Récit 53 – La piscine – Partie 12 – Un heureux prix de consolation

Cette histoire est la partie 9 de la série « La piscine ».  Il est fortement suggéré de lire les autres parties avant de lire celle-ci.

Résumé sur cette page.

 

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Nous approchons la fin août, nous sommes un lundi matin et j’ai pris congé.  Je suis assis dans le salon chez-moi et je suis quelque peu songeur en cette matinée.  Voilà plusieurs jours que nous sommes revenus du spa Sarah, Gen et moi.  Cette journée passée là-bas fut loin d’être reposante et je fus exténué le lendemain au point où je n’ai rien fait de bien utile.  Les filles ont probablement trouvé difficile elles aussi le retour à la normalité puisque je ne les ai pas entendues se donner du plaisir depuis, pas plus que je n’ai vu Sarah faire son aguichante avec moi, ce qui contraste avec son habitude depuis qu’elle habite chez moi.

À sa défense, il faut dire qu’elle est retournée au boulot dès le lendemain matin et accumule les heures supplémentaires depuis.  Gen, quant à elle, n’a pas abordé le sujet de nos actions au centre et c’est en quelque sorte comme si rien ne s’était passé, bien qu’elle continue de se promener en petite tenue dans la maison.  Je dois l’avouer, même si elles frôlaient les limites de l’acceptable socialement, les situations cocasses des dernières semaines me manquent un peu et je commence à me demander si tout ça n’était pas qu’un trip passager qui serait terminé.  Je commence à manquer de sexe.

Pour me changer les idées, je me dis qu’il n’y a rien de mieux que de passer la soirée en charmante compagnie.  Afin de préparer celle-ci, je lance quelques perches à des filles avec qui j’ai eu des aventures d’un soir dans le passé.  Celles qui retournent leur texto m’informent soit qu’elles ne sont pas disponibles ce soir ou encore qu’elles se sont faites un chum régulier.  Vais-je devoir me masturber ce soir ?  Je n’ai décidément pas envie d’une branlette, mais plutôt de ressentir la chaleur d’une femme qui passera la nuit chez moi.  Même le vouloir, Sarah fait des heures supplémentaires au travail, alors pas de chance de ce côté.  Je dois vraiment trouver non pas un plan B, mais un plan C.  Je me résigne alors à m’inscrire sur des pages de rencontre pour célibataires sur Facebook.  J’envoie alors à l’administrateur une belle photo souriante de profil de moi-même et indique comme message l’accompagnant « Salut, je suis un homme cherchant bonne compagnie ».  J’ajoute aussi une brève description et et tout le blabla qu’on peut mettre sur ce genre de présentation pour garder l’ambiguïté sur ce qu’on cherche : une relation sexuelle ou à long terme ?  Je laisse le doute planer, après tout ne sait-on jamais dans vie sur qui on tombe ?

Mon annonce est publiée rapidement, l’administrateur de la page est efficace et à son affaire.  Je reçois dans l’heure cinq mentions « J’aime » sur ma publication, dont celle de deux mecs.   Ça part plutôt mal mon affaire.  Deux autres mentions sont celles de femmes qui ne sont décidément pas de mon goût, sans entrer dans les détails, je comprends pourquoi elles sont célibataires sans trop réfléchir que ce jugement pourrait aussi s’appliquer à moi.  C’est la cinquième mention « J’aime » qui attire mon attention.  Elle provient d’une blonde qui se dit âgée de 24 ans sur son profil.  Vu la haute qualité de sa photo de profil, qui semble prise par un photographe professionnel, j’ai des soupçons qu’il s’agisse d’un faux compte, peut-être alimenté par un ivoirien qui espère m’extorquer de l’argent, ce qui m’amène à être sur mes gardes.  C’est d’ailleurs la seule photo publique d’elle que je peux voir.  Peut-être est-ce aussi un vrai mannequin professionnel, me dis-je ?  Je ne résiste pas à la tentation de contacter la femme en question, estimant qu’il vaut mieux que je prenne une chance plutôt que de passer à côté de celle-ci.  J’utilise donc ma tablette pour lui écrire.

  • Salut, t’as liké ma publication. Tu veux qu’on fasse connaissance ?

La réponse prend environ 15 minutes à venir et s’en suit une demande d’amitié en bonne et due forme sur Facebook.  Nous discutons pendant une bonne heure en se textant, question de faire plus ample connaissance.  Une fois devenue mon amie Facebook, je peux constater qu’elle a quelques autres photos sur son profil, dont plusieurs la montrent dans des positions suggestives en bikini, dont une qui attire mon attention en particulier.  Elle joue au volleyball de plage, dans une tenue qui donnerait à n’importe qui l’intérêt pour ce sport.  Elle est manifestement dotée d’une poitrine qui frise le D, sinon plus, mais sa taille de guêpe et ses petites fesses laissent deviner que celle-ci n’est pas naturelle. Qu’importe ! Je veux baiser, alors qu’elle soit silliconée ou non m’est égal.    Nos attentes semblent mutuellement concorder ; elle me laisse entendre clairement qu’elle n’est pas sur le réseau social pour s’engager mais, je cite « pour se payer du bon temps ».

Je l’invite donc à aller prendre un verre ce soir au bar, question de passer du texte à la réalité, une offre qu’elle me refuse d’un « non » laconique, suivi d’une demande dans le message suivant :

  • C’est quoi ton Snapchat ?

Pour avoir testé l’application avec Sarah, je devine où elle veut en venir et ne je suis pas déçu lorsque je reçois le premier cliché.  Celui-ci la montre de loin dans le miroir de ta chambre, tenant son téléphone d’une main et l’autre sa hanche.  Elle est habillée d’une camisole noire au décolleté plongeant.

  • Comment tu me trouves ?

Je lui réponds en prenant un égoportrait tout ce qu’il y a de plus ordinaire, tout souriant, en tenant ma tablette à bout de bras.

  • Tu es très jolie !

Elle me réplique à peine quelques secondes plus tard en m’envoyant cette fois une vue assez plongeante de son décolleté parce qu’elle tient son téléphone au-dessus de sa tête, la bouche en canard, ce qu’on appelle communément un duck face.

  • Merci c’est gentil. Je peux te voir en chest ?

Et pourquoi pas !  J’obtempère et me défais de ce tshirt noir et laisse voir à la demoiselle mon torse nu.

  • Comme ça ? Mais c’est pas juste… Toi tu as encore un chandail !

J’hésite avant d’envoyer ce dernier message.  Je l’ai tout de même envoyé en me disant que c’est quitte ou double : ou bien elle m’ignore et me traite de cochon, ou bien j’aurai la chance de voir davantage de son joli corps qui commence à faire dresser le pénis dans mon short.  C’est finalement cette deuxième option qui se confirme lorsque je reçois comme réponse une vue de sa bouche et ses seins flambant nus qu’elle tient dans ses mains.  Ils sont bien ronds et les mamelons sont bien érigés, comme si la température ambiante chez elle était très froide.  Peut-être que je pourrai baiser ce soir finalement, me dis-je…

Je prends sur moi alors d’enlever mon short et de ne garder que mes boxers.  Je prends le tout en photo je lui envoie un cliché de cette vue montrant bien celui-ci avec la forme de ma verge encore cachée par le tissu.  En guise de réponse, je reçois une photo d’elle jambes écartées et toute souriante, montrant voir qu’elle prend manifestement plaisir à s’exhiber devant moi.  Sa chatte semble toute lisse, comme si elle était fraichement rasée, qu’elle tient écartée grâce à son index et son majeur.  Ça y est, mon érection est totale !!! Je comprends bien le message et enlève mon boxer pour laisser enfin à l’air libre mon pénis bien dur que je commence à masturber en espérant qu’elle envoie en retour une photo d’elle encore plus explicite.

C’est à ce moment que ma sœur Geneviève sort de sa chambre, habillée d’une simple robe de chambre.  Dans une situation normale, j’aurais pu être catastrophée, mais en regard des événements passés, sa présence constitue pour moi une surprise plutôt qu’un malaise profond.

  • Qu’est-ce que tu fais là, encore en train de te crosser maudit cochon ! dit-elle moqueuse.

Cessant mon élan masturbatoire, je lui réponds du tac-au-tac :

  • T’étais pas supposé être au cégep, toi à matin ?

 

  • Non, mon cours a été annulé. Ça commence plutôt mal la session cette grève.  Avec qui tu parles ?

 

  • Une fille de Facebook…

 

  • Je la connais ? Montre-la-moi !! A doit être cute si tu te masturbes de même sur Snapchat !, répond-elle d’un ton enjouée, en se penchant sur le rebord du dossier du divan et s’accotant sur les coudes en tentant de regarder ma tablette de plus près.

Comme elle prononce ces mots, je reçois de la part d’Anaïs, la belle blonde, une autre photo, toujours via Snapchat.

  • Vas-y, ouvre la devant moi… je veux voir si t’as du goût !

J’ouvre donc le message reçu : c’est une photo aussi explicite que la précédente.

  • T’es conscient que c’est une photo de pornstar qu’elle t’a envoyée ?

Elle semble affirmer la chose avec une certitude dans le ton, qui est sans appel.  Elle me nomme l’actrice en question qui est loin d’être québécoise.  Aurais-je affaire à une imposture finalement ?  Cette théorie du faux compte n’était pas aussi farfelue, finalement.

  • C’est facile, envoie-lui un message vidéo de toi en train de te toucher et demande-lui ensuite la même chose en retour… Tu vas le savoir si tu as affaire à quelqu’un de réel ou à un fake !

Un peu honteux, je m’exécute devant elle, et prends ma tige dans ma main droite et tiens ma tablette de ma main gauche.  Je tente de filmer du mieux que je le peux pendant une dizaine de secondes un mouvement masturbatoire sous les yeux attentifs de Geneviève qui ne manque rien de la scène. Comme vignette à la photo, j’écris à la vraie/fausse Anaïs « À ton tour ».  après dix minutes d’attentes, je comprends que la réponse ne viendra jamais et qu’elle m’a bloqué.

  • T’as eu affaire à un faux profil… Faut être prudent dans ces affaires-là ! dit-elle, tentant tant bien que mal d’avoir un peu d’empathie envers moi.

Je me sens ridicule ; non seulement suis-je nu sur mon divan et en érection devant de Gen, mais en plus je me suis masturbé devant je ne sais qui.  Voyant mon état dépité, Geneviève vient me rejoindre et vient s’assoir à côté de moi en passant par-dessus le divan.

  • Tu sais, tu peux continuer ce que tu faisais… Ça serait dommage que tu t’arrêtes là !

Ces mots me surprennent quelque peu.  Elle m’a bien vu plusieurs fois me masturber, mais c’était toujours en présence de Sarah ou de la possibilité de sa présence, comme dans le sauna. Cette fois, pas de chance : Sarah est au boulot.

  • Ça te dérange pas ?

 

  • J’ai l’air d’une fille que ça dérange ? Je vais même t’accompagner…

En prononçant ces mots, elle laisse tomber la robe de chambre pour me laisser voir son corps complètement nu.  C’est la première fois que je la vois aussi bien à la clarté du jour.  Assise tout juste à côté de moi, elle s’approche, question que nos bras soient en contact. Toucher sa peau, ne serait-ce qu’avec mon bras alors que je me masturbe, me fait un drôle d’effet.  Loin de s’en formaliser, elle me regarde plutôt faire mon mouvement de poignet.

  • Ça donne envie de t’imiter…

 

  • Alors vas-y, gêne toi pas pour moi…

Elle prend alors ses seins dans ses mains pour les tâter, puis descend sa main droite vers son entrejambe.  Elle glisse son majeur vers sa fente, pour ensuite le remonter jusqu’à son clitoris qu’elle fait émerger avec ses doigts.  Elle me regarde alors dans les yeux et entame son mouvement de gauche à droite avec ses deux mêmes doigts.

Loin de détester ce que je vois, je m’approche encore davantage pour que nos cuisses fassent contact.  Étant assise à ma gauche, je passe mon bras derrière son cou, de manière à ce qu’elle puisse placer sa tête sur le bord de mon épaule.  De là, elle a une vue directe sur mon pénis qui se fait brasser à quelques centimètres de son visage.  Je me dis intérieurement que nous frôlons vraiment en ce moment les barrières de l’interdit.  C’est alors que je pense à cela que je sens une chaleur envahir mon pénis et cette chaleur vient sa bouche.  Elle entame alors une pipe comme je n’en avais que rarement reçu, comme si elle savait exactement ce que j’aimais.  Elle la prend d’abord longuement en bouche, au plus profond de ses capacités, pour ensuite placer ses lèvres en cœur pour remonter tout le long de ma verge jusqu’au gland, qu’elle va titiller ensuite avec le bout de sa langue.

C’’est lorsqu’elle enroule sa langue tout le tour de mon gland que cette sensation extraordinaire me donne une impression de déjà-vu, je sens un piercing sur ma queue et je comprends tout maintenant.  Cette pipe, prodiguée par Gen, n’est pas la première dont elle me gratifie.  C’était donc elle, lorsque j’avais les yeux bandé, qui me suçait l’autre jour et non Sarah…

Je ne sais quel sens donner à cette interprétation et me dit que je suis aussi bien en profiter, une fois rendu où nous sommes.  La barrière de l’inceste a donc été franchie bien avant aujourd’hui….

J’ai toujours le bras gauche enroulé autour de son dos alors qu’elle me suce.  Je tente alors de descendre ma main, touchant au passage la peau douce de son dos, immaculée de ses tatous, pour atteindre ses petites fesses rondes.  J’en profite pour bien les tâter, mais mon objectif est tout autre : je veux me rendre plus bas, ce que je réussis tant bien que mal sans interrompre la pipe qu’elle me donne.  Je réussis à passer ma main entre ses fesses et glisser mes doigts tout près de son entrée vaginale.  Sans même l’avoir atteinte, je ressens au toucher et à l’odeur que la zone est fortement mouillée.  Qu’à cela ne tienne, je laisse glisser mon doigt jusqu’à l’entrée de sa chatte pour enfoncer mon majeur tout doucement.  Elle me répond de ses coups de langue dont elle seule a le secret en leur donnant de plus en plus de vigueur, succionnant ma queue au passage tout en la branlant lorsqu’elle reprend son souffle. Pour lui montrer mon appréciation, je la pénètre d’un deuxième doigt sans aucune difficulté, les tiens bien droits et entame un mouvement d’entrée et de sortie de son vagin, une caresse dont elle semble apprécier de plus en plus la vigueur si je me fie à l’entrain qu’elle donne à me sucer.  Pour lui montrer mon appréciation, je tiens une poignée de ses cheveux colorés avec ma main restante pour effectuer une pression sur sa tête avec celle-ci, comme pour lui signifier que j’ai envie de la sentir plus profondément.  Je regrette presque ce que je fais alors que je sens que je vais éjaculer…

  • Ralentis, Gen… Ralentis…

 

  • Baise-moi !

 

  • Quoi ?

 

  • Envoye, au point où on en est, pourquoi on se priverait !

 

Je suis pris du pire dilemme de ma vie.  Si je refuse, elle risque de cesser tout ce qu’elle fait et là, je vais créer un vrai malaise.  Si j’accepte, je prouve que j’ai un véritable esprit tordu et que je suis un pervers à baiser ma propre demi-sœur.  Beau party de Noël en perspective.

  • Arrête de niaiser, j’ai envie de toi ça fait longtemps…

 

  • Ça reste notre secret ?

Elle me répond de son regard suppliant et d’un hochement de tête.

  • C’est sûr ! On est majeurs, on fait ce qu’on veut !

Je lève et me place alors debout, face au divan.  Elle se couche sur le dos, relève ses deux jambes, dont une que je place à la verticale.  Elle m’empoigne le pénis, qu’elle dirige alors droit vers sa chatte.  Ses intentions sont claires !  C’est sans aucun mal que je peux la pénétrer d’un seul coup, sans aucune résistance.  Son regard trahit son degré d’excitation, comme si elle attendant ce moment depuis longtemps ; je prends alors mon temps et reste profondément en elle quelques instants avant d’entamer mes premiers coups de bassin, tout en tenant sa jambe bien relevée.

  • Ah oui, comme ça… je te sens bien… je te sens creux…

Je ne saurais dire combien de temps je pistonne Gen de cette façon, mais je puis affirmer une chose avec certitude, nous apprécions tous les deux le moment présent.  Elle m’invite alors à m’assoir à sa gauche, ma queue luisante de son jus pointe vers le haut.  Elle passe alors par-dessus moi, à califourchon, ce qui me laisse loisir de palper ses seins à volonté et même les lécher, puis, elle se laisse descendre sur ma queue.  Elle prend le contrôle de la situation en guidant elle-même les mouvements de ses hanches sur le pieux dont elle vient de prendre possession en elle.  Ses mouvements sont d’abord lents, puis de plus en plus rapide.  La température ambiante semble être montée de plusieurs degrés ; je tente tant bien que mal de lécher ses seins, mais la vitesse à laquelle Gen bouge m’empêche de toucher de la langue convenablement ces seins ornés de tatous et je dois me contenter de les palper fortement de mes deux mains.  Encore une fois, je sens que je vais éjaculer, alors je la tiens fortement à partir des hanches pour stopper net son déhanchement.

  • C’est quoi tu fais là ?

Je la fais basculer alors sur le dos et m’installe par-dessus elle, en position du missionnaire.  Loin d’être originale, elle a tout le moins le mérite d’être efficace – et de me redonner le contrôle.  Je m’enfonce à nouveau en elle et la colle contre moi, écrasant ses seins avec ma pointrine, puis la serre autour de mes bras.  J’approche ma bouche de ses lobes d’oreille, que je mords tout doucement, puis un peu plus fermement par la suite :

  • T’es vraiment douée… mais là, c’est à mon tour… accroche toi.

Je la serre ensuite plus fortement, lui empêchant alors toute liberté d’action sauf au niveau de ses jambes.  J’accélère mon mouvement de manière radicale et y vais à fond de train.  J’ai chaud, mais il est hors de question que j’arrête cette pénétration ; de toute façon, elle me confirme par ses halètements qu’elle est d’accord puisque je sens que sa respiration n’est plus tout à fait aussi discrète et qu’elle se fait de plus en plus saccadée.  Elle ne me crie ni plus ni moins à l’oreille :

  • Arrête pas… je t’interdis d’arrêter… je viens, je viens, je viens !!!!!!!!

Ses jambes, enroulées tout autour de moi, se mettent alors à trembler et l’extase atteint son paroxysme à ce moment pur Gen.  Cet orgasme semble si violent qu’elle donne un brusque coup sec de tout son corps et je sens toute une dose d’humidité couler le long de ma jambe.  Comprenant que je me retiens pour éjaculer elle me dit alors :

  • C’est ton tour… Viens où tu veux mon beau.

Je ne réfléchis pas bien longtemps sur l’endroit qui recevrait ma semence : son visage est l’heureux élu.  Je sors alors mon pénis d’elle pour m’approcher rapidement de celui-ci.  Elle comprend rapidement où je veux en venir.

  • Viens remplir la bouche de ta sœur, dit-elle en ouvrant la bouche bien grande et mettant en évidence le piercing de sa langue.

C’en est trop et j’éjacule de plusieurs longs jets qui atterrissent pratiquement tous directement sur sa langue, sauf le premier qui se fraie plutôt un chemin sur sa joue.  Elle avale d’un trait l’ensemble de ma semence.

Nous restons ainsi pendant quelques instants, réalisant ce que nous venions de faire.

  • Regrettes-tu ? dis-je.

 

  • Depuis le temps que je l’attendais.

Et je m’allonge à côté d’elle, la serrant fort dans mes bras, tout en reprenant conscience avec le monde réel.