Récit #283 – Une surprise en boxer

Par July

Je rentre chez-moi, je cherche l’interrupteur et ouvre la lumière. Je parcours des yeux le nouvel environnement où je vis et apperçois sur le lit de la pièce à côté, un jeune homme endormi portant pour seule vêtement un boxer.

Je ne le connais pas et son visage ne m’est pas familier.

Je décide d’utiliser la salle de bain pour y prendre une douche rapide de fin de journée.
Les portes de ma chambre et la salle de bain sont communiquantes alors, en me rendant lentement, j’enlève les quelques morceaux de linge que j’ai sans jamais le quitter des yeux.


Il a l’air d’un joli jeune homme et il éveille des sens en moi qui me disent d’accelérer le rythme.
Je descends mon pantalon que j’appelle affectueusement mon serre-cul quand je ne porte pas de petite culotte car il a cette tendance à mouler mes belles grosses fesses bien rondes en rentrant dans ma crac.
Ensuite, je lève mon chandail tout doucement ce qui laisse paraître ma petite poitrine aux seins bien gonflés d’envie de ce jeune homme.


Je laisse tomber au sol le haut tout comme le pantalon avant lui.
Je suis presque rendue à la salle de bain et déjà nue.
J’ouvre l’eau de la douche et la tempère suffisamment chaude pour qu’il y ait déjà du brouillard dans la pièce en quelques minutes seulement. Je rentre et en m’accottant le front et les mains sur la vitre, le jet sur la tête et les épaule, je me relâche de toute tension extérieure. Par contre, mon esprit continue à penser au jeune homme sur le lit.


Sans vraiment m’en rendre compte, j’ai déjà terminé de laver et rinser mes longs cheveux qui me descendent sur les reins. Je prends doucement la barre de savon, la fait rouler dans mes mains et la glisse délicatement sur mon corps.


Mes épaules en premier et je descend sur un bras puis l’autre en m’attardant sur mes seins que je frotte fermement d’excitation et doucement à la fois. Je passe la barre dans mon dos et, soudainement, une main m’aggrippe et m’enlève la barre de savon. C’est lui. Je le sens. Je le sent. Il entâme de me frotter le dos de ses mains fortes et douces à la fois. Il s’étend sur mes épaules et mes bras et revient à mon dos et descend jusqu’à mes fesses bombées.


Ce jeune homme est maintenant dans la douche avec moi et continue à descendre la barre de savon de mes fesses à mon entre jambe et remonte à mon dos.


Pendant ce temps, je frotte lentement mes seins et mes cuisses avec les mains toujours remplies de mousse. Je suis aux anges et très calme.

Soudainement, il n’y est plus. L’ai-je rêvé, imaginé tout ce temps ? Le savon est sur le porte-savon, la porte de douche toujours fermée.

J’entreprends de me rincer aussi lentement et doucement que le savonnage. Je ferme l’eau, ouvre la porte et prends une serviette que je m’enroule autour de la poitrine. Je démêle rapidement mes cheveux avec mes doigts et m’avance vers la chambre.

Surprise, je le vois sur le lit. Il ne porte plus son boxer et je m’avance vers lui en laissant tomber ma serviette. Il ouvre les yeux que je vois briller dans le début de pénombre. Son sexe devient de plus en plus gros, long, ferme. Je suis toute humide et la douche n’a rien à y voir. Je suis humide à l’intérieur.

Je frissonne et m’appuie les mains sur le côté du lit. Mes cheveux glissent sur mes épaules et rendent mes seins gonflés semi-cachés. Il les repoussent en se redressant en position assise et se tourne vers moi. On se retrouve face à face. Nos respires se synchronisent et s’intensifient. Il passe ses mains partout sur mon corps qui frisonne encore. J’adore.

Je bascule la tête vers l’arrière et le laisse continuer son exploration des mains sur mon corps, mon cou, mes joues, mon dos…

Il me fait monter sur le lit, je m’étends et il s’allonge sur moi. Ainsi commence l’étreinte la plus douce, la plus intense et la plus divine que j’ai eue à ce jour.

Il sait ce qu’il fait et où il s’en va ce jeune homme. Ses coups de reins sont réguliers et tendres. Il souffle dans mon cou chaque soubresaut fourni par son sexe en moi. Je valse les reins et frémis de cette tendreté et tout ce respect dans l’acte.

Je respire de plus en plus fort, je suis sur le point d’atteindre l’orgasme le plus fort et le plus long jamais connu. Il atteind le sien juste un peu après moi. On se relâche, on s’allonge côte à côte sur le lit, ma tête sur son torse en sueur. Il m’embrasse sur le front et je m’endors.

Au petit matin, je me réveille extrêmement détendue et reposée. Le jeune homme n’est plus à mes côtés. Ni ailleurs d’ailleurs.

Je ne saurai jamais si je l’ai vécu pour vrai ou si je l’ai rêvée cette étreinte extraordinaire. Ce n’est pas grave car elle est encrée en moi et d’y repenser me fait encore frisonner.

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