dans la bouche. Je plaque rapidement ma main sur ses lèvres et lui crie dans l’oreille.

— Avale!

L’homme s’exécute et quand je vois des larmes lui couler sur les joues, je souris, victorieuse. L’inconnu me jette un regard admiratif et quitte sa place non sans avoir préalablement rengainé son engin et remonter sa braguette. Je me laisse tomber à sa place et lance un regard de défi aux autres hommes toujours au bar.

Je suis prête et la soirée ne fait que commencer!

Récit #148 – Julia – Partie 1 – L’apprentissage de la soumission

Bonjour chers lecteurs.  Avant de vous raconter ce qui m’est arrivé, je dois de commencer par les présentations d’usage.  Je m’appelle Julia, j’ai 40 ans.  Je suis une brunette de taille moyenne, en fait, je fais 5’6.  J’ai une coupe semblable à celle de Uma Thruman, dans Pulp Fiction, mais là s’arrête la comparaison.  J’ai les rondeurs là où il faut (je fais 165 lb).  Je suis dotée d’une superbe poitrine (Double D) pour qui sait apprécier les gros seins, et d’un postérieur qui donne de la pogne.  Dois-je vous dire que si vous aimez une femme plate comme une planche à repasser et sans courbes, vous ne vous adressez pas à la bonne personne avec moi!  Je porte des lunettes au large rebord noir, ce qui me donne un air faussement sévère ou intellectuel.  Avec cette tronche, je pourrais facilement passer pour la secrétaire ou la bibliothécaire cochonne   En fait, bien que déterminée dans la vie, je suis tout sauf une femme rigide et j’aime plutôt lâcher mon fou.

Je vis seule avec mes deux enfants âgés qui sont âgés maintenant de 19 et 21 ans, une fille et un garçon. Mon appartement est plutôt tranquille si je compare à la situation d’il y a à peine deux ans, alors que j’étais toujours mariée avec Pierre, mon ex-mari, âgé aujourd’hui de 60 ans.  En fait, j’ai toujours été en couple avec des hommes plus matures.  Sans trop savoir pourquoi, j’ai toujours apprécié le sentiment de sécurité que ces hommes protecteurs m’apportaient.  Pierre était un bon mari : doux attentionné.  Mais nul au lit.  En fait, il était très bon, mais je n’y ai jamais vraiment pris mon pied.

C’est probablement pourquoi je me suis avérée être une bien piètre partenaire de vie pour mes hommes ; je suis incapable d’être fidèle avec les hommes avec qui j’ai partagé ma vie, je me lasse très rapidement. Avant d’être mon mari, Pierre fut mon amant pendant les six années qu’a duré mon premier mariage avec Luc.  Cette fois, cependant, je suis bel et bien sans attache aucune, ayant pris la décision il y a deux ans de prendre du temps pour moi et de cesser de faire du mal à des hommes que j’aime d’amitié.  La contrepartie à tout ça, c’est que ma libido souffre lorsqu’elle est mise dans une cage avec un carcan.

À travers mes infidélités, je me suis découvert un appétit pour des hommes qui sont un peu plus de mon âge.  Là encore, je me suis vite lassée de ces hommes qui venaient me voir à la sauvette alors qu’ils trompaient leur femme.  Puis, je me suis rabattue sur les hommes d’une dizaine d’années de moins que moi.  Cette situation m’excitait bien au début, de par leur vigueur.  Leurs femmes, trop occupées à s’occuper des enfants, ne leur offrait plus de sexe et ils étaient bien contents de m’avoir, mais je me suis vite lassé de ces hommes qui s’attachaient un peu trop rapidement et qui pensaient à refonder une nouvelle famille avec moi après seulement quelques semaines de fréquentations.  Je voulais être baisée, pas refaire ma vie, les dépendants affectifs, non merci.

Puis, plus récemment, j’ai découvert que ces sont les hommes beaucoup plus jeunes que moi qui m’attiraient.  Mon expérience récente la plus marquante est lorsque j’ai fréquenté quelques mois un homme qui venait tout juste d’avoir ses 18 ans.  Je l’avais rencontré dans un bar avec ses amis qui lui avaient donné comme défi de me cruiser. J’avais vite compris qu’au-delà du pari, il regardait constamment dans mon décolleté plongeant et avait une réelle attirance pour les milfs comme moi.  Je ne lui ai pas laissé le choix.  Voyez-vous, je suis une femme qui sait ce qu’elle veut dans la vie.  Non seulement il a eu une vue sur mes seins, mais sur l’ensemble de mon anatomie le soir même.  Ses copains n’ont pas dû le croire…

Ces trois semaines de fréquentation avec Xavier furent intenses.  Nous avons fait quelques trips classiques, du genre baiser avec une autre femme de son âge, puis avec un autre homme.  Nous avons pu nous permettre tout ça grâce aux médias sociaux, qui nous ont aidés à trouver des partenaires de cul sans trop de mal.  Nous avons même fait croire à un homme qu’il était mon fils… Il y a cru jusqu’au bout, alors que nous trouvions la situation plutôt rigolote.  Malheureusement, après ces quelques semaines de fréquentations lubriques, mon jeune amant a quitté pour fréquenter l’université à l’extérieur de la ville et nous nous sommes perdus de vue, si on excepte quelques discussions chaudes que nous avons eues via Facetime.

Me voilà donc ainsi, femme de 40 ans, au paroxysme de sa vie sexuelle, sans partenaire fixe, libre de toute attache.  Et aussi, je dois l’avouer, sans le sou, parce que ces divorces ne m’ont pas rendu riche, bien au contraire.  Me sentant coupable de l’échec de nos relations, je n’ai demandé que le minimum à mes ex-maris.  Or, les les études universitaires de mes deux enfants commencent à peser lourd sur mes finances.  C’est probablement ce qui m’a attiré sans trop m’en rendre compte sur cette annonce classée affichée sur Kijiji dans la section « Rencontres ».

« Recherche femme mure et voluptueuse avec temps libres et ouverture d’esprit.  Viens vivre de nouvelles expériences. $$$. Toutes dépenses payées ».

J’étais trop curieuse pour ne pas aller voir ce dont il était question ; après tout, je n’avais rien à perdre. Je répondis à l’annonce par courriel en y glissant mon CV avec ma photo.  Je reçus un appel à peine quinze minutes plus tard.

Je devinais au ton de la voix que ce n’est qu’un téléphoniste blasé qui faisait le suivi et non celui qui a publié l’annonce.  Il m’informe que le patron a bien vu ma photo et qu’il souhaite me rencontrer rapidement.  Aucune mention de mon CV…  Par contre, il me donne rendez-vous le lendemain, 18h00, dans un restaurant chic de la ville.  Je reçus la consigne de mettre une robe de soirée.  Je commençais donc à comprendre qui me semblait pourtant évident depuis le début : il s’agit d’un job d’escorte, probablement du style plus chic, qui vise à accompagner des mecs pleins de fric dans des restaurants et des soirées.

Et puis, pourquoi pas?  J’ai besoin de fric de toute manière.

Le lendemain, j’enfile donc ma plus belle robe.  Rouge, elle laisse voir une proéminente craque de seins.   Après tout, je ne postule pas pour vendre des Bibles, mais bien mon corps, en quelque sorte!  Il faut bien mettre en évidence mes volumineux seins.

Je suis prévoyante et j’arrive quinze minutes à l’avance.  Alors que je décline à l’hôtesse du restaurant le nom de la réservation, elle me guide vers une table en plein milieu du restaurant où m’attend déjà un homme dans la quarantaine.  Barbu et à lunettes, il pourrait facilement se fondre dans la masse.

Il se leva debout à mon arrivée, pour m’accueillir de façon distinguée, mais froide.

– Bonjour Julia.  Vous êtes d’avance, vous marquez des points.

Je ne sus trop quoi répondre.  Assis face à moi, il tenait entre ses mains une tablette et prenait des notes au fur et à mesure que notre discussion avançait.  Comme je m’y attendais, il posait plusieurs questions personnelles, notamment quant à mon hygiène.  C’est bel et bien un travail d’escorte pour lequel je postule, mes derniers doutes se sont évaporés…  Cependant, au fur et à mesure que le souper progressait, les questions concernaient de plus en plus ma personnalité.  J’aurais parié que l’homme avec qui je soupais était en fait un psychiatre en train de m’évaluer sous tous les aspects de ma personnalité.  C’était un peu plus poussé qu’une entrevue traditionnelle.

Une fois le dessert et le digestif pris, il fit signe à la serveuse qu’il voulait une seule addition.  Il me serra alors la main et me remercia de mon temps.

– Je soumettrai le résultat de cette rencontre à mon patron et nous vous recontacterons bientôt.

Je rentrai ainsi chez moi, dans le doute sur la teneur de ce qui venait de se passer.

***

Le lendemain, je reçu un courriel qui me fait enfin comprendre à qui j’ai affaire.

« Bonjour Julia, vous avez passé avec succès mon entretien d’embauche avec mon spécialiste des ressources humaines.  Si vous voulez aller de l’avant avec l’emploi, vous devez imprimer et m’envoyer une copie signée de ce formulaire de consentement ».   Le courriel était signé Loïc.

Le formulaire en question, assez succinct, se résume à ceci :

– Je suis rémunérée 3000$ par semaine, payé d’avance, jusqu’à ce que mon employeur le juge à propos ou que je prononce une phrase de non consentement.  Je dois la choisir aujourd’hui et une fois prononcée, celle-ci met fin à notre engagement. Je choisis donc la première phrase qui me vint en tête : « Cessez-le feu. »

– Je dois être exclusivement employée par lui. (Du moins, pour le volet « escorte).  Un véritable emploi ne doit pas entrer en conflit avec mes « tâches ».

– Je dois être d’une moralité exemplaire en dehors de nos contacts.

– Je ne dois pas poser de question sur l’identité de mon employeur.

Je trouve bien mystérieuse la dernière clause, mais bon!  Je me lance!  Je signai le tout et l’envoyai après l’avoir numérisé avec mon scanneur.  Je n’eus pas de réponse cette journée-là, mais bien le lendemain, via un virement de 3000$ qui a été fait dans mon compte bancaire.  La journée passa tout de même sans que je n’eus de nouvelle supplémentaire.  C’est du sérieux.

C’est plutôt le lendemain que je reçus un message texte sur mon cellulaire.

« Première rencontre tantôt, un dîner au restaurant.  Adresse à venir prochain texto.  Porter tenue sexy, jupe ou robe.  Je serai à la table 25 ».

Je trouvais mon nouvel employeur bien exigeant pour ne me donner qu’une heure d’avis pour me préparer et me rendre au lieudit.  Par contre, à 3000$ dans mon compte et un dîner gratuit offert, je me dis intérieurement que je ne suis pas trop à plaindre…

Je choisis alors d’y aller d’une robe noire moulante.  Celle-ci permettait de voir la naissance du galbe de mes seins.  Plutôt courte, cette robe arrêtait environ à la mi-cuisse.

Quelques minutes plus tard, un taxi m’amena là où je devais enfin faire cette première rencontre dans un pub irlandais de la rue principale, mais qui sert des dîners au grand public du centre-ville en semaine.  Je m’informai à l’hôtesse pour savoir quelle table était la 25 et me dirigeai ensuite vers celle-ci.

Je crus m’être trompée lorsque je vis un très jeune homme de tout au plus 20 ans en train de consulter son téléphone cellulaire. Habillée de manière décontractée, il portait un chandail-kangourou gris ainsi qu’une casquette noire.  Une mince barbe recouvrait son visage plutôt imberbe.  Il devait porter les cheveux très courts. Sans être costaud, il était tout de même bien proportionné et faire environ 5’9 pouces.

– Salut Julia, je t’attendais, me dit-il avec son sourire juvénile.

L’entendre m’appeler par mon prénom me rassura, j’étais bien au bon endroit.

– Bonjour…monsieur?

– Appelle moi Loïc simplement.  Je suis content, tu ressembles bien à la photo que tu as mis sur ton CV.

Je sentis le poids de son regard autoritaire lorsqu’il scruta de ses yeux ma tenue.  Il sembla satisfait, surtout lorsque son regard s’est attardé plusieurs secondes sur ma poitrine.

– On va s’assoir pour faire connaissance, si tu veux bien!  Un café?

Ainsi alla notre première rencontre, nous discutions de tout et de rien.  J’appris alors qu’il dirigeait une boîte techno installée depuis peu dans le centre-ville.  L’application qu’il a lancée il y a à peine deux ans était déjà rentable – un exploit dans le domaine – et lui permettait de s’offrir « un peu de confort » et d’indépendance.  Alors qu’il était à peine au cégep, il n’a pas eu beaucoup de temps libres pour faire des rencontres, expliqua-t-il.  Il avait espoir de pallier ce manque avec moi.  J’étais surprise de voir un jeune de cet âge s’exprimer aussi facilement avec une femme comme moi et je dû avouer qu’il était plutôt charmant.

La serveuse vint nous interrompre pour prendre nos commandes.  Je choisis alors une salade de légumineuse.  Une fois celle-ci prise, Loïc fit un regard coquin et glissa un papier plié en deux vers moi.

– Vas aux toilettes et enlève ta petite culotte.  Remets-la-moi sous la table.  Dorénavant, tu n’auras plus besoin de cette pièce de vêtements lors de nos rencontres.

Surprise, je rougis en lisant la note et le regardai d’un air interrogatif.

– Tu te rappelles notre contrat?

Je m’exécutai alors en me levant immédiatement pour aller aux toilettes.  Moi qui avais pris la peine de mettre ma plus belle brésilienne, me voilà bien avancée.  Une fois ma tâche exécutée, je mis alors la petite culotte dans ma sacoche et je pus retourner m’assoir avec Loïc. Aussitôt assise, il tendit la main d’un air autoritaire.  Je m’exécutai alors et lui passai discrètement la pièce de tissus demandée sous la table.

Je sentis ma chatte complètement à l’air libre.  La longueur de ma robe fit qu’une fois assise, elle remontait au-delà de la mi-cuisse que lorsque je suis debout.  Intimidée quelque peu, je m’imaginais déjà toutes sortes de scénarios qui firent que je commençais à mouiller.

– Tu te sens bien?

– Évidemment!

– Parfait.  On va tester si tu es une femme sérieuse ou une simple profiteuse.  Je veux voir tes boules.

– Viens avec moi dans la salle de bains et je te fais ce que t…

– Non, ici.

– Ici?

– Oui.  Trouve une manière, mais je veux voir tes mamelons pointer vers moi, dit-il en prenant son téléphone et en le dirigeant vers moi, comme pour prendre une photo.

Je suis mal prise.  Comment allais-je faire en ce plein restaurant bondé pour lui montrer mes seins ? Je trouvais le jeune pas mal effronté, surtout qu’il voulait prendre des photos, mais en même temps, j’avais besoin de cet argent.  Et je dois avouer qu’il m’intrigue…  Je tentais alorsrs le tout pour le tout et me levai :

– Un instant, je reviens.

Je retournai alors aux toilettes, cette fois-ci non pas pour enlever ma petite culotte, mais bien mon soutien-gorge au complet.  Avec du DD comme taille, heureusement que mes seins se tiennent encore bien et que ma robe serrée me donne une chance!  En revanche, personne d’un tant soit peu perspicace ne serait dupe : je laissais voir mes seins pointer à travers ma robe ; je me dis un instant que j’ai bien fait de ne pas prendre la robe blanche que j’avais prévu prendre en premier ce matin …

De retour à la table, je pris bien soin de me pencher le plus que je le pouvais vers le regard de Loïc.  Son sourire complice me fit comprendre qu’il était satisfait.  Lorsque la serveuse arriva finalement avec nos plats, son regard s’est porté involontairement dans vers ma poitrine.  Puisqu’elle est debout, elle a clairement compris que je ne portais plus rien sous ma robe, du moins c’est ce que je déduis par la rougeur de ses joues après nous avoir laissé nos assiettes.

Je profitai ensuite de chaque moment pour descendre subtilement ma robe, offrant à Loïc la vue qu’il désirait tant.  Il prit plusieurs photo, s’assurant bien de me faire sourire à chaque pose.

– Tu es une bonne fille, Julia.  Maintenant, je veux que tu te masturbes pour moi.

– Quoi, maintenant ici?

– Oui!

– Mais le restaurant est bondé!

– Justement…

Scrutant autour de moi le regard de ces étrangers qui discutaient de tout et de rien, je tentai le tout pour le tout.  Après tout, ce n’était pas si compliqué, l’accès à ma partie intime était facilité par l’absence de sous-vêtements et une nappe cachait quelque peu mon intimité.  J’étais déjà trempée, excitée par la tournure imprévue de ce dîner.  Moi qui croyait avoir à accompagner un homme mur dans un souper pour qu’il me raconte sa vie malheureuse avec sa femme…

D’une main, je tins ma fourchette.  De l’autre, c’était mon clitoris… Je le sentais moite et chaud.  Et je me suis laissé aller à le frotter de gauche à droite, puis de haut en bas, alors que personne ne semble semblait s’en préoccuper.  J’étais doublement excitée d’obéir à cet étranger qui me payait et qui en plus me faisait faire des choses que d’ordinaire, je n’aurais jamais fait.  Je me sentais salope et j’aimais ça.

Pour ces raisons, je sentis vite mon excitation monter… J’ai eu peine à continuer de faire semblant qu’il ne se passait rien.  Je respirais plus profondément, j’avais chaud.  Mes seins pointaient de manière non subtile et je sentais que je vais jouir bientôt.

– Auriez-vous pris un dessert? nous demanda alors timidement la serveuse.

Loïc plutôt que de me sortir de l’embarras et répondre à ma place m’enfonça davantage dans l’humiliation

– Ça va dépendre de maman.  En prendrais-tu un toi?

Le salaud, il me force à répondre.  Je dois me ressaisir.

– Oui, une tarte au sucre pour nous deux, s’il-vous-plait.

Rouge écarlate que je suis, de colère et de honte, je ne peux lui en vouloir, tellement j’étais excitée encore.  J’ai la quasi-certitude qu’elle a compris ce que ma main faisait sous la table.

– Continue, finis ça… Je veux te voir jouir.

J’acceptai trop volontiers l’offre de conclure… j’accélérais alors ma cadence et cette fois, mes jambes se mirent à vibrer en plein restaurant.  J’avais le gout de crier, d’haleter, mais les convenances m’en empêchaient.  Ma chatte ruisselait et mon mouvement masturbatoire devenait de plus en plus rapide.  Je sentis la décharge électrique imminente et puis, tout à coup, je me sentis prise d’un violent choc électrique.

– Haaaaaaaaaa,  haaaaa, ouiiii!

Je fis ais du mieux que je le peux pour camoufler ce cri de jouissance ; heureusement que le restaurant était bruyant à cette heure du jour.  Du coin de l’œil, le couple assis à la table voisine avait clairement compris ce que je faisais et me lança un regard désapprobateur.

Qu’à cela ne tienne, la seule chose qui compte, c’est le regard satisfait de Loïc

Honteuse et confuse, je ne comprenais plus trop ce qui s’était passé. Est-ce l’appât du gain qui m’a motivée, ou bien était-ce le thrill de le faire en public?

Après avoir pris le dessert et une repris conversation normale Loïc me laissa une petite note rédigée de sa main qu’il glissa entre mes deux seins après avoir payé l’addition.

« Tu as réussi avec succès ton premier mandat.  Tu es aussi cochonne que je l’espérais.  Tu auras d’autres mandats bientôt. »

Je retournai donc chez moi ainsi dans le taxi qu’il m’avait appelé, satisfaite de mon orgasme, mais honteuse à la fois.

Et j’ai soudainement hâte de voir en quoi consistera ce deuxième « mandat ».

 

 

Récit #140 – La cougar soumise

Aujourd’hui, mon jeune Master de 21 ans, que j’ai formé pendant 4 mois à développer son naturel dominant, vient passer le samedi chez moi.  Ce fut auparavant l’ami de ma fille, et depuis ses 19 ans, je l’avais toujours regardé avec mon œil de femme mature perverse, sans toutefois le laisser paraître, jusqu’au jour où, il décida de venir me rendre visite lorsque ma fille n’y était pas…et l’inévitable arriva, il me baisa comme la chienne que je suis, toujours assoiffée de perversion et de domination.

Nous voilà 4 mois plus tard, suite à de nombreuses séances de ‘’formation’’ de Maître….

Mon jeune homme, tel qu’il m’a ordonné de l’appeler lors de séances car il aime bien souligner le fait que j’ai 42 ans et qu’il en a 21, décide de venir passer la journée du samedi chez moi.  Belle journée en perspective.  Il m’avait texté avant de partir de chez lui pour me donner ses consignes de départ…

  • Je veux que tu sortes ton bol de chienne et ta laisse pour qu’ils soient à ma vue quand je vais arriver.

Je me dis que c’est parti pour être du sérieux aujourd’hui oufff, excitant ça!  J’enfile des vêtements sexy, camisole décolletée laissent entrevoir la moitié de ma généreuse poitrine, et une jupe courte, ainsi que des talons hauts, ce qui me fait environs 5 pieds 11 avec talons, contre 5 pieds 4 pour mon jeune Maître hmmm, les seins juste à la bonne place.  Et surtout, il ne faut pas s’y méprendre, car ce n’est ni sa taille ni son âge qui vient faire obstacle à son autorité.

Nous prenons, comme toujours, un moment pour discuter, en prenant, moi un verre de vin, et lui sa bière.

-Va chercher ton bol, me dit-il sur un ton autoritaire.

Je m’exécute comme toujours lorsqu’il me donne un ordre, car ça m’excite tellement.

Il verse tout le contenu de mon vin dans ma gamelle, et me regarde en me disant :

-Allez, bois ton vin

J’avoue que c’est une des choses qui m’excite le plus, mais aussi qui m’humilie le plus.  Je ne peux pas l’expliquer, mais plus l’humiliation est forte, plus je me sens chienne et je mouille intense.  J’hésite pendant un bon moment, et me décide à lui expliquer :

-Tu sais, même si je suis très excitée, j’ai parfois besoin de ton aide, car je suis tout de même gênée.

-Ah ben ok, va chercher ta laisse, répond-il sans aucune hésitation, comme si sa réponse avait été pensée à l’avance.

Je me précipite, et j’ai l’idée de ramener aussi mon choaker en chaîne, qu’il n’avait jamais vu.  Il est émerveillé de découvrir cet objet pervers, et me l’installe sans aucune hésitation, tel le Maître qu’il est devenu.  Il m’ordonne de marcher vers le salon en y emmenant mon bol de chienne rempli de vin.  Il installe le bol par terre, et un coussin à côté, placés de façon à ce que j’aie les fesses relevées vers lui lorsque je boirai, oufff.  Il me dit :

-Maintenant allez, vas-y, bois.

J’attache mes cheveux et non sans gêne, descends mon visage vers ce bol, et commence à aspirer le vin, le nez qui trempe dedans nécessairement en même temps.  Il pose sa main sur ma tête, et m’enfonce la face dans le bol, pour me montrer qu’il est le boss, et que je suis sa chienne soumise.  Je pourrais difficilement être plus humiliée, et c’est si envoûtant…hmmmm…je bois en aspirant, tel un animal, et mon maquillage commence à se diluer avec le vin, et couler dans ma face de salope.

Il me regarde et me dit :

-T’es vraiment belle comme ça ma salope hein?  Maintenant lève-toi, baisse ta jupe car tu vois bien que t’es une vraie chienne comme ça, et va me chercher une autre bière.

J’obéis en le regardant dans les yeux, avec une expression qui veut dire ‘’toi, tu sais trop bien t’occuper de moi, pis j’vais aller chercher ta bière en sachant très bien que ton regard pervers sera sur moi pour m’humilier.’’

Pendant qu’il buvait cette 2e bière, bien assis comme à l’habitude, je l’ai sucé tout aussi intensément qu’à chaque fois, mouillant avec ma bave sa belle queue bien dure, commençant en la lubrifiant bien partout, doucement, en descendant et remontant…hmmmmm….toujours aussi exquis à chaque fois.  La cougar-salope que je suis adore sucer cette jeune bitte pendant de longues minutes, caressant ses couilles en même temps.

Après plusieurs minutes ainsi, il pousse ma tête plus bas, pour que je lèche son cul, insistant en retenant ma tête bien fort pour me montrer que c’est lui qui domine et que je dois lécher ce cul sans me poser de question.  L’excitation monte encore d’un cran, oufff!!  Je passe ma langue de son cul à ses couilles avec tout le plaisir de me savoir dominée, utilisée tel un vulgaire objet de baise…J’adore…je suis en extase…

Il se lève debout, à côté du divan, moi à genoux devant lui, gueule ouverte devant sa queue pendant qu’il se masturbe, frottant sa bitte dans ma face.  Je sais trop bien ce qui s’en vient et je le désire tellement.  Je sors ma langue pour lécher cette queue qui passe sur ma bouche et ma face, et me préparer à recevoir son sperme, telle une garce assoiffée de perversion…oufff…Il éjacule dans ma face et ma bouche…je lèche ce que je peux lécher, et quand je sens les dernières secondes, je suce ce gland rempli de sperme pour tout nettoyer la queue de mon Maître…hmmmm

Récit #136 – Expérience de fin de soirée

Je suis derrière le bar, comme à tous les samedis soirs. Mais ce soir, c’est légèrement différent, parce que la fille, Jacinthe, que je fréquente depuis quelques semaines m’a dit qu’elle viendrait prendre un verre avec quelques-unes de ses amies.

 

Vers 21 h, je finis par les voir aller s’asseoir dans un coin. Dès qu’elles s’assoient, Jacinthe s’avance vers moi. Elle me fait un petit sourire. Elle s’accote sur le bar.

— Salut mon amour, me glisse-t-elle discrètement. Deux dry martini, une margarita, un gin-tonic et un mojito.

— Tout de suite, dis-je en lui retournant son sourire.

 

Alors que je prépare leurs cocktails, Jacinthe en profite pour regarder autour. Alors qu’Éric, l’autre barman qui travaille ce soir-là, passe derrière moi, je la vois qui étire son cou et elle en profite pour lui regarder les fesses. Mais alors qu’elle s’aperçoit que je l’ai vu, elle en profite pour me dire :

— Il est pas mal cute… dit-elle avec un petit sourire.

— Ton amie, avec le manteau de cuir, elle est pas mal cute aussi, lui dis-je.

— Julie? dit-elle. Si tu veux, je peux lui demande si elle te trouve de son genre.

— Et si elle me trouve de son goût, qu’est-ce qui va se passer?

— On improvisera, me dit-elle avec un clin d’œil…

 

Je lui donne les deux martinis qu’elles ont commandés. Elle part les porter à ses amis. Elle revient une minute plus tard alors que j’ai terminé la margarita et le gin-tonic.

— Lorsque tu auras terminé le mojito, viens nous dire un petit bonjour à notre table. Les filles veulent te voir de plus près.

— OK.

 

Une minute plus tard, je m’avance vers leur table. Je leur fais mon plus beau sourire, leur parle quelques secondes avant de retourner derrière le bar. Je garde un œil sur leur table. Une vers 22 h 30, je vois trois des filles partir. Jacinthe et la fameuse Julie restent attablées à parler pendant quelques minutes. Puis, elles finissent par se lever et s’avancer vers moi.

— Salut, lance Julie. Comme ça… Y parait que tu me trouves de ton goût, dit-elle en levant un sourcil et replaçant une couette de ses cheveux blonds.

— Oui, je l’avoue, répondis-je en la regardant dans les yeux.

 

Elle me regarde quelques secondes, mi-sourire.

— Tu termines à quelle heure?

— Pourquoi? demande-je surpris.

— D’après toi?, dit-elle.

— Est-ce que c’est ce que je pense? demande-je à Jacinthe.

 

Elle approuve d’un geste timide de la tête.

— Je termine à 2 h du matin.

— C’est bon. Donne-nous tes clés… Et on se retrouve chez toi… à 2 h… trente?

 

J’échange un regard avec Jacinthe. J’hésite, mais je finis par plonger ma main dans mes poches et les lui tendre. Julie les prend, me fait un beau sourire. Et les deux filles partent. Et le reste de la soirée… m’a paru long! Disons que ce n’est pas facile d’être focalisé sur son travail lorsqu’on sait que deux filles vous attendent chez vous…

 

Finalement, je finis par feindre de ne pas me sentir bien vers 1 h du matin. Éric, l’autre barman, comme ce n’est pas trop occupé accepte de continuer seul. Dès que je marche sur la rue, je texte immédiatement Jacinthe pour les prévenir de mon avance. Sa réponse apparait quelques secondes plus tard :

— Nous t’attendons.

 

Lorsque j’arrive, je marche dans le salon. Les deux filles sont assises dans mon salon, côte à côte, et elles parlent. Dès qu’elles me voient, elles arrêtent de parler et me regardent avec un sourire coquin.

 

Je m’assois dans le divan en face d’elle. Je leur retourne leur sourire.

— Avant de passer aux choses sérieuses, commence Julie, nous allons d’abord parler des règles.

— J’écoute, dis-je.

— Si tu choisis de venir dans la chambre, tu devras entièrement t’abandonner à nous. Tu devras faire tout, mais vraiment tout, ce qu’on te dit. Si à quelconque moment tu prononces le mot « non », nous respecterons ton choix… mais ce sera la fin. Je me rhabillerai et partirai. Tu es d’accord avec ça?

 

J’hésite… M’abandonner à elles… Qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire? ou cacher?… Mais je suis trop curieux… et trop excité…

— D’accord, confirme-je.

— Parfait! répond Julie. Attends-nous ici. Ça va nous prendre quelques minutes pour nous changer.

 

Elles se lèvent lentement et s’enferment dans ma chambre. Je les entends chuchoter. Mais c’est trop distant pour que je puisse comprendre ce qu’elles se disent. Je m’approche alors lentement m’efforçant de ne faire aucun bruit. Je les entends parler faiblement.

— Tu sais que tu as de belles fesses, dit Julie quelques secondes avant que Jacinthe ricane. Elles sont si rondes… Si douce…

— J’arrive toujours pas à croire ce qu’on s’apprête à faire, lui réponds-t-elle. Tu l’as déjà fait avant?

— Oh oui… Mon ex adorait ça! Pis après, je vais m’occuper de toi, dit-elle alors que j’entends ce que je crois être une tape sur les fesses. Et à voir comment tu rougis, continue-t-elle, je vais être ta première fille? Hein?

— Oui, répond Jacinthe timidement.

 

Il n’en fallait pas plus. Mon pantalon devient vraiment trop serré. Je les entends marcher. Je ne prends pas de chance, je retourne me rasseoir sur le divan. Une minute plus tard, je vois finalement les filles sorties de la chambre. Elles portent toutes les deux des déshabillés vraiment sexy. Deux déshabillés en dentelle noir qui épouse les courbes de leur corps.

 

Mes yeux fixent leurs seins. Ceux de ma blonde sont légèrement plus gros, plus ronds. Mais ceux de Julie sont tout autant agréables à regarder.

 

— Tu es prêt? me demande Jacinthe avec un petit sourire.

— Oh oui! dis-je en me levant.

 

Je m’avance vers elles. Jacinthe me prend par la main et elle m’attire vers ma chambre. Julie, elle, passe derrière moi.

 

Elle me place à un mètre de mon lit. Julie se penche et elle lève un peu la couverture. Elle prend rapidement un petit fouet en cuir noir et elle se donne un petit coup dans les main.

 

Les filles s’échangent un regard.

— Déshabille-le, lance Julie.

 

Ma blonde s’avance. Elle commence par déboutonner ma chemise. Elle en profite pour me donner un baiser sur les lèvres. Lorsque ses yeux se dirige vers mon entre-jambes, je la vois sourire. Elle fait descendre la fermeture éclair, défait ma ceinture et elle fait glisser mes jeans.

 

Ses mains caressent mes abdominaux, mes épaules. Elle tourne autour de moi. Je la sens qui caresse mes fesses. Ses doigts étirent l’élastique de mon boxer. Elle prend une pause et elles les tirent vers le bas.

 

Julie, qui se tient toujours devant moi, à quelques mètres, a un petit sourire lorsqu’elle voit ma queue. Elle s’approche, se donne un autre coup de fouet dans les mains.

— Beau morceau, commente-elle.

 

Jacinthe s’éloigne un peu alors que Julie examine mon corps. Elle me touche le ventre, les épaules, les cuisses.

— Tu te tiens en forme et ça parait, commente-t-elle.

 

Je sens son fouet qui frotte sur mes fesses. Elle réapparait dans mon champ de vision. Et je la sens qui agrippe ma queue. Je suis un peu surpris, je sursaute. Elle caresse le manche quelques secondes.

 

Julie se tourne vers ma blonde.

— Suce-le, lui demande-t-elle.

 

Jacinthe se place devant moi. Julie prend un de mes oreillers et le place à mes pieds. Jacinthe s’agenouille lentement. Elle donne un petit bec sur mon gland. Puis je sens sa langue qui s’enroule autour de mon gland. Julie, elle, tourne autour de moi. Elle regarde ma blonde à l’œuvre.

 

Ça dure peut-être une ou deux minutes avant que Julie s’avance vers le lit. Elle soulève un autre coin de ma couverture. Cette fois, c’est une paire de menottes. Elle me les montre quelques instants avec un petit sourire, comme si elle s’attendait à ce que je lui dise non… Mais je lui retourne son sourire et je place mes mains dans mon dos.

 

Elle se place derrière moi et elle me menotte les mains. Elle vérifie que je suis bien solidement attaché. Elle continue de tourner autour de moi alors que Jacinthe continue de me sucer. Jusqu’à ce que finalement, Julie s’agenouille à côté de ma blonde. Jacinthe sort ma queue de sa bouche et elle la lui tend. Elle la suce quelques instants. Puis, je vois sa main qui se place dans le dos de ma blonde.

 

Jacinthe commence à me lécher la base de ma queue alors que Julie continue de s’occuper de mon gland. De voir les deux filles me faire une double fellation est une véritable torture…

 

Les lèvres des filles se touchent. Elles s’embrassent lentement, très sensuellement sur les lèvres. Je peux voir la langue de ma blonde se faire caresser par celle de son amie. Puis, ça devient de plus en plus chaud. Les filles se caressent partout. Ma blonde passe une main dans les cheveux de Julie alors que celle-ci lui caresse les fesses.

 

Lorsque leurs lèvres se séparent, Julie retire le haut du déshabillé de Jacinthe. Elle lui caresse les seins, les lèche quelques secondes. Les filles se lèvent et elles s’embrassent de nouveau… Puis, elles s’arrêtent se tourne vers moi.

— Tu es prête pour la suite? demande Julie à ma blonde.

 

Jacinthe lui répond en lui faisant uniquement un lent mouvement de tête. Julie s’approche du lit. Elle soulève de nouveau un coin de la couverture. Je vois rapidement un dildo noir. Elle le prend et elle le donne à Jacinthe.

 

Mais ce n’est que lorsqu’elle l’a dans les mains que je remarque des sangles. Un strap-on… Elle ne l’a même pas mis que je l’imagine déjà baiser sauvagement son amie. Julie l’aide à l’enfiler, elle serre bien les sangles autour de ses hanches, s’assure que sa « queue » est bien solidement installée. Puis les filles se tournent vers moi…

 

Julie s’approche de moi. Elle se donne des coups de fouet dans les mains.

— À plat ventre sur le lit, me commande-t-elle.

— Quoi?

— Tu veux t’arrêter?

— Heu… Non…

— Alors, à plat ventre, répète-t-elle alors qu’elle me donne un coup de fouet sur les fesses.

 

Je m’avance lentement vers le lit. Julie me pousse alors que je tombe à plat ventre, les jambes encore debout sur le plancher. Je sens qu’elle du lubrifiant sur mes fesses et elle l’étend lentement avec ses doigts entre mes fesses. Son doigt commence à caresser mon anus doucement. Jacinthe me regarde avec un petit sourire, elle s’approche… Et le strap-on, même si je sais qu’il ne fait pas plus de six pouces, il a l’air si gros…

 

Elle me donne quelques doux coups sur les joues.

— Allez… Après la fellation que ta blonde t’a faite… Tu vas pas me dire que tu ne peux pas lui rendre la pareille.

 

J’ouvre la bouche. Elle enfonce sa « queue » dans ma bouche. Elle goûte un peu le caoutchouc, mais c’est négligeable. Comme je ne peux pas vraiment bouger, c’est elle qui bouge les hanches. Sa queue cogne contre l’intérieur de mes joues. Lorsque je lève les yeux vers elle, elle a un gros sourire. Elle aime vraiment ça me voir dans cette position-là…

 

Je deviens un peu plus à l’aise. J’utilise ma langue, fais des bruits de succion. Derrière moi, il y a Julie qui enfonce son petit doigt dans mes fesses… Et surprenamment, ce n’est pas si pire… Même qu’après une minute, je commence à aimer ça. Au bout de quelques minutes, elle change de doigt pour un plus gros. Puis deux…

 

Lorsqu’elle les retire, je la sens qui pose délicatement ses mains sur mes hanches… Puis je sens quelque chose frotter entre mes fesses. Je suis sûre d’une chose… Ce n’est pas un doigt! C’est comme… un autre strap-on! Il fait pression contre mes fesses… Et… et… fuck! Elle m’a déjà pénétré de deux bons pouces.

 

Jacinthe continue de sourire.

— Je te rassure, commence-t-elle. Le sien, c’est un butt-plug. Il est tout petit comparé au mien…

 

Mais de mon point de vue, il m’apparait comme vraiment gros. Lorsque je sens ses cuisses frotter contre les miennes, j’ai l’impression que j’ai douze pouces dans les fesses. Et elle commence à faire des mouvements de va-et-viens. Devant moi, Jacinthe continue de m’enfoncer la sienne dans la bouche.

 

Je commence à m’habituer lorsque Julie se retire. Les filles se font un high-five… Et changent de place. Je sens les douces mains de ma blonde m’agripper les hanches. Elle frotte sa queue entre mes fesses. Je sens Julie qui ajoute une nouvelle couche de lubrifiant. Et fuck! J’ai son « gland » en moi. Je ferme les yeux… J’ai le goût de les arrêter… Mais j’ai tellement envie de voir les filles se caresser, s’embrasser…

 

Jacinthe, elle, est moins, ironiquement, moins douce même si elle est moins expérimentée. En quelques va-et-viens, elle fait entrer toute sa « queue » dans mes fesses. Et elle se donne plus à fond. Lorsque je tourne la tête pour la regarder, je la vois qui embrasse Julie sur la bouche.

 

Lorsque leurs lèvres se séparent, Julie me lance un autre petit sourire coquin. Et là, je me demande… quoi encore? Comment ça peut devenir plus extrême… Elle tourne autour du lit. Elle retire son butt-plug, mais garde la petite culotte en cuir. Elle soulève de nouveau la couverture. Et elle sort un autre dildo… Mais celui-là… Il est surréel. Il est gros. Elle l’insère dans l’anneau entre ses jambes. Pis lorsque je la vois mettre ses deux mains dessus, je comprends qu’il est vraiment gros! Elle n’arrive même pas à le recouvrir ses doigts.

 

Elle m’en donne des coups sur les joues.

— Allez, allez, dit-elle impatiente. Ouvre…

 

Mais je résiste.

— À moins que tu veuilles arrêter ça là, dit-elle avec un sourire.

 

J’ouvre la bouche. Elle n’hésite pas une seconde pour m’enfoncer son gigantesque dildo dans le creux des joues. Elle remplit ma bouche. De l’autre côté, Jacinthe, continue toujours de m’enculer, avec un rythme soutenu. Je l’entends qui halète, pousse de petits soupirs. Puis au bout d’une minute, elle se retire.

 

Je tourne autour du lit. Elle se tient à côté de Julie. Je la vois, les cheveux ébouriffés, ses abdominaux luisant de sueur. Elle s’approche de son amie, elle l’embrasse sur la bouche alors que sa main caresse ses seins.

 

Julie sort sa queue de ma bouche. Elle se déplace vers mon dos. Pis là, j’ai vraiment la chienne. Je suis sûr que ça ne rentre pas. Je m’apprête à leur demande d’arrêter lorsque je sens Julie me prendre les mains et me tirer pour que je me relève. Elle m’amène devant ma blonde.

 

Elle prend ma queue entre ses mains.

— Toujours bandé, hein? lance Julie. T’as aimé ça?

 

Elle la caresse quelques secondes avant de me force à m’agenouiller. Elle se place devant moi. Elle replace ses cheveux et me remet sa grosse queue au visage. Jacinthe s’agenouille à mes côtés. Elle commence à lécher la base. J’ouvre la bouche et je commence à lui lécher le gland. Nous échangeons de rôle quelques fois pendant plusieurs minutes.

 

Lorsque nous nous relevons, ma blonde retire le strap-on qu’elle porte. Julie lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit. Toujours menotté les mains dans le dos, elle m’aide a monter sur le lit et me placer derrière ma blonde. Elle prend ma queue entre ses doigts et la guide dans sa chatte. Une fois bien installée, elle me donne un petit coup de fouet sur les fesses et elle va devant elle et elle lui met son dildo dans la bouche.

 

C’est tellement hot! Jacinthe a vraiment l’air d’aimer ça! J’ai tellement le goût de jouir… Mais je veux tellement venir sur elles alors qu’elles se bouffent la chatte. Je suis obligé de fermer les yeux pour éviter de venir.

 

Finalement, au bout de quelques minutes, ma queue sort par accident de sa chatte. Mais je ne suis plus capable d’en prendre plus. Je me déplace, m’assois contre la tête de lit. Après quelques instants, les filles changent de position. Julie utilise le strap-on pour pénétrer ma blonde. Son dildo est tellement gros qu’elle ne parvient même pas à l’enfoncer au complet en elle. Elle en laisse au moins un bon tiers à l’extérieur.

 

Au bout de quelques minutes, Julie se couche à plat ventre sur le lit… Et elle écarte les jambes de ma blonde. J’étire la tête pour voir. Je la vois qui la lèche lentement. Sa langue disparait entre ses jambes, dans sa chatte et ressort quelques secondes plus tard. Et d’après ses soupirs, elle aime vraiment ça!

 

Et c’est là que je réalise que la vraie torture commence… Parce que j’ai toujours les mains menottées et que je ne peux pas me toucher… Chaque fois que Julie extirpe un soupir à ma blonde, je sens ma queue battre.

 

Julie continue… Pis Jacinthe qui adore ça. Si au début, elle regarde attentivement Julie la lécher, après quelques minutes, elle n’est plus capable. Elle reste couchée, la tête penchée vers l’arrière, à soupirer, se caresser les seins, le ventre.

 

Ses soupirs deviennent de plus en plus rauques. Je sais qu’elle est près de l’orgasme… Puis, finalement, je la vois se tortiller, pousser un long cri aigu. Elle cherche son souffle pendant quelques secondes, puis elle se calme lentement. Après une minute de pause, les filles s’embrassent. Puis, elles tournent la tête en même temps, me regardent, s’approchent lentement. Et elle recommencer à me sucer toutes les deux en même temps.

 

Mais je suis incapable d’en prendre plus! Dix secondes, c’est ce qu’il m’a fallu pour jouir! C’est tellement subit que je n’ai même pas le temps de les prévenir. Ma blonde en prend quelques jets directement dans sa bouche alors que le reste se retrouve sur leurs visages. Les filles me dévisagent un peu, puis elles s’embrassent sur la bouche.

 

Julie commence à se rhabiller alors que Jacinthe sort la clé de mes menottes.

— Et puis? me demande ma blonde. T’as aimé ça?

— J’ai surprenamment aimé ça!

— Je pensais que tu allais nous arrêter dès que tu verrais les strap-ons.

— T’as pris ça comme un pro, commente Julie. C’était ta première fois? me demande-t-elle avec un petit sourire.

— Oui… dis-je lentement alors que Jacinthe me détache finalement. On pourrait remettre ça si tu veux, ajoute-je.

— Je peux revenir, commence Julie. Mais la prochaine fois, c’est lui que tu vas te prendre, continue-t-elle alors qu’elle pointe son plus gros dildo.

 

Ouf… Je le regarde. Et il est vraiment gros! Peut-être pas…

Récit #134 – Le dessert

Les cheveux attachés ou pas?  Moi qui avais pensé me nouer les cheveux juste avant de partir… Je suis assise sur ma chaise, un peu trop tendue. C’est l’heure du dessert. Le souper, s’est bien déroulé. Je crois bien que je lui plais, mais à quel point? Une chance que ce soit lui qui a cuisiné et qui me reçoit, j’aurais bien pu tout faire brûler tellement je suis nerveuse. C’est un peu long avant qu’il ne revienne de la cuisine, mais je reste bien en place comme il me l’a demandé. Je m’occupe de tout! qu’il a dit en m’aidant à retirer mon manteau à mon arrivée.

Bon! Je l’entends qui revient. Respire! Respire! C’est toujours bien juste un souper! « Ferme les yeux! » Bon, j’espère qu’il n’est pas trop bon pâtissier sinon bonjour les kilos en trop! Il replace une de mes mèches de cheveux. Celle que j’ai tenté de replacer toute la soirée. Pas de bol ! Elle est rebelle et revient toujours sur mon épaule. Je l’entends rire doucement.

De sa main droite, il replace mes cheveux vers l’arrière pour dégager mon cou. Je sens la chaleur de son souffle sur ma peau. Il y dépose un baiser, délicatement. Je peux sentir les poils de sa barbe me picoter la peau. Il va suffisamment lentement pour éviter de me chatouiller. Il se déplace de mon cou, à sous mon oreille. Puis, il retourne vers mon épaule en la dénudant avec envie. Je ferme les yeux pour mieux sentir tout ce désir qui se dépose sur ma peau. Je sens ma tête se pencher, mes muscles se dénouer lentement. D’une épaule à une oreille, de l’oreille à la nuque, de la nuque à l’autre oreille jusqu’ à l’autre épaule, ses baisers se font plus dévorants.

Je ne sens plus que les légères ondes de choc à partir du point de contact de chaque baiser avec ma peau. Le bout de mes seins se raffermit. Je sers les cuisses, tout mon corps penche vers l’avant, j’appose mes mains de chaque côté de la chaise comme si j’allais perdre l’équilibre. Ma culotte s’abreuve à petite lampée. Il goûte même ma peau. C’est si bon et langoureux à la fois. La chaleur de sa bouche et la douceur de ses lèvres me font perdre la tête. Sa main tient encore mes cheveux tout près de ma nuque. Il empoigne doucement tous mes cheveux pour les retenir plus haut sur ma tête. Il dévore ma nuque avec volupté. L’humidité de sa langue mêlée à la chaleur de son souffle, me font perdre mes moyens. J’ai de plus en plus chaud. Il plonge sa main pour détacher les agrafes de mon soutien-gorge avec un peu de maladresse. Je sens ma poitrine se relâcher lorsque tombe la dernière agrafe. Il plonge l’une de ses mains pour empoigner l’un de mes seins. Il relâche mes cheveux. Mon dos se cambre vers l’arrière, il en profite pour m’embrasser sur la bouche. Puis, il empoigne mon autre sein. Il caresse le bout de mes seins du bout des doigts. Je cherche sa bouche, avide de la goûter encore. Il fait valser la chaise d’un quart de tour. J’arrive à peine à voir ce qui arrive. Je sens son gland glisser doucement sur mes lèvres. Je goûte et respire l’odeur de son excitation. Je mouille de plus en plus ma culotte.

Je le vois qui empoigne son sexe bien dur d’une main et de l’autre il retient ma tête sans forcer aucun mouvement. Il me laisse choisir avec qu’elle avidité je dévorerai son sexe sachant qu’il s’est assuré de ne rien trop précipiter depuis des semaines. Il me la retire de la bouche alors que je ne me suis pas encore complètement rassasiée. Il me prend les mains pour que je me lève. Repousse la chaise avec l’un de ses pieds. Me prend ensuite par la taille pour me retourner dos contre lui et face contre la table à manger. Il baisse ma jupe et ma culotte avec force sans perdre de temps. Je repousse la nappe pour dégager rapidement la table. Je m’appuie sur le rebord et relève les fesses. Il se glisse à l’intérieur de moi tout doucement. Lorsque le bout de son gland découvre mon niveau d’excitation, il s’empresse d’enfouir tout son sexe à l’intérieur du mien pour le recouvrir de mon miel chaud. Il caresse l’intérieur de ma chair avec des mouvements de va et vient me laissant découvrir des coups de bassin vigoureux qui viennent s’échoir sur mes fesses dans un claquement de plus en plus rapide.

Aujourd’hui, huit années nous séparent de ce moment et il arrive encore qu’il me dise « Je m’occupe de tout ce soir! » Je sais en le regardant droit dans les yeux que je me ferai prendre sur la table à manger et rien, rien au monde ne peut m’exciter autant que ses yeux à ce moment précis.

 

Récit #128 – Un homme en contrôle de la situation

Je commencerais par t’embrasser en mordillant tes lèvres, en glissant mes mains puissantes sur ton magnifique corps, en agrippant chaque partie de ton corps pour te faire comprendre que j’ai envie que ce soit hard. Je te plaquerai sur le mur pour continuer de t’embrasser tout en déchirant ton chandail du haut vers le bas. Je te prendrais dans mes bras pour te mener jusqu’au lit, j’agripperait le haut de ton pantalon de sortie en même temps que ta petite culotte et te les retirerait d’un coup sec. Je prendrais tes jambes et sauvagement je te tirerais vers moi pour déguster ton magnifique vagin. Je glisserais ma langue sur ton clitoris et à chaque fois que je te sentirais sur le point de jouir j’arrêterais… pour te faire languir, pour que l’orgasme que je te donnerai avec ma langue soit le meilleur que tu n’aies jamais eu.

Après plusieurs minutes, à chaque coup de langue que je donne, je te sens frémir sur le point de jouir… Je te laisse enfin atteindre la jouissance, et du coup tu atteins cet orgasme tant attendu, tant désiré. Je continu à manger ta petite chatte tout en te doigtant sans te laisser aucun repos entre les orgasmes jusqu’à temps que je sente que tu sois épuisée de jouir, que tu sois toute humide de la tête au pied et j’arrêterai tranquillement…Je recommence.

Je ne te laisse pas prendre de repos, je te prends, t’attache les mains au bout du lit. Je te banderai les yeux, férocement je te place à 4 pattes, je détache ta brassière en la ramenant à tes mains attachées et je te chuchote à l’oreille que tu n’as pas le droit de jouir avant que je ne t’en donne le droit et je recommence à te masturber doucement pour te faire languir, je vais de plus en plus vite jusqu’à temps que tu ne sois plus capable de te retenir… Et là, je commence à te baiser avec les mains attachées et les yeux bandés, tu sens ma verge entrer en toi bien dure et ferme comme tu l’aime. Je commence doucement à faire un léger mouvement de va et viens juste pour ressentir l’orgasme grimper en toi et quand je ressens que tu es sur le point de jouir je te donne des coups de rein sec et ferme de plus en plus rapidement…

J’arrête juste avant que tu jouisses, je te détache pour te prendre d’abord les fesses sur le bureau, je commence avec une vigueur hummm délectable et je continu jusqu’à ce que tu obtiennes l’orgasme que tu attendais, je te descends du bureau tes jambe son molles, je t’agrippe les cheveux je te dit : « mets-toi à genoux et suce moi ». Tu te mets à genoux pour me sucer, même si tu n’as plus de force, tu me suces jusqu’à ce que je jouisse. Tout mon jet partout dans la bouche et sur ton magnifique visage. Tu t’écroules, de fatigue je te prend dans mes bras et je te couche dans le lit…..

 

Récit #119 – Stéphanie, apprentie soumise – Partie 1

Ce soir-là, nous avions prévu faire l’amour, comme chaque fois que mon mari revient de sa semaine de camionnage.  Je suis toujours très impatiente qu’on se retrouve enfin pour notre petite soirée de couple.  Je me douche, sort ma bouteille de vin du frigo et ma coupe de l’armoire, enfile ma robe de chambre en soie rouge, applique un maquillage sexy cat eyes, et me parfume avec mon parfum fruité sucré hmmmm….tout est prêt pour une soirée parfaite.

Nous avons toujours notre petite cérémonie, petite jasette au lit avant de passer à l’acte.  Nous discutons de sujets chauds pour nous mettre en appétit, faisons des petits jeux coquins.  J’adore ce moment, c’est mon préféré de la semaine.

Donc, après environs 1h à s’amuser ainsi, je passe à la salle de bain, me rafraîchis et reviens à la chambre.  Comme je m’apprête à m’asseoir dans le lit pour passer à l’acte, mon mari lève sa main, comme pour me faire signe d’attendre, tout en ayant un air sérieux que je ne lui connais pas.  Il me dit soudainement, d’un ton ferme : ‘’trouves tu ça convenable qu’une soumise se présente devant son maître sans son collier et sa laisse?’’  Il ne me laisse pas le temps de répondre et me dit :’’Va les chercher’’.  J’obéis.  Il me le pose, et y attache ensuite ma laisse.  Je commence à sentir l’excitation s’emparer de mon corps, mon clitoris se durcir, ma chatte qui mouille, hmmm.  Je lui dis ‘’Ouin mon mari est décidé ce soir…’’ et même pas le temps de finir ma phrase qu’il me donne 2 coups de fouet sur les fesses en disant ‘’t’ai-je donné la permission de parler? On ne parle pas sans la permission du Maître, sans en subir les conséquences, tu ferais mieux de t’en rappeler. Et quand je te permettrai de parler, tu devras m’appeler maître et me vouvoyer, petite salope’’

Ensuite, il sort de la chambre et revient avec un sac brun en papier qu’il pose sur ma tête délicatement.  Il a taillé dans le sac, une ouverture seulement vis-à-vis de la bouche, et aucune pour les yeux.   Il m’explique : ‘’Un objet sexuel n’a pas besoin non plus de voir, il sert uniquement à satisfaire les désirs de son maître, et ce soir son maître a envie de baiser une salope, une pute, une belle vache.’’  Je suis toujours là, debout devant lui, sentant son regard sur moi, et ça m’excite au plus haut point.  Il tient ma laisse et m’ordonne de me mettre à genoux devant lui, sur mon coussin.  Il saisit fermement ma tête et enfonce sa queue dans ma bouche en disant ‘’À soir, jvais te fourrer dans tous tes trous’’.  Il baise ma bouche, de façon énergique, en enfonçant sa bitte jusqu’au fond de ma gorge.  Je suis si excitée d’être ainsi utilisée, de ne pas avoir le contrôle et d’être son objet de désir.  Constater aussi que le fait de me dominer l’excite, ça augmente encore plus mon excitation.  Après quelques minutes, il ralentit la cadence, me laissant du même coup la possibilité de mieux respirer.  Ouf, un départ aussi brusque, c’est ce que j’appelle de la baise!  Il finit par s’arrêter pour éviter d’éjaculer tout de suite, afin de prolonger son plaisir.  Il m’ordonne de rester à genoux pendant que lui, va se chercher un rafraîchissement.  Il revient rapidement et se couche dans le lit, sur le côté pour siroter sa boisson.  Je suis là, à genoux, attendant un ordre de sa part.  Il me dit :’’Je veux que tu enlèves ce sac de ta tête, et te voir lécher mes pieds pendant que je me détends’’.  Je me lève, m’installe à ses pieds, et commence à les lécher délicatement du bout de la langue.  ‘’Je veux que tu nettoies chaque recoin, sans oublier entre mes orteils’’, ajoute-t-il d’un ton autoritaire, mets-y plus de cœur, je veux sentir toute ta langue me laver’’.  Je m’applique à la tâche pendant un bon 5 minutes, léchant les moindres recoins tel qu’il me l’a ordonné.  Ce qui m’excite encore plus, c’est le fait que son regard froid soit posé sur moi, m’humiliant encore plus profondément…

Soudainement, il se retire du lit sans avertir, pour aller fouiller dans sa table de nuit.  ‘’Maintenant, je veux que tu te mettes à quatre pattes, car une vache se doit de se faire traire avant d’être baisée, c’est pour ça que tu vas avoir besoin de ça’’  J’entends un bruit de petit moteur que je ne connais pas, et il installe quelque chose sur mes mamelons, qui fait de la succion.  Ouf! Quelle sensation extrême!  Je gémis de douleur et d’excitation.  Il me dit ‘’tu aimes ça hein ma grosse salope?  C’est juste ce que tu mérites être traitée comme ça!  Tu n’es pas une femme, juste une belle vache à traire et à fourrer’’.    Ces mots dégradants multiplient mon excitation de plus en plus.  Je sens mon vagin qui se contracte et décontracte, et le jus qui sort de ma chatte.

‘’Te rends tu compte qu’aucune femme ne peut être traitée ainsi et être excitée, ça prouve encore que t’es juste un objet de baise, hein?  Est-ce que j’ai raison?  Maintenant je veux t’entendre me remercier, et d’une façon qui doit me satisfaire, sinon tu auras droit au châtiment.  Trouvant sa demande vraiment humiliante, je ne réussis qu’à lui dire ‘’Oui Maître, je vous remercie’’ Et vlan! Un coup de fouet intense sur mes fesses se fait sentir, m’occasionnant une douleur à la limite de ma tolérance, mais en même temps tellement trop agréable, avec son bruit de cuir, ouf!  ‘’T’es-tu vraiment imaginée que c’était convenable comme remerciement ?!  Tu peux faire beaucoup mieux que ça, je t’écoute’’.  Il se passe un bon 15 secondes, à chercher dans ma tête ce qui pourrait bien le satisfaire, mais comme il trouve le temps trop long, vlan! 2 autres coups de fouet sur mes fesses.  Je me décide donc à dire les premiers mots qui me viennent à l’esprit : ‘’Merci Maître de tout ce que vous faites pour moi, vous êtes vraiment un bon maître’’.  M’attendant à peut-être recevoir encore un châtiment, je me crispe légèrement, mais je sens plutôt sa main se poser sur ma tête et me caresser, comme un animal qu’on flatte : ‘’Voilà, maintenant tu es une bonne petite pute perverse, ton Maître est satisfait, et pour te récompenser, il va s’exciter encore plus en t’utilisant autrement.’’

Récit #115 – La Sex-date – Partie 3 – L’entretien d’embauche

Lorsque j’arrive au café, je vois qu’Émilie est déjà arrivée. Elle a les yeux rivés sur son iPhone. J’ai une petite douleur vive dans l’épaule lorsque je m’assois en face d’elle.

 

— Encore un peu raquée à ce que je vois, dit-elle en levant les yeux.

 

— Ouais… Pas facile de te suivre dans tes soirées…

 

— Tu vas t’y faire, dit-elle avec un petit sourire en coin.

 

Le serveur arrive, je lui commande un cappuccino.

 

— Est-ce que tu as un tailleur?

 

— Oui, pourquoi?

 

— Parce que j’aurais peut-être une autre sex date pour toi…

 

— Vraiment? répondis-je intriguée.

 

— C’est un ami que je n’ai pas vu depuis sept ou huit mois. Il a posté hier sur Facebook une offre d’emploi.

 

— Et c’est quoi le rapport avec une sex date?

 

— Et bien… Il m’a déjà dit qu’un de ses fantasmes c’est qu’une femme, pendant une entrevue, lui fasse des avances…

 

— Pourquoi tu ne le fais pas toi? demande-je.

 

— Il me connait trop bien… Si j’y vais dès les premières secondes il va savoir comment ça va se terminer… Mais si toi, tu y vas, il va penser que ça se passe pour de vrai…

 

— C’est vrai que ça pourrait être intéressant…

 

— Alors, intéressée?

 

— OK, je vais le faire!

 

— Je vais te préparer un faux CV et tu postuleras.

 

— Parfait!

 

Nous continuons de parler un peu. Le lendemain matin, lorsque j’ouvre mon téléphone, première chose que je remarque, c’est un courriel d’Émilie. Elle y a attaché un CV, pour un poste d’assistante exécutive et une adresse courriel où l’envoyer pour postuler.

 

Quelques jours plus tard : le poisson mord. Je reçois un appel d’une femme des ressources humaines de cette entreprise-là, nous discutons un peu et elle me donne un rendez-vous avec un certain monsieur Tremblay le lendemain.

 

Lorsque j’arrive sur place dans un gratte-ciel du centre-ville de Montréal, je m’arrête à la salle de bain pour me replacer les cheveux, je révise mon faux CV et je me dirige vers les gigantesques portes vitrées. Je me présente à la rréceptionniste, qui me guide rapidement vers un bureau. Lorsque j’entre, je remarque immédiatement, un homme, début trentaine, assez bel homme, assis dans sa chaise devant son ordinateur portable. Il me sourit, se lève, il me serre la main et il se présente.

 

Dès que je m’assois dans la chaise, il sort mon CV de sa mallette et il y va immédiatement pour une première question. Je réponds sérieusement, tout en gardant une attitude plutôt relaxe. Je joue dans mes cheveux, je lui souris, tire un peu sur le tissu de mon chemisier de temps en temps. Mais, bon, comme je n’ai aucune réelle expérience en tant qu’assistante exécutive, mes réponses sont plutôt ordinaires. À plusieurs reprises, il doit me suggérer les réponses… Mais je ne m’en formalise pas.

 

Arrive la fin de l’entrevue, il s’apprête à se lever.

 

— Est-ce que je peux dire quelque chose avant de partir?

 

— Oui, oui, répondit-il.

 

— J’aimerais vraiment beaucoup beaucoup travailler ici avec vous, dis-je en lui faisant un petit sourire.

 

— Merci, dit-il un peu intrigué.

 

— Et j’aimerais ajouter que je suis prête faire tout ce qu’il faut pour avoir l’emploi.

 

— Comme quoi?

 

— Tout. Vraiment tout, dis-je en mettant l’emphase sur le « vraiment ». Voyager, temps supplémentaire… Même faire de petits extras…

 

Il lève un sourcil.

 

— Qu’est-ce que… dit-il alors que je me lève.

 

— Laissez-moi vous donner un petit aperçu de ce que je peux faire…

 

Je m’approche de lui, je pousse sa chaise sur le côté. Ses mains se crispent sur les bras de sa chaine.

 

— C’est une blague? dit-il.

 

Mais je ne réponds pas. Je m’agenouille lentement devant lui. Il se crispe encore plus lorsque je fais lentement descendre sa fermeture éclair. Je mets ma main à l’intérieur de son pantalon, je trouve l’entrée de ses boxers et je sors sa queue. Elle est déjà à demi bandée. Je la caresse lentement alors que je le regarde dans les yeux. Sa queue ne prend que quelques secondes pour devenir vraiment dur.

 

Je lui donne un baiser sur le gland, puis un deuxième. Je sors la langue et commence à lécher le manche lentement. Lorsque je remonte, je finis par engouffrer sa queue dans ma bouche. Je la suce lentement, prenant bien soin d’enrouler ma langue autour de son gland. Je l’enfonce de plus en plus profondément dans ma gorge. Lorsque finalement, le bout de mon nez touche le bas de son ventre, je la sors complètement de ma bouche et je me relève lentement.

 

— Avant de partir, permettez-moi d’ajouter quelques points qui n’apparaissent pas sur mon CV. Je suis célibataire, bisexuelle et nymphomane. Si vous m’engagez, je ne vais pas uniquement être votre dévouée assistante dans votre vie professionnelle… Je vais m’assurer que votre vie sexuelle soit comme vous la rêviez…

 

Je me dirige lentement vers la porte, omettant même de le saluer et je marche lentement vers le bureau de la réception et sors du bureau. Dès que je suis dans l’ascenseur, je prends mon téléphone et j’appelle Émilie.

 

— Et puis?, dit-elle sans même dire bonjour.

 

— Ton ami… Ben je l’ai sucé à la fin de l’entrevue.

 

— Qu’est-ce qu’il a dit?

 

— Au début, il croyait que c’était une blague… Mais quand il a vu que j’étais sérieuse, il s’est juste laissé faire…

 

— Haha… C’est parfait! Merci encore! dit Émilie. Je vais l’appeler dans quelques jours et je t’en reparle.

 

— Parfait!

 

Je raccroche.

 

***

 

 

Lendemain après-midi, je reçois un appel sur mon téléphone. Je reconnais le numéro. Je suis sûre que c’est le monsieur Tremblay qui me rappelle pour me remercier d’avoir réalisé son fantasme. Mais étrangement, c’est la fille des ressources humaines. On me convoque… Pour une deuxième entrevue… Je passe rapidement prendre mon tailleur à la maison et je prends un taxi vers le centre-ville de Montréal.

 

J’arrive dans le bureau, la réceptionniste me raccompagne vers le bureau de M. Tremblay. J’entre dans son bureau. Il semble m’attendre. Je m’assois dans la chaise devant son bureau de nouveau. Je lui souris. Dès que la réceptionniste a refermé la porte derrière nous, il commence à me sourire, vraiment me sourire.

 

— Chrystina… Si je vous ai convoqué de nouveau… C’est parce que j’ai décidé de t’engager. L’emploi d’assistante exécutive, c’est vous qui l’avez.

 

Je n’en crois pas mes oreilles. Il sort un contrat de son mallette. Il le lance sur son bureau et il atterrit devant moi. Je le prends, feuillette les premières pages. C’est un véritable contrat, tout ce qu’il y a de plus authentique. Je le dépose sur le bureau, l’ouvre à la dernière page, et signe rapidement la dernière ligne (avec un faux nom tout de même…)

 

Dès que je lui donne le contrat signé, le prends un air sérieux et me lance :

 

— Debout.

 

Je m’exécute sans attendre.

 

— Déshabille-toi.

 

Je souris. Je commence à me déshabiller lentement. Je retire ma veste, la dépose sur son bureau. Je déboutonne lentement mon chemisier. Je détache ma ceinture, d’un mouvement de hanche, je fais tomber mes pantalons sur le sol.

 

— Les sous-vêtements aussi, dit-il.

 

Je me retourne, je dégrafe mon soutien-gorge et je baisse ma petite culotte. Je me tourne de nouveau. Il regarde attentivement mon corps.

 

— Approche-toi, dit-il.

 

Je m’avance lentement de lui. Dès que je suis assez près de lui, il commence à me toucher les seins, les fesses et les hanches. Il me place debout devant son bureau. Je sens sa main me pousser afin que je me couche à plat ventre. Je l’entends qui détache sa ceinture. Je vois sa main ouvrir un des tiroirs de son bureau. Je le vois discrètement prendre une boîte de condom. J’entends le bruit de la boîte alors qu’il en sort un et le bruit du latex alors qu’il l’installe sur sa queue.

 

Il me donne de petits coups de queue sur mes fesses. Je sens ses doigts qui touchent ma chatte, ils s’insèrent en moi. Je suis déjà mouillée tellement je suis excitée par la situation. Sa queue commence à frotter contre l’entrée de ma chatte, et puis je sens son gland qui entre en moi… Suivirent quelques secondes plus tard de sa queue au complet. Il me baise doggy-style pendant une bonne minute. Je sens ses doigts s’enrouler autour de mes cheveux et former une queue de cheval. Puis il tire dessus d’un coup sec. Sur le coup, je pousse un petit cri aigu, lui lance un petit regard complice.

 

Il accélère la cadence et il me tire les cheveux de plus en plus vigoureusement. Je l’encourage, en lui chuchotant des mots cochons entre deux claquements. Il lâche son emprise une minute plus tard.

 

— Tourne-toi, dit-il.

 

Je me tourne lentement. Je le vois qui déboutonne le dernier bouton de sa chemise et la lance dans un coin de son bureau.

 

— Assis-toi sur mon bureau.

 

Je m’excite. Il s’assoit dans sa chaise et s’installe devant ma chatte. Je le sens qui commence à la lécher. Il est assez doué. J’en profite pour me caresser les seins alors qu’il continue à dévorer mon sexe juteux. Après quelques minutes, il se relève apporte de nouveau sa queue à ma chatte et il me pénètre de nouveau sur son bureau. Il en profite pour me manger les seins alors qu’ils continuent à me pénétrer. Je suis tellement excitée que je serre les doigts, froissant au passage quelques papiers qui trainent sur son bureau.

 

Au bout de quelques minutes, il s’arrête soudainement et je sens les jets qui remplissent le condom qu’il porte. Il se retire lentement. Il me demande de me rhabiller, ce que je fais. Il s’éponge le front avec un mouchoir alors qu’il se rassoit dans sa chaise.

 

— C’est bon pour aujourd’hui, dit-il. Tu peux rentrer chez toi… Tu commences, demain matin, 9 h.

 

— Bien boss.

 

— Si vous me donnez votre adresse personnelle, je peux passer chez vous ce soir.

 

Il recommence à me sourire.

 

— Excellente idée! dit-il.

 

Il prend un morceau de papier, il griffonne rapidement son adresse et il me la tend. Dès que je suis dans l’ascenseur, je prends mon téléphone et rappelle Émilie.

 

— As-tu parlé à ton ami depuis hier?

 

— Non, pourquoi?

 

— Ben, il m’a donné la job!

 

— Non, répondit-elle surprise.

 

— Oui, oui, il m’a même fait signer le contrat!

 

Émilie est prise d’un fou rire.

 

— Ben là, il faut lui dire, tu crois pas?

 

— Oh my god, j’aimerais tellement voir sa face quand tu vas lui annoncer…

 

— Qu’est-ce que tu dirais d’aller lui dire chez lui, en personne ce soir?

 

— Ah, oui. Ça ça serait le fun! Mais si on y va toutes les deux, il ne va pas vouloir juste parler… Il va vouloir plus…

 

— Je m’en doute bien, dis-je. Alors 21 h chez lui?

 

— OK, parfait!… Oh, en passant, ajoute Émilie. J’ai eu une idée en ce qui concerne Jennifer. Je sais que vous avez rendez-vous vendredi qui s’en vient… Rappelle-là et demande-lui de remettre ça à dimanche.

 

— C’est pour ta revanche?

 

— Oui ! Je te raconte tout ce soir.

 

— Pas de problème.