Récit #189 – Marie – Partie 6 – Bertrand, l’ami de Marie et les amazones

Assis au bar de son club préféré, « le Club », Bertrand savoure son whisky, Voila une soirée comme il les aime (de temps en temps), savourer un verre, jouer au voyeur et discuter avec le barman.

Et justement, une superbe femme vient de s’installer de l’autre coté du bar. Peau matte,  cheveux noirs, longues jambes galbées, un cul et une poitrine à tomber par terre !!

Oublié la soirée tranquille,  sur son tabouret, Bertrand réfléchi a la bonne manière de l’aborder. Mais surprise, c’est elle qui l’aborde, « Bonjour, je vois que vous êtes seul, je peux m’assoir à coté de vous? » Bertrand, surpris et flatté bafouille « Je vous en prie »

Les présentations se font rapidement et après quelques minutes, ils se tutoient. Elle s’appelle Julia, elle est brésilienne et est venue quelques jours dans sa famille qui habite la région. Bertrand est subjugué par la beauté, le coté naturel et spontané de Julia et  décide de laisser faire les choses, on verra bien comment se passe cette soirée.

Julia lui prend la main « viens on va danser ! »  Son corps ondule au rythme de la musique, Bertrand se laisse emporter dans ce tourbillon de sensualités, Julia le frôle, se colle a lui faisant monter l’excitation. Avec un sourire coquin, elle lui glisse a l’oreille « Si on trouvait un endroit tranquille, je crois qu’il y a des chambres a l’étage » Bertrand sourit, il connait et entraine Julia vers l’escalier derrière le rideau.

Les voila dans la chambre avec, au milieu, un grand lit. Julia est encore plus excitée que Bertrand «  Déshabille moi ! » Bertrand fait glisser la robe, dévoilant le corps magnifique. Son cœur s’emballe, il a rarement vu une aussi jolie femme. Julia le laisse faire sans bouger. Bertrand, tout excité,  dégrafe le soutien libérant la superbe poitrine  ferme, sa langue titille  les mamelons bien dressés, la respiration de Julia s’accélère. Les mains de Bertrand descendent sur les hanches. « Attend, j’ai une surprise ! » lance Julia « Viens Victoria » d’un coin de la chambre fermé par un rideau apparait une autre superbe femme, nue, qui ressemble comme deux gouttes d’eau a Julia. « Je te présente ma sœur jumelle Victoria » Bertrand, un peu perdu regarde Victoria avec étonnement.

« Tu vois, Victoria et moi sommes très fusionnelles et ce qui nous importent, c’est le plaisir ! »Les deux sœurs s’embrassent, se caressent en regardant Bertrand surpris par la scène !

« Nous  allons te baiser ! » Les deux femmes se rapprochent de leur “proie “ Julia devant, Victoria derrière. Les deux sœurs le déshabillent, quatre mains caressent Bertrand qui sent monter l’excitation. Elles le poussent sur le lit, l’attache a la tète de lit. Julia se jette sur lui, s’empale sur le pénis. Victoria se place à genoux  derrière sa sœur,  lui caresse les seins, les fesses. Julia monte et descend, en prenant son temps, sur ce sexe de belle taille « Aah c’est bon ! » son bassin ondule, elle pousse les fesses en arrière, « Va y Victoria, encule moi ! bien profond ! » Victoria enfonce deux doigts dans le petit cul de Julia qui ondule de plus en plus vite cherchant le maximum de sensations et de plaisirs dans cette double pénétration.

Bertrand s’accroche, serrant les dents sous les assauts de Julia qui crie son plaisir. Victoria s’impatiente « A moi maintenant ! »Julia se glisse sur le coté, d’une main, elle branle le sexe de Bertrand qui reprend vigueur. Victoria, très excitée, s’installe au dessus de Bertrand, lui tournant le dos, ses jolies fesses largement écartées. Lentement elle s’encule sur le membre chaud. Elle monte, elle descend d’abord de quelques centimètres, puis s’enfonce jusqu’à la garde, remonte et recommence de plus en plus vite en gémissant. Bertrand n’en peux plus, son corps se raidit et il se libère dans cul de Victoria, qui accueille le sperme chaud dans un cri de plaisir.

Tous les trois reprennent leurs souffles allongés sur le lit. Après un moment, les deux sœurs reprennent l’initiative, Julia regarde Victoria «  j’ai envie de le pomper » « oui moi aussi »  répond Victoria,  devançant sa sœur avale la queue de Bertrand jusqu’aux testicules. Bertrand s’étonne lui-même, il bande à nouveau ! La bouche chaude de Victoria lui fait de l’effet ! Julia l’a rejointe, a tour de rôle, les deux sœurs lèchent, sucent et pompent de plus en plus fort Bertrand qui, épuisé, se libère dans la bouche de Victoria. Elle relève la tète,  embrasse Julia a pleine bouche !

Julia détache Bertrand, un peu dans le “gaz“ il ne réalise pas encore ce qu’il vient de vivre mais son corps s’en souvient ! Avant de se quitter, ils savourent ensemble une bonne bouteille de champagne offerte par la maison. Peux être ce reverront ils un jour, qui sait ?

Récit #187 – Première sortie de filles

Par Tomcatqc

Je sors de la douche, je suis ultra nerveux. J’ai reçu plusieurs instructions à suivre très strictes. Rasage intégral et pédicure ne sont que le début. Ça fait trois jours que je porte un plug anal de gros calibre pour dormir. Je me dois d’être prêt à satisfaire tous les désirs de ma Déesse. Elle s’en vient à la maison pour une séance bien spéciale qu’Elle me dit, mais je ne dois pas m’habiller d’avance pour la recevoir. Contrairement aux autres rencontres, Elle me veut nu.

Mon imagination roule à son maximum. Je l’imagine débarquer avec une autre femme pour m’enculer toute la soirée. Elle a exigé que mon auto soit dans le garage pour faire plus de place dans l’entrée pour d’autres personnes. Ce ne serait pas la première fois qu’elle ferait cela, inviter une amie pour qu’elles abusent de moi. J’aurais à les servir avec traitement royal pour leur plaisir de me voir en salope de service avec la cage bien placée sur ma queue pour ne pas avoir d’érection pendant que je les masserais et licherais leurs pieds et bottes.

J’attends, nu comme un vers au bout du lit. Je m’apprête à installer ma cage, mais j’ai une érection incontrôlable et je sais qu’Elle arrivera bientôt. Je me dois d’être prêt et surtout en cage, car c’était aussi dans Ses exigences. Je me parle pour débander, mais rien à faire. Je suis dur, trois jours de plug, cinq jours sans avoir le droit de jouir, avec les masturbations obligatoires, mais sans jouissances autorisées. Je comprends pourquoi je suis incapable de perdre cette érection plus que gênante. Aller hop, j’enfile l’anneau sur ma queue et je force mes testicules à passer pour bien le mettre en place. Cette douleur forcée m’arrache un petit grognement et une larme, mais elle permet à l’anneau de rentrer à sa place. Je perds la moitié de mon érection, voilà le bon moment pour mettre ma queue dans la cage avec un peu de lubrifiant pour l’aider à glisser et prendre place dans la cage transparente qu’Elle adore tant me voir porter.

J’entends son auto rouler dans le stationnement. Instantanément, je suis pris d’une bouffée de chaleur, la nervosité m’envahi. Pourtant, je ne suis pas à ma première soirée d’abus sexuels et de service pour Elle, mais j’ai le sentiment qu’il y a quelque chose de spécial ce soir. J’enfile ma robe de chambre et va l’accueillir comme il se doit. Après que la porte d’entrée soit fermée, je m’agenouille devant Elle et lui fait le protocolaire baise main. Elle me dit de me lever et d’aller dans la chambre pour Son inspection.

J’arrive dans la chambre, retire mon peignoir, me mets en position d’attente les mains le long du corps. Elle me regarde de face de la tête aux pieds, me fait signe avec la main de tourner pour lui exposer mon dos. J’entends ses doigts claquer, je sais que c’est le signal pour me pencher et écarter mes fesses pour qu’Elle voit bien « ma chatte ». C’est ainsi qu’Elle appelle mon cul car c’est de cette seule façon que j’ai le droit de jouir lorsque je suis Sa salope de service. Elle semble satisfaite puisqu’Elle m’ordonne de me relever et de venir présenter mon clito en cage. Elle sourit en la prenant en main et me félicite de ma bonne écoute à Ses ordres.

Elle se met à ouvrir les tiroirs de la commode qui contiennent mes vêtements féminins qu’elle a achetés pour faire de moi Sa pute de service. Le bureau contient autant des petites culottes en dentelle que des pantalons en pvc, en passant par des soutien-gorge de toute sorte, le tout pour accompagner son humeur du moment. Elle exige de m’habiller Elle-même car Elle aime caresser la dentelle, le cuir, le pcv qui se dépose sur ma peau, et faire de moi SA belle fille qui la servira le temps d’une soirée, en solo ou avec une amie qu’Elle affectionne particulièrement.

Ce soir, c’est spécial, je le sens. Elle fouille et refouille dans la commode pour faire et défaire des agencements de toutes sortes. Elle dit me vouloir parfaite. Je la sens nerveuse, je ne l’ai jamais vue ainsi, ça augmente ma nervosité. « ENFIN!! crie-t-Elle. J’ai trouvé ce que tu vas porter ce soir ma salope. » Elle avait son beau grand sourire, ses yeux étaient étoilés comme jamais. Ça faisait presque peur. Elle avait son petit rire démoniaque. « Aller, viens ici que je commence ta préparation ma putain. » Elle m’a vêtu de bas filet rouge vif et d’un porte-jarretelles noir avec une petite broderie rouge dessus. Wow, je ne l’avais jamais vu celui-ci, top qualité! Après m’avoir attaché les bas au porte-jarretelles, Elle m’enfile une culotte en dentelle noire et rouge qui s’agence parfaitement. « Toute de la nouvelle lingerie pour une soirée spéciale ma belle amour! » me dit-Elle.

J’étais vraiment curieuse de découvrir ce qu’elle avait préparé comme soirée. Ensuite, elle m’habille de la jupe de cuir noir courte, très courte. On voyait très bien mes jarretelles dépasser. Le soutien-gorge rouge et noir aussi en dentelle qui devait être vendu en ensemble avec la culotte puisqu’il matche parfait avec celle-ci. Elle poursuit avec un petit top semi décolleté qui met mes faux seins en valeur. Oh oui! des faux seins. Elle en avait parlé, mais jamais Elle avait dit s’en être procuré. C’est humiliant de voir la transformation qui s’évolue à un niveau jamais atteint. Elle ressent mon malaise d’être ainsi poussée, Elle me répète souvent que je suis belle, que je lui appartiens et surtout qu’Elle est vraiment fière de Sa salope, de mon évolution entre Ses mains. Sa douce voix me réconforte, apaise mes craintes, mais surtout me donne confiance pour la suite. Une suite que j’ai déjà vécu : maquillage léger, mais avec des lèvres bien colorées, car Elle adore voir mes lèvres entourer son god ceinturé et me voir le sucer pour démontrer mon côté obéissant, chienne suceuse. Elle installe ma perruque blonde. Tout est fait avec délicatesse, comme toujours, et Elle me parle de tout et rien pour me calmer. Elle prend bien soin de Sa putain

Maintenant, c’est à moi de prendre soin d’Elle : crème sur tout le corps pour que ma Déesse soit douce partout, l’aider à enfiler Sa robe de pvc et surtout attacher Son corset et ensuite les bottes de cuir. Elle a déjà son maquillage et ses cheveux de faits. La touche finale, Elle me sort mes plus beaux escarpins que j’enfile avec fierté puisqu’ils me font des jambes du tonnerre. C’est là que j’ai droit à une pluie de compliments de ma Déesse sur mon look et ma beauté, mais surtout Sa fierté à me voir dépasser mes soft limites.

À présent, je m’attends aux ordres habituels : de me préparer à faire le souper et le service quand son amie va arriver. Les bouteilles de vin rouge sont dans le cellier et celles de blanc bien froid au frigo. Mais surprise, Elle me sourit et me dit d’emballer le vin. Elle voit immédiatement dans mon visage que ça ne fonctionne pas, la peur occupe mon regard. Elle s’approche de moi, me prend les mains, les flattent en prenant le temps de flatter mes ongles colorés et me répète calmement d’emballer le vin, qu’on quitte la maison, que nous allons sortir ce soir entre filles, que je savais que ça arriverait un jour et CE jour était maintenant. C’est pour cela qu’elle avait fait placer l’auto dans le garage, je suis passagère et que tout est organisé. Que SA pute sort et qu’elle va aimer sa soirée.

Après quelques secondes de silence, je réponds en bonne fille obéissante « Oui Déesse, j’ai emballé les deux bouteilles de vin dans un sac. » et je me suis dirigé vers l’auto côté passager comme ordonné par ma Maîtresse adorée. Je sors ainsi en public… Non pas que c’est la première fois qu’Elle me féminise, mais sortir de la maison déjà féminisée est une première pour moi. J’ai déjà été féminisée dans des soirées en donjon ou en maison privée pour des soirées spécifiquement réservées à ce type de jeux. Mais là, wow quel moment intense à vivre.

Elle ouvre sa portière, prend place derrière le volant, boucle sa ceinture. Voilà, le moteur tourne et la porte de garage est actionné. C’est un départ, mais je ne sais pas pour où ni pour quoi. La route est longue, je suis dans un mutisme sans contrôle, la musique joue, mais je ne l’entends pas vraiment. D’après la route que l’on emprunte, je crois déceler que la destination se trouve à Montréal. Je me demande où, cartier gay où je pourrais passer inaperçue? Dans un donjon où je n’aurais pas su d’avance l’événement? Tant de questions sans réponse. Ma Déesse a les yeux étincelants avec un grand sourire de bonheur contagieux, je me surprends à sourire moi aussi. Il fait déjà sombre, la nuit va bientôt s’imposer et me permettre un certain anonymat.

On arrive à destination, cartier gay. Elle se stationne et me dit : « Ce soir, c’est ton soir. Tu vas être là, avec moi, et vivre un moment des plus magiques. On va souper, j’ai réservé dans un petit resto tranquille juste pour toi et moi. Concentre-toi sur ça en premier et vit le fait de faire une sortie de filles. » me dit-Elle sur un ton posé mais autoritaire. Nous sortons de la voiture et marchons jusqu’au restaurant. Nous avons une table retirée dans un endroit plutôt discret pour pouvoir jaser entre Maîtresse et salope. Nous discutons surtout du pourquoi elle me pousse à sortir ainsi ce soir, que ça fait assez longtemps que je repousse le moment et que je dois m’assumer en tant que pute de service à un niveau convenable.

Une fois le souper terminé, Elle se lève, je la suis. Nous sortons du restaurant et nous dirigeons en direction opposée de l’auto. Je lui demande où on va et Elle répond simplement : « Te baiser salope, quoi d’autre penses-tu faire ici? Donc direction hôtel des gouverneurs. » À notre arrivée, Elle va au comptoir, la chambre est réservée d’avance. Elle prend les cartes, me regarde et m’appelle en me criant : « Salope, ta chambre est prête. Amène ton cul que je le défonce. » Je n’ai jamais vu ma Déesse avec ce regard et cette audace en public.

Une fois dans la chambre, Elle me dit de me rafraîchir, histoire de sentir bonne, et me donne une bouteille de parfum féminin. Elle repart à l’auto disant avoir oublier son sac avec les strapons pour me fourrer comme une pute. J’attends son retour avec impatience. Tout ce setup pour me faire sortir et me baiser… Wow!! Elle prend à cœur mon humiliation et je suis plus que comblée. Elle ouvre la porte, me lance le sac et me dit d’aller me faire un lavement, qu’Elle veut une chatte propre à enculer et que j’ai 15 min maximum pour m’exécuter. J’entre dans la salle de bain et me fait le lavement. Je suis toute propre pour être bien abusée par ma Déesse. J’ai hâte, je coule déjà de precum dans ma cage. Je me présente devant Elle qui est allongée sur un des deux lits et souriante comme jamais. Elle me regarde et me dit de m’agenouiller devant le lit. Après deux minutes à me contempler, un cognement retenti dans la chambre, on frappe à la porte. Maitresse ne semble même pas surprise. Elle va répondre avec son petit rire taquin et moi je sens une boule de chaleur m’envahir

C’est un homme bien vêtu, et après quelques échanges de chuchotement avec ma Maitresse, je comprends qu’il n’est pas là par erreur. « Non, il ne s’est pas trompé de chambre, me dit ma Déesse. Il est là pour nous, me dit-Elle entre parenthèses. » Nous!!!!! ai-je répondu sans réfléchir, avec un air très surpris. Elle me répond : « Oui nous!!!! Moi qui regarde et toi qui fait ta job de pute. Il t’a vu de la porte d’entrée, m’a dit te trouver belle et sexy, alors tu le vides de la façon qu’il a envie d’abuser de toi. Tu as toujours le choix d’utiliser tes couleurs, tu les connais. Mais ça fait assez longtemps que tu en rêves, alors Je t’apporte ton rêve ici, ce soir. Je t’ai fait toute belle, tu as la chatte prête, alors à toi de décider. C’est rouge ou vert, y’a pas de jaune ce soir sauf si tu as besoin de plus de lub au cul. Ne t’en fait pas, j’ai pris des gars qui ne durent pas longtemps. Oui, DES gars!! Alors tu décides quoi? Ta première queue t’attend devant toi. »

Je me ferme les yeux et j’ai ouvert ma bouche en signe de consentement. J’entends ma Maitresse s’exclamer « Bonne salope! » C’est là que j’entends le mec détacher son pantalon et s’approcher de moi. Je sens sa queue molle pénétrer ma bouche, je comprends que j’ai du travail à faire pour qu’elle durcisse. Je commence par la licher, la masturber avec ma main, toujours les yeux fermés par gêne. Elle commence à durcir, alors je la remets dans ma bouche pour la sucer et la sentir gonfler dans ma bouche. Cela ne prend pas de temps qu’il est bien dur et éjacule direct dans ma bouche chaude. Wow c’est vrai qu’il est précoce et que dire de la petite quantité de sperme qui est sorti… J’avale tout, mais avec la salive de la fellation, je ne goûte que très peu à son jus. J’ouvre mes yeux et regarde ma Déesse qui est hyper ravie de la scène qu’Elle voit. « Bravo Ma salope!! Tu n’as pas échappé une goutte, me dit-Ele. » L’homme remet son pantalon, remercie ma Maitresse de son cadeau et sort de la chambre.

Maitresse m’offre de m’assoir sur le lit et me tend un verre d’eau pour me rincer la bouche. Pendant que je me rince la bouche, elle prend son téléphone et dit simplement à son interlocuteur que c’est à son tour, que je serai prête à son arrivée. Elle m’ordonne de me mettre à 4 pattes, relève ma jupe, du moins pour le peu qu’elle cache dans cette position, sort son god et me l’enfonce dans la chatte avec beaucoup de lub. Elle vérifie l’état de ma cage et voit que je coule dans celle-ci. Elle met un condom au bout pour que je ne coule pas partout. C’est à ce moment que j’entends frapper à nouveau à la porte. Oh mon dieu!! Elle a vraiment appelé un autre mec.

Elle part ouvrir la porte en me regardant bien dans les yeux. Elle a une discussion à voix basse avec l’homme en question. Elle l’amène devant moi, lui baisse son pantalon et se met à le sucer bien langoureusement. Oh mon dieu, je suis excitée à la voir faire. Une fois la queue bien en érection, Elle lui met une capote, enlève le god de mon cul et c’est là que je comprends qu’il va me défoncer le cul. Il a un très gros gland bien gonflé par les lèvres de ma Déesse. Par chance que j’ai eu un entraînement durant la semaine avec les grosses plug, sinon il me déchirerait la chatte. Il enfonce sa verge dans mon cul sans se soucier si je suis capable ou non de la prendre. « Aller ma chienne, prend-la dans l’cul. » me dit-il, en finissant de la rentrer bien au fond. Wow, c’est douloureux, mais tellement excitant en même temps. Son va et vient me résonne jusque dans la tête. Il me défonce vraiment fort, je coule, je gémis, ma Déesse me regarde avec fierté. Bang, il éjacule, il jouit, il me serre aux hanches avec ses mains pour bien la rentrer au fond. Il a déchargé une grosse quantité de sperme dans la capote. Il l’enlève, la jette, me présente sa queue pour que je la nettoie avec ma bouche. Je m’exécute sans rien dire. Il remet son linge et quitte après quelques remerciements à ma Maitresse. Elle me regarde, me demande si j’en ai assez, si tout va bien, si j’aime être réellement abusée. Je suis toute souriante et Elle comprend instantanément que je suis heureuse de ce que je vie. Elle me dit simplement : « Parfait, on passe au prochain et là tu vas tripper Ma salope adorée. »

Elle texte sur son téléphone. Elle reçoit une réponse et sourit. « Tu vas tripper pour la suite, Ma chienne, me dit-elle. » En 45 minutes, j’ai vidé deux hommes sans aucune difficulté. C’est très spécial déjà. Là encore, j’ai à peine le temps de me remettre les idées en place que ça frappe à la porte. Je suis vraiment nerveuse de découvrir quel trip m’attend.

Cette fois-ci, c’est un couple homme-femme qui rentre dans la chambre. Je les ai déjà vu dans des soirées en donjon. Madame est une dominante très sadique, mais lui ne porte pas son collier. Il porte un habit classe et madame porte une belle robe moulante rouge flamboyant. Il a une bouteille de vin à la main et je comprends que ce ne sera pas une job à la va vite comme les deux autres. Ils ont leur sac de jouets et prennent le temps de s’installer. « Tu vois Ma salope, nous serons trois à abuser de toi, comme une vraie pute, pour le reste de la nuit. Maintenant que tu es réchauffée, ça va être plus facile de prendre la queue de monsieur, me dit-elle. » Je l’avais déjà vue en action, sa queue mesure tout près de 12 pouces, un vrai « bull » comme on dit dans la scène.

Le reste de la nuit est plus hard core que jamais avec les deux maîtresses équipées de leurs strapons et monsieur qui abuse aussi de moi. Je n’ai que les premières 20 minutes après leur arrivée pour jaser et ne rien avoir dans mes orifices. J’ai droit à seulement une consommation de vin, et une fois qu’ils commencent, ils n’arrêtent pas. Sa queue dans ma chatte qui me pilonne sans arrêt, me faisant couler comme une pute. Ça c’est quand je n’ai pas sa queue en bouche avec une des dames qui joue à m’enculer avec des god de tous les formats. Je crie de jouissance et à la fin, il n’y a pas que moi qui profite de la queue de monsieur. Les maitresses aussi se gâtent pendant que je suis dans un coin à m’enfoncer un gode dans le cul. Monsieur jouit sur les maitresses et je dois aller licher sa semence sur les seins des dames. Après m’être fait défoncée toute la nuit et avoir éjaculé dans la capote sur ma cage de chasteté, ma Maitresse prend le condom rempli de ma semence et me le vide dans la bouche pour que je puisse goûter à ma jouissance. Je me sens vraiment comme shopvac à sperme.

Ensuite, le vin faisant son chemin naturel dans le corps des maîtresses, elles m’ont amenée à la salle de bains, dans la douche, où j’ai reçu leur pluie chaude dorée en plein visage. C’est délicieux et ultra humiliant. Jamais on ne m’a traitée ainsi. Ma tête est dans un second état. Je tombe endormie d’épuisement, couchée sur le sol au pied du lit, pendant que le trio discute de leur soirée. Lorsque le couple quitte, Ma douce amour me réveille et m’amène dormir dans le lit. Elle me prend dans ses bras, me dit à quel point je la rends fière, heureuse et épanouie, mais surtout… qu’Elle m’aime à la folie!!!

Récit #136 – Expérience de fin de soirée

Je suis derrière le bar, comme à tous les samedis soirs. Mais ce soir, c’est légèrement différent, parce que la fille, Jacinthe, que je fréquente depuis quelques semaines m’a dit qu’elle viendrait prendre un verre avec quelques-unes de ses amies.

 

Vers 21 h, je finis par les voir aller s’asseoir dans un coin. Dès qu’elles s’assoient, Jacinthe s’avance vers moi. Elle me fait un petit sourire. Elle s’accote sur le bar.

— Salut mon amour, me glisse-t-elle discrètement. Deux dry martini, une margarita, un gin-tonic et un mojito.

— Tout de suite, dis-je en lui retournant son sourire.

 

Alors que je prépare leurs cocktails, Jacinthe en profite pour regarder autour. Alors qu’Éric, l’autre barman qui travaille ce soir-là, passe derrière moi, je la vois qui étire son cou et elle en profite pour lui regarder les fesses. Mais alors qu’elle s’aperçoit que je l’ai vu, elle en profite pour me dire :

— Il est pas mal cute… dit-elle avec un petit sourire.

— Ton amie, avec le manteau de cuir, elle est pas mal cute aussi, lui dis-je.

— Julie? dit-elle. Si tu veux, je peux lui demande si elle te trouve de son genre.

— Et si elle me trouve de son goût, qu’est-ce qui va se passer?

— On improvisera, me dit-elle avec un clin d’œil…

 

Je lui donne les deux martinis qu’elles ont commandés. Elle part les porter à ses amis. Elle revient une minute plus tard alors que j’ai terminé la margarita et le gin-tonic.

— Lorsque tu auras terminé le mojito, viens nous dire un petit bonjour à notre table. Les filles veulent te voir de plus près.

— OK.

 

Une minute plus tard, je m’avance vers leur table. Je leur fais mon plus beau sourire, leur parle quelques secondes avant de retourner derrière le bar. Je garde un œil sur leur table. Une vers 22 h 30, je vois trois des filles partir. Jacinthe et la fameuse Julie restent attablées à parler pendant quelques minutes. Puis, elles finissent par se lever et s’avancer vers moi.

— Salut, lance Julie. Comme ça… Y parait que tu me trouves de ton goût, dit-elle en levant un sourcil et replaçant une couette de ses cheveux blonds.

— Oui, je l’avoue, répondis-je en la regardant dans les yeux.

 

Elle me regarde quelques secondes, mi-sourire.

— Tu termines à quelle heure?

— Pourquoi? demande-je surpris.

— D’après toi?, dit-elle.

— Est-ce que c’est ce que je pense? demande-je à Jacinthe.

 

Elle approuve d’un geste timide de la tête.

— Je termine à 2 h du matin.

— C’est bon. Donne-nous tes clés… Et on se retrouve chez toi… à 2 h… trente?

 

J’échange un regard avec Jacinthe. J’hésite, mais je finis par plonger ma main dans mes poches et les lui tendre. Julie les prend, me fait un beau sourire. Et les deux filles partent. Et le reste de la soirée… m’a paru long! Disons que ce n’est pas facile d’être focalisé sur son travail lorsqu’on sait que deux filles vous attendent chez vous…

 

Finalement, je finis par feindre de ne pas me sentir bien vers 1 h du matin. Éric, l’autre barman, comme ce n’est pas trop occupé accepte de continuer seul. Dès que je marche sur la rue, je texte immédiatement Jacinthe pour les prévenir de mon avance. Sa réponse apparait quelques secondes plus tard :

— Nous t’attendons.

 

Lorsque j’arrive, je marche dans le salon. Les deux filles sont assises dans mon salon, côte à côte, et elles parlent. Dès qu’elles me voient, elles arrêtent de parler et me regardent avec un sourire coquin.

 

Je m’assois dans le divan en face d’elle. Je leur retourne leur sourire.

— Avant de passer aux choses sérieuses, commence Julie, nous allons d’abord parler des règles.

— J’écoute, dis-je.

— Si tu choisis de venir dans la chambre, tu devras entièrement t’abandonner à nous. Tu devras faire tout, mais vraiment tout, ce qu’on te dit. Si à quelconque moment tu prononces le mot « non », nous respecterons ton choix… mais ce sera la fin. Je me rhabillerai et partirai. Tu es d’accord avec ça?

 

J’hésite… M’abandonner à elles… Qu’est-ce que ça peut bien vouloir dire? ou cacher?… Mais je suis trop curieux… et trop excité…

— D’accord, confirme-je.

— Parfait! répond Julie. Attends-nous ici. Ça va nous prendre quelques minutes pour nous changer.

 

Elles se lèvent lentement et s’enferment dans ma chambre. Je les entends chuchoter. Mais c’est trop distant pour que je puisse comprendre ce qu’elles se disent. Je m’approche alors lentement m’efforçant de ne faire aucun bruit. Je les entends parler faiblement.

— Tu sais que tu as de belles fesses, dit Julie quelques secondes avant que Jacinthe ricane. Elles sont si rondes… Si douce…

— J’arrive toujours pas à croire ce qu’on s’apprête à faire, lui réponds-t-elle. Tu l’as déjà fait avant?

— Oh oui… Mon ex adorait ça! Pis après, je vais m’occuper de toi, dit-elle alors que j’entends ce que je crois être une tape sur les fesses. Et à voir comment tu rougis, continue-t-elle, je vais être ta première fille? Hein?

— Oui, répond Jacinthe timidement.

 

Il n’en fallait pas plus. Mon pantalon devient vraiment trop serré. Je les entends marcher. Je ne prends pas de chance, je retourne me rasseoir sur le divan. Une minute plus tard, je vois finalement les filles sorties de la chambre. Elles portent toutes les deux des déshabillés vraiment sexy. Deux déshabillés en dentelle noir qui épouse les courbes de leur corps.

 

Mes yeux fixent leurs seins. Ceux de ma blonde sont légèrement plus gros, plus ronds. Mais ceux de Julie sont tout autant agréables à regarder.

 

— Tu es prêt? me demande Jacinthe avec un petit sourire.

— Oh oui! dis-je en me levant.

 

Je m’avance vers elles. Jacinthe me prend par la main et elle m’attire vers ma chambre. Julie, elle, passe derrière moi.

 

Elle me place à un mètre de mon lit. Julie se penche et elle lève un peu la couverture. Elle prend rapidement un petit fouet en cuir noir et elle se donne un petit coup dans les main.

 

Les filles s’échangent un regard.

— Déshabille-le, lance Julie.

 

Ma blonde s’avance. Elle commence par déboutonner ma chemise. Elle en profite pour me donner un baiser sur les lèvres. Lorsque ses yeux se dirige vers mon entre-jambes, je la vois sourire. Elle fait descendre la fermeture éclair, défait ma ceinture et elle fait glisser mes jeans.

 

Ses mains caressent mes abdominaux, mes épaules. Elle tourne autour de moi. Je la sens qui caresse mes fesses. Ses doigts étirent l’élastique de mon boxer. Elle prend une pause et elles les tirent vers le bas.

 

Julie, qui se tient toujours devant moi, à quelques mètres, a un petit sourire lorsqu’elle voit ma queue. Elle s’approche, se donne un autre coup de fouet dans les mains.

— Beau morceau, commente-elle.

 

Jacinthe s’éloigne un peu alors que Julie examine mon corps. Elle me touche le ventre, les épaules, les cuisses.

— Tu te tiens en forme et ça parait, commente-t-elle.

 

Je sens son fouet qui frotte sur mes fesses. Elle réapparait dans mon champ de vision. Et je la sens qui agrippe ma queue. Je suis un peu surpris, je sursaute. Elle caresse le manche quelques secondes.

 

Julie se tourne vers ma blonde.

— Suce-le, lui demande-t-elle.

 

Jacinthe se place devant moi. Julie prend un de mes oreillers et le place à mes pieds. Jacinthe s’agenouille lentement. Elle donne un petit bec sur mon gland. Puis je sens sa langue qui s’enroule autour de mon gland. Julie, elle, tourne autour de moi. Elle regarde ma blonde à l’œuvre.

 

Ça dure peut-être une ou deux minutes avant que Julie s’avance vers le lit. Elle soulève un autre coin de ma couverture. Cette fois, c’est une paire de menottes. Elle me les montre quelques instants avec un petit sourire, comme si elle s’attendait à ce que je lui dise non… Mais je lui retourne son sourire et je place mes mains dans mon dos.

 

Elle se place derrière moi et elle me menotte les mains. Elle vérifie que je suis bien solidement attaché. Elle continue de tourner autour de moi alors que Jacinthe continue de me sucer. Jusqu’à ce que finalement, Julie s’agenouille à côté de ma blonde. Jacinthe sort ma queue de sa bouche et elle la lui tend. Elle la suce quelques instants. Puis, je vois sa main qui se place dans le dos de ma blonde.

 

Jacinthe commence à me lécher la base de ma queue alors que Julie continue de s’occuper de mon gland. De voir les deux filles me faire une double fellation est une véritable torture…

 

Les lèvres des filles se touchent. Elles s’embrassent lentement, très sensuellement sur les lèvres. Je peux voir la langue de ma blonde se faire caresser par celle de son amie. Puis, ça devient de plus en plus chaud. Les filles se caressent partout. Ma blonde passe une main dans les cheveux de Julie alors que celle-ci lui caresse les fesses.

 

Lorsque leurs lèvres se séparent, Julie retire le haut du déshabillé de Jacinthe. Elle lui caresse les seins, les lèche quelques secondes. Les filles se lèvent et elles s’embrassent de nouveau… Puis, elles s’arrêtent se tourne vers moi.

— Tu es prête pour la suite? demande Julie à ma blonde.

 

Jacinthe lui répond en lui faisant uniquement un lent mouvement de tête. Julie s’approche du lit. Elle soulève de nouveau un coin de la couverture. Je vois rapidement un dildo noir. Elle le prend et elle le donne à Jacinthe.

 

Mais ce n’est que lorsqu’elle l’a dans les mains que je remarque des sangles. Un strap-on… Elle ne l’a même pas mis que je l’imagine déjà baiser sauvagement son amie. Julie l’aide à l’enfiler, elle serre bien les sangles autour de ses hanches, s’assure que sa « queue » est bien solidement installée. Puis les filles se tournent vers moi…

 

Julie s’approche de moi. Elle se donne des coups de fouet dans les mains.

— À plat ventre sur le lit, me commande-t-elle.

— Quoi?

— Tu veux t’arrêter?

— Heu… Non…

— Alors, à plat ventre, répète-t-elle alors qu’elle me donne un coup de fouet sur les fesses.

 

Je m’avance lentement vers le lit. Julie me pousse alors que je tombe à plat ventre, les jambes encore debout sur le plancher. Je sens qu’elle du lubrifiant sur mes fesses et elle l’étend lentement avec ses doigts entre mes fesses. Son doigt commence à caresser mon anus doucement. Jacinthe me regarde avec un petit sourire, elle s’approche… Et le strap-on, même si je sais qu’il ne fait pas plus de six pouces, il a l’air si gros…

 

Elle me donne quelques doux coups sur les joues.

— Allez… Après la fellation que ta blonde t’a faite… Tu vas pas me dire que tu ne peux pas lui rendre la pareille.

 

J’ouvre la bouche. Elle enfonce sa « queue » dans ma bouche. Elle goûte un peu le caoutchouc, mais c’est négligeable. Comme je ne peux pas vraiment bouger, c’est elle qui bouge les hanches. Sa queue cogne contre l’intérieur de mes joues. Lorsque je lève les yeux vers elle, elle a un gros sourire. Elle aime vraiment ça me voir dans cette position-là…

 

Je deviens un peu plus à l’aise. J’utilise ma langue, fais des bruits de succion. Derrière moi, il y a Julie qui enfonce son petit doigt dans mes fesses… Et surprenamment, ce n’est pas si pire… Même qu’après une minute, je commence à aimer ça. Au bout de quelques minutes, elle change de doigt pour un plus gros. Puis deux…

 

Lorsqu’elle les retire, je la sens qui pose délicatement ses mains sur mes hanches… Puis je sens quelque chose frotter entre mes fesses. Je suis sûre d’une chose… Ce n’est pas un doigt! C’est comme… un autre strap-on! Il fait pression contre mes fesses… Et… et… fuck! Elle m’a déjà pénétré de deux bons pouces.

 

Jacinthe continue de sourire.

— Je te rassure, commence-t-elle. Le sien, c’est un butt-plug. Il est tout petit comparé au mien…

 

Mais de mon point de vue, il m’apparait comme vraiment gros. Lorsque je sens ses cuisses frotter contre les miennes, j’ai l’impression que j’ai douze pouces dans les fesses. Et elle commence à faire des mouvements de va-et-viens. Devant moi, Jacinthe continue de m’enfoncer la sienne dans la bouche.

 

Je commence à m’habituer lorsque Julie se retire. Les filles se font un high-five… Et changent de place. Je sens les douces mains de ma blonde m’agripper les hanches. Elle frotte sa queue entre mes fesses. Je sens Julie qui ajoute une nouvelle couche de lubrifiant. Et fuck! J’ai son « gland » en moi. Je ferme les yeux… J’ai le goût de les arrêter… Mais j’ai tellement envie de voir les filles se caresser, s’embrasser…

 

Jacinthe, elle, est moins, ironiquement, moins douce même si elle est moins expérimentée. En quelques va-et-viens, elle fait entrer toute sa « queue » dans mes fesses. Et elle se donne plus à fond. Lorsque je tourne la tête pour la regarder, je la vois qui embrasse Julie sur la bouche.

 

Lorsque leurs lèvres se séparent, Julie me lance un autre petit sourire coquin. Et là, je me demande… quoi encore? Comment ça peut devenir plus extrême… Elle tourne autour du lit. Elle retire son butt-plug, mais garde la petite culotte en cuir. Elle soulève de nouveau la couverture. Et elle sort un autre dildo… Mais celui-là… Il est surréel. Il est gros. Elle l’insère dans l’anneau entre ses jambes. Pis lorsque je la vois mettre ses deux mains dessus, je comprends qu’il est vraiment gros! Elle n’arrive même pas à le recouvrir ses doigts.

 

Elle m’en donne des coups sur les joues.

— Allez, allez, dit-elle impatiente. Ouvre…

 

Mais je résiste.

— À moins que tu veuilles arrêter ça là, dit-elle avec un sourire.

 

J’ouvre la bouche. Elle n’hésite pas une seconde pour m’enfoncer son gigantesque dildo dans le creux des joues. Elle remplit ma bouche. De l’autre côté, Jacinthe, continue toujours de m’enculer, avec un rythme soutenu. Je l’entends qui halète, pousse de petits soupirs. Puis au bout d’une minute, elle se retire.

 

Je tourne autour du lit. Elle se tient à côté de Julie. Je la vois, les cheveux ébouriffés, ses abdominaux luisant de sueur. Elle s’approche de son amie, elle l’embrasse sur la bouche alors que sa main caresse ses seins.

 

Julie sort sa queue de ma bouche. Elle se déplace vers mon dos. Pis là, j’ai vraiment la chienne. Je suis sûr que ça ne rentre pas. Je m’apprête à leur demande d’arrêter lorsque je sens Julie me prendre les mains et me tirer pour que je me relève. Elle m’amène devant ma blonde.

 

Elle prend ma queue entre ses mains.

— Toujours bandé, hein? lance Julie. T’as aimé ça?

 

Elle la caresse quelques secondes avant de me force à m’agenouiller. Elle se place devant moi. Elle replace ses cheveux et me remet sa grosse queue au visage. Jacinthe s’agenouille à mes côtés. Elle commence à lécher la base. J’ouvre la bouche et je commence à lui lécher le gland. Nous échangeons de rôle quelques fois pendant plusieurs minutes.

 

Lorsque nous nous relevons, ma blonde retire le strap-on qu’elle porte. Julie lui demande de se mettre à quatre pattes sur le lit. Toujours menotté les mains dans le dos, elle m’aide a monter sur le lit et me placer derrière ma blonde. Elle prend ma queue entre ses doigts et la guide dans sa chatte. Une fois bien installée, elle me donne un petit coup de fouet sur les fesses et elle va devant elle et elle lui met son dildo dans la bouche.

 

C’est tellement hot! Jacinthe a vraiment l’air d’aimer ça! J’ai tellement le goût de jouir… Mais je veux tellement venir sur elles alors qu’elles se bouffent la chatte. Je suis obligé de fermer les yeux pour éviter de venir.

 

Finalement, au bout de quelques minutes, ma queue sort par accident de sa chatte. Mais je ne suis plus capable d’en prendre plus. Je me déplace, m’assois contre la tête de lit. Après quelques instants, les filles changent de position. Julie utilise le strap-on pour pénétrer ma blonde. Son dildo est tellement gros qu’elle ne parvient même pas à l’enfoncer au complet en elle. Elle en laisse au moins un bon tiers à l’extérieur.

 

Au bout de quelques minutes, Julie se couche à plat ventre sur le lit… Et elle écarte les jambes de ma blonde. J’étire la tête pour voir. Je la vois qui la lèche lentement. Sa langue disparait entre ses jambes, dans sa chatte et ressort quelques secondes plus tard. Et d’après ses soupirs, elle aime vraiment ça!

 

Et c’est là que je réalise que la vraie torture commence… Parce que j’ai toujours les mains menottées et que je ne peux pas me toucher… Chaque fois que Julie extirpe un soupir à ma blonde, je sens ma queue battre.

 

Julie continue… Pis Jacinthe qui adore ça. Si au début, elle regarde attentivement Julie la lécher, après quelques minutes, elle n’est plus capable. Elle reste couchée, la tête penchée vers l’arrière, à soupirer, se caresser les seins, le ventre.

 

Ses soupirs deviennent de plus en plus rauques. Je sais qu’elle est près de l’orgasme… Puis, finalement, je la vois se tortiller, pousser un long cri aigu. Elle cherche son souffle pendant quelques secondes, puis elle se calme lentement. Après une minute de pause, les filles s’embrassent. Puis, elles tournent la tête en même temps, me regardent, s’approchent lentement. Et elle recommencer à me sucer toutes les deux en même temps.

 

Mais je suis incapable d’en prendre plus! Dix secondes, c’est ce qu’il m’a fallu pour jouir! C’est tellement subit que je n’ai même pas le temps de les prévenir. Ma blonde en prend quelques jets directement dans sa bouche alors que le reste se retrouve sur leurs visages. Les filles me dévisagent un peu, puis elles s’embrassent sur la bouche.

 

Julie commence à se rhabiller alors que Jacinthe sort la clé de mes menottes.

— Et puis? me demande ma blonde. T’as aimé ça?

— J’ai surprenamment aimé ça!

— Je pensais que tu allais nous arrêter dès que tu verrais les strap-ons.

— T’as pris ça comme un pro, commente Julie. C’était ta première fois? me demande-t-elle avec un petit sourire.

— Oui… dis-je lentement alors que Jacinthe me détache finalement. On pourrait remettre ça si tu veux, ajoute-je.

— Je peux revenir, commence Julie. Mais la prochaine fois, c’est lui que tu vas te prendre, continue-t-elle alors qu’elle pointe son plus gros dildo.

 

Ouf… Je le regarde. Et il est vraiment gros! Peut-être pas…

Récit #121 – Semaine de pêche – Partie 3

Lorsque je me lève le lendemain matin, j’ai de la sueur qui me coule au visage. Je vois Phil qui se dirige vers la cuisine. Je le regarde.

— C’est donc ben humide ce matin!, dis-je.

— Ouais, ça arrive…

 

Dix minutes plus tard, tous les gars finissent par se réveiller. On se retrouve sur la table à pique-nique à l’extérieur. Les gars sont tous torse nu… Et Marc ne porte que ses boxers.

— Est-ce qu’on va pêcher aujourd’hui? demande Alex.

— Pas si c’est aussi chaud, commente Éric.

— Phil, tu sais si ça risque de se corriger pendant la journée?

— J’en doute…

— On prend un jour de break aujourd’hui?

— Ouais, on pourrait… Tout le monde est d’accord.

 

Tous les gars se regardent, hochent la tête.

— OK…

— Heille, les gars, lance Alex. Je savais que ça nous servirait. J’ai amené mon jeu de Monopoly!

— Monopoly… dis Éric avec dédain. T’a rien de meilleur?

— C’est un classique!

 

Je les laisse discuter. Je prends la direction de la cuisine. Je cherche de quoi qui ne me permettait de faire à déjeuner sans allumer le poêle… Mais je ne trouve rien. On a presque pu de lait, et pas de céréales… Alors je sors les œufs et commence à faire une omelette. Mais après seulement quelques minutes, il commence à faire chaud… Trop chaud! Et je décide de tout simplement retirer mon chandail et de ne porter que mon soutien-gorge. Bien entendu, lorsque j’apporte le déjeuner au gars, j’ai le droit à des « Woah! » et un peu plus de regards que d’habitude.

 

Après le déjeuner, il fait tellement chaud que les gars n’ont le goût de rien faire… Moi non plus… On reste étendus sur l’herbe à l’ombre d’un arbre, le seul endroit qui est un tant soit peu confortable compte tenu de l’extrême température. Après quelques heures de discussions sur plusieurs sujets tous les plus insignifiants que les autres, j’ai un flash. Je me lève.

— Je vais me baigner dans le lac! dis-je alors que je commence à me déshabiller.

 

J’enlève mon pantalon, je dégrafe mon soutien-gorge alors que je suis dos à eux.

— Attends, dit Phil. Et si il y avait des sangsues?

 

J’arrête sec de me déshabiller. Je me tourne un peu vers eux, une main cachant mes seins. Tout le monde se tourne vers Alex, le nerd du groupe.

— Nah, il n’y a pas de sangsue… J’en suis sûre à 99 %.

 

Je m’apprête à retirer ma petite culotte. Je fige de nouveau.

— Donc, il y a une infime chance qu’il y en ait?

— Je suis sûre de mon coup, ajoute-t-il… À 97 %!

— Heille, t’avais pas dit 99 %?

— Non… J’ai dit 95 % depuis le début! Les sangsues au Québec se nourrissent essentiellement de batraciens… Vous en avez vu? Non? Donc, pas de sangsues.

 

Je baisse ma petite culotte et je pars à courir vers le lac. Je me lance à l’eau et je commence à nager. Je vois les gars qui se lèvent qui se déshabillent aussi et qui s’avancent vers le lac. Une fois tout le monde saucé, je commence à les arroser. Les gars me pourchassent dans l’eau… Au début, je me rends compte que les gars en profitent pour regarder mes seins, mais ils finissent par s’y faire. Et pendant un bon deux heures, nous jouons dans l’eau. J’en viens même à oublier que nous sommes tous nus.

 

Lorsque nous sortons de l’eau, les gars sont assez gentils pour se tourner pendant que je prends ma serviette et que je m’habille. Nous passons le reste de la journée à végéter autour du chalet. Il fait trop chaud pour faire quoi que ce soit…

 

Vers 4 h, alors que je suis assise à la table à pique-nique, nous entendons une voiture s’approcher. Je lève le regard. Et je la reconnais. La voiture de mon ex.

— Oh shit! dis-je avec une voix étouffée que seul Alex et Marc peuvent entendre. C’est mon ex!

 

Je cours accroupi jusqu’au chalet et entre doucement sans faire de bruit. Je croise Éric, je mets rapidement un doigt sur ma bouche pour éviter qu’il ne trahisse ma présence. Je décide d’aller me cacher dans la cuisine, m’assois sur le sol. Par la fenêtre juste au-dessus de ma tête, j’entends des bruits de pas.

— Est-ce qu’on peut t’aider? demande Phil à haute voix.

— Désolé de vous déranger, lance mon ex. Je suis à la recherche d’une fille qui s’est perdue dans les environs.

 

Je l’entends qui déplie une feuille de papier.

— Désolé. Jamais vu, répond Phil.

 

Il demande à Alex et Marc qui lui répète la même chose. Il s’approche du chalet. Éric ouvre la porte. J’entends les souliers de mon ex qui foule le plancher.

— Ça ne me dit rien, dit Éric.

— Merci, dit-il en soupirant.

 

Il s’éloigne de quelques pas.

— Oh, ça dérange si je vais aux toilettes?

— Non, non. Deuxième porte à gauche, répond Éric.

 

Il marche vers la salle de bain. Puis c’est le silence complet. Personne ne dit un mot. Je lève un peu la tête au-dessus du comptoir, échange un regard avec Éric qui me fait signe de rester cachée. Mon ex sort de la chambre de bain, marche vers la porte. Mais il s’arrête.

— Il y a un problème? demande Éric.

— Non, non, répond-il.

 

Il marche vers l’entrée. Passe la porte. Je reprends ma respiration. Il marche dans la terre battue.

 

Mon téléphone sonne.

 

Je l’entends crier :

— Je le savais!

 

Je me lève rapidement. Courts vers la porte d’entrer, me retrouve sur la galerie. Je le vois qui court vers moi.

— Fuck!

 

Je saute par-dessus la rampe. La seule chose qui me passe par la tête, c’est que ma seule chance de le perdre, c’est de courir dans les bois. Je cours entre les arbres, changeant de direction au hasard. Mais après deux minutes de sprint intense, j’ai besoin de rependre mon souffle. Ça me soulage d’entendre Phil, Marc et les autres qui lui court après. Mais les pas se trop de moi, je me relève et recommence à sourire. Je l’entends qui sacre après moi. Et puis, j’entends un son sourd. Puis, ça devient silencieux.

 

J’arrête de courir. Regarde derrière moi. Je vois quatre gars qui encerclent quelque chose sur le sol.

— Il a glissé et il s’est frappé la tête sur un tronc d’arbre, me lance Phil.

 

Je m’approche lentement.

— Faites attention, dis-je. Il est quand même costaud…

 

Phil, qui est infirmier, s’approche de lui, lui ouvre une paupière. Il regarde et ausculte sa tête, touche son cou.

— C’est beau. On peut le déplacer. Il est juste un peu sonné. Rien de plus.

 

Ils s’y prennent tous les quatre pour le trainer jusqu’au chalet. Nous arrivons, l’installons sur une chaise.

— Attachons-le, suggère Phil. J’ai aucune idée dans quel état d’esprit il se sera lorsqu’il se réveillera.

 

Alex court vers une des chaloupes, rapporte une corde et l’attache solidement.

 

C’est à ce moment-là que ma pression commence à redescendre. Je me passe la main dans le cou pour me rendre compte que je suis littéralement couverte de sueur. Ça me pisse des cheveux, dans le bas du dos. J’ai des ronds de sueurs sur mes jeans. Je marche lentement vers la cuisine, me serre un verre d’eau bien froid. Retourne dans le salon et je le lui lance au visage. Il sursaute sur place, relève la tête.

— Pourquoi t’es pas allé t’amuser avec ta pute?

— Heille, fuck you! répond-il.

 

Phil se place devant lui.

— Tu l’insultes encore une fois, pis je te garantis que tu vas le regretter, dit-il avec un ton grave.

 

Il continue de respirer fort. Alex s’assoit sur le divan. Le regarde dans les yeux.

— Comment t’as su qu’elle était ici?

— Le vidéo et la facture.

— Quel vidéo? Quelle facture? demande Alex.

— Lequel de vous autres qui l’a fourrée?

— Réponds, insiste Phil.

 

Il crache sur le sol.

— Mardi matin. Elle m’a téléphoné. Elle a sucé un bat à la fin de l’appel. J’ai reconnu le foyer…

 

Les gars se tournent vers moi.

— J’ai aucune idée de quoi il parle, dis-je.

— Ah oui, hein? Tu veux jouer la conne? J’ai laissé mon téléphone tomber près de mon char. Allez le chercher…

 

Dave part et revient quelques instants plus tard avec le téléphone.

— 2-0-9-7-5-4, lance mon ex.

 

Le téléphone se déverrouille.

— Allez voir dans les photos. J’ai pris un screenshot.

 

La photo saute aux yeux dans les petites vignettes. Dave clique dessus. Et il n’y a aucun doute. C’est bien moi… En pleine action, un pénis dans ma bouche.

— Pas de doute, c’est bien notre foyer… déduit Alex en comparant la photo et notre chalet.

— Bon, okay… dis-je avec désinvolture. J’ai voulu prendre une petite revanche, le faire chier un peu.

— Mais on a ramassé Myriam à 90 km d’ici… Comment tu savais que c’était dans cette région?

— Swipe, répond-il.

 

Alex prend le téléphone et change de photo. On peut y voir deux boîtes de condom.

— La facture dans le coin en haut à droite. Il y a l’adresse d’une pharmacie. Ça prends pas un génie pour faire une déduction. Des chalets en bois ronds à courte distance de cette pharmacie-là, il y a pas des centaines. J’ai juste fait le tour…

— Bien joué… lui dis-je. Et qu’est-ce que tu espérais en me retrouvant?

— Te ramener à la maison.

— Hahaha… Fuck you! Jamais de la vie.

— Tu reviens à la maison… Sinon je le dis à tout le monde. Tes collègues, tes parents, tes amis que t’es une véritable slut. Que je t’ai retrouvé dans un petit chalet miteux avec cinq gars que tu baisais… Blanche neige et les cinq bites! Je vais même leur montrer la photo comme preuve.

— Efface-là, demande-je à Alex.

— Hahaha… Tu penses que je suis niaiseux. Je l’ai déjà envoyé dans le cloud. Prêt à publier partout sur le web. Toute la planète va te voir…

 

Phil grossit ses muscles, fait un pas vers lui. Je pose une main sur son épaule.

— On réussira pas à lui faire cracher son mot de passe.

 

Je m’avance devant mon ex. Je me tourne vers la gars et je déboutonne mon jeans.

— Qu’est-ce que tu fais? me demande Alex.

— Tout le monde à poil! lance-je.

— Quoi? répondent Alex et Dave.

— Tout le monde à poil!, dis-je en levant le ton alors que je pousse mon jeans plus loin et que je commence à détacher mon soutien-gorge. Si j’ai à vivre avec la rumeur que j’ai fait un gangbang avec cinq gars… J’aimerais au moins avoir vécu la partie le fun!

— Grosse salope! lance mon ex.

 

Je me tourne vers lui, retire ma petite culotte et lui enfonce dans la bouche pour le faire taire. Je me retourne, les gars sont tous pétrifiés, immobiles.

— Tout le monde à poil! lance-je de nouveau.

 

Je vois qu’ils hésitent… Je m’agenouille devant Marc et je tire son boxer vers le sol. Sa queue est déjà à moitié bandée. Je prends rapidement et commence à la lécher. Il devient dur rapidement. Lorsque je la retire de ma bouche, je regarde les autres. « À poil! » Je la remets dans ma bouche et je fais signe aux gars de se rapprocher. Éric et Dave sont les premiers à retirer leur boxer. Ils s’approchent. Je saisis leurs queues, une dans chaque main, et je commence à les caresser alors que je continue de sucer Marc.

 

J’entends les paroles inaudibles de mon ex derrière moi. Il m’insulte probablement de nouveau, mais je m’en fous. Je change de queue. J’essaie celle que je n’ai pas encore goûtée, celle de Dave. Elle est longue et fine. Je vois une quatrième queue apparaître dans ma vision périphérique. Je l’attrape, la caresse. La chaise derrière moi remue, fait craquer le plancher alors que mon ex se débat. Je me tourne vers lui.

— Quoi? Tu ne vois pas assez bien?

 

Je mets les mains derrière les cuisses de Alex, l’attire vers moi, me place perpendiculairement à mon ex, et je commence à la sucer. J’y vais lentement, savoure bien l’instant. Alors que je remonte mes mains sur ses fesses, je laisse sa queue entrer plus profondément dans ma gorge, jusqu’à la faire disparaître complètement. Lorsque je tire la tête vers l’arrière, je me cogne contre une autre queue. Je me tourne, la lèche, la suce à son tour.

 

Je me relève, je place les mains des gars sur mon corps, je leur demande de me caresser. Les dix mains commencent à me parcourir le corps, glisser sur lui. Mes seins, mes fesses, mon ventre, mes jambes. Je sens même un doigt frôler mes lèvres intimes. Dès que j’ai des bouches à ma portée, je les embrasse sur la bouche. Je sens une queue s’enfoncer dans le creux de mon dos. Je me tourne vers Éric, je lui demande d’aller chercher les condoms. Il part et revient quelques instants plus tard. Il m’en tend un. Je m’agenouille, regarde toutes les queues, et j’en choisis une. La plus grosse. Celle de Marc. Je le suce un peu alors que j’ouvre l’emballage. Puis je l’installe délicatement sur le membre. Je me relève, m’avance vers mon ex. Je pose mes deux mains sur chaque bras de la chaise, me penche. Marc comprend le message. Il se place derrière moi.

 

Alors qu’il fait pression pour me pénétrer, mon visage se retrouve à quelques centimètres de celui de mon ex. Je pousse un long soupir alors que la queue de Marc s’enfonce en moi.

— Tu sais quoi…, dis-je. Dis-le à tout le monde pour le gangbang… Je vais même pas le nier. On peut même prendre de photos si tu veux… Moi, je vais dire à tout le monde que tu étais censé participer, que c’était ton idée… Pis lorsque tu t’es retrouvé face à cinq queues, toutes plus grosses que la tienne, ta petite bite est la seule qui a pas levée. Hein? Comment tu aimes ma version?

 

Il marmonne alors que je fais signe à un des gars de s’approcher. Je me tourne légèrement et je commence à sucer cette queue. Je ne regarde même pas à qui elle appartient. Je la suce simplement à quelques centimètres de son visage. Après une bonne minute, je la relâche. Je me tourne vers Phil.

— Filme.

— Quoi?

— Filme-nous. Si tu le fais, je réalise n’importe lequel de tes fantasmes.

 

Ça le convainc. Il sort son téléphone de ses pantalons qui traine. Et il commence à nous filmer alors que je m’éloigne de mon ex. Je prends un des coussins du divan, le mets sur le sol devant moi. Je m’agenouille dessus, me mets à quatre pattes. Marc m’agrippe les hanches. Il me pénètre de nouveau. Éric se place devant moi. Je commence à le sucer. Je sens Alex qui attache mes cheveux. Ça prend une minute avant que les gars s’harmonisent, mais lorsqu’ils y parviennent, c’est vraiment le nirvana. J’ai les deux qui entrent et sortent en même temps de ma bouche et de ma chatte.

 

Autour de moi, j’entends quelqu’un qui déballe un autre condom. Alex vient remplacer Éric, alors que Dave se place derrière moi. Mais après quelques minutes, j’ai envie de plus… intense. Je me lève un peu la tête. Je regarde Alex.

— Va dans la cuisine. Prends de l’huile d’olive… Ne discute pas! ajoute-je en le voyant ouvrir la bouche.

 

Il revient avec la bouteille dans les mains.

— Vous allez me doigter délicatement le cul, dis-je au gars.

 

Je me tourne vers mon ex.

— Oui, oui. Je vais me les prendre tous dans les fesses. Je sais ce que tu penses… Que je n’aime pas l’anal… Mais je t’ai menti… J’adore ça! Quand c’est bien fait… Tu avais juste pas le tour…

 

Alex enduit sa main d’huile et il commence à me doigter les fesses alors que je retire le condom que Marc porte et le suce de nouveau. La sensation du doigt me surprend un peu au début, mais je finis par y prendre plaisir. Lorsque j’ai la bouche libre, je regarde Marc et je lui dis : « Toi, vu que tu as la plus grosse, je te garde pour la fin. »

 

Derrière moi, les gars continuent de me doigter les fesses à tour de rôle. Ils sont presque capables d’en mettre trois. Phil s’approche de mon visage avec son téléphone :

— Prête pour la vraie affaire?

— Oh que oui!

 

Les doigts se retirent et je sens une première queue me fouetter les fesses. Je reçois quelque goutte d’huile dans le creux du dos, ils me l’étendent un peu et puis je sens un gland tout dur, tout chaud faire pression. Et puis, je sens un petit coup, lorsque le gland entre en moi. Il prend une petite pause, puis il recommence à s’enfoncer en moi. J’halète un peu… Il continue de s’enfoncer, de me pénétrer… Jusqu’à ce que je sente ses couilles toucher le bas de mes fesses. Il commence à aller et venir. D’abord lentement, mais il prend de la vitesse.

 

Ça m’excite doublement de savoir que mon ex voit tout ça. Je me tourne vers lui et je lui souris. Je vois Phil qui me filme le visage. Mais il s’éloigne un peu pour aller faire un gros plan de la queue d’Alex qui me pénètre les fesses. Éric prend sa place quelques minutes plus tard. Alors qu’il atteint une cadence, Phil s’approche de nouveau de moi.

— Willing d’essayer la double pénétration?

 Oh my God Oui!

 

Les gars se replacent autour de moi. Dave se couche sur le sol, Éric de place derrière moi. Je commence par chevaucher Dave. Lorsque je suis bien confortable, je fais signe à mon autre étalon de se rapprocher. Ce qu’il fait doucement. Il se place lentement entre mes fesses, puis il entre. Je vois l’expression sur le visage de Dave changer littéralement.

— Oh shit… Je la… sens… moi aussi… chuchote-t-il.

 

Les deux queues en moi… C’est tellement bon… tellement pervers! Éric s’immobilise lorsque sa queue est entièrement en moi. Ils apprivoisent la sensation. Je les encourage.

— Allez-y. Bouger donc un peu!

 

Puis, ils bougent en même temps. Et la sensation est vraiment intense, vraiment surprenante. Les gars aussi y prennent plaisir. La preuve, ils sont loin de débander. En fait, ils sont tellement durs que ça me surprend qu’ils n’aient pas encore joui. Lorsque je lève la tête, je vois Marc et Alex qui nous regarde la bouche ouverte. Je leur fais signe de s’approcher de moi. J’agrippe leurs queues, je les caresse, je les suce… Mais je suis incapable de le faire trop longtemps. J’ai soudainement des papillons dans le bas du ventre qui m’envahisse. Je roule les yeux, je lâche des cris rauques… Et je cesse de respirer deux secondes… Puis c’est l’orgasme!

 

Mes cris résonnent dans le chalet. Les gars se retirent lentement. Dès qu’ils sont hors de moi, je me roule sur le sol, reprends mon souffle. Je finis par me redresser, m’accoter sur le bord du divan. Je continue d’haleter.

— Gâtez-vous les gars. N’importe où sauf dans les yeux, leur dis-je avec une voix faible.

 

Les queues s’approchent de moi. J’ai le goût de les toucher, de les sentir entre mes doigts, mais je n’ai juste plus d’énergie. Les gars empoignent leurs membres respectifs et se masturbent près de mon visage. Phil me tourne toujours autour, filmant avec son téléphone. C’est lorsque je lui fais un petit sourire que le premier jet m’éclate au visage. Je sursaute brièvement. Le jet m’a touché le visage en diagonale, commençant par ma joue, remontant mon nez, mon front, se terminant sur mes cheveux. Quelques secondes plus tard, je sens un autre jet, mais cette fois, c’est mes seins et mon ventre qui sont atteints. Puis j’en reçois un autre jet sur le menton… Puis, le quatrième dans les cheveux. Les gars s’écartent. Phil s’approche, s’accroupit. Il me filme le visage, le corps alors que je lui souris. Puis, il arrête de filmer.

 

Phil nous apporte tous de petites bouteilles d’eau.

— Qu’est-ce qu’on va faire de lui? demande Alex en regardant mon ex.

— Je m’en occupe, dis-je.

 

Je me lève lentement, m’approche de lui. Je passe ma main sur mes seins, et je caresse sa joue avec mes doigts dégoulinants de sperme et de sueur. Je vais derrière la chaise.

— Chef Boyardee, dis-je mi-sourire en regardant Phil.

 

Je me penche et commence à défaire les nœuds qui retiennent ses mains. Les gars sursautent alors qu’ils le voient se levé.

— Les gars… J’ai un aveu à vous faire… Tout ce qui s’est passé cette semaine… Ben c’était un scénario.

 

Les gars sont médusés.

— Tu veux dire que c’était pas ton ex? demande Alex.

— Mon ex… Non… Il est toujours mon chum, dis-je en l’embrassant sur la bouche. On ne s’est jamais chicané…

— Je le savais! lance Alex.

— Et qui est mon complice? lui demande-je.

— Phil! répond Alex en se tournant vers lui. C’est lui qui conduisait quand on t’a ramassé.

— Et c’est lui qui devait emmener l’eau le premier jour qu’on a pêché, complète Marc. Et qui a insisté pour qu’on garde notre spot!

— Ça à quel rapport? demande Alex.

— La photo sur le téléphone, dis-je. C’était sa queue… Quand il est venu chercher l’eau l’autre jour, je me suis gâtée…

— J’ai une autre question, commence Alex. Pourquoi?

— C’est pour vivre nos fantasmes, commence-je. Les miens, vous les devinez : Gangbang et double pénétration. Les siens, dis-je me collant sur mon chum, il aime me voir avec d’autres hommes, me voir les baiser, les faire jouir alors qu’il me regarde. Et il aime ça que je l’humilie, que je lui résiste. Alors Phil nous a écrit ce scénario… Et on lui a demandé de ne pas vous mettre au courant… C’est plus excitant de même. Non? demande-je avec un petit sourire malicieux.

 

Alex se lève. Il se tourne vers Phil.

— Merci bro. Je vais m’en rappeler longtemps!

— Merci, rajoute timidement les trois autres gars.

Récit #94 – La plug anale

Récit #94 – La plug anale

Elle m’en demande toujours plus. La satisfaire est de plus en plus difficile. Mais ce soir je vais me surpasser. J’ai prévu de quoi qui devrait la mettre KO. Reste à voir si elle va se laisser faire…

Je lui demande de se faire belle. Elle a choisi un déshabillé très sexy, il est bleu et ne cache que l’essentiel. Elle me semble nerveuse.

– Tu es belle et tu vas aimer, je te le promets.

Je la couche sur le dos dans le lit, lui remonte une jambe pour pouvoir lui attaché la cheville au poignet. Je fais la même chose avec l’autre jambe. Elle est toute ouverte à moi. Elle me regarde avec des yeux qui s’interrogent. Elle est mieux de ne pas voir, je lui place le bandeau sur les yeux. Je sors mon matériel, plume, lubrifiant, dildo, plug anale et moi. Je vais passer à l’action et prendre mon pied.

Je caresse sa peau de la plume pour éveiller son corps à ce qui va suivre. Quand je vois les frissons la parcourir, je me penche pour manger sa chatte chaude et humide tout en lui caressant les seins, que je pince entre mes doigts. Je les sens durcir, je la sens vibrer. Je ne veux pas qu’elle jouisse toute suite, je veux qu’elle explose.

Je prends la plug anale que je lui entre dans la bouche.

  • Suce, lui dis-je.

Elle le fait si bien que j’ai le goût de lui mettre ma queue dans la bouche. Je retire l’objet de sa bouche et lui entre dans son petit trou, doucement mais fermement. Elle se tortille les fesses et je ne peux faire autrement que de lui donner 2-3 tapes dessus. Les pensées les plus perverses traversent mon esprit, dieu qu’elle me fait bandé cette garce.

Je la prends par les cuisses pour la tirer fermement sur le rebord du lit…. Un petit cri de surprise s’échappe de ses lèvres, l’effet de surprise fonctionne! Maintenant debout devant ce spectacle, je la pénètre doucement. Je sens bien que la plug rend le tout plus serrer…que c’est jouissif. Je m’agrippe a ses cuisses pour entrer profondément en elle. Je vois qu’elle aime ça et moi aussi…  Je la pilonne du mieux que je peux. C’est pas le moment de lâcher la sauce! Pas toute suite, j’ai d’autre plan. Car ce soir, c’est le grand soir!

Je me retire et joue avec la plug, l’entrant et la sortant de son anus qui s’ouvre à moi. Je prends le lubrifiant et j’en mets partout sur sa chatte et sur son anus. D’une main je lui roule la bille et de l’autre je joue avec son cul. Elle se tortille encore plus, l’effet recherché approche. Je suis à genoux et j’ai la plus belle vue du monde. Son sexe est ouvert devant moi et son cul aussi. J’attrape le dildo (qui était alors réserver qu’à sa chatte) et le dirige vers son cul qu’elle accepte mieux que je le croyais.

J’entre 2 doigts dans sa chatte et le dido dans son cul. Elle réussit, je ne sais comment à défaire sa main droite de ses liens et commence à se masturber. Je retire mes doigts de sa chatte et fais faire des va-et-vient à mon partenaire de plus en plus vite. Ses jambes tremblent et comme j’approche ma bouche pour la lécher, elle jouit. Un jet puissant sort de cette jouissance, il m’asperge le visage, j’en ai la bouche pleine. C’est bon, c’est doux, c’est chaud. Je ne peux tout prendre tellement que je suis inondé. Je vais lécher à la source, ce qui continue de s’écouler au rythme de ses spasmes. Je retire le dido doucement et vais enlever le bandeau des yeux de ma partenaire. Elle me semble endormie. Mais moi je n’ai pas terminé. Toute fière de mon coup, j’enfonce mon membre dans sa chatte inondée et donne tout ce que j’ai. Ma partenaire ouvre les yeux et de sa main libre me griffe le dos quand elle jouit encore et que son liquide coule le long de mes jambes. La voir ainsi en état semi consciente, presque en convulsion, me fait finalement jouir, confiant d’avoir fait un coup de circuit et m’effondre à ces côté. Je détache son autre main. Elle se tourne vers moi et semble sombré dans le sommeil. Enfin j’ai atteint mon but, j’ai eu le dessus. Elle ouvre les yeux et me dit: encore svp
Mc

Récit #92 – Le camping au Mont-Tremblant

Pendant près d’un an, j’ai fréquenté deux filles extraordinaires, avec lesquelles j’ai fait des trip à trois dans toutes sortes d’endroits insolites. Comme j’ai toujours été un amoureux du camping sauvage, les filles ont un jour voulu venir en faire avec moi. Je sais que ça paraît cliché, mais j’ai dû dire aux filles que ce n’était pas nécessaire d’apporter le séchoir, ni de souliers propres, en fait pas de sacoche.

J’avais une familiale Volvo et malgré l’immense espace, la voiture était pleine à craquer. Bref. Nous sommes arrivés à Mont Tremblant dans l’après-midi et avons commencé immédiatement à monter la tente. Comme il faisait très chaud, nous nous sommes mis complètement à poil, de toute façon, ou nous étions il n’y avait personne. Même si j’avais déjà vu Carole et Sylvia nues, je bandais à chaque fois. Elles étaient tellement féminines, des courbes incroyables, des seins parfaits, des fesses comme je les aimais. Elles dépendaient de moi pour tout dans le bois. Elles me faisaient rire lorsqu’elles n’arrivaient pas à dormir la nuit, car elles entendaient du bruit dehors. Elles croyaient à chaque fois qu’un ours allait nous attaquer.

Le soir venu, j’ai allumé un feu et aussitôt elles sont approchées du feu, pour ne plus bouger. Les nuits sont froides en camping, même en été. J’ai apporté un sac de couchage et installé devant le feu. Carole s’y coucha aussitôt et demanda à Sylvia de la rejoindre. Elles se sont caressées, embrassées et se sont mises toutes nues. Elles m’ont demandé de ne pas intervenir, de résister. À un moment donné, elles se sont mises en position 69, j’étais tellement excité de voir ces deux belles jeunes filles, j’ai alors réalisé à quel point j’étais chanceux, que nous en avions fait du chemin ensemble, à quel point notre sexualité était épanouie.

Je me masturbais doucement et j’étais prêt à sauter dans l’arène. Les filles m’ont demandé de me retenir jusqu’au lendemain. Ça été difficile, mais j’ai accepté. Comme nous avions mis les 3 sacs de couchage ensemble, nous nous sommes couchés tout nus. J’étais bandé très dur et comme Sylvia était placé en cuillère, il m’était difficile de ne pas la pénétrer, mais bon j’ai résisté.

Le lendemain, aussitôt qu’il a fait assez chaud, nous nous sommes encore mis tout nus, avons joué au badminton, frisbee et aux cartes. Quand elles allaient faire pipi, elles y allaient toujours à deux, se tenaient par la main et regardaient toujours par terre, au cas où une bibitte leur sauterait dessus. C’était marrant. Carole me dit que je faisais pitié car je n’avais pas baisé la veille. Elle s’est installée à plat ventre sur la table de piquenique, a écarté les jambes et m’a demandé de la manger, pas de pénétration.

Je me suis approché, j’ai senti son sexe et son odeur me fit bander davantage. J’ai commencé par des petits becs bruyants, des coups de langue et parfois j’écrasais mon visage au complet sur sa vulve. J’adore faire cela. J’étais incapable d’arrêter. Sylvia a pris la même position et demanda la même chose. Pendant qu’elles s’embrassaient, j’ai remarqué une chaloupe avec un homme qui pêchait. Il a pagayé aussitôt derrière un buisson pour nous regarder. Il a regardé de tous côtés pour s’assurer d’être tout seul et a sorti son pénis. Je faisais semblant de ne pas le voir et ne dit rien aux filles. Je passais d’une fille à l’autre et ça m’excitait de nous donner en spectacle à cet inconnu.

J’ai alors présenté mon pénis à sucer, pendant que l’une me suçait, l’autre s’occupait de mes testicules, de mes fesses, de mon anus (les filles aimaient me lécher l’anus). Pendant ce temps, l’homme se masturbait plus vite tout en regardant à droite et à gauche. Carole me demanda de la pénétrer à fond, car ça la chatouillait à l’intérieur et avait besoin de mon pénis pour la calmer. Sylvia la mouilla avant avec sa bouche et plaça mon pénis juste à l’entrée de sa vulve.

Je faisais exprès de rentrer seulement mon gland et attendre qu’elle me supplie d’y aller à fond, car à chaque fois, Carole devenait impatiente et utilisait des mots crus en gémissant, j’adorais cela. Je la tenais par les hanches et je la pénétrais à fond, Carole criait tellement fort que l’homme l’entendait, car sur le bord du lac, les sons voyagent très loin. Carole se cramait après la table tout en repoussant son cul pour une pénétration encore plus profonde, c’était impossible d’aller plus loin. De temps à autre, Sylvia retirait mon pénis pour le déguster en gémissant.

Elle se plaça sur le dos juste devant Carole pour un cunnilingus. Je me retenais pour ne pas jouir, même si c’était très difficile, j’ai alors remarqué que l’homme avait éjaculé, car il s’essuyait la main. J’ai continué de la pénétrer tout en lui donnant la fessée et en lui chatouillant l’anus. Et là ce fût la surprise, Carole me demanda de la sodomiser, c’était une première. Sylvia est venue se placer derrière Carole, a caressé son anus, léché et sodomisé avec un vibrateur anal, que j’avais jamais vu et est apparu comme par magie.

Décidément les filles avaient tout planifiées. Sylvia a placé mon pénis et j’ai commencé à la pénétrer doucement, très lentement et c’était exquis. Carole au début était inquiète et je la comprends, car mon pénis est assez gros. C’est drôle mais cette fois-ci, Carole jouissait différemment, c’était plus animal, plus profond, plus lentement comme si elle se retenait. Sylvia me demanda le même traitement. Le pauvre monsieur avait recommencé à se branler.

Je n’étais plus capable de me retenir et Sylvia m’a demandé de venir à l’intérieur de son cul. C’était complètement fou, j’avais éjaculé dans le cul de Sylvia et j’étais encore bandé et j’en voulais encore. Carole s’approcha du cul de Sylvia et prit une photo instantanée avec son Polaroïd. On y voit mon sperme sortir et couler le long de ses cuisses. Carole s’est approchée de moi, inspecta mon pénis et le prit dans sa bouche et me demanda de la sodomiser à nouveau. Au bout de quelques minutes, j’ai joui à nouveau dans ce cul incroyable de beauté. Que j’admirais ces filles et les trouvaient tellement belles. Malgré la sodomie, tout s’est fait avec tellement de douceur.

Quand j’ai regardé dans la direction de l’homme, il était déjà parti. De toute l’après-midi, les filles ont pris du soleil pendant que je lisais. Je me suis levé pour aller me chercher un verre de vin, lorsque je vis un homme s’approcher. Il fit semblant de s’être trompé de chemin, mais ne semblait pas pressé de partir. Les filles s’étaient assises, le menton sur le genou et les mains cachant les seins. Moi j’étais nu comme un ver et parfois son regard se dirigeait vers mon pénis. Je lui ai dit que nous partions seulement le lendemain. Le soir, nous nous sommes encore caressés devant le feu et je suis sûr que l’homme n’était pas très loin. J’ai encore la photo, jaunie par le temps, mais le simple fait de regarder la photo, me fait revenir dans le temps et je revis encore cette fin de semaine incroyable de sexe.

Récit #87 – Dessert sur le capot

Je me regarde une énième fois dans le grand miroir dans ma chambre. Est-ce que j’en ai trop fait ? Me semble que non. Et si oui ? Je me précipite pour me changer encore. Puis je m’arrête d’un coup sec. Te connaissant, je crois que tu aimerais. Je crois ? Je me remémore certaines paroles qu’on s’est déjà échangées… Non, je ne crois pas. J’en suis même sûre.

Je décide de t’appeler en jetant un nouveau coup d’œil sur mon reflet,

— Salut ! m’as-tu dit en me répondant.

— Hey ! Tu es rendu où ?

— Je viens tout juste d’arriver en ville… Es-tu prête ?

— Oui. Tu voulais venir me chercher ou je me débrouillais ?

— Ben je vais venir te chercher, Alex.

— D’accord. Je descends tout de suite.

— Très bien, je suis rendu aux lumières. À tout de suite.

On raccroche en même temps. Mon cœur battait fort. Comme à chaque fois.

Je sors dehors, une petite veste sur les épaules. C’est l’été, mais le vent de ce soir est frais. A chaque coup de vent, je me mets à frissonner. Et mes seins à pointer. Je ressers mes bras autour de moi en voyant ton véhicule approcher de moi. J’ouvre la porte et de monte sur le siège passager.

— Bonsoir !

— Re-salut ! Tu es belle ce soir.

— Merci, t’ai-je répondu en rougissant.

— Alors, on allait où ? Tu disais avoir une idée du resto pour souper.

— Casa Grecque. Suis mes indications et on va y arriver en un seul morceau.

Du moins c’est ce que je pensais. Mais j’étais déconcentrée de la route. Ton parfum venait chatouiller mes narines… et Dieu sait à quel point j’adore sentir le parfum d’un homme…

Au bout de quelques minutes, on arrive enfin dans le stationnement du restaurant. Il était presque vide à l’heure qu’il était. On sort de l’auto et je fais le tour pour te rejoindre. On part en direction de la porte du resto, l’un contre l’autre, ou presque. J’adorais sentir la chaleur de ton corps contre le mien… et de délicieux frissons ont parcourus ma peau à nouveau.

Une fois installés à une table, on se met à jaser de nos vies respectives. Bien qu’on parlait pratiquement à tous les jours, les échanges verbaux étaient différents des échanges écrits. Et on parlait d’une tonne de sujets différents.

D’un geste anodin, ma main se dépose derrière mon cou. Je te regarde dans les yeux, alors que ma main descend lentement pour aller frôler la naissance de mes seins. Ma petite camisole noire dévoilait le haut de ma poitrine et laissait entrevoir par moment le tissu rouge de mon soutien-gorge. Par moment, ma bretelle glissait sur mon épaule. D’un geste nonchalant et en continuant de te parler et de te regarder, je la remontais.

Je continue notre conversation, comme si de rien n’était. Tu me réponds en gigotant un peu par moment. Alors, sans que tu t’y attendes, mon pied frôle ton tibia. Tu me regarde, bien surpris… mais content de cette pointe d’audace de ma part. Je décide de croiser les bras sur ma poitrine… Ma camisole qui en dévoile déjà beaucoup, t’en montre davantage avec mes seins remontés ainsi.

— Je dois aller à la toilette, tu m’attends une minute ?

Tu hoches la tête avec un demi-sourire. Coquin…

J’arrive dans la pièce. Une femme est en train de se laver les mains. J’entre dans la première cabine libre et je me mets à la tâche. Puis, un éclair de génie me prend… Hummm… Oui, pourquoi pas ?

Je retire mon jeans puis ma petite culotte de dentelle, qui était légèrement trempée d’excitation. Je remonte mes pantalons en glissant ma culotte dans ma poche, un large sourire aux lèvres. Je tire la chasse, sors, me lave les mains et retourne te rejoindre. En chemin, je reprends ma culotte dans ma main.

— Donnes-moi ta main, t’ai-je demandé d’emblée en arrivant sur ma chaise.

— Quoi ? Pourquoi ?

— Donnes-là moi, c’est tout.

Tu hausses les sourcils, geste que je trouve évocateur chez toi, puis tu me tends la main, paume vers le haut.

Et je te donne ma main, celle qui est pleine. Lentement, je laisse le tissu dans ta main, en prenant soin qu’elle ne dépasse pas. À mesure que je me retire, je ferme ta main sur ma culotte, que tu n’as pas eu le temps de voir encore.

— C’est quoi ?

— Un petit cadeau.

Tu ouvres alors ta main. Et quand tu vois ce qu’elle cachait, tes yeux se posent à nouveau sur moi. Un sourire affamé apparait sur ton visage alors que tu portes la culotte à ton nez pour la sentir. Ma langue passe sur mes lèvres en t’observant sans rien manquer.

— Hummmm… tu sens bon.

Je me mors la lèvre inférieur. J’ai hâte de retourner chez moi.

Le serveur vient nous voir pour nous proposer le dessert. Tu refuses poliment et on demande la facture. Une fois dehors, ma veste sur le bras, je sens ta main agripper ma fesse avec force.

— Soit patient… ai-je dit dans un souffle.

Rendue à l’auto, alors que j’allais ouvrir ma porte, tu me retournes vivement face à toi et tu me plaques de ton corps contre ta voiture. Ta main droite empoignait mon cou pour me forcer à te regarder. L’autre se glissait sous mon chandail. Ma veste tombe au sol alors que mes mains te retiennent contre moi.

— J’ai envie de te baiser, ma petite salope.

— Qu’est-ce qui te retient ?

À ces mots, tu as détaché ton jeans. Ta main sur ma tête me forçait à m’accroupir devant toi. À ce moment, tu sors ta queue de ton jeans, qui était déjà en érection presque complète. Je me mets à lécher ton gland avec appétit, comme une vraie femme affamée et assoiffée…

Je passe ma langue de bas en haut de ta queue, pour la reprendre de plus belle. Je l’enfonçais dans ma gorge, pour la ressortir, la branler un peu, la remettre dans ma gorge… J’entendais tes râles de plaisir et ça me poussait juste à continuer. À un moment donné, tu tenais ma tête de tes deux mains et tu baisais ma bouche. Au stade où j’en suis, je dois être complètement trempée…

Tu me relève et me retourne face contre l’auto. Tu remontes ma camisole et sors mes seins de mon soutien-gorge. Tu les masse, les palpes avec tes grandes mains, les claque aussi pour les faire rougir un peu… Tu descends donc mes pantalons aux chevilles pour aller titiller mon clitoris déjà gonflé. Tu respires fort dans mon cou et je pousse mes fesses nues contre ta queue toujours sortie de ton pantalon, bien droite.

— J’ai envie de toi… me chuchotes-tu à l’oreille.

— Baise-moi. Tout de suite.

— Dans le parking ?

— Ya personne. BAISES-MOI ! Right now !

— Tu veux je te baise où ? me dis-tu en frottant ta queue entre mes fesses…

— Encules-moi… prends possession de mes jolies fesses.

Tu n’as pas mis de temps à réagir. Tu m’as pris par les coudes et tu m’as entraîné à l’avant de ta voiture. D’un seul coup, tu m’as poussé contre le capot, les seins écrasés contre le métal froid de ta voiture, mes fesses maintenant à ta disposition. Tu les caresses d’un mouvement circulaire, puis leur assène une claque sonore. Je pousse un petit cri, et tu recommences encore. Tu finis enfin par m’écarter les fesses et jouer avec mon petit trou avec ton index, qui ne t’as offert aucune résistance.

— Tu la veux là, ma queue, ma petite salope ?

— Oh oui…

Ta main est allée caresser ma chatte, qui mouillait déjà abondamment. Tu en as récolté le jus pour l’étendre sur ta queue et sur ma rondelle. Puis, tu a frotté ton gland à l’entrée de mon cul et, doucement, tu as commencé à t’enfoncer. À faire de léger va-et-vient pour faire ton chemin.

En entendant mes râles de plaisir, tu t’es mis à bouger plus rapidement. À me baiser solidement le cul comme tu adorais.

— Hmmmmm… c’est bon, ne t’arrêtes pas, continue, défonce moi…

— T’aime ça, ma petite salope à moi ?

Pour toute réponse, un long gémissement est sorti d’entre mes lèvres ouvertes… Tu as empoigné mes cheveux pour me remonter la tête et t’enfoncer encore plus en moi.

Moi, d’une main, je caressais mon clitoris… Tête relevée, la main entre mes cuisses, je ne tarderai pas à jouir.

— Je vais jouir, Martin…

— Laisses-toi aller, ma belle petite salope… jouie pour moi.

Tu as augmenté ta cadence pour me faire gémir encore plus… Et en peu de temps…

— Oui, vas-y, plus fort, c’est bon ! Je vais…. Aaaaahhhhhhhhh !!!

J’ai explosé. J’ai jouie puissamment sous tes coups de boutoir. Tu t’es retiré de mon cul et tu m’as retournée face à toi. Je me suis accroupie à nouveau devant toi pour te sucer à nouveau… jusqu’à ce que tu éjacules sur mes seins.

— Wow ! Toujours aussi gourmande et cochonne.

— Comme toi, t’ai-je répondu en étendant ton sperme sur mes seins, avant de me lécher les doigts en te regardant avidement.

Mais reste que j’ai quand même hâte de retourner chez moi avec toi… je vais me faire un malin plaisir de profiter de toi autant que possible.

Récit #86 – Un gangbang les yeux bandés

J’arrive à l’adresse que je connais si bien, par ce temps glacial, je cogne à la porte, mon cœur se met à sauter dans ma poitrine et la fébrilité monte en moi. Je sais que cette soirée sera mémorable…

Cet homme fort m’ouvre la porte avec son sourire malin, ce visage qui m’est si familier et que j’apprécie vraiment. Je sais que je serai entre bonnes mains.

Je pénètre dans la pièce sombre avec une musique invitante et sensuelle, je me déshabille et me voilà en baby doll bleu tout neuf acheté spécialement pour cette soirée… MA soirée !! Ma belle amie me bande les yeux et me guide jusqu’à l’autre pièce. Là où la magie opère !!

Je m’installe doucement sur le lit, je peux ressentir les gens autour de moi qui M’observent prêts à me faire crier de jouissance. Puis, je sens cette main puissante se glisser sous ma petite culotte pour me masturber et me faire crier de plaisir une première fois, cette main, celle du chef, sais comment me prendre…. je mouille, je coule, je frémis, je me tortille hummm quelle intensité!

On guide mes mains jusqu’à un membre bien tendu, puis un autre, un autre se glissé dans ma bouche… ça y est, la soirée commence. Toujours les yeux bandés, j’entends d’autres pas entrer dans la pièce, plusieurs pas. Que de plaisir au rendez-vous !

Tout à coup, je ressens une présence, chaude, intense qui entre dans cette même pièce. Il est LÀ, le Maître que j’espérais tant voir… mais je ne le vois pas, je le ressens !! Il est accompagné de sa merveilleuse soumise, celle que j’estime tant. Il s’approche, me glissé quelques mots à l’oreille, je suis dans tous mes états. Quel homme ! Il n’y a pas de Maitre aussi puissant à mes yeux que ce Dom auquel je me soumets avec tant de facilité.

La soirée bat son plein, je me fais brasser de tous les côtés comme j’aime tant ! Mon cul et mon vagin se font baiser avec puissance et intensité. Les hommes sur place s’amusent à me faire éjaculer encore et encore pour mon plaisir et le leur. Je suis étendue dans ce lit tout trempé de mon propre liquide avec ce petit sourire de satisfaction sur le bout de mes lèvres. Comme je suis chanceuse de vivre ça.

Aujourd’hui, au lendemain de cette soirée mémorable, j’ai toujours les jambes tremblantes de satisfaction et je dégage une odeur de sexe si puissantes que ça me donne l’envie de recommencer encore et encore. Les gangbang à saveur BDSM sont un vrai délice !

Récit #83 – ATM au Sauna

En cette belle journée d’été Christian allais retrouver son ami Jean-Luc pour une journée détente au sauna ou celui-ci leur avait réservé une journée complète à se faire gâter.

À son arrivée, Jean-Luc fut surprit de ne pas voir son jeune ami l’attendre à l’entrée comme prévu … il attendit une dizaines de minutes en vain, il l’appela à plusieurs reprise … sans réponse.

Il se décida d’entrer sans lui, à sa grande surprise, Christian était déjà à l’intérieur ,

– Hey m’avais tu oublié? dit Jean-Luc Couillard d’un ton plutôt fâché.

– Ahhhh, oui!  Désolé, je me suis dit que tu je m’attendrais pas à l’extérieur, dit Christian Guay d’un ton farceur .

Les deux amis s’en allèrent au vestiaire pour porter leur choses et se changer pour être prêts à la totale détente.

Arrivés dans le sauna, les gars s’assoient côte à côte et regardent autour d’eux et voient 4 autres personnes …

Christian et Jean-Luc parle du travail et de leur famille, Christian lui dit être exténué de sa semaine de travail et qu’il avait vraiment besoin d’une journée pour décrocher.

Jean-Luc lui dit qu’il est très content de pouvoir aider son ami à pouvoir se détendre

Pendant ce temps, les gars jasent de tout et de rien … mais au loin ils virent un homme donner une fellation à un autre …

Christian devint très mal à l’aise et dit à Jean-Luc qu’il trouvait ça assez ordinaire comme place

J-L lui demanda s’il voulait partir. Christian refusa et dit qu’il allait faire abstraction de ces messieurs …. Mais plus ça avançait et plus les deux hommes sentaient l’excitation monter en eux ainsi qu’un extrême malaise …

Christian posa sa main sur la cuisse de J-L en se caressant l’entre jambe qui n’arrêtait pas de gonfler. J-L fut surpris, mais ne dit rien il prit la main de son ami pour la mettre directement sur son énorme érection qui ne demandais que de se faire caresser lentement …

Christian continua de masser l’entre jambe de J-L qui fit de même pour l’énorme queue de son ami. Les deux amis commencèrent à s’embrasser goulûment , tout en se masturbant mutuellement leurs manches dur d’excitation .

Christian prit les devant en mettant l’énorme queue de J-L dans sa bouche , il insistait fort pour la mettre le plus loin possible.

Son ami se plaignait avec des gémissements qui rendait les autres gars très jaloux, Christian avait le cul en l’air et la bouche pleine .

Un autre homme s’approcha d’eu et ne dit rien, il enfonça sa tête entre les fesses de Christian en lui léchant l’anus . Christian gémit de plaisir mais n’arrêta pas de donner du plaisir à J-L.

Le troisième homme léchait intensément la petite rondelle de Christian, il alla même jusqu’à cracher dessus pour pouvoir lui insérer un doigt , l’excitation était à son top : il se masturbait tout en faisant gémir Christian .

L’inconnu se redressât et prit fermement sa queue entre ses mains et l’appuya sur l’anus assez dilaté de Christian, il força pour la faire entrer mais en vain . Il ressortit sont engin et retourna lécher le cul de Christian qui lui continuais de sucer ardemment son ami J-L.

L’inconnu retourna pour une deuxième tentative … celle si était la bonne … Poouuuufffff il le pénétra d’un seul coup, Christian en a eu le souffle coupé tellement la sensation était intense.  Il se mit à le sodomiser lentement … ensuite de plus en plus vite jusqu’à ce que leurs couilles se cogne l’une contre l’autres,

J-L et l’inconnu repositionne Christian en « méchoui » pour plus de facilité.  Christian se faisais baiser des deux côté et avait l’air de beaucoup apprécier , l’inconnu s’approcha de son oreille en lui murmurant

– Tu aimes ça, te faire défoncer la puck ??

Christian lui répondit avec des gémissements qui l’encouragaient.  Pendant une dizaine de minute le petit jeux continua  L’inconnu demanda à J-L d’échanger de place avec lui.

J-L se plaça derrière son ami qui avait déjà l’anus ouvert et prêt à le recevoir, l’inconnu enfonça sont membre dans la bouche de Christian sans avertissement.

J-L sodomisait son ami tout en le masturbant en même temps pendant qu’il suçait férocement l’inconnu qui ne put continuer longtemps et déchargea dans sa bouche ….

J-L voulait absolument que son ami vienne avant lui , tout en le défonçant, il la masturbait de plus en plus fort jusqu’à ce qu’il sente le sexe de son ami gonfler et que sa lui coule dans la main.

Alors, ayant son objectif, il ne restait que lui à déverser son plaisir, il y allait de plus en plus fort et déchargea dans le cul de son jeune ami qui n’en pouvait tout simplement plus …

Morale de cette histoire … n’allez jamais au sauna avec un ami!

Récit #73 – Première soumission

Récit #73 – Première soumission

Je portais un déshabillé bleu et noir avec des bas de nylon à la cuisse. Lui avait des pantalons propres et était torse nu.  J’étais assise sur mon lit. Je l’attendais. Il est arrivé, ma regardée.

  • Suis-je correcte ?
  • Oui, c’est parfait. Tu es belle. Lève-toi.
  • A partir de maintenant tu répondras « oui monsieur », « SVP monsieur ». Si c’est trop, tu me dis d’arrêter. Mets le bandeau sur tes yeux. Tu me fais confiance ?
  • Oui
  • Oui qui ?
  • Oui monsieur !
  • Très bien suis moi.

Il m’a conduite jusqu’à la salle a dîner où il m’a demandé de mettre mes mains derrière mon dos. Il a attaché mes poignets ensemble. Je suis debout devant lui, les yeux bandés et les mains attachées dans le dos. Mes sens sont en alerte. J’attends.  Il a commencé avec une plume…il l’a promenée dans mon cou, sur mes épaules, dans mon décolleté. J’avais des frissons qui me parcouraient le corps   Mon souffle s’est accéléré et mon cœur battait fort dans ma poitrine.

  • Tu es belle !
  • Merci !
  • Merci qui ?
  • Merci monsieur !
  • Bien ! Tâche de ne pas l’oublier !

Il passa son nez dans mon cou, mon décolleté… Il prit ensuite le fouet en suède.  Il lui fit faire le même chemin que la plume avec des petits coups ci et là sur mes fesses et sur mes seins… Mes genoux ont fléchi légèrement.  Mon souffle augmente encore.  Les frissons sont tellement forts, j’ai tellement envie de lui !  Mais il en a pas fini avec moi, car après le fouet en suède, c’est le tour du glaçon. Il lui fait faire le même trajet.  C’est froid et, en même temps, c’est chaud. Ma peau brûle de désir pour lui.  Je sens le glaçon fondre contre ma peau, mon souffle est court. Il laisse couler des gouttes d’eau sur ma peau, dans mon décolleté, dans mon dos… Ouf !

Je me lèche les lèvres. J’en veut plus!

  • Tu veux boire, dit-il ?

Je fais signe que oui de la tête. Il mit un morceau de glace dans ma bouche pour que je le suce pour me rafraîchir. Il le reprend ensuite.

  • Tourne-toi

J’obéis.  Il m’embrasse et laisse aller sa main jusqu’à mon entrecuisse.

  • Écarte les jambes

Je m’exécute.  Il fait aller ses doigts sur ma chatte. Doucement, il caresse mon clitoris et entre un doigt en moi.  C’est bon et j’aime ça.  De son autre main, il prend quelque chose sur la table. Je ne sais pas c’est quoi. Il le pose sur mon clitoris. Ça vibre légèrement et la sensation est douce et ça m’excite.  Mais j’en veux plus !  Il s’approche de moi et m’embrasse. Il dépose son outil et me dit « Viens avec moi » Je le suis et j’ai toujours les yeux bandés et les mains attachées dans le dos.  Il me tourne et me dit « Assied-toi, ton dildo est là ! ». Je m’exécute et mon dildo entre en moi facilement tant je suis mouillée. Il détache son pantalon et me tend son membre dur que je prends dans ma bouche.  Il y a de la crème fouettée dessus… Il le retire de ma bouche.

  • Encore ?
  • Oui, svp monsieur.

Il remet de la crème fouettée et me redonne son membre dur pour que je le suce et le lèche avec envie.Bouge sur ton dildo !

Je fais aller mes hanches tout en suçant son sexe gonflé… Il a une main sur ma tête qui poussson sexe plus au fond de ma gorge… Hmmm, c’est bon !  Juste avant d’atteindre le point de non-retour, il se retire et me dit « Lève-toi et viens ».  Je me lève et le dildo tombe sur le sol… Il détache mes mains et les place devant moi et les rattache.  Il me fait faire quelque pas et me dit « Mets-toi à genoux ici. » Je m’agenouille sur mon sofa en cuir.  Il entre ses doigts en moi. Il reprend mon dildo qu’il va passer sous l’eau et me dit de ne pas bouger.  Je ne veux pas bouger, je suis tellement excitée : j’en veux encore ! Il entre mon dildo en moi et de son autre main joue avec mon anus. Ouf, j’ai chaud ! C’est bon, et j’aime ça ! Il entre un doigt dans mon anus et fait des mouvements de va et vient. Il finit par en mettre un deuxième… et continue les va et vient encore et encore… « Je n’en peux plus !  Svp encore oui encore… C’est bon »  Je finis par lui demander :

– Svp encule moi !

Ses doigts se retirent. J’entends qu’il met du lubrifiant et il pénètre mon anus de son sexe dur. Oufff, oui encore !  Je ne sais pas où est le dildo, et sérieusement je m’en fou !  Tout ce que je veux, c’est qu’il entre fort en moi et vite. Mon dieu que c’est bon ! Je défais mes liens du mieux que je peux pour me maintenir en place.  Il me donne des tapes sur les fesses bien placées et au bon moment.  D’une main, il s’accroche à mon déshabillé. Il y va fort et vite… Je sens toute sa puissance, et j’aime ça.

Je sens son souffle qui accélère.  Le miens le suit. J’ai peine à me contenir…