Récit #146 – Une entrée partagée

Je sais que tu aime t’habiller sexy pour moi, je ne te le demande pas, tu devines a mon simple regard, une caresse de mon iris sur ta grande beauté, l’excitation qui monte en moi à la vue d’une petite robe serrée, on devine presque le début de tes petites fesses du haut de tes cuisses fitness qui resplendissent, même à travers tes bas de nylon semi-opaques! Je te prépare une soirée à la hauteur de la déesse que tu es pour moi, un petit souper, musique d’ambiance, non agressive, sans être endormante. Tu arrive à 6h30, tu ouvres la porte, mon cœur bat tellement vite et fort, j’entrevois ton sourire si contagieux, une brise de ton parfum se rend à mon nez, c’est suffisant à rendre mon épée semi-croquante. Je t’enlace d’une force qui te fais quasiment oublier que j’ai sans attendre baissé mes mains dans le bas de ton dos, anyway, on sait tous les deux comment ça va se terminer…tout de même, on aime jouer le jeu, la comédienne de théâtre splendide, rien de plus naturel et décontracté cependant que ce baiser que je te donne, je me recule et j’admire à nouveau ton baume à lèvre. Je t’invite à t’asseoir et je te sert ce délicieux gin tonic, un aphrodisiaque pour toi. Nous discutons tous les deux de nos semaines et de notre journée avec un sourire charmeur, cela trahi nos yeux débordants d’envie.

Je pose ma main gauche sur ta cuisse, et même si ce n’est pas la première fois, je fais tout comme, ça m’excite, j’approche de ta petite bouche et je t’embrasse, tout devient silencieux… Ma main glisse tranquillement vers ton bassin. Tu met les tiennes derrière ma tête, tu sais a quel point j’aime ca. Nos souffles s’accélèrent, comme si nous étions déjà en action. Une chanson d’Imagine Dragon que l’on adore tous les deux, on s’en occupe pas, ma main gauche caresse maintenant ton flanc droit, en dessous de ton chemisier, ma main droite entoure ton cou, je sais que tu aime ça… m’appartenir

Le souper cuit tranquillement, je peux le laisser sans surveillance quelques minutes. Je déboutonne ton chemisier rouge, tu m’embrasse les mains, sans oublier d’y laisser un peu de salive, une prémisse a ce qui s’en vient…

Tu essaies bien fort d’enlever ma ceinture, je t’aide un peu, mon érection est devenu douloureuse dans ce pantalon serré. Je prend ton chemisier, j’admire ta peau blanche et parfaite, tes petits seins fermes et ta bralette noire transparente, je sens l’excitation jusque dans mes reins.

Tu t’agenouille en baissant mes pantalons, tu t’offre à moi, petite soumise, j’enroule ton chemisier et je agrippe comme quand on met un foulard. Tu sors ma queue de mes boxers, elle frémis, elle est un peu lubrifiée, tu m’agace avec ta langue, tu me regarde dans les yeux, comme dans un film porno, tu te sens cochonne, tu n’es plus la même, tu es une actrice, une obsédée.

Tu enfonce mon pénis au plus profond de ta bouche, j’entend la succion et la salive comme une pluie battante, je te contrôle avec le chemisier enroulé, tu me masse les testicules en même temps. Tu te permet même de chatouiller un peu plus loin, près de la zone interdite, mais j’aime trop ca, tu sais comment m’attiser, comme si tu avais étudié mon corps jusqu’au doctorat.

Je te vois enlever ton string, je perçois l’humidité qui le rend plus opaque au milieu, tu te caresse, tu me pompe sans arrêt et j’en tremble, je sens la salive couler le long de mes couilles, j’en peux plus. Tes petits gémissements font vibrer ta langue sur mon engin, je suis sur le bord d’exploser. Tu te fais tellement plaisir que tu recule, tu la sort de ta bouche pour reprendre ton souffle, en me branlant, ca me donne espoir que l’on pourra peut etre jouir en même temps.

10 secondes plus tard, tu lache tout, un cri puissant, presque masculin sort de ta petite bouche toute luisante. Ton visage se crispe, ton souffle s’arrête quelques temps. Je prend ma queue et commence a me branler en face de toi. Il m’en fallait pas plus pour relâcher trois gros jets dans tes cheveux, tes yeux et tes joues, tout ca avant même que tu retrouve tes esprits. Ouffffff….

Une première ce soir petite chérie, un orgasme simultané et une recette complètement cramée.

Je t’aime (partie 2 à suivre)

Récit #106 – Fantasme: La Douche.

De retour à la maison, après une difficile journée de travail…tu sembles exténuée et tendue.

Je suis à la cuisine et tu m’y rejoins, j’ai préparé des bouchées, quelque chose de simple, comme tu aimes, sans flafla…Je t’offre un verre de vin, il est frais, c’est le rouge que tu aimes tant…tu le goûtes, tu fermes les yeux, tu le laisses descendre. Tes épaules se relâchent, je peux sentir ton stresse tomber, tu souris…tes lèvres sont belles, ton visage est détendu.
Je m’approche, je prends ton verre pour le déposer sur la table, tu recules dos au mur. Mes mains sur tes bras, remontent sur tes épaules que je masse lentement, mon visage s’approche du tien et je dépose un baiser sur ta joue, un autre au coins de ta bouche entrouverte et finalement sur tes lèvres…elle sont fraiches et douceS, ma langue se fait un chemin, instinctivement tu ouvres et ta langue rejoint la mienne pour danser…tes mains sur mes hanche me tire vers toi, tu veux sentir mon sexe sur toi, sentir tes seins sur mon torse…ta cuisse entre mes jambes fait une pression sur mes testicules…je mors tendrement ta lèvre inférieure et tes yeux changent complètement…ils s’illuminent, deux étoiles tellement magnifiques…

Mais non, je ne suis pas un homme facile…je me sent taquin. Je te redonne ton verre…et dit, « Va à la douche ma chérie, ça te fera du bien ».
Tu te déshabilles, tu règles la chaleur de l’eau et règles la douche pour une pluie fine et douce pour te relaxer. Une grande douche, avec un coté en verre…tu entre, tu mets les mains au mur et laisse la pluie tomber sur toi, chaud et doux…tu es bien.
Tu ne m’as pas vue arriver, je prends quelques secondes pour te regarder, tu es tellement belle, ton corps mouillé dans la lumière…je me déshabille et entre sans bruit. Je prends le savon sur le banc de douche et je m’approche…tu ne sursaute même pas quand mes mains t’enlacent, tu gardes les yeux fermés, tes bras rejoignent les miens et tu soupires, un soupir d’abandon, un soupir qui dit « oui ». Derrière toi, je me colle à tes fesses, mes mains avec le savon te masse les seins lentement, tu remets les mains sur la vitre, je laisse tomber le savon, je continue à te caresser avec cette mousse, l’eau chaude coule sur nous deux.
J’embrasse tes épaules, ma verge dure commence un va-et-vient entre tes fesses, tu te cambres pour la sentir…je te savonne le ventre, les bras, les seins lentement et avec douceur. Mes mains reviennent sur ton dos, tes épaules et fond une pression pour te cambrer encore plus, tu as maintenant une main sur ta chatte, l’eau chaude t’excite rapidement…tu te penches et passe le bras entre tes cuisses, tu cherches mon membre, tu veux ma queue, tu la veux en toi, tu n’en peux plus…tu en a besoin…
Mon pied écarte tes pieds un à un, tu es docile, tu me veux tellement en toi…et lentement, tu sens mon gland entre tes lèvres, je fais un mouvement en avant, sur tes lèvres, j’aime l’eau brulante sur ma verge…et j’entre, tu la sent, dure, grosse…tu prends une grande inspiration, ta bouche laisse sortir un son…mmm…oui….haaa…
Je te pilonne, les mains sur tes hanches. Tu as la joue sur la vitre, tes mamelons dures et tes seins écrasés aussi sur la vitre…je peux te voir dans le miroir et la vue de l’autre côté de la vitre est vraiment belle et excitante. Tu remets tes mains sur la vitre et tu te penches encore plus, tu la veux plus profond, tu veux qu’elle te défonce…tu me pousse et te retourne de face à moi, tu poses le pied sur le banc de douche et je te pénètre à nouveau, je recommence le mouvement rapidement, avec force…je lâche un grognement de plaisir, tu jouis au même moment, tu sens les spasmes de ma queue en toi, ces ondes de plaisir te font venir aussi…mmmm! Je reste en toi, enlacés quelque seconde sous l’eau chaude…merci ma chérie.

Récit #72 – Un petit air de déjà-vu

Nous sommes vendredi, il est 19h, je suis seule à la maison. J’en suis à me demander quoi faire pour remplir ma soirée, pour ne pas avoir l’impression de perdre mon temps. Après une longue réflexion, je décide que je vais sortir prendre un verre, je suis seule, je n’ai rien à faire alors aussi bien tenter de me rendre là où je risque de faire des rencontres intéressantes !

Quand on va à la pêche, il faut un bon appât… Une bonne douche, un doux parfum qui embaume l’appartement, un maquillage d’occasion et me voilà prête pour affronter le MONDE! Vivant dans un petit patelin, les endroits pour prendre un verre en espérant faire de belles rencontres sont plutôt rares ! (Il n’y a que 3 bars ici, mais nous avons un club de nuit où les rencontres sont souvent pleines de promesses !)  Mon choix n’est pas difficile, le Night Club sera ma destination ! Je prends un taxi et m’y rends.

En entrant, surprise, l’endroit est plein à craquer ! C’est très rare alors je me dis qu’il doit y avoir un événement particulier du quel je n’ai pas entendu parler !!!(Rien de surprenant, je travaille plus de 50h chaque semaine, alors je sors très peu et je n’ai pas beaucoup de temps pour la socialisation !) Petit détail important, mon emploi du temps, mon travail exigeant et mes expériences passées font de moi une célibataire qui commence à s’endurcir ! Donc j’arrive au Night Club et je m’approche de la seule place libre au bar.

Pas très sophistiqué pour une dame vêtue d’une robe courte et au décolleté disons plongeant, mais je choisis quand même de prendre une bière. Il y a tellement d’hommes dans la place que ça sent la testostérone à un mille à la ronde ! Je comprends… le tournois de hockey se déroule ici cette fin de semaine ! Il y a donc des mâles de tous les villages des environs et quelques-uns plus civilisés qui arrivent de la grande ville ! La soirée risque d’être, disons, intéressante ! Il y a bien longtemps que je n’ai pas eu la chance de faire valoir mon talent pour la séduction. C’est l’occasion rêvée ! J’ai enfin mon verre ! Le service est lent, il y a tellement de monde ici ce soir.

Je prends une gorgée et je n’ai pas le temps de déposer mon verre qu’un inconnu passe près de moi, m’accroche et me fait renverser toute ma bière sur le comptoir ! Ai-je dit que j’ai un tempérament vraiment bouillonnant ? Eh bien là, vous le savez ! Disons que l’homme en question n’a qu’à bien se tenir, car il passera un sale quart d’heure… Je me retourne, prête à lui sortir une tyrannie digne d’un gars de chantier ! Mais mes yeux rencontrent son regard et ma langue perd toute sa verve, plus un son n’ose traverser mes lèvres ! Je me retrouve face à un Dieu, un adonis, un merveilleux spécimen d’homme comme j’en ai rarement vu. Il dégage tellement de sensualité ! Seul son regard m’a fait tremper ma culotte ! J’en perds tous mes moyens.

Mes amis vous diront que je suis une personne verbomotrice et que rien ne me coupe le sifflet quand j’ai quelque chose à dire, mais là, ils ne m’auraient pas reconnue ! Je suis sans mot, je suis gauche, je rougis (moi, je rougis !) la chaleur part d’entre mes cuisses et monte jusqu’à mon cerveau, plus rien ne fonctionne. Je suis mue par l’instinct et tout se passe dans le regard ! Un regard d’une telle intensité ! Aucun mot n’est utile, nous savons tous les deux de quoi l’autre à envie. Et nous allons vite y remédier ! J’ose un regard à son entre-jambe et loin d’être surprise, j’y vois l’ampleur de son désir. Plus rien n’existe, il n’y a que nous ! Sans me dire un mot, il glisse la clé de sa chambre d’hôtel juste à côté de mon verre vide. L’invitation est lancée, ce simple petit geste fait durcir les pointes de mes seins à un point que j’en ai mal. Je dois me lever, car je pense bien que je pourrais laisser une trace sur la chaise si j’attends ne serait-ce que quelques secondes de plus!

Je le vois qui sort du bar et se dirige vers sa voiture. Il ne la démarre pas immédiatement, comme s’il attendait de voir ma réaction. Je le suis à l’extérieur et sans attendre, prend place dans sa voiture. J’arrive à articuler un faible petit « Bonsoir, ça va ? » Il dirige sur moi son regard le plus enjôleur et me dit : « Tu ne te souviens pas de moi ? » C’est à ce moment précis que mon cerveau semble vouloir reprendre du service ! Oui je me souviens ! Mais je ne vais pas lui faire plaisir aussi rapidement, je suis une coquine, je vais faire durer le plaisir !!! Alors je fais semblant de ne pas le reconnaître.

  • Non, c’est vraiment la première fois que je vous vois.

 

  • Eh bien, si c’est le cas, je peux te dire que tu ressembles étrangement à ma meilleure baise à vie ! Dommage que je me sois trompé à ce point, mais j’ai cru voir que tu étais tout aussi attirée vers moi que je le suis envers toi, est-ce que je me trompe ?

 

  • Non vous ne vous trompez pas, vous avez un tel effet sur moi, que je crois fondre !

 

  • Disons que je me sens très à l’étroit dans mon pantalon !

 

Il est direct non ? Il décide de démarrer sa voiture, mais il ne se rend pas à l’hôtel ! Le salaud, il a deviné mon petit jeu. Il se dirige droit chez moi ! Devant la porte, il me montre la clé de mon appartement, celle que je lui avais laissé il y a de cela 10 ans et il s’en sert pour entrer.  Il me prend par la main et m’amène directement dans ma chambre. Il me déshabille du regard quelques minutes et me souffle à l’oreille

  • Ça fait 10 ans que j’attends de te revoir ! Je me suis inscrit dans le tournoi avec ce seul espoir ! Et comble du bonheur, je te trouve au même endroit que lors de notre première rencontre !

 

J’ai chaud, je suis complètement trempée ! Mes lèvres sont gonflées, mes seins sont durs comme jamais depuis les 10 dernières années ! Je sais ce qui m’attend, j’y ai déjà goûté !!! Je peux vous jurer que la nuit sera très courte ! Il s’approche de moi, me caresse sur mes vêtements et me dit qu’il laisse mon corps frissonner, car il sait à quel point je le désire et moi je sais à quel point il me veut. Nos corps sont faits pour se reconnaître ! (Même si mon cerveau ne l’a pas fait tout de suite, je vous rappelle que mon corps réagissait à sa présence juste en un regard.)

Il caresse ma cuisse et sa main chaude et douce remonte ma robe. Il m’administre une claque bien sonore à la limite de ma fesse droite, car il sait l’effet que ça me fait ! Je gémis de plaisir car mon corps se souvient parfaitement de ce que le sien est en mesure de me donner. Je sens son érection frôler ma cuisse. Il est déjà si dur d’envie ! Et je n’ai encore rien fait ! Il se place derrière moi et emprisonne mes seins de ses mains avec une telle fermeté, je n’arrive pas à retenir mes gémissements. Sa queue si ferme se frotte sur mon cul. Il passe sa main sous ma robe et d’un seul petit coup, fait sauter les agrafes de mon soutien-gorge. (J’ai mis le modèle rouge en dentelle sans savoir que je le verrais, mais c’est le genre qu’il préfère. Je porte la culotte assortie !)

Je n’ai pas le temps de reprendre mon souffle que me voilà complètement nue devant lui. Il tourne autour de moi, me regarde, m’observe. Son regard devient de plus en plus fiévreux. Je sens que des heures de plaisir s’ouvrent devant moi. Sans se dévêtir, il m’empoigne les fesses et m’embrasse avec une telle passion que je gémis à nouveau sous son emprise. Il s’agenouille devant moi et il lèche mon petit bouton de plaisir avec une telle ardeur que je jouis en moins d’une minute. Il sait que c’est l’étape première vers une nuit de plaisir assuré. Je tremble sous l’effet de l’orgasme que je viens de vivre !

Pour me donner la chance de reprendre mon souffle, je lui ordonne de se relever et je m’agenouille à mon tour devant lui ! Je défais sa fermeture-éclair et fait sauter sa ceinture en un tour de main ! Ma bouche brûle d’envie de prendre sa verge jusqu’à la base ! Je libère sa queue et commence à la titiller du bout de ma langue. Et si c’est dieu possible, elle grossit encore et durcie de plus en plus! Il sait très bien à quel point j’aime la sensation de sa bite qui remplit ma bouche. Je glisse ma langue sur toute sa longueur, je suce ses couilles et reviens à son gland en prenant soin de bien m’appliquer, je veux lui donner autant de plaisir qu’il m’en donne !

Quand il sent qu’il n’en peut plus et qu’il est près de jouir, il se retire de ma bouche. Il prend mon visage entre ses mains et me regarde droit dans les yeux. Il m’embrasse avec fougue et passion, je suis aux anges ! Il me retourne brusquement. Et vlan, une bonne claque bien sentie, à la ligne de base de ma fesse, il sait à quel point j’adore ça ! Il me penche et me pénètre tout d’abord avec une douceur infinie. Puis d’un coup, il sait, nos corps savent se répondre mutuellement sans un seul mot ! Il me prend plus énergiquement et accélère son va et vient. Si bien qu’après seulement quelques minutes à ce rythme déchaîné, nous jouissons à l’unisson. Nous tombons ainsi soudés l’un à l’autre sur le lit. Le temps de reprendre notre souffle et nos esprits. Vous vous doutez bien que la nuit ne fait que commencer !

Récit #69 – Un couple qui s’amuse bien!

Après avoir pris un bain moussant à deux avec des chandelles allumées et de la belle musique, le temps est venu de sortir du bain, alors que j’avais déjà une bonne idée de la suite de la soirée. Une fois au lit, les lumières éteintes, seule la lueur des chandelles éclairait nos corps. Avec de la belle musique de la trame sonore 50 nuances de Grey, il s’est mis à me caresser le corps avec ses belles grosses mains chaudes pour ensuite sortir une plume d’oiseau.

Il commence à effleurer ma peau avec la plume. Je peux sentir mon corps frissonner. Mes seins durcissent et je peux sentir les frissons jusqu’au bout de mes pieds. Je suis déjà près excitée. Je peux sentir que mon vagin coule déjà de plaisir. Après un bon 30 minutes, il dépose la plume pour m’embrasser vigoureusement sur les lèvres et ensuite s’occuper de mon cou en m’embrassant intensément, ce qui me donne de drôles de sensations avec sa petite barbe.

Mon corps réagit fortement : des cris de jouissance se font entendre. Il sait me rendre complètement dingue de plaisir. Je peux sentir son corps sur moi ; il me regarde droit dans les yeux et je peux lire son regard qui me dit « Je te veux ». Je sens son sexe durcir contre moi avec un petit écoulement d’excitation. Sa bouche descend vers ma grosse poitrine et me prend les seins de ses deux mains.

Je peux sentir sa langue qui me caresse le mamelon, puis sa bouche qui les embrasse. Il descend le long de mon corps, ce qui fait que j’ai l’entrejambe prêt à accueillir sa langue.  Je sens mon clitoris gonflé de plaisir. Sa douce langue chaude se raidit sur mon clitoris avec ses mouvements de langue si parfaits, puis il insère un doigt dans mon vagin et fais quelques coups de vas et vient sur mon bouton magique.  Je sens mes muscles se contracter sur son doigt, mon rythme cardiaque augmente de plus en plus : mes cris sont de plus en plus forts ! Ça y est, j’explose de plaisir ! Je peux sentir sa langue lécher le jus de mon explosion.

Mais c’est clairement insuffisant.  J’ai envie de lui encore ! Je veux sentir son pénis en moi. Il retire son doigt et je lui demande de s’étendre sur le dos. J’embarque sur lui pour à mon tour l’embrasser.  Humm, je peux même goûter mon propre jus ! Que c’est bon ! Je descends le long de son corps pour mettre son pénis à ma bouche. Je le prends d’une main et je fais des mouvements de va et vient avec en l’entourant de mes lèvres chaudes.  Je fais entrer son pénis au plus profond de ma bouche, je caresse le gland avec ma langue tout en continuant de le sucer.

Je ne veux pas leur faire venir, car je suis trop égoïste ! J’ai trop besoin de sentir son sexe en moi. Je remonte et je lui dis que je veux le rider. Avec ma main, je prends son sexe qui est si dur et je l’insère enfin dans mon vagin, ce qui fait qu’il a mes seins à la portée de sa bouche. Je le chevauche, puis je sens mes muscles qui se contractent. Quel effet cela me fait ! C’est comme si son pénis était moulé pour mon vagin. Ses belles grosses mains me saisissent les hanches et je me donne encore plus à le chevaucher. Il lâche mes hanches pour s’empresser de me tenir les mains. Main dans la main, yeux dans les yeux, mon bassin le domine : je peux sentir l’immense plaisir que nous partageons. Je lui demande de me prendre à 4 pattes.

Je m’installe donc et je mets en position. Son pénis entre en moi je le sens au plus profond de moi.  Quelle sensation !  Ses mains s’emparent de mes hanches chaque coup de bassin me rends complètement folle de plaisir je ne peux pas retenir mes cris. Je sens mon jus couler entre mes cuisses. Je ressens la température de la pièce augmenter.  Je décide de prendre le contrôle et c’est maintenant à mon tour de contrôler le rythme de sa pénétration en doggy. 

J’y vais intensément, je me donne tout entier de plus en plus vite : j’entends ses soupirs ainsi que mes propres gémissements.  Je continue de que j’ai à faire, je sais qu’il va exploser d’une minute à l’autre, ce qui fait que je me donne encore plus. Sa façon d’exprimer que ça arrive m’excite encore davantage.

Nous atteignons finalement l’orgasme au même moment.

Ouf, quelle baise incroyable.

Récit #67 – Doux souvenir mémorable de la chambre 115

Je suis séparée depuis quelques mois. Les discussions avec mon ex au début étaient plutôt difficiles. Aucune communication, à l’image de notre couple depuis des années.  Bizarrement mais aussi heureusement les choses se sont replacées et nous avons pu, jusqu’à maintenant, réussir notre séparation à défaut d’avoir réussi notre vie de couple.

Durant nos années de vie commune, j’ai fait la connaissance de beaucoup de ses amis, de longue ou courte date, d’enfance ou de la famille, de travail ou loisir.  Tous et chacun étaient les bienvenus chez nous, plus que d’autres vu leur statut particulier, soit d’enfance ou de longue date.

Plusieurs personnes de son entourage auraient très bien pu ne plus me parler après notre séparation, ne plus prendre de mes nouvelles ou encore me supprimer de leurs amis Facebook comme le veut les nouvelles modes et tendances. Pourtant et heureusement, personne n’applaudit notre séparation et personne n’en fait de drame et j’ai encore des contacts avec certains de ses amis.  L’un d’eux m’avait proposé son aide en cas de besoin il y a quelques semaines.

J’ai déménagé ce week-end pour emménager chez les parents d’un ami de la famille, en attendant d’avoir les clés de ma nouvelle maison, que j’aurai d’ici deux semaines, et j’avais besoin de bras pour m’aider. J’ai pensé à lui, il a dit oui et s’est présenté à l’heure promise comme il l’a toujours fait lorsqu’il disait quelque chose. Je l’ai remercié et dédommagé pour son temps ($) surtout sachant qu’il en avait un peu besoin. Il a fait ce que je lui avais demandé. Il a quitté pour d’autres occupations.

Par contre, avant de cohabiter avec les parents de mon ami, et fatiguée de tout ce déménagement et de ces émotions vécues depuis des mois, j’ai pris la décision de me louer une chambre de motel pour un soir… Je pourrais y écouter le silence et me retrouver en compagnie de la solitude.

J’ai passé la majeure partie de ma soirée et de la nuit à regarder la télé et relaxer.  Passé minuit et même plus, il est en ligne sur Facebook. Je le remercie à nouveau. Nous discutons de choses et autres. À un certain moment de la soirée, je me suis sentie un peu trop à l’aise et …. coquine. Jamais, à aucun moment durant ces années, je me suis sentie attirée sexuellement ou physiquement par lui. Même lors du déménagement, je n’ai eu aucune attirance physique pour lui.

Je lui ai proposé de venir me rejoindre après avoir hésité de lui en parler.  Il était gêné de l’offre. Mais le connaissant depuis toutes ces années, je sais très bien qu’il aime être mis au défi…. CHICKEN !!! Poc poc !!!  Ça réponse a été : quel motel quel ville ? Parfait je pars dans 30 secondes.

À l’heure où je souhaitais bonne journée à certains de mes amis qui travaillent dans la construction et qui se demandaient ce que je faisais debout si tôt, il arrivait au motel….

Nous avons regardé la télé cote à cote durant un moment, des rapprochements timides ont eu lieux et une proposition de massage s’en suivi.

Ses mains si douces partout dans mon cou, les épaules et…sur mes seins …  Sa bouche dans mon cou. Je me retourne pour lui proposer de le masser à son tour mais… j’ai plutôt été allongée délicatement sur le dos, mes vêtements retirés et lentement il s’est glissé entre mes cuisses.

Quel bonheur que de sentir une langue sur mon clitoris alors que durant toutes ces années jamais mon ex l’a fait… il n’aimait pas ça …. Quel bonheur de sentir son doigt entrer et sortir, ses deux doigts entrer et sortir, ses trois doigts entrer et …. Vous voyez où je veux en venir !

À 8:00, une alarme se fit entendre… il devait être a trois villes plus loin  dans une heure. Il s’est douché, préparé pour son départ.  Nous nous sommes dit au revoir, serrés dans nos bras et échangé un très long baiser.

On se redonne des nouvelles quand on le pourra et on peut même aller diner un moment donné

À preuve que la vie met parfois des gens sur ta route et que tu ne te douterais jamais où elles finiront leur chemin ….

Récit #55 – La fin de semaine de pêche

Depuis quelque temps, je parle avec une jolie demoiselle sur les médias sociaux. C’est aussi de cette façon que je l’ai connue. Elle se nomme Cynthia, elle a les cheveux bruns au milieu du dos et ils sont bouclés, elle a des yeux verts et elle a un corps qui me fait rêver chaque nuit. Cynthia est rondelle, mais je trouve ça tellement séduisant ses courbes. Nous avons le même âge (25 ans), on a terminé tous les deux nos études et on travaille depuis déjà un an. De plus, on partage plusieurs choses ensemble, comme le désir de fonder une famille, l’amour du plein air, l’âme d’un voyageur et encore une tonne d’autres choses.

Vendredi passé, on s’était donné rendez-vous dans un petit café afin de passer du virtuel au réel. Lorsque je l’ai vue pour la première fois, mon cœur s’est arrêté de battre un moment avant de repartir à toute vitesse. J’avais chaud et froid en même temps, mon corps réagissait d’une drôle de manière qui ne pouvait pas être autre chose qu’un coup de foudre. Je m’étais juré avant de partir de mon appartement que je n’allais pas m’attacher trop rapidement, sauf que cette Cynthia a réussi à m’ensorceler. En allant rejoindre la belle qui avait pris place à une table, je sentais le stress monter en moi… Ça y était le moment des salutations, d’une voix tremblante et légèrement gêner, je dis :

  • Salut Cynthia, comment ça va ?

Elle me répondit :

  • Salut Vincent, je vais bien et toi ?

Je répondis à mon tour et je sentais que la glace était brisée, ce qui était, une bonne chose. La gêne partit rapidement et la discussion entre nous deux allait rondement. Sa douce voie est comme une mélodie à mes oreilles. Cependant, je n’étais pas sûr si Cupidon avait aussi visé Cynthia d’une flèche d’amour. À un moment, j’ai eu ma réponse, car elle arrêta de me parler et elle me regarda directement dans les yeux. J’avais l’impression qu’elle était rendue sur lune ou quelque part d’autre, je dis alors :

  • La terre appelle la lune, est-ce que vous me recevez ?

Elle sortit de son état et elle me dit :

  • Excuse-moi, je viens réaliser la beauté de tes yeux et je ne sais pas pourquoi mon cerveau m’a fait décrocher.

Je la remerciai pour le compliment et je me sentis rassuré, les deux avons été touchés par une flèche de cupidon. Après deux heures de discussion dans le café, on est parti à pied en direction de l’appartement de Cynthia. Sur le chemin, on se mit à parler de pêche et on s’est mis d’accord d’aller pêcher ensemble prochainement, ça tombe bien la saison de pêche commence tout juste. À la suite de 15 minutes de marche, on se trouva devant la porte de son logement, on se donna un gros câlin et juste avant de se séparer, Cynthia dit :

  • Merci pour la belle soirée, j’espère en vivre plein d’autres

Et en finissant sa phrase, elle m’embrassa sur les lèvres. Après avoir été suspendu à ses lèvres toute la soirée, j’ai pu sentir toute la douceur de celles-ci. C’est avec le cœur léger que je suis retourné chez moi. Je dormis comme un bébé cette nuit-là et aussi, j’ai rêvé à la jolie demoiselle. Parfois, c’était des rêves romantiques et d’autres coquins, mon esprit s’était laissé le plaisir d’imaginer ses lèvres partout sur mon corps. Lendemain matin, je me suis réveillé avec une érection qui ne voulait pas partir. J’ai dû jouer avec mon membre afin de faire disparaitre le pic qui était dans mes shorts. Pour m’aider, j’ai imaginé la belle Cynthia nue et la vision de son corps de déesse a eu vite raison de moi. Durant plusieurs jours, Cynthia et moi, on se textait sans arrêt et on se planifia une fin de semaine à la pêche. À partir du moment que la fin de semaine était officiellement planifiée, je n’ai jamais eu aussi hâte de partir pour la pêche. Lorsque le vendredi est arrivé, je n’ai pas perdu de temps pour mettre le matériel de camping et de pêche dans l’auto, fait le plein et alla chez ma douce. Pendant le trajet vers la réserve faunique, on a continué à se découvrir des points communs et je sentais de plus en plus qu’on était fait l’un pour l’autre. De temps en temps, Cynthia me donna des bises sur la joue et d’une main légère alla frôler mon membre qui devenait dur à chaque fois. Je découvris peu à peu le côté coquin de cette jolie demoiselle. Après les deux heures et demie de route et les dix minutes d’enregistrement à l’accueil, on entreprit le montage de la tente. Le défi ne fut pas trop difficile vu qu’on est deux habitués. Tout de suite après, Cynthia rentra dans la tente et elle plaça les matelas ainsi que les sacs de couchage. Elle me laissa une superbe vue sur ses fesses durant qu’elle arrangea notre petit chez-soi mobile. Je ne pouvais pas me plaindre avec cette vue, la forme de ses fesses ressortait très bien dans ses leggings moulants. À la suite de plusieurs minutes, je réussis à arrêter de contempler la vue pour aller préparer le souper. On passa la soirée près du feu à manger des guimauves avant d’aller se coucher. Juste avant d’aller dans le monde des rêves bien installés dans nos sacs de couchage, on s’embrassa longuement. Le reste de la nuit fut rempli de beaux rêves. Lendemain matin à 8h, on était déjà sur le lac en train de pêcher, le début de la journée a été tranquille, quelques prises toutes remises à l’eau. Vers l’heure du midi, le soleil brillait assez fort et Cynthia décida de se faire bronzer, mais sans être gênée, elle se fit bronzer seins nus. Ça n’a pas pris une minute et j’étais dur comme un roc. De plus, j’avais beaucoup de difficulté à détourner le regard, ses merveilleux seins pointant vers le ciel, j’avais juste le goût d’aller les caresser et les embrasser. L’heure du diner arriva et j’avais une faim de loup, alors je dirigeai la chaloupe vers une belle plage de sable que j’ai aperçu un peu plus tôt. On mangeait notre lunch, cependant rendu au dessert, Cynthia m’avait réservé une surprise. À ce moment précis, elle s’avança vers moi, me fit un câlin et de ses mains habiles, elle détacha mon pantalon et commença à jouer avec mon membre qui est dur depuis qu’elle a les seins nus. Aussi, elle me dit tout bas à l’oreille :

  • J’ai envie de toi depuis l’autre jour, je n’arrête pas de penser à toi, mon beau.

Je ne trouvai pas de réponse intelligente, sauf faire un beau grand sourire et l’embrasser avec passion. À la suite d’un moment, ma belle se mit à genou et pris mon membre dans sa bouche, c’était tellement bon. Je ne souvenais plus la dernière fois que j’ai eu une pipe aussi bonne que ça. Après 5 minutes de plaisir intense, je pris les choses en mains, c’était à mon tour de faire plaisir à l’autre.  J’aidai ma belle à se relever, je descendis son pantalon et sa petite culotte rose. Elle s’assit sur le bout de la chaloupe et je commençai à jouer avec sa chatte toute douce. Après seulement une minute, elle était déjà toute mouillée, donc j’insérai un premier doigt, un deuxième et pour finir un troisième. Cynthia gémit de plaisir, elle me demanda de la prendre par-derrière au plus vite. Elle veut sentir ma bite bien dure en elle au plus vite. Sans perdre de temps, je mis un condom et je la pénétrai profond. Pour monter son excitation, je donnais quelques claques sur ses merveilleuses fesses toutes bondées. Je donnais des coups franc et profonds avec rythmes. Après une dizaine de minutes dans cette position, je sens les jambes de Cynthia qui tremblent, elle allait jouir très prochainement. J’augmente le rythme jusqu’elle jouisse. Ça n’a pas pris beaucoup de temps et Cynthia cria de jouissance. Elle avait à peine fini de reprendre son souffle qu’elle s’était retourné pour me sucer à nouveau. Après deux minutes, j’étais déjà sur le bord de venir, j’avertis ma douce et elle me dit :

  • Viens mon beau, viens dans ma bouche !

Après avoir fini sa réponse, elle recommençait et quelques secondes plus tard, je venais dans sa bouche. Ça faisait tellement du bien, en plus elle a tout avalé et pris soin de mettre tout propre. Aucune goûte de ma semence n’a été perdue. Cynthia remis seulement sa petite culotte pour le reste de l’après-midi sur le lac et moi mon pantalon. À la suite de notre journée de pêche, on retourna à notre campement où on fit une petite vite juste avant de souper. Quand la noirceur tomba, on retourna dans la tente où on a encore profité de la vie. Cynthia me chevaucha et pris son pied lorsque je la stimulais au maximum avec l’aide de mes mains. Une main jouait avec ses merveilleux seins et l’autre avec son clito. Elle n’a pu résister très longtemps à une triple stimulation. Après son orgasme, Cynthia se coucha sur le dos et je l’ai pris en missionnaire. Je suis plutôt vulnérable dans cette position, j’ai tendance à venir rapidement. Après cinq minutes d’action, je commençais déjà à vouloir venir, j’avertis à nouveau ma douce et elle m’encourageait à me laisser aller. Quelques secondes plus tard, je jouissais à nouveau. Cette nuit-là tous les deux on a dormi le cœur rempli de bonheur et léger. Le lendemain matin, Cynthia était triste, je ne comprenais pas pourquoi jusqu’à tant qu’elle s’explique. Elle est dans sa semaine, mais quelle déception, on ne pourra plus faire l’amour de la fin de semaine. Je n’avais peut-être plus la chance de goûter à chatte, mais elle me gâtait avec des merveilleuses pipes tout le reste de la fin de semaine.

Je fus très content de ma fin de semaine, car la pêche fut bonne et Cynthia et moi on se confirma mutuellement qu’on voulait être ensemble.